Tous les articles par Henri Dumas

A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

Les greffiers des tribunaux

Hier venait devant La Cour d’appel de Montpellier, au civil, l’affaire Theron qui me valut en Décembre 2022, par la grâce de son altesse Bruno Le Maire, une journée de prison en garde à vue, puis une condamnation à supprimer un billet dans lequel je posais de simples questions, et enfin une nouvelle amende de 1 500 €.

Pour mémoire, je vous joins mes conclusions pour cette audience, et celles de Bruno toutes fraîches auxquelles je n’ai pas eu le temps de répondre. Bruno qui noie son manque d’arguments sous une diarrhée épistolaire destinée à cacher que les magistrats sont en réalité sommés de répondre à ses ordres…

Las, l’audience fut brève, les greffiers étaient en grève, les magistrats si dépourvus qu’ils ne purent même pas nous fixer une date de renvoi.

La facture des convocations à venir pour ces renvois, signifiées par huissier ou probablement nulles, va être lourde pour le budget de l’Etat.

Les greffiers en grève, qui l’eut cru ?

Les greffiers, ou plutôt les greffières, je n’ai jamais vu d’homme à ce poste, sont les petites mains de la Justice.

Dans le théâtre que sont les tribunaux elles sont du « côté cour », pendant que le parquet est du « côté jardin ». Elles sont les « courriers » de la justice alors que les procureurs en sont les « jardiniers ». La scène centrale étant l’apanage des magistrats.

Les greffières arrivent les premières, elles plantent le décor. Nul ne se lève à leur entrée sur scène, contrairement à celle des magistrats.

Disons-le, ce sont les seules qui ont un air d’humanité, qui sourient assez facilement, tout le reste des acteurs fait plutôt dans l’humanoïde au visage d’acier.

Ce sont elles que l’on va voir pour leur faire viser nos conclusions, ce sont elles qui sont censées prendre en note le déroulé du procès, qui tiennent les calendriers, les dossiers et je suppose tapent les jugements.

Bref, qui font l’essentiel du boulot.

On apprend soudain qu’elles ne sont pas contentes, elles le font savoir en restant chez elles, et… tout s’arrête. C’est la meilleure de l’année.

Je les trouve géniales, et elles le prouvent.

Regardez ce slogan

N’est-il pas incroyable ?

« FACE AU MÉPRIS, LA COLÈRE »

N’est-ce pas le même que nous devrions aller mettre sous le nez de Bruno ? Sans faire grève évidemment puisque la grève de l’impôt est formellement interdite contrairement à ce que laisse supposer notre constitution à travers les articles 14 et 15 de La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen.

Ces greffières se doutent-elles que le « mépris » qu’elles ressentent à leur encontre n’est même pas le millième de celui que subissent de la part de Bercy les déclarés, ou soupçonnés, « fraudeurs fiscaux », c’est à dire en gros tous les contribuables, tous les Français.

Bien sûr que non. Pas plus que nous ressentions le mépris qui les fait souffrir.

Le mépris est la chose la plus abondante dans notre société de vanités, de privilèges, de cynisme.

Amitiés et courage aux greffières et aux greffiers en grève.

Bien à vous. H. Dumas.

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Quel est l’ennemi, pourquoi résister et comment ?

Inutile de ressasser que rien ne va, chacun dans son espace de vie professionnel ou personnel le constate chaque jour.

Inutile de rejeter la faute sur les différents boucs émissaires qui nous sont abondamment proposés. Tout cela ne fait qu’empirer la situation, alimenter la machine qui nous broie.

Ce qui nous tue c’est l’irrationnel, ce sont les croyances multiples et croisées qui nous animent, auxquelles nul n’échappe, toutes assises sur le rêve et construites à partir de mensonges décrétés vérités.

Où tout se complique c’est que nous sommes victimes de croyances collectives et que la résistance à ces mensonges ne peut-être qu’individuelle.

Que nos croyances soient religieuses, morales, matérielles, philosophiques ou pragmatiques, elles nous amènent toutes au même résultat : un regroupement catégoriel qui rêve d’en découdre.

Notre organisation démocratique exacerbe la situation.

Ici les miroirs aux alouettes qui nous embarquent s’appellent mathématique, algorithme, technologie, communication, sondages. Ce sont eux qui crédibilisent ces croyances frontalement opposées, mortifères.

Sous des apparences de modernité, de progrès intellectuel, nous revenons aux plus primitives réactions de notre condition humaine.

Les croyances qui nous tuent atteignent des profondeurs de bêtise abyssales.

Mais dans sa tête et dans son cœur personne n’est dupe, chacun de nous sait. Il sait qu’il s’est acoquiné avec un des groupes de menteurs, qu’ainsi il participe à la ruine de notre société, de notre nation. Et cela à tous les niveaux, en bas où je suis, ou tout en haut chez ceux qui se disent nos élites.

Hélas, isolé, celui qui résiste est vite montré du doigt, stigmatisé, finalement éliminé mécaniquement.

Alors que faire, broyés dans cette pantomime, transformés en granulés d’engrais pour guerre, quand toute résistance est suicidaire donc inutile ?

Que faire pour revenir à la forme salvatrice de la priorité à l’individu, à sa liberté, ses responsabilités, ses compétences, ses limites, sa réalité ?

Il faut disparaître.

Par essence la résistance est occulte, c’est sa seule solution pour se construire, prendre des forces, puis terrasser l’ennemi.

J’ai longtemps cru que la lutte pouvait être ouverte, j’ai cru au pire des mensonges, à l’idée que la justice était libre et l’arbitre impartial de notre organisation humaine. Quelle erreur.

J’en ai payé le prix.

Donc aujourd’hui, alors que l’individu doit être remis au centre du jeu, que son honneur, ses perceptions naturelles face au mérite, au bien et au mal, son acceptation des conséquences de ses actes, doivent être la base de la réorganisation de notre nation, cela ne peut-être mis en œuvre que par l’entrée dans la discrétion, la clandestinité.

Allons-y.

Comment ? Aucune idée.

Bien à vous. H. Dumas.

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J’accuse le Ministre Le Maire et son factotum Fournel de meurtre à mon encontre et de génocide à l’encontre des Français.

J’ai eu 79 ans en août, je vais sur mes 80 ans.

Le 5 septembre 2023, c’est-à-dire avant-hier, devant La Cour d’Appel de Douai j’ai été achevé par Le Maire et Fournel.

Depuis vingt ans la bande de pillards qu’ils dirigent aujourd’hui, tue, harcèle, terrorise, torture, le français ordinaire que je suis et tous mes frères de misère.

Qu’ils aient, comme les hutus au Rwanda, les Turcs face aux Kurdes ou encore les Azerbaïdjanais face aux Arméniens, une majorité dans notre pays pour piller ceux qui prennent des risques et produisent ne change rien à la chose.

Mes vingt ans de résistance face à ces sauvages m’ont tué. Je suis gravement cardiaque, sans aucune possibilité de repos, de vivre la retraite que mon travail et les risques que j’ai pris dans ma vie, tout en servant mon pays et en luttant contre la corruption, auraient dû m’autoriser.

Il est deux heures du matin, ceci est mon testament pour le cas où l’épuisement aurait raison de moi.

Voici les conclusions que je croyais pouvoir défendre à Douai : LIEN

La situation est la suivante

Le 22 novembre 2022, M. Théron, contribuable du Nord, père de deux enfants, vide grenier de son état, s’est suicidé à Bullecourt.

Il faisait face à une attaque des sbires de Le Maire, il a eu le tort évident d’en assassiner un, puis le tort tout aussi évident de se donner la mort.

Je n’ai pas approuvé et je n’approuve toujours pas ces deux morts. Je les trouve inutiles et graves de conséquence pour notre pays.

J’ai posé deux questions :

  • Théron se croyait-il en état de légitime défense ?
  • Peut-on considérer qu’il a été poussé au suicide par M. Le Maire en tant que ministre de la Milice fiscale ?

J’ai récolté un jour de cellule en garde à vue, puis les condamnations habituelles de ceux qui se risquent à émettre un avis sur la terreur fiscale, quelques milliers d’Euros de plus à rajouter à ceux que m’ont valu mon engagement de résistant face à la terreur fiscale.

Le procureur de La République d’Arras a, comme il en avait l’ordre, classé le dossier Théron le 11 Juillet 2023, tout en affirmant : « Il avait un ressenti fort contre l’administration fiscale et en réalité, il n’a pas supporté ce deuxième contrôle. Il a toujours estimé être dans son bon droit. L’administration fiscale lui avait demandé de modifier la façon dont il déclarait son activité »

Je souhaiterais qu’un érudit me dise la différence qu’il y a entre les questions que je posais et ce ressenti repris dans la presse, non suivi d’enquête éclaircissant les faits, de M. Le Procureur de La République ?

En ce qui me concerne

Poursuivi a un rythme effréné devant le TJ d’Arras dépendant de la Cour d’Appel de Douai pour diffamation par Fournel, et son copain sur place, alors que je demandais simplement que la justice effectue son travail, tout son travail, pour que nous sachions tout des raisons de ces crimes catastrophiques, j’espérais le 5 septembre être entendu.

Je me disais : « Les gens du Nord sont des gens bien, sérieux, travailleurs, justes, ils ont vu tant de guerres, tant de morts, tant de misère… »

Il faut savoir qu’en terme de diffamation la loi prévoit une prescription à trois mois. C’est raisonnable, quel intérêt y aurait-il à poursuivre des écrits datant de plusieurs années — au rythme de notre justice — quand on connait l’éphémère de l’information, de la pensée commune ?

Or, cité par Fournel le 2 mars 2023 pour une audience de consignation le 16 mai 2023, puis jugé et condamné sur le siège au TJ d’Arras le 27 juin 2023, j’ai fait appel le même jour.

Le 21 août un huissier me signifiait une convocation pour le 5 septembre devant la 6ème chambre de la CA de Douai.

Tout était dans les délais des trois mois. Le sérieux que j’imaginais était bien là. C’est donc avec application que je préparais mes conclusions, espérant follement être enfin entendu par la justice de mon pays….

Le 4 septembre au soir, tout s’effondre.

J’apprends que le 5 septembre ne sera pas une audience de plaidoirie, que l’affaire sera repoussée. Je m’oppose, dans un rajout à la hâte dans mes conclusions, à ce report.

Peine perdue, l’’affaire sera entendue le 20 février 2024… Serais-je encore là ?

Que dire, sinon que le magistrat qui présidait l’audience est un homme d’un certain âge, qui a de l’expérience.

Découvrait-il vraiment le dossier tel qu’il en a fait mine ? Était-il sincère lorsqu’il m’a demandé si j’avais un avocat ? Ne sait-il pas que les avocats ne se frottent pas au fisc dont ils connaissent les vengeances ?

Que dois-je penser du fait qu’il ait largement moqué mes conclusions, les prétendant comparables à des vraies, d’avocat, parfaitement imitées ? Était-ce une expression suffisante de l’élite qui se prétend unique, seule capable d’exposer les conflits et de rendre la justice, cette élite qui nous a tout simplement retiré le droit constitutionnel de nous défendre, en réservant le monopole aux avocats ? Ou une gentillesse ?

Je n’en sais rien.

Ce que je sais c’est que le temps de ma vie, depuis vingt ans s’est arrêté, que la justice s’en fout éperdument, elle sert et couvre la terreur fiscale.

Comment dans ces conditions dire aux français, face au pillage dont ils sont les victimes, perpétrés par des fous qui ont amené ce pays à la ruine, à la faillite que tout le monde devra payer, notamment les plus humbles qui croient tirer profit du pillage, que l’on trompe, que la justice trompe, comment leur dire qu’ils doivent réagir, prendre conscience de cette situation, qu’ils doivent se débarrasser de toute cette engeance prétentieuse, donneuse de leçon… qui ne vaut rien, qui est incapable de faire autre chose que de lever l’impôt jusqu’à la mort des contribuables, de l’économie du pays ?

Je compte sur vous pour aller au bout du combat, si la vie me lâche par usure prématurée liée au harcèlement fiscal, tout comme si mon corps résiste vous pouvez compter sur moi.

Le jour de la faillite et des explications approche à grands pas.

Bien à vous. H. Dumas

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Internet et mensonges

Nous vivons dans le mensonge. Le monde vivant en abuse constamment.

Le chat qui hérisse ses poils pour faire croire au chien qu’il est plus gros qu’il n’est, le chien qui aboie pour faire croire qu’il est courageux, le caméléon qui se dissimule en branche, le paon qui expose sa magnificence inexistante en faisant la roue, l’arothron qui double son volume au fond des océans pour en imposer, etc… tous sont de gros menteurs.

Et pourtant, il leur manque le langage… Parce qu’alors là, c’est le pompon…il n’y a plus de limite.

Donc tous, muets et loquaces, mentent. Ils pensent en tirer un avantage immédiat et c’est souvent le cas. Ils oublient les complications inévitables lorsque le mensonge est découvert.

Là-dessus arrive internet.

La possibilité de dire tout et n’importe quoi, anonymement, de façon illimitée en temps et en lieu. Du jamais vu.

Cette abondance affole les menteurs professionnels. Chacun sait que l’abondance dévalue. Le mensonge n’échappe pas à la règle.

Les milliards de mensonges qui se pavanent sur le net perturbent gravement la crédibilité de ceux de nos professionnels, politiques, affairistes, prédicateurs, moralistes, journalistes, hommes de l’Etat, etc…

Considérons, contrairement à eux, que c’est un bon point.

Mais qu’en est-il de la vérité ?

Pas grand-chose. Douter du mensonge, en percevoir l’inanité et la multiplicité, ne donne pas pour autant les clefs de la vérité. Tant de doute accompagne la découverte de l’énormité du mensonge que la vérité derrière peine à se rendre crédible.

La vérité ne prend pas automatiquement la place du mensonge découvert.

Donc si internet découvre, telle la marée basse au Mont Saint Michel, les herbiers foisonnant du mensonge, la vérité reste cachée, difficile à débusquer.

Je n’irai pas jusqu’à dire, en complicité avec les chasseurs, que la vérité est comme la bécasse, un rêve que l’on caresse mais que peu d’initiés rencontrent, d’abord parce que je ne chasse plus, et ensuite parce que j’ai trop de respect pour la bécasse pour lui faire vivre les affres de la vérité.

Internet, insecticide du moustique mensonge, va-t-il devenir le révélateur de la vérité ?

Objectivement je ne le pense pas.

Cependant, l’entrainement accéléré de l’exposition au mensonge par internet devrait quand même avoir une espèce d’effet vaccin, qui nous immuniserait.

Une fois déniaisé face au mensonge, convenons de partir à la recherche de la vérité.

Le principe :

Admettons que, comme notre fausse monnaie, le mensonge reproduit à l’infini se dévalorise, s’effondre. Il ne resterait que la vérité, alors elle ne serait donc pas difficile à reconnaître, puisqu’elle serait seule.

La contrainte :

La plupart du temps le mensonge est séduisant, la vérité peu engageante.

Une vie constituée uniquement de vérité serait-elle vivable ? Rien n’est moins sûr. Convenons qu’il s’agit ici d’un sacré problème.

La vérité est terrible, la vérité c’est la mort, le néant. Elle n’a de charme qu’en compagnie du mensonge qui la valorise. Elle n’est belle qu’absente, fantasmée. On meurt pour elle, pour rien. C’est ce que m’a enseigné mon combat contre les mensonges du fisc. Où va se nicher la philosophie ?…

Le mensonge est indispensable à la vie, sans lui elle n’est pas possible, puisque la vie est le mensonge, ramenée à l’univers pour qui la vérité, jusqu’à ce jour, est le néant.

On ne sort pas de cette impasse, la vérité nous est nécessaire, elle est notre graal, mais elle n’existe pas sans le mensonge.

Conclusion

Il y a peu de chance qu’internet exerce une influence sur le tandem mensonge-vérité qui s’appelle donc plus simplement :  la vie.

C’est pourquoi il faut regarder avec curiosité et indulgence les soubresauts des menteurs qui se croient débusqués par internet et des amateurs de vérité qui en attendent sans doute beaucoup trop.

Bien à vous. H. Dumas

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Le Weekend de la liberté.

Chaque année avec une constance qui ébranle les plus optimistes, Patrick De Casanove organise à DAX une manifestation ouverte, libérale, absolument pas sectaire bien au contraire, où l’on prend du plaisir à apprendre, à réfléchir, si ce n’est à agir… où tout le monde est bienvenu.

Mais au fait, l’action libérale n’est-elle pas simplement une attitude, un comportement ?… Peut-elle supporter les coercitions de tout Etat, de toute contrainte de groupe ?

Voici le programme de ce douzième Weekend de la liberté

Programme WEL12

Du vendredi 10 novembre 2023 à 12h au dimanche 12 novembre 2023 à 12h30

Hôtel Sourcéo à Saint-Paul-Lès-Dax

« Liberté économique, liberté politique »

Avec le concours de :

(Par ordre alphabétique)

L’ALEPS, Contrepoints, l’Institut Coppet, l’IREF,

Vendredi 10 novembre :

12h buffet

13h30 Conférence : « Pourquoi la fausse monnaie des banques centrales nous rend esclaves » par Damien Theillier

15h pause café, Foire au Livre

16h Conférence : « Monnaie saine et production d’énergie. » par Vincent Ginocchio

17h30 Pause, Foire au Livre

18h Conférence : « Libre-arbitre et bien commun » par .Jean-Philippe Delsol.

19h30 Apéritif d’accueil

20h dîner

21h Dîner débat « Découper la liberté c’est la perdre » par Stéphane Geyres.

Samedi 11 novembre :

9h Conférence : « Libéralisme, pourquoi tant de haine » par Serge Schweitzer.

10h30 Pause café, Foire au Livre

11h Conférence : « La liberté politique, parmi tant de définitions de liberté. » par Finn Andreen

12h30 Pause café, Foire au Livre

13h Buffet

14h Conférence : « La liberté économique, condition de la liberté éducative » par Lisa Kamen-Hirsig …

15h30 Pause café, Foire au Livre

16h Conférence : « Les entreprises privées portent et incarnent des visions du monde concurrentes » par Olivier Méresse.

17h30 Communication « Le point de vue de l’entreprise » par Claude Goudron.

18h Pause café, Foire au Livre

19h30 Apéritif d’accueil

20h dîner

21h Dîner débat : « Pourquoi nous avons besoin de liberté économique… » par Kevin Brooks

Dimanche 12 novembre : WEL11

9h Conférence : « Théorie et justification du profit dans un régime de liberté économique. » par Renaud Fillieule.

10h30 Pause café, Foire au Livre

11h Conférence : « Liberté politique, liberté économique, un désastre français » par Patrick de Casanove, Président du Cercle Frédéric Bastiat.

12h30 Buffet final

À la manœuvre :

Organisateur : Cercle Frédéric Bastiat

Modérateurs : Patrick de Casanove, Damien Theillier

Vidéo : Patrick de Casanove, Lydéric Dussans

Réseaux sociaux, web : Lydéric Dussans, Marc Lassort, LG Stratégie

Le nombre de places est limitée, pour vous inscrire :

Philippe de Berne Lagarde

Trésorier du Cercle Frédéric Bastiat

359 chemin d’Elizaberry

64990 Mouguerre

Peut-être au plaisir de se rencontrer là-bas.

Bien à vous. H. Dumas

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La logique et la norme

Voilà deux mots qui ont déjà fait beaucoup parler et écrire, depuis des siècles.

La norme aujourd’hui serait, pour pouvoir en parler légitimement, de d’abord être capable, par ses propres connaissances ou en pompant sur Wikipédia, de réciter tout ce qui a été dit sur le sujet.

La logique serait de ne pas en parler pour ne pas s’exposer aux ricanements des déclarés sachants.

Et pourtant, je vais vous dire ce que j’en comprends, ce que j’en ressens.

Dans mon esprit la logique est universelle, elle prend naissance avec l’action, matérielle ou intellectuelle, elle évolue pendant le développement de l’action, puis elle s’impose quoiqu’il arrive.

Elle est en tout, tout la perçoit. C’est elle qui fait que les hommes sont tous égaux, ils sont égaux face à elle.

On va m’opposer qu’elle est culturelle, que chacun à la sienne en fonction de ses croyances, de ses situations, je dirais que c’est justement ce qui fait son universalité. Car elle reste unique et prévisible par l’observateur impartial quel que soit son environnement. Là, procès en présomption… ou en confusion : n’est-ce pas soudain de la norme dont on parle ?

Oui et non, la norme est évidemment culturelle, mais ce n’est pas ce qui la différencie de la logique. Ce qui la différencie c’est que c’est l’homme qui l’impose par ses règles écrites ou morales, qu’elle est figée et n’évolue pas avec le déroulement des évènements, qu’elle n’accepte pas la transgression.

La logique est universelle, la norme est ponctuelle.

Elles sont ennemies. Elles se haïssent, elles s’étripent.

La première tue irrémédiablement la seconde, elle est incorruptible puisqu’universelle, indépendante des hommes, pendant que la seconde qui leur doit tout est au contraire corruptible à l’infini.

Et pourtant la norme se croit nettement supérieure à la logique. Vanité des vanités… C’est ce qui la perd et avec elle ceux qui l’idolâtrent.

La bureaucratie est la ruche productive de la norme.

Elle se moque de la logique, elle châtie violemment toute transgression, elle répond aux échecs logiques de la norme par plus de norme.

La Justice en France est la gardienne de la norme, l’ennemie de la logique, ce qui est paradoxal quand on sait combien les magistrats se prétendent d’une logique implacable, alors qu’ils en sont à l’opposé tous les jours.

Oui, mais.

On va aussi m’opposer que ceux qui ne sont pas logiques ont heureusement la norme comme guide suprême, je voulais dire minimum, j’ai dérapé…

Je ne suis pas d’accord pour entuber à coup de normes ceux qui ne discernent pas toujours la logique, car nous sommes tous exposés à cette situation.

Lorsque sur un sujet la logique nous échappe, il serait préférable que ceux qui la voient nous conseillent, plutôt que de subir de la part d’aigrefins profiteurs leurs normes.

Je veux dire à tous ceux qui lisent ce blog, et aux autres mais… que la logique est toujours accessible. Il suffit d’un peu de modestie, de beaucoup de doute et d’échanges, avec de l’empathie, de la sincérité, du cœur, du courage, la logique vous apparaitra en tout, même dans les domaines où vous devrez d’abord vaincre votre ignorance. Nul n’est tenu d’être compétant en tout, or il est impossible de détecter la logique si l’on est incompétent.

La norme et la logique s’étripent en Ukraine, ce n’est pas loin. Elles sont ici, chez nous, en violente discussion, elles en viennent déjà presqu’aux mains, la contagion est réellement à craindre.

En ce qui me concerne la norme de la pensée fiscale m’a englouti, cette norme fiscale va engloutir sous peu notre pays, je n’en tire aucune satisfaction, la connerie n’est jamais positive… La logique fiscale n’est pas pour demain, c’est dommage.

Bien à vous. H. Dumas

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Le nombril est le centre du monde

Il y a huit milliards de centres du monde sur cette terre. Chacun vit un temps personnel dans un espace personnel, puis disparaît. Sans compter ceux de nos amis mammifères comme nous, avec qui nous partageons nombrils et planète.

Nous sommes le plus gros contingent de nombrils, bien que peu de chose par rapport au total auquel il faudrait objectivement ajouter tous les nombrils virtuels de ceux qui n’en ont pas.

Tous ces centres du monde, égaux à ce titre, ont-ils réellement les moyens de penser à autre chose qu’à eux s’ils veulent rester vivants ?

Que pensent-ils des autres, de tous les autres ?

Que pensent-ils de la croissance et de la décroissance ? De l’infiniment grand et de l’infiniment petit ?

On entrevoit la simplicité et la complexité croisées du problème.

Les pensées d’un nombril, le nôtre par exemple, sont relativement simples, assez peu soucieuses de celles des nombrils voisins. Ce qui, ramené aux Xn nombre de nombrils, génère une complexité effrayante.

Un nombril chef, assisté d’une foultitude de nombrils sous-chefs, peuvent-ils réguler cette complexité ? Aligner et normaliser les nombrils ?

En ce qui me concerne la réponse est non.

Alors que faire ?

Je préconise simplement de laisser chaque nombril vivre sa vie, de la respecter pour ce qu’elle est : la vie naturellement complexe et difficile d’un nombril du monde.

Aujourd’hui, je vais profiter de la canicule pour faire bronzer le mien.

Bien à vous. H. Dumas.

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Notaires et Fisc unis dans l’établissement de la terreur fiscale.

Une mise au point s’impose. Je n’ai aucune haine contre les notaires, j’avais même en eux une confiance totale et une estime réelle. J’ai eu des amis notaires auxquels je tenais beaucoup, hélas aujourd’hui décédés.

Globalement les notaires ont été des confidents fiables protégeant les secrets familiaux, sans lesquels il n’y a pas de famille. Aussi des professionnels attentifs aux transmissions des biens générations après générations. Enfin les témoins assermentés des contrats essentiels de la vie.

Ces fonctions fondamentales justifiaient leurs émoluments importants et proportionnels, assez peu critiquées par leur clientèle bien qu’ayant peu d’équivalant ailleurs dans le monde.

Evidemment cette profession, comme toutes les professions, n’a pas manqué d’abriter quelques indélicats, mais c’était objectivement à la marge et sans effet sur le réel apport bénéfique de ce métier sur la stabilité et la conservation de la propriété sous toutes ses formes.

Mais tout cela est du passé. Aujourd’hui le notaire, tel Faust, a vendu son âme au Diable. Le Diable c’est le fisc.

Dans sa folie totalitaire le fisc ne tolère aucun secret, sauf ceux de sa propre maison, des hommes de l’Etat et de leurs serviteurs. C’est quand même pas mal comme exception…

Les secrets des familles, pour le fisc, n’ont pas lieu d’être. Par ailleurs les notaires, fragiles puisque dépendants de leur monopole, interdits de publicité et d’actes de commerce, doivent leur statut et leurs revenus à la loi. Et la loi, c’est la traduction de la force, et la force c’est le fisc… la boucle est bouclée.

Les faits rapportés.

Je vais vous conter un exemple réel mais non situé, parce qu’il implique des personnes de bonne foi qui n’ont pas une conscience globale de leurs actes et pensent agir conformément à la loi et à la morale, que pour ces motifs je ne souhaite pas dénoncer ici maintenant.

Imaginez une société disposant d’une dizaine de biens immobiliers.

Le Fisc émet contre cette société une nième facture indue immédiatement contestée. Contestation qui va éviter l’inutile recours au Tribunal Administratif, qui n’est qu’une pantalonnade, pour être introduite sous la forme d’une citation directe pour concussion devant le Tribunal correctionnel.

La contestation n’impressionne pas le fisc, qui s’en fout éperdument et poursuit le recouvrement de cette somme indue.

Pour cela le fisc prend une hypothèque sur un des biens de la société. Ce bien couvre la possibilité de garantie du fisc puisqu’il représente plus du double de la fausse créance augmenté du tiers. Article 2439 du CC : « Sont réputées excessives les inscriptions qui grèvent plusieurs immeubles lorsque la valeur d’un seul ou de quelques-uns d’entre eux excède une somme égale au double du montant des créances en capital et accessoires légaux, augmenté du tiers de ce montant. »

Donc, pendant toute la durée de la contestation de la facture fiscale indue, la société se trouve paralysée dans le cadre de la vente du lot hypothéqué, mais libre de vente pour les autres lots.

C’est dans ces conditions que la société vend un autre lot.

Et là, le ou les notaires chargés de la vente vont se sentir obligés, uniquement par la pression morale que leur colle le Fics, d’avertir le Fisc de la vente et de lui demander l’autorisation de la concrétiser !!!

Ainsi le Fisc, bien qu’ayant une garantie légalement suffisante, au-delà de laquelle il y aurait de sa part un abus de prise de garantie sanctionnable par la loi, se retrouve de facto, par le questionnement inutile du notaire, dans la position illégale d’une garantie globale sur tout le stock de la société.

Le ou les notaires prétendent agir pour le bien de l’acquéreur, alors qu’il n’en n’est rien.

En revanche, le fruit de la vente ne sera pas versé au vendeur. Il sera, par cette intrigue illégale, saisi directement par le Fisc chez le notaire le jour de la vente.

Donc, notaires et Fisc, de la façon la plus illégale qui soit paralysent la trésorerie d’une société, donc sa vie, par le biais d’une association malsaine, aboutissant à une illégalité évidente de garantie démesurée.

Cette illégalité est la traduction de la terreur fiscale, puisqu’il s’agit de contraindre violemment, donc par la force, dans le cadre d’une créance contestée et objectivement inexistante, dont nous reparlerons. Mais le résultat serait le même si la créance était réelle, le temps nécessaire au droit de contestation serait ainsi refusé au contribuable dans le cadre de l’alliance objective du Fisc et des notaires.

Conclusion

La terreur fiscale, son installation à travers la trahison imposée aux agents de confiance de notre vie : notaires, banquiers, avocats, médecins, etc… n’est pas une vue de l’esprit.

C’est un fait, certes très difficile à percevoir et à démontrer, mais réel.

La trahison a couté sa tête à Louis XVI, les concernés devraient s’en rappeler…

Bien à vous. H. Dumas

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Le QI de la France

Émile Servan-Schreiber rapporte sur Arte une étude réalisée aux Etats-Unis sur le QI des groupes.

Nous avions ici déjà posé la question concernant les désordres psychologiques collectifs, notamment sur leur indépendance par rapport aux psychologies individuelles des membres du groupe concerné. En clair, notre question était : la folie actuelle de la France peut-elle durablement marquer individuellement les Français, en sont-ils les responsables ?

Nous étions restés au questionnement, les compétences de ce blog ne permettant pas de répondre à ce type de problématique.

Aussi mon intérêt a-t-il été fortement attiré par l’étude rapportée, de façon claire et compétente, par M. Émile Servan-Schreiber.

Que dit cette étude ?

Que le QI d’un groupe n’est lié ni à la somme des QI du groupe, ni à la présence de QI exceptionnels ou supérieurs dans le groupe.

Que le QI dépend directement de l’intensité des communications à l’intérieur du groupe.

Que la présence de femmes augmente le QI du fait de leurs facultés à communiquer, à écouter, qui favorisent la communication.

Je crois aux conclusions de cette étude.

Personne ne peut nier que la communication impose la sincérité et la vérité dans les échanges. Sans cela la communication s’appelle publicité, propagande, ou autres, elle usurpe alors l’idée de communication telle qu’elle est entendue dans l’étude qui nous intéresse.

Nous pouvons sans doute ajouter, sans grand risque de nous tromper, que si la bonne communication augmente le QI du groupe, la fausse communication le diminue fatalement.

La France

Ce groupe pratique, à tous les niveaux, la fausse information, la communication tronquée, falsifiée, censurée, en réalité la désinformation.

Ce groupe France est partagé en deux parties, l’une les fonctionnaires détenteurs de la vérité, l’autre les simples quidams réputés fraudeurs et menteurs dont les informations ne sont jamais prises en compte.

Dans les faits la vérité n’est jamais recherchée, nulle part, même pas devant la justice, et surtout pas devant les électeurs.

De ce fait, entre eux, les Français ne communiquent pas, ils se contentent de s’invectiver.

Prévoyante la loi sur la presse a été modifiée pour sanctionner particulièrement toute vérité qui viendrait contrarier celle des fonctionnaires protégés et se considérant comme diffamés dès qu’ils sont décrits tels qu’ils sont, c’est-à-dire des pillards vivant de leurs pillages sur le dos de ceux qu’ils musèlent.

Conclusion

La France fait partie des groupes où la communication est impossible, où la vérité n’étant jamais mise sur la table la communication n’existe carrément pas.

Donc, le QI du groupe France est probablement l’un des pires du monde occidental.

Qu’en est-il du QI de chaque Français ?

Aucun problème si l’on suit les conclusion de l’étude qui nous intéresse, puisque si les QI individuels n’impactent pas le QI de groupe, l’inverse coule de source.

Il est donc bon de savoir, étude scientifique en main, que les conneries actuelles de la France n’impactent pas notre capacité personnelle de réflexion.

Il nous suffit donc de communiquer entre nous, pour cela d’éradiquer le mensonge, de retrouver la sincérité, et notre QI de groupe va remonter.

Rien n’est perdu.

De notre côté, ici, nous communiquons sincèrement et sans mensonge. Hélas nous avons peu de lecteurs et nous sommes traqués par les menteurs qui rêvent de notre disparition.

Une situation qui pourrait paraître désespérante. Mais qui, en se référant à cette étude et aux propos de M. Émile Servan-Schreiber, ne l’est finalement pas du tout.

Il nous suffit d’être patients….

Le premier qui verra le bout, ou le signe d’une évolution favorable, criera « terre »… on comprendra.

Bien à vous. H. Dumas

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Ces inutiles pouvoirs semeurs de guerre.

Le pouvoir est la capacité de décider. Il est étroitement lié à la recherche de la vérité sans laquelle il court le risque de se tromper.

C’est pourquoi, comme la vérité, il ne peut pas être universel. Il est au contraire ponctuel et doit être confié au plus apte à chaque décision.

En clair il appartient à chacun. Le déléguer est dangereux et la plupart du temps inapproprié.

Pourtant, lorsqu’une action suppose un regroupement sans lequel elle ne pourrait pas exister, il faut bien que le groupe constitué confie le pouvoir, qui ne peut jamais être multiple sous peine d’inefficacité.

Le pouvoir implique enfin la responsabilité du résultat des décisions qu’il prend, ce qui n’est pas une mince affaire.

Pour toutes ces raisons le pouvoir ne peut-être que ponctuel et de la responsabilité de chacun.

Pour toutes ces raisons aussi le plus grand nombre cherche à ne pas avoir à s’exposer à la difficulté extrême de rechercher en chaque situation la vérité, pour ensuite décider, et in fine assumer les conséquences de ses décisions.

C’est là que surgissent les escrocs qui se prétendent capables de décider en tout et pour tous. Ils sont là probablement depuis les temps immémoriaux de l’apparition de ces drôles d’animaux que sont les humains.

Nous sommes donc sollicités par pléthore de « charlots » qui nous proposent, ou nous imposent, leurs pouvoirs inutiles pour décider à notre place. Ils disposent de toute une panoplie de combines attractives pour nous vendre leurs salades.

Cela va du Dieu qui les conseillerait et aurait tout prévu, jusqu’à l’utopie de la garantie de leur compétence certifiée par un cachet éducatif délivré par un organisme approprié ou tout simplement par la masse de ceux qui se disent leurs copains. Enfin en dernier ou premier ressort ils ont les fusils.

Nous arrivons à l’intrigue mortelle.

L’économie, espace où le pouvoir est particulièrement inutile puisque ses moteurs devraient être la concurrence et les consommateurs, donc la séduction émotion inutile voire contraire au pouvoir. Pourtant, certains acteurs économiques cherchent constamment la stabilité et la croissance par le pouvoir, ce qui est le summum de la tricherie économique, de la corruption.

L’humanisme, qui inclut l’empathie et la charité, est aussi un espace où le pouvoir n’a pas lieu de s’exercer. Chacun de nous est dépendant des autres et leur doit personnellement assistance sous peine de se retrouver seul, donc impuissant, face aux nécessités des actions collectives qu’implique la fragilité naturelle des hommes. Pourtant, là aussi, des indélicats proposent de se substituer à la conscience de chacun pour redistribuer mathématiquement l’égalité , qui n’est qu’une aspiration, donc une pensée non divisible. Ils n’aboutissent qu’à un pillage institutionnel, sur lequel ils se servent d’abord pour n’en redistribuer qu’une infime partie, inférieure à ce qu’aurait été la redistribution naturelle individuelle.

La guerre.

Nous y voilà.

Le pouvoir ne se partage pas. Ceux qui revendiquent celui que leur conférerait la maîtrise de l’égalité haïssent ceux qui prétendent tenir le leur de l’économie, et réciproquement.

Ils se sont déclarés la guerre par procuration en Ukraine. Ils y miment un conflit d’occupation, ils y engagent en réalité une guerre totale entre les deux pouvoirs précités, qui a vocation à embraser la planète entière.

La guerre va être totale, jusqu’au risque de l’éradication du fragile animal humain.

Nous n’y pouvons rien, la séduction des escrocs sur les masses dépasse, et de loin, toute raison impliquant responsabilité et action individuelle.

La liberté individuelle va encore agonir sous nos yeux avant sans doute de revivre, puisqu’elle est la seule solution pour que naisse et prospère la vie.

Bien à vous. H. Dumas

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Le jugement de la 17ème, drame de Bullecourt

Je reçois à l’instant le jugement issu du délibéré rendu le 28/03/2023 par la 17ème Chambre Correctionnelle du TJ de Paris, la Chambre des délits de presse.

Je vous le communique immédiatement : LE LIEN

Objectivement, ce jugement représente beaucoup de travail, il a des points positifs.

Notamment, il refuse la dynamique corporatiste qui voyait l’Agent Judiciaire de l’Etat se poser en représentant clanique des fonctionnaires de Bercy. C’est bien.

Par contre, et cela justifie mon appel, le paragraphe ci-dessous est une contorsion limite pour transformer mes dires :

Le mot “justifiable” est ici employé à charge sans raison.

Une explication de texte de mes écrits aurait dû amener les juges à utiliser le mot “explicable” et non le mot justifiable. Expliquer n’est pas cautionner mais permet de comprendre, donc de pouvoir émettre ensuite un avis impartial.

En effet, j’accuse l’impôt indu de violence mortelle, mais je respecte l’impôt en général dont tout le monde comprend la nécessité. Cela est très clair dans ma tête et dans mes écrits.

Donc, à l’issue de ce travail important, si les juges avaient employé le mot juste : “explicable”, ils seraient entrés en voie de relaxe… Tout le problème est là.

Tout se joue dans la fabrication artificielle du banni, du “fraudeur fiscal”.

Fabrication dont Bercy, la presse et la justice sont les responsables conjoints, encouragés par l’opinion publique et ses intérêts mercantiles, sa dépendance aux cadeaux politiques, le tout nous précipitant vers la faillite et la misère.

Tout cela nous vaudra une guerre, déjà en cours, pour cacher la vérité à une population consentante.

C’est très grave. Nous développerons ces points en appel.

Bien à vous.  H. Dumas

 

 

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Les extrêmes s’emparent du pouvoir, et ce n’est pas nouveau…

L’extrême gauche est aux manettes dans la magistrature et dans la police fiscale, l’extrême droite dans la police nationale. Ce n’est pas rien.

Ces deux extrêmes partagent énormément de points communs.

Ils sont contre le capital et la propriété privée, ils sont sectaires et favorisent ceux qui pensent comme eux au détriment de ceux qui voudraient penser librement.

Ils sont violents, l’un dans les prétoires d’où il embastille et condamne à qui mieux mieux, l’autre dans la rue où il se défoule à coups de matraque.

Ils terrorisent le pouvoir politique, qui est directement sous les menaces du premier, qui est effrayé par l’idée d’un manque éventuel de la protection du second.

Les deux n’aiment rien moins que s’occuper des affaires des autres, en les espionnant, les jugeant et les condamnant, au mépris de toutes les libertés individuelles constitutionnelles.

Les deux mentent effrontément, en bénéficiant d’une impunité totale. Celui qui dévoile leurs mensonges subit leurs foudres.

Les deux pourraient très facilement se rejoindre et nous concocter un régime type Corée du Nord ou Venezuela.

Comment en est-on arrivé là ? Pas par hasard.

Chacun de ces extrêmes est issu d’une pensée perverse, dont l’absence de réalité a entrainé son imposition par la force, qui est leur point commun. Tout deux possèdent la légitimité de la force.

Tous deux sont issus, chez nous comme souvent ailleurs, de l’idée absconse d’égalitarisme.

Il tombe sous le sens qu’à partir de cette croyance, totalement irréaliste, la force est le seul outil qui peut faire croire à la possibilité d’un résultat. Plus ce résultat s’éloigne, et c’est inévitablement le cas, plus la force s’impose, jusqu’à devenir nécessairement aveugle.

Peut-on sortir de cette situation par l’intelligence, par la discussion, par la démocratie ? Non.

La puissance de la magistrature, du fisc et de la police est illimitée, seule l’armée est plus puissante mais, Dieu soit loué, elle est légaliste et a d’autres chats à préparer et à fouetter dans l’immédiat. La guerre pour elle c’est demain.

La guerre, parlons-en.

Cet espace humainement catastrophique, n’est pas propice à l’égalitarisme. S’il déchaine la violence au plus haut niveau, il l’accompagne de la réalité, même si elle est hideuse.

La réalité, comme son nom l’indique n’a que faire des fantasmes séducteurs.

Est-ce un des avantages de la guerre ? Non, elle n’a aucun avantage, elle n’est qu’injustice, violence et mort. Plus surement que tout et de façon pire, industrielle, elle massacre. Y compris les fausses idées démagogiques, qui la génèrent, comme l’égalitarisme.

Alors que faire ? Ou trouver l’étincelle d’intelligence qui annihilerait la pieuvre égalitariste qui a étendu ses tentacules sur notre pays et a éradiqué le mérite, la valeur, l’intégrité, le respect de l’autre, de sa vie, de ses biens.

Le respect de soi, de l’intégrité, de l’intuition partagée, tout ce qui nous rassemblait est parti en cacahuètes.

La vanité, la cupidité et la bêtise ont envahi non seulement le pouvoir, mais aussi notre vie de tous les jours, nos voisins, nos amis, nous-mêmes.

Mêmes nos amis espagnols, perdant de vue la chevalerie, nous rejouent Don Quichotte et sortent de leurs urnes un pays coupé en deux par les extrêmes, se moquant donc de la chevalerie morale nécessaire à toute société, que Don Quichotte défendait dans le désert intellectuel de son époque.

J’entends les hurlements des extrémistes, je n’entends nulle voix s’y opposant, nulle part je ne vois la tolérance, l’humilité, le respect de l’intelligence.

Quand soudain : l’intelligence devient artificielle.

Hélas, nouveau mensonge.

ChatGPT n’est pas intelligent, ChatGPT est cultivé.

ChatGPT trouve sa raison dans sa connaissance démesurée du passé et du présent. En cela il ne diffère de notre élite que par la quantité. Elle a depuis fort longtemps abandonné l’intelligence au profit de la culture.

En conclusion :

Nous sommes débordés par la connerie, incapables de repérer l’intelligence et de lui faire la place qui lui est nécessaire pour nous être utile.

Ce ne sont pas la justice, le fisc ou la police qui vont nous être d’un grand secours…

Une société sans intelligence est une société morte.

Bien à vous. H. Dumas

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Ainsi va la justice

Ces jugements sont natifs d’Arras…

Le premier fait suite à une plainte en diffamation déposée contre moi  par Fournel et Guirault, la crème de la crème… : https://ahp.li/b3b23181bf3fe76eecba.pdf

Mes conclusions étaient les suivantes : https://ahp.li/56afe9b9f58cfceffc9f.pdf

Le deuxième fait suite à la plainte que j’avais déposée contre Fournel : https://ahp.li/c36e8382876875c91287.pdf

Mes conclusions étaient les suivantes : https://ahp.li/9aa4bbdb1662d968b6ae.pdf

Bonnes lectures. H. Dumas

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Fiona Scott Morton : « C’est celui qui dit qui y est »

Le mérite ou le réseau, la compétence ou l’appartenance.

Ce choix cornélien existe depuis toujours. Et, depuis toujours, on sait que l’appartenance est la loi des voyous, la compétence celle des sociétés civilisées.

Alors, quand la Commission Européenne s’offre les compétences reconnues d’une experte, que dire de ceux qui s’inquiètent des passerelles qui pourraient exister avec son passé professionnel ? Qu’ils sont bien peu professionnels et surement des afficionados du réseau, de ces hommes de pouvoir qui choisissent l’appartenance et non la compétence.

Car la compétence ne peut exister qu’affranchie de la connivence qui, elle, est l’arme des faibles, des hypocrites, des incompétents.

On notera que la France est en pointe dans cette dénonciation stupide, qui conforte ce que nous savons : nos hommes politiques sont arrivés à un niveau de connivence, de corruption, qui se révèle sans pudeur dans leur étonnement face à la compétence, à l’honnêteté supposée.

Nous vivons avec au-dessus de nous, de façon prégnante, ce procès d’intention de nos hommes de l’Etat. Nous ne sommes pas pour eux ce que nous sommes, nous sommes notre appartenance.

Amis et dans leur camp si nous sommes fonctionnaires ou dépendants d’eux et alors évidemment au-dessus de tout soupçon ; ennemis si nous sommes libres, alors dans ce cas soupçonnés de toutes les fraudes et déclarés nuisibles au bonheur national.

Je peux témoigner de cette situation qui implique nos hommes de l’Etat, mais aussi tous leurs serviteurs, jusqu’aux plus improbables : les magistrats. C’est effrayant et mortel, plus surement que le réchauffement climatique ou le COVID.

Une anecdote

Je suis toujours en activité, mais en activité ralentie pour cause de pillage fiscal et de refus de la corruption, de la connivence et des réseaux.

J’ai la prétention d’être honnête et compétent, dans mon domaine.

En 2022, mon comptable prend sa retraite. Je lui fais confiance depuis quarante ans, en plus je n’ai pas le choix le fisc a fait de moi un infirme fiscal qu’aucun comptable n’a envie de prendre pour client…

Il me dit que, par amitié, il fera une dernière fois ma comptabilité en 2022. Peu de chose je vous rassure, quelques loyers et des frais pour un projet que la bêtise administrative m’empêche de réaliser, cela au détriment des habitants de La Rochelle.

Mais il m’informe qu’il ne pourra pas déposer le bilan comptable n’étant plus accrédité à cet effet. Donc, il établit mon bilan comptable et je l’envoie aux Services Fiscaux, avec un peu de retard car je mets un certain temps à comprendre la situation, et je croyais qu’il avait fait le dépôt.

Et alors là

Je reçois des mails de menace de la part d’employés du fisc — dans le pur style des gardiens de prison à leurs pensionnaires — que je vous donnerai à lire en son temps.

Si je ne me rappelais plus que pour ces gens je suis, nous sommes tous, de la merde juste bonne à faire de l’engrais pour leurs fleurs sociales, le rappel est musclé.

Nous vivons effectivement dans une prison fiscale, avec des matons qui nous rançonnent, qui limitent notre vie à « cantiner » ce qu’ils nous autorisent après qu’ils aient prélevé leur dîme.

Contrairement à la réalité, pour eux je suis considéré comme n’ayant pas déposé ma liasse fiscale, car elle aurait dû être fournie numérisée et non en version papier. C’est la loi…

Puis, alors que je demande des renseignements pour faire un dépôt numérisé, on m’affirme que je dois passer par un comptable…Et surtout, personne n’éprouve le besoin de me proposer une aide, même succincte, pour adresser ces documents dans la forme imposée.

Mais, finalement, pourquoi est-elle imposée ainsi, numérisée ? Pour faciliter la vie de qui ? Pour le bénéfice de qui ?

Le plus cocasse est qu’au même moment, un magistrat de La Cour d’Appel de Poitiers, en mal de connivence et partisan du pillage du foncier par les élus, me refuse un appel essentiel au motif : que les pièces jointes aux conclusions sont numérisées, alors qu’il est impératif qu’elles soient en version papier… c’est la loi.

Objectivement, prétendre qu’ils ne nous prennent pas pour des cons, qu’ils n’agissent que pour notre bien, c’est se moquer de nous…

Demain je repars au charbon pour tenter de déposer de façon numérique le bilan fiscal de ma société, je vous tiens au courant…

Bien à vous. H. Dumas

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La résistance des gens ordinaires

Nous sommes tous, d’abord ordinaires.

Puis, certains se persuadent qu’ils sortent de l’ordinaire, d’autres sont considérés par la rumeur, qui croit à l’extraordinaire, comme des emblèmes de cet extraordinaire.

Il s’agit d’une vaste fumisterie, ces autodésignés ou désignés par les autres restent fondamentalement ordinaires.

Car l’ordinaire est le destin de l’homme dont la vie est ligotée par des contingences au-delà desquelles n’est que le néant.

Ces contraintes font le miel des prestidigitateurs du rêve, de ceux qui prospèrent sur le dos des autres en leur faisant miroiter des rêves inaccessibles.

Ces manipulateurs sévissent particulièrement en politique, où les juges ne s’aventurent pas, contrairement à notre vie privée où ils traquent la manipulation, avec raison.

Les technocrates auront été les champions de la manipulation.

Pour cela ils ont dévié les chiffres de leur usage pour, tels des haruspices modernes, dire l’avenir dans les algorithmes et les statistiques.

Par exemple, dans l’immobilier, que je connais bien, l’emplacement et la qualité qui sont la base de tout investissement ont été remplacés par des ratios de rentabilité basés sur des chiffres dont on peut percevoir aujourd’hui, à la veille d’un crack qui fera date, l’inanité.

Il en est ainsi pour tout. Et le spectre de la faillite sociétale est en train de se transformer en simple réalité, sous nos yeux.

Ceux qui ont entrevu cette fin depuis longtemps ont résisté et résistent. Comme tous les résistants ils sont incompris et disséminés, car les agressions générées par l’élite, qui se prétend extraordinaire, frappent en désordre tous et toutes sans que le lien entre ces chocs et sa cause si simple soit facilement perceptible.

Les souffrances induites créent des réactions de résistance sans corrélation apparente qui n’appellent pas la solution facile et commune qu’elles devraient, soit : rendre le pouvoir aux gens ordinaires.

Au contraire, le reflexe des hommes pris dans la tourmente de la tromperie élitique est de chercher une nouvelle élite tant ils ont oublié la force, l’humanité et la qualité de l’ordinaire, de leur vraie et respectable condition.

Il y a pléthore de candidats pour la qualification élitique. Tous déguisés, même les plus nuls, en génies ou en représentants de génies, voire carrément de Dieux, .

Il y a urgence à créer un parti des gens ordinaires, comme le font je crois nos amis des Pays-Bas.

Remettre la simplicité, l’humanité, la logique ordinaire à la tête de notre pays, c’est cela la solution.

Elle n’est ni de gauche ni de droite, elle est dans nos cœurs et dans nos cerveaux. Il suffit de les respecter, de les écouter, de les accompagner, de protéger leur liberté, leur individualité, ils construiront notre société et son avenir de façon bien plus sûre que tous les manipulateurs de génie qui nous précipitent dans leurs abîmes.

Je suis prêt à m’inscrire au parti des gens ordinaires, de ceux qui ne votent plus depuis longtemps, envoyez-moi l’adhésion…

Bien à vous. H. Dumas

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Entre réchauffement climatique et étouffement étatique, mon cœur balance.

Lequel des deux aura notre peau le premier ? C’est difficile à dire.

Une seule certitude : nous sommes à la fois les auteurs et les victimes de ces catastrophes programmées.

Ni démons ni dieux s’affrontant dans les cieux pour notre compte, derrière lesquels nous n’aurions qu’à nous ranger pour profiter d’une vie paradisiaque immédiate ou future.

C’est bien nous, et seulement nous, qui réchauffons la planète et multiplions la bureaucratie étatique.

Nous sommes impuissants à rompre la synergie infernale de ces deux mouvements qui s’annoncent perpétuels et en constant renforcement.

Allons nous disparaître en tant qu’individus, le peu de temps qui nous est donné sur cette terre ? Allons nous être ramenés au niveau biblique du serpent rampant sur un sol devenu inhospitalier, enfer mérité de notre culpabilité de vivants ?

Serons nous ces morts-vivants des pires cauchemars ?

Peut-être, mais n’oublions pas que… toute organisation fonctionne d’abord au profit de ses organisateurs.

Or, si les malheurs qui nous guettent sont humains, ils sont donc mis en œuvre par des hommes.

Qui sont ces hommes ?

Sont-ils, à l’inverse des « Dieux-hommes» grecs d’hier, les « Hommes-dieux » d’aujourd’hui ?

Leur devons-nous dévotion et soumission totale ?

Devons-nous leur sacrifier nos biens, voire nos vies s’ils décident de s’affronter entre eux ?

Devons-nous leur bâtir des palais, faire en sorte que leur vie soit longue, facile et riche ?

Devons-nous être les remparts entre eux et les maux qu’ils prétendent gérer pour notre compte ?

Mais alors, où est la différence entre aujourd’hui et les périodes les plus obscures des sociétés religieuses ?

Sommes nous à la veille de la lumière la plus noble ou de l’obscurantisme le plus sordide ?

Mon humble avis

Entre la naissance d’un individu numériquement libre et celle d’une organisation implacable qui lui est opposée, l’affrontement est à son paroxysme.

Il s’agit d’un dédoublement de personnalité sociétal qui n’a pas d’exemple à cette échelle dans l’histoire.

L’issue ne peut-être que la violence tant ces deux formes d’organisation sont opposées.

Seul le respect individuel peut sauver l’humanité. Il implique l’éradication du servage, qui le réduit à néant, et de ses organisateurs, troupes et décideurs.

Cela peut-il se faire démocratiquement, sans violence, sans guerre ?

Là est la question, qui n’est même pas encore posée.

Les profiteurs, prédicateurs et organisateurs escrocs ont encore de beaux jours politiques devant eux.

Seule la misère, qui s’abat jour après jour sur le plus grand nombre du fait des avantages indus qu’ils s’octroient, mettra la question à l’ordre du jour.

Ils seront alors décapités et privés de leur pouvoir nocif.

Nous retrouverons la liberté individuelle et le respect de nous-mêmes qui va avec.

Mais que de souffrances à venir avant cela…

Bien à vous. H. Dumas

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Piller, Pillages, Pillards…

Une constante soudain très tendance.

Le Larousse donne ces définitions de “piller”, entre autres :

  • S’emparer des biens qui se trouvent dans un lieu en causant des dommages, en usant de violence…
  • Détourner à son profit l’argent de quelqu’un…

Il s’agit de s’emparer des biens d’autrui par la violence – donc probablement sans son accord – en générant des dégâts.

Il ne faut pas confondre manifestation, casse et pillage. Il n’y a pillage que s’il y a vol, la casse ne suffit pas à définir le pillage.

Les casseurs et les pilleurs ne sont donc pas animés par la même motivation, même s’il peut y avoir entre eux une synergie. Le pillard qui arrive derrière le casseur n’a pas à casser, c’est déjà fait. Le casseur, lui, ne va pas automatiquement piller.

En revanche le pillage génère systématiquement une casse induite, visible ou invisible mais certaine.

Celui qui casse

C’est celui qui agit sous le coup de la colère, en général face à une situation qu’il trouve injuste. Son opinion n’est pas intrinsèquement vraie, il le sait.

Il casse pour se libérer d’une pression qu’il trouve insupportable, qu’il ne sait pas ou ne peut pas contourner ou dominer.

On peut lui opposer deux choses, la contrainte ou la raison. On peut facilement, la colère passée, obtenir son remord, sa contrition. Il n’est pas fatalement perdu.

Celui qui pille

Il n’agit pas sous le coup de la colère, au contraire. Sa décision est murement réfléchie. Il faut qu’il considère d’abord qu’il ne pille que ce qu’il mérite, ce dont il a si fortement envie ou besoin que le pillage est une méthode raisonnable pour lui d’appropriation.

Il agit dans le cadre d’un ordre dont il est le centre, sans limite pour les conséquences.

On ne peut rien lui opposer puisqu’il s’est d’abord convaincu de la légitimité de son pillage. On ne peut pas le raisonner, il faut juste être plus fort que lui pour l’entraver.

Il est irrémédiablement perdu pour la société, son réflexe ira croissant, il risque même de devenir institutionnel, d’aboutir à une voyoucratie.

Les pillards de juin 2023

Ils étaient déjà là au moment où les casseurs ont explosé face au meurtre d’un jeune délinquant par un policier, rapporté par une vidéo privée.

Ces pillards sont convaincus de leur droit à posséder les signes extérieurs d’existence sociale qui sont largement répertoriés et affichés un peu partout, ainsi que les éléments de confort ou de jouissance eux-aussi largement décrits.

Ils sont aussi convaincus que ceux qui jouissent de ce qu’ils voudraient sont illégitimes dans leur possession, ont eux-mêmes volé ces biens, tout précisément à eux par le biais d’une société qui serait fondamentalement injuste avec eux.

Mais me direz-vous

« N’êtez-vous pas en train de nous décrire les Services Fiscaux ? »

Non, mais… enfin oui… en quelque sorte. Ce sont les mêmes croyances, les mêmes moteurs, les mêmes méthodes et les mêmes conséquences… mais appliqués par d’autres groupes sociaux, dans d’autres configurations. Finalement, oui, vous avez raison.

Mais alors

« On ne peut rien faire, on ne sera jamais plus fort qu’eux… »

Certes, mais ils sont en train de faire faillite, ils vont exploser en vol, être anéantis.

« Et alors ? »

Si nous ne sommes pas entrainés mortellement dans leur chute nous pourrons construire une autre société.

Pour cela il suffira

  • De prendre conscience que la réalité d’un groupe prend sa source dans l’addition de ses individualités, que l’individu est l’unité de base.
  • Que donc le pouvoir ne vient pas de la qualité du haut mais de celle du bas.
  • Que l’Etat est un outil à la disposition de la société et non l‘inverse.

Toutes les actions humaines puisent leurs forces dans la tête et le cœur de chacun et non dans je ne sais quelles paroles divines ou politiques qui ont la prétention de régenter notre vie sans chacun de nous, voire contre chacun de nous.

Cela vaut pour toutes nos activités, civiles, économiques, scientifiques, etc…

Conclusions

Les pillards du fisc sont absolument inutiles, nuisibles. Quelqu’un va disparaitre, eux ou nous…

Bien à vous. H. Dumas

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Deux poids et deux mesures face à la barbarie

Seuls quelques principes séparent la civilisation de la barbarie.

Un, particulièrement, ne peut accepter aucune exception : “nul ne peut se faire justice lui-même, en son nom où au nom d’un groupe, d’une croyance.”

Tout acte répressif passe impérativement par un jugement préalable, rendu par une justice libre, qui définit la hauteur et la forme de la répression.

Notre civilisation très avancée — trop avancée ? — a poussé le principe jusqu’à la suppression de la peine de mort même après jugement, considérant que la mort d’un autre homme ne peut pas être décidée même par des juges.

Lorsqu’il y a meurtre, il faut donc se poser la question primordiale : est-on face à un geste de défense instinctif plus ou moins légitime, ou face à un acte précédé du jugement personnel du meurtrier ?

Le premier cas peut éventuellement exister dans le cadre de la civilisation, le deuxième ouvre la porte de la barbarie.

Deux événements viennent à quelques mois d’intervalle illustrer la perception de ce principe.

Novembre 2022

A Bullecourt un contribuable juge un inspecteur des impôts coupable d’une agression mortelle à son encontre et le tue.

Juin 2023

A Nanterre un motard de la police juge un jeune conducteur automobile coupable de mise en danger potentielle de sa vie ou de celle d’autrui et le tue.

Par deux fois il ne s’agit pas de donner la mort face à une menace mortelle visant le meurtrier, donc par deux fois il s’agit d’un acte de barbarie.

La réaction du pouvoir va être diamétralement opposée à l’occasion de ces deux morts.

A Bullecourt

La victime sera décorée, le meurtrier suicidé accusé sans procès.

Bien plus, pour avoir posé la question de la nécessité de connaître la vérité sur le niveau plus ou moins mortel d’agression vécu par le meurtrier avant son passage à l’acte, je serai mis en garde à vue et immédiatement condamné pour « apologie de meurtre »

A Nanterre

La victime n’est pas décorée, elle sera faussement accusée de mise en danger de la vie du meurtrier, accusation qu’heureusement des vidéos de témoins viendront contester et réduire à néant.

Le meurtrier se voit absous par la majorité de la population et personne n’y trouve une apologie de meurtre… Une cagnotte est ouverte à son bénéfice, les initiateurs ne sont pas poursuivis pour apologie de meurtre.

Pourtant, sur les principes, les deux meurtres paraissent identiques : il s’agit de deux jugements individuels, sans intervention d’un juge, que les meurtriers ont trouvé suffisant — au moins sur le moment — pour justifier leur décision de donner la mort.

Quant aux deux poids et deux mesures face à la barbarie, je vous laisse en juger…

Bien à vous. H. Dumas.

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On a les banlieues qu’on mérite

On nous a appris que l’homme tend à imiter ceux qu’il envie ou ceux qui sont hiérarchiquement au-dessus de lui.

Ainsi les parents qui fument ou boivent vont probablement voir leurs enfants faire de même. Et, dans la vie de tous les jours, les ambitieux vont d’abord copier les signes de caractère, les méthodes, de ceux dont ils souhaitent partager le statut.

Ainsi, que ce soit à l’échelle individuelle ou collective, un des moteurs principaux de l’être humain est sa soif de ressembler à ceux qui le dominent ou à ceux qu’il veut rejoindre ou dépasser dans la hiérarchie sociale.

Par ailleurs, sauf à être un sale raciste, il est clair que tous les groupes humains sont composés de toutes les variétés possibles de sensibilités, en pourcentage équivalant. Mais que toujours, du fait du hasard ou d’une volonté, une sensibilité prend le pouvoir et s’impose alors aux autres. Ce pourra être les justes, les hypocrites, les généreux, les cupides, les libertaire, les totalitaires, les calmes, les violents, etc…

A l’époque de la royauté c’est le hasard qui déterminait le caractère du Roi, donc celui des dominants, et par conséquence la tendance globale. Aujourd’hui la démocratie prétend faire mieux, nous constatons tous les jours que ce n’est pas fatalement le cas.

La démocratie ne suffit pas à révéler une élite de qualité. Ce serait peut-être possible si ceux qui l’animent ne trichaient pas, si le vote était sincère et documenté ce qui n’est que rarement le cas.

Conclusion

La banlieue n’est que le miroir de l’élite qui la domine. Ses caractéristiques sociologiques ne sont pas liées à la modestie de ses moyens, voire à sa misère, mais à l’exemple qu’elle prend en haut, en imitant ceux qu’elle aspire devenir.

Ses croyances, ses attitudes affichées ne sont que façade, son souhait profond n’est pas le remplacement mais l’égalité qu’elle pense atteindre par la copie.

La responsabilité de la situation

Que voit-elle à copier ? le pillage.

Elle voit une société de privilégiés qui vit aux dépens de ceux qui prennent des risques, qui tentent d’accumuler le capital, facteur de progrès en toutes choses.

Celui qui capitalise connaissances, compétences ou richesses, est source de suspicion, de dénonciation et finalement de dépossession.

Le corporatisme sert de croyance. La police et la justice sont exclusivement utilisées à protéger cette situation. Il n’est aucune place pour celui qui n’a pas déjà un pied dans les lieux.

Tout ce qui n’est pas « fonctionnaire » ou assimilé est présumé asocial et incompétent. La signification de cette situation consiste à snober les exclus.

Commissariats inaccessibles, flics toujours soupçonneux, jamais ouverts ou souriants.

Tribunaux aussi inaccessibles, magistrats déguisés et obligation d’avocats soumis et complices.

L’éducation nationale se prétendant l’unique juge de la capacité de chacun à être. Allant jusqu’à imposer leur avenir, par le hasard puis la force, aux jeunes qu’elle a sélectionnés en laissant les autres sur le bord de la route. Alors que son système n’est capable d’imposer que l’ordre, la soumission, et non la connaissance ou la compréhension qui sont la vraie vie et doivent être accessibles librement à tous.

C’est le pillage du pays par ceux qui se déclarent son élite que voit la banlieue.

Alors la banlieue copie, la banlieue pille. CQFD.

Eliminons chez nous, par le vote, les pillards, réintroduisons la confiance dans les hommes, la liberté d’entreprendre, protégeons la propriété privée, pratiquons la politesse, la compassion, le respect de tous, le plaisir de l’accueil, chassons nos propres pillards et la banlieue sera un lieu de richesse et d’avenir.

Tout cela ne nous empêchera pas, au contraire, de châtier les délinquants plutôt que, comme aujourd’hui, faire alliance avec eux par souci « d’efficacité »

Bien à vous. H. Dumas

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Il faut couper les vivres

Quand dans une famille apparaît l’enfant prodigue, celui qui profite de sa filiation pour prélever sans contrepartie les sommes nécessaires à ses dépenses inconsidérées il est inutile de tenter de les analyser. Peu importe que ces dépenses soient liées à une addiction au jeu, au statut social, à quelque obsession ou envie non maîtrisée.

La seule solution pour protéger le patrimoine familial est de couper les vivres au prodigue.

Nos hommes de l’Etat sont prodigues. Nous en avons décortiqué les raisons sur ce blog.

Il est parfaitement inutile d’ergoter sur l’usage de leur prodigalité. Inutile de papoter sur son organisation.

Il faut leur couper les vivres, sans quoi ils iront jusqu’à la ruine dévastatrice.

Donc, la solution pour sauver la France d’une faillite aujourd’hui proche et inéluctable n’est pas d’analyser jusqu’à plus soif les dépenses mais de couper dans les recettes.

Il faut réduire l’impôt, réduire le périmètre d’intervention de l’état dispendieux, éradiquer la terreur fiscale, redonner aux français leur confiance en eux, rétablir le rapport naturel entre le gain et l’utilité économique de celui qui le perçoit.

Pour résumer, il faut se débarrasser à minima du mensonge économique.

Or hélas, nous sommes au contraire immergés dans le mensonge. En toutes choses. Il est endémique de notre organisation sociale, il est le moteur principal de notre vie, vivre sans lui ne paraît plus possible. Quel drame.

Valentin Gendrot est ce journaliste qui a infiltré la police et largement décrit à cette occasion l’usage dans cette profession du mensonge pour atténuer le poids très lourd de son exercice. Hélas, mauvais réflexe qui aboutit au crime de Nanterre dont on doit la découverte au hasard d’une vidéo privée, alors qu’il avait été préalablement dissimulé à l’aide de fausses déclarations sous serment des meurtriers.

Contrairement à ce que l’on tente de nous faire croire il ne s’agit pas d’un mensonge isolé, au contraire aujourd’hui le mensonge est systématique, ce n’est pas une exclusivité des forces de l’ordre.

C’est toute notre société qui est vérolée par le mensonge du plus bas au plus haut de l’échelle.

C’est le mensonge qui a généré l’Allemagne nazi, qui pousse dans les bras des milices le peuple russe, qui taraude les démocraties occidentales.

Comment éradiquer le mensonge ? Est-ce seulement possible ?

Quels sont les liens entre le mensonge et la croyance ?

Je suppose que des penseurs beaucoup plus intelligents que moi ont probablement déjà réfléchi à la question sans résultat concret, nous sommes bien obligés de le constater.

Mensonge pour l’un est vérité pour l’autre. Comment sortir de ce piège ? On n’en sort pas, tout simplement.

C’est le piège de la vie qui n’est qu’un mensonge par rapport au néant qui est la réalité. C’est vertigineux pour ceux qui prennent la vie au sérieux et se la pètent.

C’est ainsi, par prétention et goût du pouvoir, que la magistrature fait sienne la culture extrême et sophistiquée du mensonge qui a définitivement envahit les prétoires où la vérité est une exception outrageante.

Pour ma part je n’ai aucun espoir de voir la fin des mensonges, au point de me poser la question : Serai-je amené à l’obligation de mentir demain ? Probablement… Triste avenir.

Conclusion : la vérité est un luxe, que je vous souhaite de connaître, qui n’a pas de prix tant il peut coûter.

Bien à vous. H. Dumas

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Les jours se suivent et se ressemblent

Voyons, un texte de loi précise que les agents de police ont le pouvoir d’apprécier une situation immédiatement dangereuse pour eux – ce que l’on peut comprendre – mais aussi a terme pour une personne X, du fait d’un individu qui n’obéit pas à leurs injonctions.

L’article L435-1 du Code de la Sécurité Intérieure inclut les phrases suivantes : « … Les agents de la police nationale et les militaires de la gendarmerie nationale peuvent…  Faire usage de leurs armes en cas d’absolue nécessité et de manière strictement proportionnée…. Lorsqu’ils ne peuvent immobiliser, autrement que par l’usage des armes, des véhicules…  dont les conducteurs n’obtempèrent pas à l’ordre d’arrêt et dont les occupants sont susceptibles de perpétrer, dans leur fuite, des atteintes à leur vie ou à leur intégrité physique ou à celles d’autrui… »

Donc les agents de police ont la possibilité légale d’observer une situation, de la juger et de donner la mort…

Mon épouse a été mise en joue par un énergumène de la police, nuitamment, ce n’est pas rassurant. On comprend vite que le jugement du fonctionnaire pourrait être sans appel, on n’a pas l’impression que ses méninges et les informations qu’il croit alors posséder sont à la hauteur de la situation…

Mais il n’y a pas lieu de s’inquiéter. On nous le répète à longueur de journées, nos forces de l’ordre sont exclusivement constituées de personnes d’une intégrité, d’une intelligence, d’une sagacité hors du commun. Cela ne prête pas à discussion.

Ils ne sont jamais sanctionnés préventivement, tout simplement parce qu’ils sont parfaits.

Ne parlons pas de leur chef, le sieur Darmanin. Il les drive avec fougue, les rassure chaque jour en vantant leur perfection. Qui oserait en douter ? Certainement pas les syndicats de la Police…

Bien qu’élevé dans la religion catholique, Darmanin ne va pas jusqu’à conseiller aux fonctionnaires dont il a la responsabilité de « tendre l’autre joue quand on leur fout une baffe ». Il devrait peut-être…

Mais ce n’est pas tout.

Notre Police n’est pas la seule catégorie de nos fonctionnaires au-dessus de tout soupçon. Il y a encore mieux.

Les agents du fisc. Pour de multiples raisons.

D’abord, parce que ce qu’ils dérobent aux français qui ont le malheur de tomber sous le coup de la torture fiscale est considéré comme une bonne action, chacun espérant en bénéficier pour partie.

Ensuite, parce que tout ce qui ruine le voisin est bien fait pour sa gueule… Non ?

Donc les agents du fisc sont encore plus infaillibles que les policiers, mais de plus ils bénéficient de l’assentiment général, sans aucune exception.

Et pourtant

Eux aussi possèdent le droit de tirer à vue, de condamner sans jugement et d’exécuter la condamnation directement.

La pièce ci-dessous est tirée d’une Saisie Administrative à Tiers Détenteur (SATD).Une sorte de mine à fragmentation. Elle est pratiquée directement sur votre compte en banque, sans que vous en soyez avisé préalablement, elle bloque immédiatement tous les avoirs que vous avez sur ce compte. J’en reçois plusieurs dizaines par an…

Celle-ci est intéressante.

Il ne s’agit pas d’un impôt dû, mais de majorations pour paiements tardifs. La somme n’est pas importante 2 299,62€, mais elle ne représente pas la réalité.

Le 19/09/2022 j’ai versé au fisc 43 037€ représentant les impôts fonciers des années 2018, 2021 et 2022 de la société Mirabeau. Je n’avais pas pu payer plus tôt ces impôts du fait du blocage de tous mes comptes depuis plus de vingt ans par le fisc pour des redressements indus, ce qui rend ma trésorerie pas facile à gérer.

J’ai donc demandé au fisc de me dégréver des majorations puisque mes retards de paiement n’étaient pas de mon fait mais du sien. Refus…

Bien plus, la majoration pour retard de paiement sur le foncier de 2021 est de 1298 €, et le fisc me facture 2299,62 €.

Les comptes sont faux.

Enfin disons que les comptes sont transformés par le fisc, à sa sauce. Ils ne représentent plus la vérité. Mais du fait que c’est le fisc qui les édite, ils sont vrais.

Fournel et Darmanin sont d’accord, leurs fonctionnaires ont toujours raison, évidemment… ils sont des surhommes parfaits. Ce ne sont pas leurs syndicats qui diront le contraire…

Donc le fisc s’est permis d’attribuer mes versements à d’autres paiements que ceux que j’ai expressément désignés. Sans aucune gêne il pratique une SATD mortelle, non pour un impôt dû mais pour une majoration objectivement indue et abusive, qui dans un monde normal aurait dû faire l’objet d’un dégrèvement…

Cela uniquement pour donner du crédit à un meurtre économique qui dure depuis plus de vingt ans, pour le faire perdurer, par sadisme et abus de pouvoir, contre toute raison et intérêts humanistes et sociaux….

Pourtant les fonctionnaires de Bercy savent que leurs collègues chargés des retraites m’ont taxé pendant quarante ans en me promettant une retraite radieuse… qu’ils me versent 450€ par mois… ce n’est pas vraiment la richesse. Ainsi je ne dois pas grand chose à la collectivité… à qui j’ai pourtant beaucoup donné.

Enfin, tout cela n’est pas bien grave, nous touchons le bout. Hélas pour nous, il est incandescent…

Bien à vous. H. Dumas

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Arras puis Nanterre

C’est dans cet ordre-là que les évènements se sont déroulés.

Dans toutes les sociétés les guerres sont larvées, prêtes à se déclencher. La guerre c’est l’ordre de celui qui se croit le plus puissant imposé par la force, visant à dominer.

Dans la pratique cela se traduit par le meurtre, le viol, le pillage et la destruction.

Il est très rare que l’ordre souhaité par le plus puissant soit juste.

Face à ces constats les penseurs des lumières ont posé les bases d’une solution qui se traduit simplement et génialement par trois acceptations : premièrement nous sommes tous égaux en droit, deuxièmement tout pouvoir doit être équilibré par un contre-pouvoir, troisièmement nos vies et nos biens sont sacrés.

C’est simple, ce serait efficace, ce n’est nulle part en place.

Tous les hommes de l’Etat, ici ou ailleurs, prétendent être animés par cette volonté, mais en réalité ce n’est qu’un faux nez derrière lequel ils agissent uniquement dans le cadre de leurs profits personnels et de ceux de leurs affidés, en prenant soin de diviser et d’émietter, voire d’interdire et de poursuivre, toute opposition ou contre-pouvoir.

Nanterre

Un gamin de 17 ans est tué froidement par un agent de la police. La France se divise, les uns pensent qu’il faut donner libre cours aux forces de police pour stopper la délinquance – entendez le trafic de drogue qui enrichit les marchands et détruit les utilisateurs – qui perturbe la bonne marche de notre société exemplaire…. Les autres trouvent que, quand même, si la police juge et sanctionne sur le tas… où allons-nous ?

Qui arrive à nier qu’une société qui abat un jeune de 17 ans pour rien, sans jugement, est gravement malade ? Peut-on réinstaller la peine de mort et la confier directement à la police, à l’armée, à des milices ?…

Mais oui, mais oui. Que pensez-vous qu’il va arriver ?… Imaginez juste l’inverse et comparez… Voyez ce qui se dit autour de vous concernant l’Ukraine…

Un point positif : le débat est largement ouvert, pour une bonne semaine…

Arras

C’était avant-hier. J’étais seul, face à un Tribunal secret où tout enregistrement de ce qui se dit est interdit, où donc toute argumentation n’a aucune existence, seul subsistera le jugement, acquis ici bien avant l’audience.

A Arras je luttais contre le pillage du fisc lors des contrôles fiscaux, contre le droit du fisc de nous détruire avant tout jugement, par hypothèque légale, ATD, et autres saisies.

Je luttais contre les dérives fiscales meurtrières, contre le pillage fiscal qui nous tue et va avoir raison de notre société. Pillage qui est un acte de guerre, comme l’a très bien expliqué le Ministre Le Maire.

Pillage qui a tué deux fois à Bullecourt — village qui dépend du Tribunal d’Arras – sans que le parquet n’engage une enquête pour éclaircir les faits.

Contrairement à la Police, le fisc peut piller et tuer impunément, tous les jours, sans que personne ne s’en émeuve.

J’apporte toutes les preuves à ce sujet, je récolte exigence de condamnation et diffamations de la part de M. Fournel, le Directeur national des Services Fiscaux, qui n‘hésite pas à la barre du Tribunal à me traiter de diffamateur au simple fait que je dénonce des « fonctionnaires », de comploteur au simple fait que je dénonce la terreur fiscale installée volontairement pour permettre à nos élus de continuer à emprunter comme des malades…

Pas de mouvement de foule, pas de soutien, je suis seul, je resterai seul dans mon acte de résistance, c’est ainsi… pourquoi ? je ne sais pas.

Dès réception des jugements d’Arras, je publierai les conclusions des parties et les jugements qui auront suivi. Vous pourrez vous faire votre opinion.

J’ai fait appel, j’irai ensuite en cassation, puis en Europe, si la vie m’en donne la force.

Bien à vous. H. Dumas

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Révoltez-vous, il va vite être trop tard.

Le ruminant domestique — veau, vache, mouton… — sait-il que les protections dont il fait l’objet, le confort de sa vie, ont pour terme l’abattoir ?

A l’abattoir les opérateurs pensent que oui, en conséquence ils n’ont aucun respect pour sa vie, pour lui.

Depuis toujours des « hommes de l’Etat » se lèvent pour faire de leurs congénères des ruminants domestiques qui finissent à l’abattoir de leurs libertés, payant alors de leur vie le prix de leur soumission.

L’expérience nous a appris que l’outil de la liberté s’appelle : la propriété privée.

Nos ancêtres ont effectivement payé le prix fort pour la définir lors de la révolution, article 17 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (1789) : ” La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité.”

L’église et les nobles possédaient alors tout, eux ne possédaient rien. Ils pensaient que c’était un déterminisme divin. C’était cette croyance qui cimentait leur prison.

Aujourd’hui Bercy et sa bureaucratie sont sur le point d’éradiquer la propriété privée, de tout posséder au nom du collectivisme égalitaire. C’est un recul de plus de deux siècles qui nous ramène vers la misère. La population croit qu’il s’agit d’un déterminisme écologique. Alors que ce n’est qu’une nouvelle croyance de domination.

Pour sauver nos libertés il suffit de sauver la propriété privée, dont un des piliers est le nid, la tanière… notre habitation.

Ce pilier est en grand danger.

Lors des années 60, la France flamboyante visait l’extension de la propriété privée, des logements acquis par le plus grand nombre. Les outils étaient l’avantage fiscal et le Crédit Foncier. Ce fut une réussite jusqu’en 1980.

Mais, revers de la médaille, le propriétaire de son nid se sent pousser des ailes et entend disposer de la liberté d’expression que confère la possession.

Il devient réfractaire à la soumission aux hommes de l’Etat.

Donc, machine arrière toute.

La propriété privée est combattue par ces derniers, à partir de cinq points :

  • Sa mise en œuvre est filtrée par les lois sur l’urbanisme, contrôlée par les zélotes du collectivisme.
  • Sa fiscalité est assommée, pendant que le locataire se voit dispensé de sa taxe d’habitation.
  • Le transfert familial est entravé par la fiscalité sur les successions
  • La préemption nuit gravement au libre échange des propriétés privées.
  • Le statut de locataire au profit des hommes de l’Etat — dépendance ultime — est privilégié.

Le législateur et Bercy sont à la manœuvre.

Au moment où j’écris ces lignes le secteur privé alimentant la propriété privée est à l’agonie. Plans d’urbanisme, quotas d’HLM obligatoires et fiscalité ont eu raison de lui.

Il reste les richissimes sociétés d’HLM, futur locatif de la population qui aura ainsi perdu la propriété de ses nids, donc une grande partie de sa liberté.

Les sociétés d’HLM, en complicité avec les hommes de l’Etat, obtiennent facilement leurs autorisations de construire après avoir bénéficié des règles sur l’urbanisme pour dévaloriser leurs fonciers d’assise.

Elles n’ont même plus à construire elles-mêmes, de nouveaux prestataires, se baptisant promoteurs, le font exclusivement pour elles.

Leurs locataires sont triés et la plus grande partie de leurs loyers sont garantis par des structures d’aides au logement.

Elles ne paient pas d’impôt et n’ont pas de contrôles fiscaux.

Elles s’engagent vers le haut de gamme, pour loger les apparatchiks.

Les hommes de l’Etat cherchent à faire de nous leurs locataires.

Ce n’est qu’un des points où ils combattent la propriété privée, outil de nos libertés, hantise de leur soif de domination.

Il agissent pareillement, à travers le contrôle des banques, sur notre argent. Aussi, par la fiscalité, sur nos revenus, nos entreprises, etc…

Je vous le redis : il est grand temps de se révolter.

La collectivisation, base du fascisme, n’est plus rampante, elle est galopante.

Bien à vous. H. Dumas

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BRUNO LE MAIRE, L’ ADEMAÏ CONTEMPORAIN.

Paul Colline est un chansonnier, acteur, dramaturge, scénariste, et réalisateur français, né le 22/09/1895 à Paris, décédé en 1991, qui a inventé le personnage d’Ademaï, étrange portrait prémonitoire de Bruno Le Maire.

Le personnage d’Ademaï eut une carrière cinématographique dans les années 1930, dont le point d’orgue a été le film « Ademaï aviateur » avec Fernandel et Noel-Noel.

Je ne vous en dis pas plus, vous trouverez le reste sur le net ou dans les bibliothèques et cinémathèques appropriées.

Vous verrez, la similitude entre les deux héros, Ademaï et Bruno, est confondante, leur naïveté est à la fois subie et utilisée, presque maitrisée, mais… pas tout à fait.

Il y a cependant une différence — et elle est de taille — les traits de caractère attachés à ces personnalités font rire avec le premier, font peur, terrorisent, avec le second.

L’écologie : escroquerie occidentale pour bloquer l’essor des pays émergeants ?

Nous nous doutions bien que l’écologie n’est pas si nette et si sincère qu’elle le prétend. De nombreuses exagérations éveillent les soupçons, mais la propagande noie toute objectivité, toute contestation.

Le poids économique de l’écologie telle qu’elle nous est aujourd’hui imposée, sans les amortisseurs des découvertes à venir, exclusivement basée sur des techniques qui lui sont en partie contraires, est insupportable. Il terrasse effectivement les pays pauvres que nous nous contentons de faire semblant d’aider.

Ces mensonges écologistes étaient jusqu’à aujourd’hui parfaitement maîtrisés, le langage employé bien rodé. Tout roulait pour rouler les émergeants, dont la Chine évidemment.

Mais après tout : « Tel est pris qui croyait prendre », la Chine et autres ambitieux ne se privent pas de faire semblant, de tricher, pour s’approprier des marchés. Dans cette ambiance de camelots — indigne d’une morale propre de l’économie — le monde entier s’est engouffré. La chevalerie économique, le respect du concurrent et du client, de la parole donnée, tout cela est depuis longtemps aux oubliettes de l’histoire.

Quand soudain arrive Bruno, avec son regard fixe mais profond — enfin disons : qui fixe les profondeurs… sans que l’on puisse vraiment saisir lesquelles –, son air martial, ses costumes à la taille irréprochable, son col roulé et ses remarques sidérantes qui nous laissent hébétés.

La dernière est époustouflante. Il s’agit d’opposer aux ambitions commerciales de la Chine, en matière d’automobile, non pas des droits de douanes interdits par les contrats de libre circulation commerciale, mais un succédané sous la forme de normes écologistes…

Bruno a déclaré, selon la revue l’Argus : « Il y a une chose qui n’est pas possible en Europe (en raison de la réglementation, NDLR), c’est de privilégier le contenu européen. […] Nous avons donc choisi la voie normative, qui consiste à fixer des exigences environnementales suffisamment fortes pour que les aides soient de facto réservées aux véhicules produits en France ou en Europe dans des conditions environnementales plus satisfaisantes que les véhicules produits en Chine », dixit Bruno Le Maire. « Nous voulons, je ne le cache pas, utiliser toutes les normes environnementales pour valoriser, protéger et défendre notre industrie nationale »

En clair, il avoue, en tant que patron de Bercy :

  • Que son pouvoir est total, que ce sont bien lui et sa boutique Bercy les vrais patrons de la France.
  • Qu’à ce titre il peut manipuler les textes sur l’écologie avec pour seul but de compliquer le commerce pour la Chine, contrairement aux accords que sa boutique a signés à l’échelle mondiale.

Le voilà, souriant et fier de lui, en plein mercantilisme environnemental…

Trop fort.

Quand je vous dis qu’il est la doublure d’Ademaï, je ne vous mens pas. Peut-on de façon aussi naïve avouer une combine aussi triviale ? Avoir pour l’écologie aussi peu de respect ? Tout cela le plus sérieusement du monde.

Sacré Bruno, les auteurs comiques les plus connus ne pourraient pas l’inventer tant il est énorme dans ses gags. Vivement qu’il se présente à l’élection présidentielle, cela va nous faire des soirées comiques en abondance, et on en a bien besoin….

Bien à vous. H. Dumas

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Kakhovka : le mensonge absolu.

Qui a fait sauter le barrage de Kakhovka ?

Les Russes accusent les Ukrainiens qui en retour les accusent. L’un des deux est un menteur.

Les commentateurs disent : « c’est la guerre donc le mensonge est inévitable ».

Alors que le mensonge n’est pas une conséquence de la guerre mais sa cause, sa base, son origine.

C’est le mensonge qui rend toute discussion impossible au point que la guerre finit par s’imposer lors d’un désaccord.

Mais, ici, le mensonge implique un peuple. Ce sont des hommes de l’Etat qui le profèrent. Il engage les acteurs du sabotage, toute une chaîne d’hommes, puis tout un peuple à qui il est imposé, peut-être par la force, peut-être par la croyance, donc sous la contrainte ou dans le partage volontaire.

C’est effrayant, tant ce mensonge est vrai. Ses dégâts sont universels, largement plus conséquents pour l’humanité que l’inondation provoquée.

Implacablement le mensonge tue, mais le mensonge d’Etat tue industriellement, sans retenue.

Le mensonge est enivrant, il est facile pour celui qui le profère et séduisant pour celui qui l’écoute.

Il est aujourd’hui le fond de commerce de nos hommes de l’Etat, qui apprennent à le manier dans de prestigieuses écoles, qui en sont arrivés à transformer notre vocabulaire en inventant des mots pour le rendre plus performant mensongèrement.

Il y a deux façons de faire accepter le mensonge : la force et la croyance.

Nous avons l’incomparable privilège de subir les deux.

Dans certains pays la force se traduit directement en fusils, chez nous elle se présente sous la forme de lois et décrets liberticides, dont la multiplicité et le pervers usage qu’en fait la magistrature ne laissent aucune place à la vérité non autorisée, donc à la vérité tout court.

Quant à la croyance, notre société a un entraînement multimillénaire à ce sujet. Nos penseurs politiques, nos philosophes, nos prédicateurs mentent comme des arracheurs de dents, à qui mieux mieux.

Tout le monde comprend cela, tout le monde préfèrerait la vérité sans doute, mais sa recherche est si difficile et si ingrate que tout le monde en arrive finalement à traiter celui qui dénonce le mensonge et cherche la vérité d’auto-victimisation.

La victimisation est le qualificatif utilisé par les menteurs pour dévaloriser ceux qui subissent et dénoncent leurs mensonges, et ça marche.

La vérité imposerait que chaque monument aux morts dans le monde voit écrit : « En souvenir des victimes du mensonge »

Oui mais quelle vérité débusquerait le mensonge ?

La votre, la mienne, celle de tartempion ?

Sans doute celle de l’univers, du vide spatial et des trous noirs…dans laquelle nous nous retrouvons tous un jour…

Tout cela ne vaut pas une guerre, évidemment. Place donc à vous à moi, aux morts solitaires qui ponctuent discrètement les mensonges collectifs et soudent ceux qui les croient.

Bien à vous.

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