L’EOLIEN: SOLUTION OU PROBLEME?

Tout le monde connait les avantages de l’éolien grâce à la propagande officielle.
L’éolien a-t-il une face cachée ?
A vous de juger…

Le grand mensonge : 14.000 éoliènnes abandonnées aux USA.

Le problème avec l’éolien

On avait appris dans le passé que l’éolien n’est pas rentable, que les éoliennes ne fonctionnent que 25% du temps, que cette industrie ne vit que grâce aux subventions et qu’au Québec, ça coûte aux contribuables près de 700 millions par an. Et malgré que c’est déficitaire et non rentable, le PQ va continuer à gaspiller l’argent des contribuables dans cette filière.

La vérité c’est que les éoliennes, tout comme les panneaux solaires ne sont pas éternels, ils se brisent et ont une durée de vie limitée. Et tout comme les panneaux solaires, les éoliennes produisent moins d’énergie durant leur durée de vie que ce que ça coûte de les fabriquer.
Fabriquer ces sources d’énergies « vertes » requiers de l’énergie, qui vient en majorité d’énergies fossiles, pour extraire les matériaux (souvent des minéraux rares), transporter, construire, etc.. Et c’est sans compter l’énergie nécessaire pour démanteler et détruire (parce que majoritairement pas recyclable) ces machines quand leur durée de vie finie, (ce qui ne semble pas le cas au U.S.A. avec 14 000 éoliennes abandonnées)

Les éoliennes sont laissés à l’abandon, tel des anciens totems à la religion verte en déclin. Imaginez une seconde si ces installations à l’abandon étaient des équipements pétroliers ou miniers, les verts feraient des manifestations, pour exiger que le promoteur les enlève…

Le secteur éolien est juste une fraude fiscale. Ça marche tant qu’il y a des subventions gouvernementales. C’est très payant pour les promoteurs et les actionnaires de compagnies d’énergie « verte ». Et les politiciens embarquent dans cette arnaque pour plaire aux électeurs qui ont été brainwashés par la religion verte.

Il y a beaucoup de vérités cachées dans le monde idyllique de l’éolien, ses perturbations sur l’environnement, ses dommages incalculables causés aux oiseaux, la fuite des animaux sauvages, leur sous-traitance en Chine, les graves nuisances sur la vie des gens, bruit et électricité statique, sans compter la dégradation des paysages naturels.

Passé la manipulation de l’effet médiatique du réchauffement climatique, les gouvernements ont réduit les subventions et les avantages fiscaux, et les  consommateurs paient maintenant pour le privilège d’avoir une source d’énergie très coûteuse, dont la production électrique reste très aléatoire : froid, vitesse du vent trop importante, pas assez de vent, ne souffle pas aux heures de pointe, difficultés et coût prohibitif de la maintenance…

L’expérience américaine des fermes éoliennes, a laissé plus de 14.000 éoliennes abandonnées, des friches en lente dégradation. Ces immenses géants symbolisent une « religion climatique » sur le déclin, vous n’entendrez nulle part les écologistes jouer un requiem où ils décrivent la réalité de la situation, les erreurs gigantesques commises, le gâchis de l’argent publique afin d’endormir le peuple et lui faire croire que l’on allait faire des miracles (Paul : Le nucléaire bat toujours le plein, de nombreuses centrales sont en construction dans le monde et beaucoup d’autres en projet)

Les Etats-Unis ont des parcs éoliens depuis 1981

« Certains disent que Kamaoa est hanté. Il est hanté par les sons mystérieux de « Na leo o Kamaoa» – la voix des 37 éoliennes squelettiques désincarnées, abandonnées à la rouille, sur le site de cents acres de l’ancienne ferme éolienne de Kamaoa …

Les fantômes de Kamaoa ne sont pas les seuls à nous mettre en garde. Cinq autres sites éoliens abandonnés, parsèment les îles hawaïennes, mais c’est en Californie où l’impact des politiques passées et des subventions ce sont fait sentir le plus fortement. Des milliers d’éoliennes abandonnées hantent le mythe de l’énergie renouvelable, et trois lieux en décrépitude : Altamont Pass, Tehachapin et San-Gorgonio, sont considérés comme les meilleurs sites venteux du monde…

Ces fermes éoliennes faisaient de la Californie le producteur de 80% de l’électricité éolienne mondiale. La production a cessé beaucoup plus rapidement que Kamaoa. Dans les meilleurs spots de vent de la terre, plus de 14.000 éoliennes ont été tout simplement abandonnées. Programme post-industriel en désuétude qui ne génère plus rien, mais tue toujours les oiseaux … «

Le problème des éoliennes, quand elles sont abandonnées, reste ses immenses hélices, mais les écologistes restent aveugles :

La ville de Palm Springs a été contrainte de promulguer une ordonnance exigeant leur démantèlement de San Gorgonio. Mais le comté de Kern, en Californie, englobant la région de Tehachapi, n’a pas de telle loi.

Imaginez l’indignation des verts si l’on avait abandonné des appareils de forage pétrolier dans des sites naturels !

Il a fallu près d’une décennie en Californie, depuis les premières éoliennes, pour dissiper la croyance répandue, parmi le public et les investisseurs, que l’énergie éolienne n’était juste qu’une escroquerie fiscale.

Ben Lieberman, analyste politique, spécialiste des questions énergétiques et environnementales pour la Fondation du patrimoine, n’est pas surpris :

« Si l’énergie éolienne a du sens, pourquoi y aurait-il besoin de la subventionner ? C’est une bulle qui éclate dès que les subventions gouvernementales se tarissent »

C’est là que réside la leçon a apprendre par ceux qui cherchent à faire fortune grâce aux subventions payées par le contribuable, à l’ensemble du secteur des énergies renouvelables, de l’énergie solaire, éolienne, de la biomasse, incapable de survivre seule, sans provoquer des bulles financières. Beaucoup d’entreprises et d’ONG, comme le WWF, Amis de la Terre et Greenpeace, pensent maintenant qu’elles sont de droit divin, qu’elles mènent une croisade verte pour sauver le climat, justifiant toutes ces débauches financières inutiles.

Les hélices des éoliennes d’Altamont ont été attachées depuis 2008, pendant quatre mois de chaque année, afin de protéger les oiseaux migrateurs, après que les écologistes aient porté plainte. Selon la Golden Société Audubon, 75 à 110 aigles dorés, 380 chevêche des terriers, 300 buses à queue rousse, la crécerelle d’Amérique et 333 faucons sont tués par des turbines à Altamont chaque année. En Juillet 2008, l’étude menée par les soins de l’Agence du comté d’Alameda, concernant le développement communautaire, chiffre à 10 000 décès annuels d’oiseaux. Audubon décrit Altamont comme «probablement le pire site jamais choisi pour un projet d’énergie éolienne »

Les mêmes zones, qui sont propices à l’implantation des parcs éoliens, sont également propices aux passages des oiseaux de proie et des oiseaux migrateurs, à travers les hélices. Il est honteux qu’aucun militant vert ne se soucie de la nature. Seul compte leur agenda anti-carburants fossiles, à n’importe quel prix.

Après la débâcle de la ruée vers le vent Californien, l’Union européenne avait battu les Etats-Unis sur les efforts pour subventionner l’énergie « renouvelable », y compris une « avance sur tarif » encore plus lucrative que le contrat ISO4.

Les contribuables qui ont subventionné la construction des fermes éoliennes, ont payé le prix fort pour une source pérenne de production électrique, ils seront finalement roulés dans la farine, bons à payer la facture des dégâts de l’écologie sans conscience.

Les éoliennes se délabrent trop vite

Dans le cadre de cette étude demandée par l’association caritative, des professeurs de l’Université d’Edimbourg ont étudié des années de données sur les performances des parcs éoliens au Royaume-Uni et au Danemark.

12-15 ans, pas plus

Ils ont découvert qu’après plusieurs années, les parcs éoliens ne sont pas aussi performants qu’au départ. Après 10 ans de fonctionnement, la rentabilité d’un parc éolien britannique par rapport à la demande aurait diminué d’un tiers.

L’étude en conclut qu’il ne serait pas rentable d’opérer des parcs éoliens pendant plus de 12 à 15 ans, contrairement à l’autonomie prévue de 20-25 ans. Seule solution : les remplacer par de nouvelles éoliennes, ce qui aurait des conséquences graves pour les investisseurs et le gouvernement. Mais aussi sur l’environnement.

Opinions partagées

Les membres de l’industrie des énergies renouvelables restent cependant sceptiques quant à la véracité des résultats. Scottish Renewables, par exemple, a affirmé que ses plus anciens parcs éoliens en Ecosse avaient 16 ans d’âge et qu’aucun n’avait été démantelé ou réalimenté.

Les opposants aux éoliennes estiment toutefois que ce rapport suffit à freiner la production d’éoliennes et à obliger le gouvernement écossais à repenser à son soutien aux sources d’énergie. Ils prennent l’exemple des États-Unis, où de nombreux « cimetières éoliens » viennent gâcher le paysage.

« Nous savons déjà qu’une éolienne doit fonctionner pendant deux ans minimum pour rembourser les coûts carbone de la construction,” a déclaré Murdo Fraser, député conservateur. « La décrépitude des éoliennes n’est pas surprenante. Il suffit de voir ce qui se passe de l’autre côté de l’Atlantique pour voir 12 000 éoliennes pourrir dans le désert californien. Combien va coûter le démantèlement de celles-ci et qui va payer ? A quel moment le gouvernement écossais va-t-il comprendre qu’il faut freiner l’énergie éolienne ? »

L’étude évoque également le déclin de la performance des parcs éoliens en mer au Danemark, supérieur à celui des parcs éoliens terrestres britanniques. Dr John Constable, le directeur de l’étude, a affirmé : « En quelques mots, les parcs éoliens en mer et terrestres coûtent trop d’argent et se délabrent trop vite pour offrir au monde émergent une alternative réaliste au charbon.”

Sources:

http://www.greenetvert.fr/2013/01/07/les-eoliennes-se-delabrent-trop-vit…
http://www.ref.org.uk/publications/280-analysis-of-wind-farm-performance…

 

 

60 000 PROPRIÉTAIRES MENACÉS DE FAILLITE PAR LES ÉOLIENNES

  • par LUDOVIC GRANGEOn

 

LVous êtes propriétaire et démarché pour une éolienne, ou vous avez signé un bail, ou encore il y a déjà une éolienne sur votre terrain? Alors lisez bien et faites lire ceci à vos enfants, à votre avocat ou à votre notaire…. Si votre commune s’en occupe, n’oubliez pas que vous êtes aussi contribuable… et si vous appréciez l’environnement, préservez le.

Les USA comptent 14 000 éoliennes abandonnées, information dans “AmericanThinker” à l’occasion des désastres environnementaux des gigantesques fermes éoliennes dévastées de Kamaoa,  de Tehachapi, et bien d’autres. Les sociétés qui les possédaient se sont évanouies. Les recherches de responsabilité sont difficiles ou impossibles.  Ce scandale encore peu connu arrive très vite en France car les techniques utilisées sont les mêmes chez nous, puisque ce sont très souvent de mêmes fonds de pension qui possèdent ces éoliennes. Les propriétaires ont loué leurs terrains aux promoteurs éoliens qui leur ont assuré tout prendre en charge et restituer le terrain « en l’état ». Des élus locaux et parfois des fonctionnaires ont aussi “rassuré” ces propriétaires aux côtés des promoteurs. Ils ignorent souvent que les éoliennes sont en fait revendues dès leur mise en service et simplement gérées par les promoteurs. Les promoteurs éoliens constituent  pour chaque projet des sociétés coquilles au capital minimum de quelques milliers d’euros dont les actionnaires changent au fil des années, selon des ramifications infinies en France et à l’étranger y compris dans les paradis fiscaux. La recherche de toute responsabilité en cas de problème risque de ne jamais aboutir. Alors que la finance n’hésite pas à abandonner des entreprises avec du personnel, il est encore plus facile d’abandonner des éoliennes.

Les propriétaires subissent deux énormes menaces qui sont des bombes à retardement sur leur patrimoine et leur situation personnelle. Ils devraient faire relire leur bail par des experts ou des avocats indépendants avant qu’il ne soit trop tard. Les jurisprudences les menacent à chaque instant selon la règle « pollueur-payeur » qui frappe le propriétaire des terrains.

La plupart du temps les contrats de location de terrain signés avec les promoteurs éoliens l’ont été à l’amiable, sans la présence d’un expert indépendant ou d’une association agréée de consommateurs. Il existe d’ailleurs de nombreux doutes sur la légalité de ces opérations par rapport à la législation sur la vente à domicile par des professionnels rappelée par la DGCCRF. De nombreux baux risquent d’être non valables en cas de litige.

Deux menaces importantes les concernent : tout d’abord la défaillance pure et simple de la société avec laquelle ils ont contracté, et donc des provisions de démantèlement qui les couvrent.  Malgré les dispositions légales contraignantes et le Code de Commerce, la plupart de ces sociétés ne publient même pas leurs comptes. De ce fait, il est souvent impossible de vérifier que les provisions légales de démantèlement sont constituées. Plusieurs défaillances sont déjà survenues.L’un des principaux promoteurs éoliens français ne vient il pas de faire l’objet d’une opération financière atypique sur son parc éolien, devenu la propriété majoritaire d’une curieuse banque egyptienne jusqu’ici inconnue en Europe, et tout cela géré depuis l’étranger ?

L’autre menace est dans les socles en béton dont les propriétaires restent à vie responsables

Par un subterfuge, le démantèlement est prévu au ras du sol selon le Décret 2011-985 du 23 aout 2011. Mais cette astuce occulte les obligations bien plus importantes et réelles des articles L162-9 et suivants de la loi n° 2008-757 du 1er août 2008. Or chaque éolienne nécessite 2 à 3000 tonnes de béton souterrain, parfois plus. Ce béton et ses ferrailles sont d’importantes menaces de pollution ou de perturbation du sol et des nappes phréatiques. A la moindre alerte, à la moindre sommation, c’est donc le propriétaire du terrain et non le promoteur éolien, qui sera recherché, par exemple par la police de l’eau, par un syndicat intercommunal, ou par une association de protection de la nature. Et de toutes façons il faudra restituer le site dans son état initial à la fin du bail. Le coût complet de démantèlement d’une éolienne est chiffré par les entreprises spécialisées de 650 à 850 000 €. Les sommes provisionnées, quand elles le sont, ne sont pas de ce niveau. Le coût d’enlèvement de leur socle en béton hautement ferraillé n’est pas inférieur à 250 000 € , et encore s’il n’y a pas de pollution par les huiles des éoliennes. Chaque éolienne contient 600 litres d’huiles industrielles dont plusieurs fuites ont été observées. Il suffit de dix litres d’huile pour polluer le sol en milieu naturel et atteindre un taux critique.

L’éolien a cessé d’être prioritaire dans les énergies renouvelables avec les leçons décevantes de l’expérience sur 10 ans. Désormais les taxes et les aides vont décliner avec la réforme intervenue en Europe et en France à partir de 2017.  Les tarifs de démarrage sont ramenés au niveau du marché, très inférieur, ainsi que vient de le confirmer le 20 avril 2017 une délibération de la Commission de Régulation de l’Energie. Bill Gates a confirmé au Financial Times qu’il doublait à 2 milliards ses investissements dans les énergies renouvelables mais qu’il excluait à présent tout investissement dans l’éolien, non efficace et non rentable. Malgré de gros investissements, son ami Warren Buffett a tout juste retrouvé sa mise dans l’éolien grâce à une défiscalisation massive mais avec un déficit industriel de 35%, et des subventions déjà fortement réduites sous Obama qui n’iront pas mieux avec Trump.

La Californie ou Hawaï sont envahis d’éoliennes rouillées abandonnées. L’Ecosse, ou l’Allemagne, figurent parmi les premiers pays face au casse-tête d’assumer une quantité très importante de déchets de pales d’éoliennes dans les dix prochaines années, car les pales ont une durée de vie limitée et deviennent cassantes. Les seuls déchets de plastique de pales d’éoliennes atteignent 225 000 tonnes par an au niveau mondial selon Scottish Natural Heritage et le département spécialisé des systèmes industriels de l’Université d’Iowa USA (2016). Personne n’avait pensé à ce bilan carbone calamiteux.

En fait, les propriétaires ont hérité en pleine propriété des immenses socles en béton implantés dans leur terrain, sans les voir, et sans le savoir. De toutes façons, même si le démantèlement atteint son terme, ce qui est très aléatoire et hypothétique pour de nombreux cas, l’enlèvement du socle béton restera à leur charge, soit 250 000 euros par éolienne. Les baux de location signés par les promoteurs ne le disent pas, la plupart du temps. A la moindre pollution, ce coût sera multiplié par trois. Si le promoteur fait défaillance et disparait, comme malheureusement on le prévoit pour un certain nombre, l’intégralité du coût de démantèlement des éoliennes sera à la charge du propriétaire…et de ses enfants… car alors, il faudra débourser de 650 000 à 850 000 € par éolienne… pour garder son terrain !

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2 réflexions sur « L’EOLIEN: SOLUTION OU PROBLEME? »

  1. Je viens de lire ces 2 articles respectivement du petit rapporteur et de Ludovic Grangeon et je m’interroge…

    La rentabilité des éoliennes serait forcément mauvaise :

    Tout d’abord parce que les pales périssent plus rapidement que prévu, les éoliennes seraient donc définitivement hors d’usage : je ne vois pas ce qui empêche de remplacer les pales quand le mât et la génératrice sont encore en bon état , je change bien les pneus de ma voiture , cela s’appelle de la maintenance.

    Je lis ensuite que quand l’éolienne est hors d’usage, il faut retirer le socle en béton et que c’est à la charge du propriétaire du terrain et non de l’exploitant : je ne vois pas ce qui interdit de placer une nouvelle éolienne sur le socle en béton existant.

    Je lis aussi que le socle en béton peut atteindre 3000 tonnes soit d’après mes calculs avec une densité de 3, 1000 mètres cube, soit une cube de 10 mètres de côté, (il s’agit sans doute d’éoliennes géantes avec des pales de 50 mètres) : je ne vois pas ce qui empêche d’utiliser des blocs de béton amovibles pour lester les éoliennes; on le fait bien pour les grues de chantier de fort tonnage.

    Je lis aussi que les éoliennes perdent de l’huile et polluent : je trouve cela presque risible et je me demande quelle machine comportant des engrenages n’est pas lubrifiée, au demeurant rien n’empêche d’utiliser des huiles naturelles biodégradables, puisqu’il s’agit simplement de lubrifier des pièces à froid, on n’est pas du tout dans la problématique de l’huile de vidange de moteur thermique qui elle pollue vraiment.

    Vient ensuite le couplet sur les petits oiseaux, moi je voudrais bien interdire la circulation automobile, il y a trop de hérissons qui se font écraser… Plus sérieusement les oiseaux causent de gros problèmes aux avions près des aéroports et on sait comment les en éloigner.

    Naturellement on apprend que le nucléaire c’est formidable et en plein essor. Je suis toujours sidéré de constater la fascination que peut représenter le nucléaire sur les gens de droite, il ne faudrait pas oublier que derrière le nucléaire il y a EDF qui est quand même une des plus grosses saloperies collectivistes que le gouvernement provisoire de 1945 ait laissé.

    Quand les poisons crèvent en été dans les cours d’eau asséchés en amont et surchauffés en aval parce qu’EDF pompe trop d’eau pour refroidir ses réacteurs, certains restent muets mais s’inquiètent au contraire pour les petits oiseaux estropiés par les éoliennes.

    Au niveau des gaspillages, certains ont aussi la mémoire courte et ont déjà oublié la gabegie du surgénérateur Superphénix qui devait être refroidi au sodium (potentiellement explosif au contact de l’eau : une pure folie), idem avec Astrid ou encore ITER, ce machin très profitable au BTP et aux marchands de cuivre, qui ne pourra jamais fonctionner car on ne sait pas sustenter magnétiquement un plasma de façon stable dans un tore (tous les physiciens sérieux le savent).

    Moi je n’attends que l’arrivée sur le marché de panneaux solaires et de batteries fiables et pas chers, et alors là : adios EDF, mais je sais déjà qu’un sale oiseau de la politique trouvera le moyen de créer une taxe sur ce moyen d’être indépendant, c’est dans leur nature : vivre avec la sueur et sur le dos d’autrui.

    Et puis lisez l’article paru dans le journal Libération le 17 décembre dernier, je sais c’est de gauche mais ça n’a pas l’air aussi fort pour le nucléaire que certains le disent.

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