Toute la boutique s’effondre. Les sous-vêtements sont de sortie, tout le monde se retrouve en slip. Les vernis s’écaillent.
La solidarité ? A la poubelle, vive le chacun pour soi.
La probité ? Plus personne n’y croit, si tant est qu’il y eut des croyants sur ce point.
Le courage ? Fuyons.
L’avenir ? Insignifiant, tant le passé encombre les esprits. L’heure des comptes, le grand soir, sont la pensée dominante. Chacun se prépare, selon ses raisons profondes, à liquider son voisin honnis, à qui il sourit pourtant mécaniquement le matin dans l’escalier commun.
L’Amitié ? En souffrance, vaincue par la distance ou plutôt “distanciation” aujourd’hui.
Il nous reste une chose, définitivement, irréversiblement, profondément implantée en chacun de nous : le communisme. Sous sa forme la plus primaire : la haine absolue du capital, de ceux qui le possèdent ou savent le gagner.
C’est ainsi que tous analysent les gestes, les projets, les actions de la façon suivante : si les fabricants de voitures, et leurs ingénieurs qualifiés, nous fabriquent des voitures aux progrès incomparables, ce n’est pas par passion mais par rapacité. A chaque instant de leur engagement, seul compte l’argent qu’ils vont gagner.
Il en est de même pour les agriculteurs, les médecins, les industriels de l’électroménager, de la vidéo. Idem pour ceux qui fabriquent des chaussures, des vêtements, des articles de sport, etc…
Evidemment les acteurs du net sont les pires, ils n’apportent rien. Chacun peut s’en rendre compte plusieurs heures par jour, les yeux rivés sur son écran
Nul ne peut aimer son travail, apporter sa pierre au progrès, puisqu’il ne le fait que pour gagner de l’argent, par cupidité. Le travail doit être honni, il n’est que le suppôt de la cupidité, sauf s’il permet de dépenser de l’argent sans en gagner ou sans en faire gagner, genre ONG.
Le monde est divisé en deux, ceux qui produisent et sont des fumiers de lapin, qui ne pensent qu’à l’argent, et les autres qui ne foutent rien et sont parfaits, puisqu’ils ne pensent jamais à l’argent. Il leur est donné en remerciement de la perfection de leur pensée, de leur grand cœur, de leur sagesse dans la lecture de l’avenir.
Je suis au cœur de cette problématique. Depuis quinze ans je porte un magnifique projet indispensable à l’avenir de La Rochelle, ceux qui l’interdisent n’ont qu’un motif à mettre en avant : il pourrait me faire gagner de l’argent. Pendant qu’eux n’en gagnent pas, ou plutôt n’en font pas gagner à la ville éreintée par les prélèvements qu’ils opèrent sur toute chose et les nullités induites sur leurs choix par ces prélèvements.
Mieux vaut rouler en Traban pourrie qu’en Peugeot 308, au moins on est sûr que personne n’a jamais gagné de l’argent avec la fabrication des Trabans, tandis que sur la famille Peugeot… il y aurait tant à dire… Et ne parlons pas des Michelin. Quant à Jeff Bezos, non je n’ai rien dit, j’ai juste éternué, vous avez confondu…
Et revoilà COVID, toujours au petit trot, c’est son rythme.
Ceux qui prétendent lutter contre elle ne sont que des êtres abjects, cupides.
Qui peut imaginer que des hommes ou des femmes se passionneraient pour la chimie, la biologie, alors que Dieu ou La Terre nourricière ont tout prévu. Que ceux-là auraient pour passion la recherche médicamenteuse ? Quelle supercherie.
Non mais, pour qui nous prend-on ?
Halte là, vous voyez bien que leur seul but est de gagner de l’argent, ce sont des bandits dont, heureusement, nous nous méfions.
D’ailleurs de quoi se mêlent-ils puisque COVID ne tue que les vieux ou les malades, laissons-la faire, nous ne sommes ni vieux ni malades, donc pas concernés.
Nous aurons rapidement la preuve, par les catastrophes qui vont tomber sur la tête des vaccinés, que la cupidité et le capital sont les deux plaies de l’humanité, auxquelles, grâce à Dieu, notre éducation nous a rendu complètement hermétiques.
Si le vaccin était une réussite ? N’y pensez pas. Il ne manquerait plus que ça, que ces fumiers de capitalistes aient de la chance. Que leur cupidité se retourne contre nous.
Finalement, ce ne serait qu’une souffrance de plus, être communiste demande une acceptation de la souffrance, du partage de celle-ci, nous sommes habitués.
Nos élites savent ce qu’est la souffrance, Mélenchon, Staline, dans une moindre mesure Mendes France, Hollande, Jean Paul Sartre, etc… nous ont aidé à souffrir en silence. La souffrance est notre ciment, peu de chance que nous en sortions, à cause de ces fumiers d’industriels, de fabricants, de prestataires de tout poil, qui ne pensent qu’au fric, alors que nous le fric… basta…. on s’en fout complètement.
Pourquoi on ne parle que de ça ? Ben…
Bien à vous. H. Dumas
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