Tous les articles par Henri Dumas

A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

Prêts à tuer…

Pris la main dans le sac, s’il est armé, le voleur tue probablement.

S’il a réussi à se persuader que son vol est légitime, s’il a bonne conscience, il tue alors systématiquement. Nous en sommes là.

Nos bureaucrates-fonctionnaires qui pillent le budget commun appellent ce pillage la solidarité. Tout est dit.

Ils qualifient leurs victimes de capitalistes, de riches, de “fraudeurs fiscaux”, ce qui leur paraît suffisant pour qu’ils s’autorisent à les tuer à l’aide de la force publique, dont ils ont préalablement acquis l’exclusivité.

Petit rappel sur l’origine du bureaucrate-fonctionnaire tueur.

Le seul fait d’être bureaucrate ou fonctionnaire ne rend pas tueur. Pour en arriver là il faut d’abord ajouter à sa fonction naturelle de service au public des activités économiques qui ne devraient dépendre que du marché, qui n’ont rien à voir avec le service public.

C’est ce glissement dans la fonction qui va entraîner le pillage, et le surnombre, des bureaucrates-fonctionnaires.

La bureaucratie est neutre en soi, nécessaire à toute organisation multiple.

Ce qui lui confère un vecteur, qui marquera sa logique, ses moyens et son résultat, c’est l’objectif final de sa raison d’être.

Cet objectif final n’a que deux statuts possibles : consommateurs ou assujettis.

Cas du consommateur.

Le vecteur va du bas vers le haut.

L’entreprise, dont le bureaucrate est membre, devra pour exister conquérir et conserver des parts de marché. A cet effet elle sera tenue, sauf situation de monopole, d’apporter au consommateur un intérêt, un service, qu’il reste libre de prendre ou non.

Dans ces conditions le bureaucrate va devoir être à l’écoute des souhaits du consommateur pour les remonter au niveau des décideurs de l’entreprise. Il ne pourra utiliser à cet effet ni la force ni le mensonge, mais uniquement sa compétence et sa sensibilité.

Cas de l’assujetti.

Le vecteur va du haut vers le bas.

Comme son nom l’indique l’assujetti n’a pas de choix. Dans un espace, commercial ou de service, géré par les hommes de l’Etat le destinataire n’est plus un consommateur mais un assujetti, son intérêt n’est plus pris en compte ou du moins il ne le maîtrise plus.

Le bureaucrate alors n’a pas à détecter les souhaits de l’assujetti pour les transmettre aux décideurs, il a simplement à imposer leurs ordres pour soumettre les assujettis aux objectifs des décideurs.

Ces objectifs — lorsqu’ils ne sont plus, directement, clairement, attachés au seul périmètre du strict besoin collectif — n’ont plus de limite. La politique, la démocratie, ne sont pas outillées pour juger du bon fonctionnement d’une activité normalement dépendante du marché, soudain captée par les hommes de l’Etat. Les décideurs ne sont plus alors tenus par l’intérêt du consommateur devenu un assujetti.

Le bureaucrate-fonctionnaire n’a pas besoin de compétence ou de sensibilité pour soumettre l’assujetti. Ses armes seront le mensonge et la contrainte.

Nous en sommes donc là, à très grande échelle.

Les hommes de l’Etat ont agrandi sans limite leur terrain naturel d’intervention — l’Etat régalien — au détriment du marché.

Se faisant ils ont multiplié au-delà du raisonnable le nombre de bureaucrates-fonctionnaires en mode vecteur du haut vers le bas.

Cette situation finit aujourd’hui en pillage caractérisé, non seulement du capital collectif mais de toutes les énergies du marché et de toutes les richesses à venir.

Pris la main dans le sac, particulièrement découverts à l’occasion du COVID, les bureaucrates-fonctionnaires vont devoir se retirer ou passer au meurtre de masse.

En ce qui me concerne je crois pouvoir, à partir de ce que je vis, vous dire qu’ils vont passer au meurtre de masse.

En effet, ils n’ont aucune lucidité quant à leur pillage, dont ils se sont persuadés qu’il est légitime. Ils maîtrisent la force et avec elle éradiquent tout contrepouvoir.

Leur nombre excessif est le garant de la pérennité de leur organisation, de leur impunité.

Cerise sur le gâteau, ils maîtrisent ou inventent des points clefs par lesquels le marché est tenu de passer, où ils le rançonnent.

Tout est présent pour le meurtre de masse, pour l’éviter il faudrait détruire des pans entiers de l’organisation qu’ils ont mise en place. Cette destruction apparaîtrait comme fautive, alors que leurs meurtres s’imposent comme logiques.

L’histoire comptera les morts, bien plus tard. Les bureaucrates-fonctionnaires à la manœuvre ne seront plus là, depuis longtemps.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (10 avis)
Loading...
1 650 vues

Egalitarisme = socialisme = pénurie > solidarité

Comment vivez-vous ces étranges Dimanches de confinement ?

Dans la semaine pas de problème, c’est la galère. L’accès au travail est très compliqué, il est rare que les besoins de déplacement entrent dans une des cases qu’il faut cocher. Le risque de PV est maximum. Une dictature “pour de rire”, dont on imagine aisément les effets si elle se transforme en “pour de vrai”.

Mais le Dimanche.  Tout aussi bien nous serions restés à la maison. Mais y être assigné, c’est différent, frustrant. On gamberge.

Je lis en ce moment le bouquin d’Evelyne HEYER “L’Odyssée des gènes”, le matos impeccable pour gamberger.

Notez, j’ai du mal. Beaucoup de termes scientifiques inconnus décrivant des environnements difficiles à conceptualiser. En même temps une révélation, même diffuse ou mal comprise.

La dernière fois que ce sentiment m’est arrivé c’était avec Hubert Rives, lorsqu’il m’a appris que le ciel étoilé que je regarde chaque soir d’été n’existe pas, que l’image que je vois date de plusieurs milliards d’années, temps que la lumière a mis pour arriver jusqu’à moi. Il m’a fait comprendre qu’entre moi et le cosmo le temps n’est pas le même, il est une séparation infranchissable qui me cantonne à ce que je suis, ou crois être. Ce que je vois est une illusion, alors que je croyais que c’était au contraire la vraie vérité, immuable, que les hommes regardaient depuis toujours, qui me reliait à eux. Drôle de douche…

Avec Evelyne Heyer c’est pire, j’apprends que je ne suis que la conséquence de mes gènes.

Même s’ils mangent bien leur soupe les pygmées resteront petits à cause de leurs gènes. Ce sont les gènes qui m’ont fait blanc, pour que je fabrique ma vitamine D avec peu de soleil. Avant j’étais noir.

En réalité ma marge de manœuvre personnelle est infime, ma volonté un leurre, mes gènes décident et s’adaptent pour moi, eux seuls maitrisent le temps, les milliers d’années.

Alors que l’on m’a interdit de parler de races, affirmé que nous sommes tous pareils, il n’en n’est rien. Au contraire, tout est dans les gènes, donc dans la race, qui se mélange, mais pas tant que ça, qui évolue, mais pas si vite que ça…. Ben dis-donc…

Et le COVID alors ?

Imaginez que vous seriez doté du gène qui permet à votre système immunitaire de ne pas paniquer en sa présence, de le traiter pour ce qu’il est : une grippe.

Alors, vous pourriez faire semblant de vous confiner, de vous masquer. Et ça marcherait bien sûr. Pendant que les autres, qui n’auraient pas le gène salvateur, crèveraient en cœur malgré les mêmes attitudes, le même cinéma, contraires à la vie en société. Ils mourraient en même temps que leur organisation sociale, bon débarras, ça fait de la place.

Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. Je parlais juste de ces Dimanches d’inactivité propices à tous les vices évidemment, y compris ceux de l’imagination, c’est bien connu.

Revenons au présent immédiat.

Les socialos-fonctionnaires se ramassent dans la gestion des hôpitaux, nous sommes sommés de ne pas nous y rendre. Pour cela rien de plus simple, interdiction de sortir de chez nous, radical.

Les socialos-fonctionnaires se ramassent dans la gestion de la justice. Pas de problème, il suffit de ne plus rien lui demander. Si vous êtes un légaliste, un qui croit en la justice, qui donc la sollicite souvent, vous êtes repéré, fiché. Lors de votre prochaine visite vous écoperez d’une condamnation suffisamment lourde, qui depuis peu doit être payée pour pouvoir faire appel. Vous retournerez chez vous, la queue entre les jambes, soulagé d’un paquet de fric, devenu la victime soumise non seulement de votre adversaire mais aussi de la Justice que vous avez agacée. Formidable.

Les socialos-fonctionnaires ont planté l’économie du pays. Pas de problème, ils vous confinent, baissent vos revenus de 30% pour les plus chanceux, vous amènent à la faillite pour les autres. Ils appellent ça la solidarité.

Mais eux ? Ont-ils proposé de baisser le salaire que vous leur payez de 30%, alors qu’ils sont justement les plus confinés ?

Je ne sais pas, je n’ai pas la télé. Notez que je n’en n’ai pas entendu parler.

Avec les socialos-fonctionnaires ont est certes branchés égalité et solidarité, plus qu’eux d’ailleurs, mais aussi pénurie, et aussi plus qu’eux parce qu’ils ont leurs combines qui ne nous sont pas accessibles.

Au fait, auriez-vous un vaccin pour la grippe ordinaire, toute simple ? Celui qu’avant on trouvait facilement. Avant la dictature socialo-fonctionnaire qui se met en place.

Moi je n’en n’ai pas, pourtant j’ai un papier de prioritaire…

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (11 avis)
Loading...
1 073 vues

La croyance est une infirmité de la raison, nul n’a le droit de s’en moquer.

Je lis peu la presse. Je n’ai pas la télévision. Mais je n’échappe pas au web qui envahit mon espace de travail : le bureau de mon ordinateur.

Je suis donc touché par une sorte de survol d’informations, de titres racoleurs, et d’articles que je ne peux pas lire le plus souvent car ils me sont cachés pour cause de non-abonnement.

Il me reste de tout cela les faits divers bruts, sélectionnés par d’autres, plus ou moins bien rapportés et des arguments sur le fond toujours avortés.

Le sujet du jour parait être l’islam. Une croyance, dont notre président défend, dur comme fer, l’idée que l’on peut s’en moquer et que ceux qui doivent supporter cette moquerie n’ont qu’à la fermer. C’est la loi, point barre.

Il n’en n’est pas ainsi dans ma pensée.

J’explique, dès que je le peux, peut-être même trop souvent, que la croyance vit au détriment de la raison qu’elle anéantit.

La croyance s’infiltre dans les esprits, ou “est infiltrée” dans les esprits, par toute une organisation sociale destinée à faire croire aux hommes qu’ils doivent obéir et servir d’autres hommes, qu’ils doivent laisser leur liberté d’homme de côté pour des motifs supérieurs et évidemment impérieux, au point qu’en cas de refus, de révolte, on se réserve le droit de les tuer, de leur prendre la vie. Très inconfortable, déplorable.

Ces motifs supérieurs peuvent être l’endroit où ils sont accidentellement nés, la religion de leurs parents, l’organisation politique qui leur est imposée en même temps que leur marquage au fer rouge, appelé aussi carte d’identité. En résumé tout un tas de motifs dont le rapport avec la croyance imposée est assez flou.

Il faut aussi prendre en compte le fait que, pour un grand nombre, la croyance est une béquille intellectuelle qui permet d’éviter d’avoir besoin de réfléchir par soi-même.

Tout ceci exposé, il est clair que la croyance, en posant des aprioris, paralyse la raison.

La paralysie physique est considérée en médecine comme une infirmité.

La paralysie intellectuelle de la raison doit être considérée de la même manière.

Il ne viendrait à l’idée de personne de se moquer dans la rue d’un infirme physique, comment peut-on prétendre au droit de se moquer d’un infirme intellectuel ?

Alors, à nos amis moyen-orientaux — à qui dès leur plus jeune âge, on impose une croyance qui va paralyser leur raisonnement, qui va entrainer une infirmité de leur capacité à raisonner librement — nous devons empathie et aide avec l’espoir de leur faire entrevoir les bénéfices de la liberté de penser une fois libérés des croyances. Certainement pas caricatures et moqueries.

Oui mais voilà. Nous-mêmes étant enfermés dans des croyances religieuses ou politiques, comment pourrions-nous leur parler librement, comment pourraient-ils croire ce que nous leur plaiderions sans nous l’appliquer à nous-mêmes.

Le peu que je lis ou vois du sujet me révolte sincèrement.

Je crains fort qu’engagée comme il est dit actuellement l’affaire tourne gravement mal, vire carrément au bain de sang, à la guerre des croyances, la guerre de religion.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,56 sur 5 (9 avis)
Loading...
1 094 vues

Bercy est le mal

Cette affirmation peut paraître ridicule aux croyants. Peut-être blasphématoire.

Le but principal d’une croyance est de dominer la raison des croyants au profit de ceux qui véhiculent la croyance. C’est l’inverse de la vie. C’est le chemin de la mort, de la disparition.

Toutes les énergies qui régulent la vie font en sorte que son évolution aille dans le sens de l’intérêt des porteurs de vie. Dans le cas contraire la vie disparaît.

Le moteur de la vie est l’intérêt.

Intérêt de chacun, du groupe, de l’environnement, moral, matériel, quelle que soit sa forme l’intérêt prime.

Sa définition, évolutive, doit impérativement être perçue à chaque instant, face à chaque situation.

C’est ici que la raison est essentielle, que l’obscurantisme attaché à toutes les croyances est mortifère.

Le bien consiste à évaluer correctement tous les intérêts liés à une situation et à les respecter scrupuleusement.

Le mal, inversement, piétine les intérêts des intervenants à une situation, pour tous ou pour partie, au profit de quelques-uns voire de personne.

Équilibrer les intérêts n’est pas accessible à tout le monde, les conflits d’intérêts sont multiples, en constante évolution, difficiles à mettre en perspective, souvent occultés par les intérêts de premier plan en fonction de l’observateur et de l’angle d’observation.

Servir les intérêts de la vie est l’honneur de l’homme, pour cela il a besoin de toute sa raison. Ceux qui prennent la responsabilité d’occulter la raison en véhiculant des croyances portent une lourde responsabilité face à l’humanité.

Comme la raison est la fille directe de la liberté, toute atteinte à la liberté est une atteinte à la vie.

Bercy est le mal

Bercy coche toutes les cases de la nuisance aux intérêts, qu’ils soient collectifs ou individuels, à l’aide d’une croyance égalitaire strictement basée sur la propagande que les résultats contredisent absolument.

Il ne fait aucun doute que Bercy soit le mal, sa propension à écraser tous les intérêts particuliers ou collectifs, de toute sorte, au profit exclusif du sien est une évidence qui n’échappe à personne.

Les questions sont :

Pourquoi cette évidence ne provoque-t-elle pas la disparition de Bercy ?

Comment le mal à un tel niveau peut-il perdurer ?

Quand le mal devient jouissance.

Là est le problème et le danger essentiel qui perturbent constamment le développement harmonieux de la vie : l’intérêt n’est pas toujours la solution la plus agréable, c’est même souvent son contraire.

La drogue est un bon exemple. Il n’est pas conforme à l’intérêt d’un individu de se droguer, mais que pèse l’intérêt face au plaisir, à la facilité. Restera, froidement, la souffrance d’affronter la mort pour le drogué qui se sera trompé d’intérêt.

Ici nous évoquons un intérêt dans sa phase personnelle. Il y a aussi une dimension collective évidemment. Il en est toujours ainsi, intérêts individuels et collectifs sont étroitement liés et doivent être concomitamment perçus et pris en compte.

Le mal rependu par Bercy produit une jouissance collective mortifère.

Il flatte la jalousie. Il alimente le plaisir de ceux qui affrontent des difficultés et trouvent un réconfort à en créer artificiellement à ceux dont ils pensent qu’ils n’en rencontreraient pas.

Tout ceci n’est qu’apparences évidemment, mais elles cachent l’intérêt général.

Ceux qui attisent et profitent de cette situation ne sont pas prêts à laisser filtrer la réalité, la vision réelle des intérêts en jeu. Au contraire ils entretiennent la croyance et la propagande, leurs alliées.

Dans ces cas-là, il faut attendre que les faits imposent la vérité, même si alors il est trop tard et si les intérêts bafoués ne sont plus perceptibles.

Les intérêts mal perçus, laminés, expliquent le parcours irrationnel de la vie, de la cellule primaire à l’être le plus sophistiqué, accompagné de tant de morts inutiles.

Bien qu’étant le mal, Bercy s’imposera jusqu’à ce que mort s’en suive, car Bercy est une œuvre politique, dont le socle est une croyance.

Contrairement à l’économie où les croyances ont la vie souvent brève et finissent en faillite, les croyances politiques peuvent durer des siècles par la force avant que se constitue l’énergie nécessaire à leur renversement.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (8 avis)
Loading...
1 228 vues

Liberté d’expression, blasphème…..

Qu’en pensez-vous ?

Citation directe Brabant  (ouvrir en cliquant, temps d’ouverture 45s)

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,43 sur 5 (7 avis)
Loading...
1 061 vues

La France des tricheurs

Ce n’est pas un appel à la délation, juste la demande d’un peu de pudeur.

La gauche étatiste accuse la France économique — qu’elle traite de capitaliste, voire de “capitaliste-libérale” — de triche fiscale. En réalité il s’agit pour elle de faire porter le chapeau de notre dette démesurée, qui augmente exponentiellement, à cette catégorie minoritaire de notre société qui, elle, a l’impression de tenir le pays à bout de bras.

Les confinements en cascade semblent effectivement prouver que c’est bien la France du privé, du commerce et de l’artisanat, de l’industrie, qui fait marcher la boutique.

Oui mais, prétendent les étatistes, cette France est égoïste, elle accumule, en trichant sur l’impôt, à hauteur de 80 milliards par an.

Il s’agirait donc d’une perte pour le budget du pays qui justifierait les abus de droit des Services des contrôles fiscaux, de leur droit de tuer et de torturer.

Remarquons par ailleurs ceci.

Un agent de l’état coûterait 48.000€ par an. Il y en aurait un million de trop. Nous avons donc déjà là 48 milliards prélevés indûment sur le budget annuel de la France.

D’autre part la fonction publique travaille 2% de temps en moins que le secteur privé — Il est aussi probable que l’artisan plombier prend moins sur son temps de travail pour se faire les ongles que la secrétaire de mairie, mais pas d’étude chiffrée à ce sujet — ces seuls 2% représentent 10 milliards d’euros.

Voilà donc 58 milliards qui sont prélevés indûment sur le budget collectif, sans richesse créée en contrepartie.

Ne parlons pas du vol direct par différentes déviances connues : tricheries aux avantages sociaux, dépenses à but électoral inutiles, etc… qui pourrait s’élever à plus de 100 milliards.

Nous sommes amenés à constater que le plus gros des “toxiques au budget commun” sont invisibles et, qu’en plus, ce sont eux qui crient au loup quant à la triche fiscale.

Alors oui, un peu de pudeur, ce serait la moindre des choses.

Car, la traduction dans la pratique de cette délation injustifiée, qui traite systématiquement de tricheurs fiscaux les acteurs économiques, se traduit par des troupes de “sauvages redresseurs de tort” — trompeusement appelés contrôleurs fiscaux — assistés d’une justice d’exception, qui peuvent espionner, harceler, torturer et détruire, à longueur de temps, en toute impunité, la France économique qui n’en peut plus.

Un peu de pudeur permettrait de faire entendre la voix de ceux que les clameurs indignées de ces plus gros tricheurs occultent.

Sans réclamer la même impunité que celle des agents publics indélicats avec l’argent commun — la délinquance du voisin ne pouvant légitimer la sienne — les acteurs économiques sont en droit de refuser les leçons de morale fiscale des étatistes et d’exiger du contrôle fiscal les mêmes garanties que pour les délits de droit commun.

Ce serait un minimum.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,64 sur 5 (11 avis)
Loading...
935 vues

Normalement, la Sécu devrait disparaître…

Dans n’importe quelle organisation sociale vivant l’épisode COVID, un tel échec pour un tel coût, devrait entrainer la mort immédiate de l’organisme responsable.

Or la sécu, dont le principe et la base de financement sont en décalage complet avec sa simple dimension d’assurance, va pourtant probablement non seulement s’en sortir mais s’imposer par la force au détriment de la vie économique.

Cela tient au fait que l’idée est séduisante, le mensonge attractif.

Soigner tout le monde à prestations égales, à partir de cotisations payées par quelques-uns qui ne sont justement pas les malades, il faut bien le dire : ça fait rêver.

Une impression de solidarité se dégage de cette utopie, renforcée par quelques professionnels de la santé très gentils, qui se sont laissés dévorés par les protocoles de la sécu, ont assisté impuissants aux échecs qu’ils ont tentés de contrer par un engagement dantesque qui les a laissés épuisés, en gros plan sur tous les écrans de nos nuits blanches…

La solidarité c’est le truc qui vous fait croire que vous n’êtes pas seul au monde, mais qui en réalité ne sert que ceux qui se réclament d’elle; dont les masques, gestes barrières et dénonciations en tout genre donnent une idée assez précise des limites.

La raison voudrait que le plus tôt possible la sécu disparaisse, que les soins rentrent dans le réalisme du marché dont ils ne peuvent pas s’extraire, que la collectivité mette en place une aide économique pour ceux qui ne seraient pas capables d’assumer le coût de leur assurance maladie.

Au lieu de cela, dès la fin du COVID, les inspecteurs de la sécu vont fondre sur les pauvres cotisants et leur faire cracher la monnaie destinée à disparaitre au fond du gouffre de la sécu, sans espoir d’effet sauf la ruine des dits cotisants.

Là nous avons, grandeur nature, un exercice pédagogique de la différence entre la politique et l’économie.

La politique a des idées, mais aucune limite à la mise en place de ces idées. Bien plus, leur échec tend à les renforcer, car il est la plupart du temps tout simplement imputé aux opposants, sans autre réflexion.

L’économie a aussi des idées, mais quand elles sont mauvaises la faillite vient remettre rapidement les pendules à l’heure.

L’économie est source de progrès, la politique source de régression.

Tout cela ne règle pas cette émotion violente, terrible, qui emporte tout : l’Injustice.

L’injustice est mise à toutes les sauces, certains prétendent même avoir la capacité de la maîtriser. Ce sont les plus dangereux.

L’injustice est naturelle, face à elle il n’y a rien. Peut-être l’amour… à voir.

De la façon la plus certaine qui soit, tout ce qui tente d’imposer la justice par la force déchaine des injustices plus terribles que l’injustice naturelle. Ce n’est pas un théorème, c’est tout bêtement un constat, la sécu en fait partie.

Il nous reste à voir comment nos hommes de l’Etat, et la foule, vont s’y prendre pour effacer l’échec de la sécu, le transformer en une réussite exemplaire, augmenter évidemment son budget ?

C’est ça la grande mise en scène de demain, le film à gros budget que nous allons découvrir.

Sortie prévue au printemps. Je n’irai pas le voir.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,60 sur 5 (10 avis)
Loading...
1 647 vues

Le paratonnerre COVID

Petit à petit le brouillard se dissipe, la réalité commence à apparaître, elle sera inévitablement suivie de la vérité… plus tard.

Ce qui est acquis : l’organisation économique, politique et sociale occidentale marque le pas. Trop compliquée sans doute, ce qui l’a rendue fragile.

Le pouvoir occidental appartient aujourd’hui à une bureaucratie surdimensionnée, prétentieuse, atteinte globalement du principe de Peter, associée à une organisation économique de connivence qui a perdu de vue la notion de mérite, de service, de concurrence, de respect du client, de parole donnée, d’honneur, au profit de la puissance, de la combine visant à acquérir cette puissance, du cynisme, du monopole.

La propagande, le crédit et sa compagne la fausse monnaie, ont ravagé la société, qui est en lambeaux.

De multiples croyances, religions, utopies, toutes démagogiques, flattant les mauvais penchants, se sont répandues sur ces ruines, terrassant la raison qui n’a plus cours.

Ceux qui sont à la base de cette capitulation en rase campagne commencent à paniquer.

Les plus chanceux partent, sans trop savoir où aller. Les autres tentent de se protéger.

Ceux qui sont du côté de l’économie réclament des torsions du marché à leur avantage, les bureaucrates réclament la protection à leurs complices encore au pouvoir.

Tous sentent que l’heure des comptes approche… ils fouettent.

Alors que des systèmes sociétaux plus frustres accumulent du pouvoir. Ils rentreront inévitablement en conflit un jour avec notre organisation défaillante, ils la supplanteront, la messe sera dite…

Pendant ce temps

La peur est diffuse, elle irradie toute la société occidentale, mais peu en comprennent où acceptent d’en comprendre les causes, de les évoquer, de les soigner. C’est dur de perdre le pouvoir, c’est l’hébétude qui le remplace habituellement. Pensez à la vidéo de Nicolae Ceaușescu.

Soudain arrive le COVID.

La peur diffuse peut se cristalliser. Voilà ma peur nommée, je peux oublier la réalité, mettre mon masque, accumuler les gestes barrières, m’éloigner du voisin, m’isoler, j’ai ainsi l’impression de vaincre ma peur.

Plusieurs milliards d’êtres humains, au même moment, mettent la tête dans le sable en faisant mine d’affronter leur ennemi le COVID, c’est la plus grande mystification de tous les temps. Sans complot, sans prestidigitateur, rien que nous, tous, comme des grands.

Une immense dépression nerveuse fait soudain apparaître masques et attitudes de replis comme des outils contre la peur, y compris dans les coins les plus isolés.

Chacun s’emploie artificiellement à éloigner sa peur — non exprimée — du déclin sociétal en la cristallisant sur le COVID, donc sur les autres.

Mais ce leurre ne va pas durer. Bien plus, il accentue le vrai mal qui pendant ce temps peu se développer librement.

Le réveil va être torride.

Les bureaucrates ont bien raison de réclamer l’impunité, de refuser que la population puisse les juger publiquement.

Mais, leur déception va être grande quand leurs protecteurs, pour être élus, les abandonneront en rase campagne. Car, n’en doutons pas, ils seront les bouc-émissaires du fiasco. Leurs complices s’échapperont du piège, l’électeurs est si naïf, si égoïste, si mal élevé…

Chers fonctionnaires, vous m’avez tué, mais pour autant je ne veux pas votre mort, je ne veux la mort de personne, je vous plains par anticipation….

Mais une bonne fessée…

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,85 sur 5 (13 avis)
Loading...
1 034 vues

Pas de confusion : revendiquons le droit au blasphème.

Je ne voudrais pas être poursuivi pour autre chose que “Caricature blasphématoire”.

Voici donc la caricature du championnat du monde des semeurs de merde brillamment remporté par Brabant, dont je parlais dans un billet précédent.

Pour la qualité du dessin, euh… que dire….

Bien à vous. H. Dumas

 

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (7 avis)
Loading...
1 042 vues

Enterrement de la liberté d’expression : Acte 1

Au moment où les français subissent de plein fouet l’agression de leur bureaucratie, ses dérives et sa bêtise, où certains en meurent par la ruine ou le stress, les représentants de l’Etat-Dieu ne trouvent rien de mieux à faire que de protéger les tortionnaires.

Rappelons que l’Etat est au service des français, que les fonctionnaires ont un statut privilégié par respect pour leur fonction qui est le service et la protection des français.

Et, contre toute raison, alors que le blasphème est protégé, voire encouragé, la simple critique nominative d’un fonctionnaire malveillant, vicieux, abusant de son pouvoir, est formellement interdite.

Quand on connait le résultat des plaintes déposées par certains courageux contre les abus des fonctionnaires : tout simplement nul, on prend la mesure liberticide de la circulaire ci-dessous.

Oui, la dictature des fonctionnaires est en marche.

L’assassinat du prof est bien la lutte à mort entre deux religion que toute raison a abandonné; la lutte à mort entre zélotes de croyances opposées, musulmans intégristes et étatistes intégristes.

Entre les deux, c’est nous qui allons morfler, perdre notre liberté de critiquer, de dénoncer.

Grave jour que ce 2 Novembre 2020

Nous sommes humiliés, ramenés au stade du potache qui n’a le droit que de se taire face à la société dont il est réputé ne rien connaître.

Nous sommes infantilisés par des gens qui n’ont pas le courage d’affronter leur propre médiocrité.

Nous sommes définitivement seuls face aux prédateurs qui nous violent, nous volent….

Tout cela est à vomir.

Bien à vous. H. Dumas

PS : Je suis effondré que Dupond-Moretti ait signé ça….

 

 

 

 

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (7 avis)
Loading...
2 064 vues

Les libres penseurs

Au milieu du 19ème siècle, il semblerait que Victor Hugo ait été l’inventeur de ce qualificatif.

Il regroupait les personnes qui, impactées par le développement des applications de la science dans l’industrie naissante, ne supportaient plus l’obscurantisme religieux et considéraient que rien ne pouvait être cru qui ne soit prouvé.

Les libres penseurs mettaient le constat, la vérification, au départ de tout. Ils étaient les laborantins des théories des lumières.

Ils luttèrent sous différentes formes, par différents canaux, pour finalement arriver à la séparation de l’Etat et du clergé. Séparation pour eux entre le dogme, la vérité avérée, et l’Etat qui représentait la connaissance, le doute sans elle, la science.

Pouvaient-ils imaginer qu’un siècle plus tard l’Etat deviendrait une croyance, un Dieu que vénèreraient ses servants et ses esclaves, donc tout le monde ?

Hélas les libres penseurs ont disparu, leur structure mentale, leurs réseaux se sont éteints par manque d’usage pendant un siècle.

Aujourd’hui, ils nous manquent terriblement.

Leur absence laisse en présence toutes sortes de croyances qui ne demandent qu’à en découdre. Religions, capitalisme, communisme, Etat, Anarchie, la liste est longue.

Or, si comme le prétend Yuval Noah Harari, la croyance est le ciment qui a permis à l’homo sapiens des regroupements illimités qui lui ont donné la supériorité sur les autres humanoïdes, il y a une autre chose remarquable avec la croyance.

La croyance aveugle, elle annihile l’empathie, l’humanité.

Le croyant, par ailleurs souvent normal, devient facilement dangereux armé de sa croyance. Il peut alors détruire et tuer sans limite.

Quand il n’y a plus de refuge hors la croyance, notamment quand l’Etat, c’est-à-dire le collectif qui regroupe les individus d’un même site, devient lui-même un Dieu adulé, l’affrontement total n’est pas loin.

L’autre problème que pose la croyance est que celui qui est envahi par elle n’en n’est pas conscient.

Elle transforme l’esprit au point qu’il ne peut plus réfléchir qu’à partir d’elle.

Si vous demandez à votre voisin s’il a bien compris que l’Etat n’existe pas, qu’il n’est qu’une croyance à laquelle il est libre de ne pas croire, il est possible qu’il vous dénonce comme malade mental.

Nous en sommes là, c’est dire que la situation est grave.

Si grave que l’échec de l’Etat-Dieu dans sa configuration actuelle ne va pas automatiquement nous apporter une situation meilleure, c’est-à-dire la conscience que croire en lui est l’erreur.

Il est probable qu’au contraire le reflexe des croyants en l’Etat-Dieu sera d’en adorer un plus fort, plus puissant, qui les entrainera plus loin dans l’illogisme de toute croyance.

Faire revivre la libre pensée ?

Un travail de titan, qui pour l’instant ne pourrait se raccrocher à rien, à aucune structure, à aucune raison, à aucune philosophie, puisque tous ne pensent qu’à modifier l’Etat-Dieu selon leur intérêt personnel.

Nous sommes au plus profond de la grotte de Platon. Celui qui sort ne peut plus revenir, la haine qui lui est portée l’obligerait à dissimuler ses observations.

Que dire ? Que faire ? Aucune idée.

Une seule chose est sure, rien ne peut être fait seul. Alors… réunissons-nous.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,20 sur 5 (10 avis)
Loading...
1 698 vues

Les prédateurs commencent à se planquer

Ça chauffe.

Un ami lecteur — dont le pseudo est lol-lol — attire notre attention sur le décret n° 2020-1306 du 28/10/2020.

Stupéfaction. Ce qui naguère, il n’y a pas si longtemps, nous avait été vendu comme un progrès essentiel : la transparence nominative, qui obligeait les fonctionnaires à signer de leur nom toute décision prise par eux, s’avère intenable pour Bercy tant les décisions de ses agents soulèvent de graves réactions d’injustice, dont les dits fonctionnaires s’inquiètent des conséquences possibles pour eux.

En termes plus crus : ces salauds chient dans leur froc.

On les comprend.

Tout comme la pieuvre mafia ne peut pas agir au grand jour, la pieuvre des officiants de Bercy au service du Dieu-État est tenue de se planquer dans les grands fonds, ne laissant apparaître que ses tentacules prédatrices.

Elle image ce refrain mis dans nos têtes :

“Entendez-vous dans les campagnes

Mugir ces féroces soldats Juda

Ils viennent jusque dans vos bras,

Egorger Éponger vos fils sous, vos compagnes votre épargne “.

Voilà un texte, dont la musique entêtante est adaptée à la situation.

Ce racket a deux visages.

Le pillage direct

Il s’agit des ATD injustifiés, des redressements fiscaux indignes, des expropriations dolosives, de toutes ces contraintes injustes qui se traduisent par une entrave à notre vie ou par le pillage de nos biens.

Ces actes, qui nous sont adressés personnellement, à notre nom et à notre adresse, seront à l’avenir signés par un numéro. Les tortionnaires avancent dorénavant masqués. Mais, ils avancent toujours.

Il ne leur vient pas l’idée qu’ils pourraient modifier leur comportement pour attirer la sympathie plutôt que la haine. Ben non, puisque c’est d’elle qu’ils tirent leur jouissance, comme tout tortionnaire.

Rappelez-vous, au confessionnal, les curés sont planqués derrière des grilles…

Le pillage indirect

Qui pour l’instant restera signé de ses auteurs. Il consiste à éditer un maquis de lois qui vous ficellent, dont eux s’affranchissent, au besoin à l’aide de jugements de complaisance rendus par une justice qui leur est acquise.

A ce propos, j’ai un exemple croustillant à vous exposer.

Figurez-vous que les lois sur l’urbanisme sont d’une complexité qui dépasse largement les capacités intellectuelles des fonctionnaires et élus de la ville de La Rochelle.

Ne les accusons pas aveuglement, c’est le cas dans la majeure partie des villes en France.

C’est ainsi que le maire de La Rochelle, Jean François Fountaine, a déposé, en tant que président de la communauté d’agglomération de La Rochelle, une déclaration préalable de travaux… qu’il a été contraint de se refuser en tant que maire.

L’architecte des bâtiments de France lui a opposé des textes de loi qu’il ne connaissait sans doute pas.

Par ailleurs, le projet en question avait été occulté à l’occasion d’une enquête publique contestée ayant eu lieu récemment sur le site, ce qui le rend doublement illégal.

Vous vous dites : “avec de telles casseroles il n’aura jamais l’autorisation qu’il convoite.”

Vous avez tout faux. Il fera son projet exactement comme prévu et si quelqu’un “porte le pet”, le tribunal administratif couvrira Fountaine et condamnera lourdement l’imprudent.

Ainsi va la vie dans cette société asservie par les officiants du Dieu-État agissant en toute impunité, maintenant anonymement pour ceux de Bercy.

La population, majoritairement croyante, en redemande et, pour faire bonne mesure, à l’inverse, elle souhaite majoritairement lever l’anonymat sur le net…

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (11 avis)
Loading...
1 450 vues

De quel cerveau est né la liste des activités autorisées et des activités interdites ?

Nul ne peut lire cette liste sans être interloqué par son apparente incohérence.

On ne peut pas traiter une population de la sorte.

La liste dégage une impression d’intrigues, de favoritisme et pour finir d’injustice, inhabituelle dans une démocratie.

Ainsi, sans explication technique, rationnelle, certains sauvent leur peau, d’autres tombent dans la case ruine et assistanat improvisé.

De deux choses l’une :

          – Soit effectivement cette liste provient du cerveau dérangé et sous l’emprise de la panique de fonctionnaires au bout du rouleau, il n’y alors rien à ajouter, le constater suffi.

          – Soit cette liste a des bases scientifiques crédibles, il est alors inadmissible qu’elles ne soient pas communiquées en même temps que la liste. C’est un manque de respect inacceptable pour ceux qui subissent les contraintes de la liste, pour le lien et la paix sociaux.

En admettant que le confinement ait un intérêt, que la pandémie soit réelle — ce dont il est permis de douter lorsque l’Insee ne décompte que 2400 décès de plus en 2020 par rapport à 2019 –, les hommes de l’Etat doivent évidemment justifier leurs décisions lorsqu’elles impactent à ce point la vie des français, acteurs économiques ou clients.

Nous touchons ici du doigt le mal français : sa bureaucratie d’Etat, la fonction publique.

Ce terme désigne une catégorie sur-représentée aux privilèges destructeurs.

Impunité, irresponsabilité et garantie de l’emploi font de cette catégorie sociale un corps constitué incapable de détecter et d’analyser ses erreurs, donc incapable d’évolution.

La sélection et les plans de carrière de ses membres doivent très peu au mérite, beaucoup à l’appartenance, ce qui crée un esprit de corps néfaste à la responsabilité individuelle.

Il est donc peu probable, pour en revenir au titre de ce billet, que l’on sache un jour par qui, pourquoi et comment, a été créée cette liste, qui n’a très probablement aucun fondement raisonné.

Ainsi, les tares du système sautent aux yeux.

Pour autant ce constat, que tous font, est-il de nature à nous permettre d’imaginer que la fin du système bureaucratique est proche, que nous allons tous retrouver la liberté, la responsabilité et le plaisir d’entreprendre ? Hélas probablement non.

Cette interférence politique, rocambolesque et erratique, dans la sphère rationnelle de l’économie n’est pas une première.

L’aryanisation de 1941 à 1944 a procédé de la même façon.

Certes la motivation est différente puisqu’à l’époque il s’agissait d’intervenir dans l’organisation économique pour en chasser les dirigeants juifs et qu’aujourd’hui l’intervention des hommes de l’Etat avance des motifs plus nobles, puisqu’il s’agirait de la santé publique.

Mais la méthode et les moyens sont les mêmes. Désorganiser le marché, la structure économique, par des règlements sans aucun rapport avec la logique économique. En 1941 c’est toute une organisation bureaucratique qui s’était mise en place avec commissions, ministère, services dédiés, qui établissait des dossiers, organisait des tractations, comme si le but poursuivi avait une cohérence. Les acteurs y croyaient-ils ? La population aussi ?

Je ne sais pas, je n’y étais pas. Mais, vue à l’aune de l’histoire cette période est ridicule et bien peu documentée. Pourtant alors, l’économie a sombré sous ces coups de scalpel, sans que personne ne se révolte… c’est la guerre qui a porté le chapeau…

C’est la même folie, la même inconséquence, sans plus de raisons objectives qui rebat les cartes de l’économie aujourd’hui. Car, ceux qui vont être détruits seront remplacés, évidemment.

La vie s’impose malgré toutes ces folies. Mais qu’ont-ils besoins, les hommes, de s’inventer de telles souffrances, de telles noirceurs ?

C’est le mystère insondable auquel sont confrontés les libres penseurs — dont nous reparlerons — ceux qui refusent toute croyance au profit de la raison, de la recherche de la vérité. Une bien difficile attitude.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (9 avis)
Loading...
1 366 vues

L’irréalité d’une deuxième vague ne serait pas un complot.

Imaginons que nos hommes de l’Etat, administratifs et élus réunis, soient perturbés par leur échec largement dénoncé face au COVID, humiliés de voir leur image de bon berger entamée par l’hécatombe des personnes fragiles dont la protection leur sert de prétexte pour vivre confortablement à nos crochets.

Le complexe ainsi déclenché générerait des réactions de leur part qui pourraient donner l’impression d’un complot, alors qu’il ne s’agirait que de la réponse instinctive et non maîtrisée de ce groupe dominant face à l’image d’échec ressentie, qui met leur situation en danger.

Ainsi, en s’auto-persuadant d’une terrible deuxième vague, en annonçant des mesures à la hauteur de ce cataclysme, sa non survenance pourrait s’interpréter comme une réussite des mesures décidées.

Un retour politique favorable, une reconnaissance du troupeau, seraient espérés par eux, et d’ailleurs largement probables.

Évidemment, dès que les hommes de l’Etat décident quoique ce soit, Bercy leur église entre en jeu, elle aussi de façon réflexe, pas fatalement cynique.

Ainsi les bars, les restaurateurs et les billetteries en tout genre, qui sont les seules activités qui échappent encore pour partie au scanner financier de Bercy, se trouvent payer le plus lourd tribut aux mesures spectaculaires mises en œuvre pour cette deuxième vague peut-être fantasmée. Alors que ce ne sont pas les lieux de rassemblement susceptibles de répandre l’épidémie les plus denses.

Cette hypothèse est admissible si la raison l’emporte sur la croyance, et si la mesure de l’abstraction de l’Etat et de l’affligeant ordinaire de ceux qui prétendent le représenter sont pris en compte.

Malheureusement, ce ne sera pas le cas. On peut même avancer que l’hypothèse que j’émets sur ce sujet va, comme d’autres, m’attirer non seulement une nouvelle haine des corps constitués, mais la condescendance hautaine du groupe.

En lisant le magnifique ouvrage “Le siècle des dictateurs”, que je le permets de vous conseiller, on s’aperçoit que la réponse du groupe aux faux-pas de ses maîtres n’est pas la prise de conscience de leur vacuité et l’accès aux libertés individuelles, mais au contraire la recherche effrénée d’un maître plus violent qui soumettra plus durement le groupe.

Qui plus est, le dictateur, ainsi né de la volonté du groupe, après avoir martyrisé et tué finira le plus souvent de sa belle mort, laissant derrière lui des adeptes inconsolables.

Les hommes me surprennent chaque jour d’avantage.

Bien à vous.

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (9 avis)
Loading...
1 270 vues

FRAUDEUR FISCAL

Ce billet remet les pendules à l’heure en ce qui concerne la fraude fiscale, notamment il répond à la question jamais posée : qui fait quoi ? J’ai pris l’engagement de le republier tous les trois mois  Je vais essayer de m’y tenir

Avant d’évoquer la fraude fiscale, une petite digression sur la notion de “peuple”. Ce mot que tous les politiques revendiquent, qui permet d’écraser l’individu, de le reléguer à l’arrière-plan, dans le local poubelle de la société.

Un homme je sais ce que c’est, c’est vous, c’est moi. Mais un peuple, c’est quoi ?

C’est une entité, un groupe, une pensée commune, une opinion, une intelligence, une action, un être doué de facultés, une addition, une somme, un tout, ou rien ?

Tout cela ne m’évoque aucune réalité. Je crois que le “peuple” est une abstraction.

En revanche la foule existe, c’est une somme parfaitement définissable, dont les réactions sont souvent très dangereuses. Si le peuple est une foule purement abstraite, absente physiquement mais réunie intellectuellement, on peut comprendre ses errements, ses folies, ses meurtres, ses génocides, ses délires, sa bêtise, ses éclairs de génie, ses élans de bonté, ses excès.

Tout cela pour vous dire que ceux qui prennent le risque de mettre le peuple” avant la réflexion, de l’utiliser comme caution de leurs pensées, sont des escrocs manipulateurs. Tous sans exception, et ils sont nombreux. Ce n’est pas le virement soudain de Michel Onfray dans cette voie qui va changer mon opinion, sauf en ce qui le concerne.

Le capital commun

La foule, regroupée en nation, peut décider de se doter d’un capital commun destiné à affronter les difficultés ou à engager les projets qui demandent un effort collectif.

Cette idée est une des bases formelles de l’émancipation des hommes voulue lors de la révolution de 1789, elle est formalisée par les articles 13, 14 et 15 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen :

– Art. 13. — Pour l’entretien de la force publique, et pour les dépenses d’administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.

– Art. 14. — Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement d’en suivre l’emploi, et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.

– Art. 15. — La Société a le droit de demander compte à tout Agent public de son administration.

Elle est reprise dans la constitution de notre pays, du 4 Octobre 1958 :

– Art. 47. — Le Parlement vote les projets de loi de finances dans les conditions prévues par une loi organique.

Si l’Assemblée nationale ne s’est pas prononcée en première lecture dans le délai de quarante jours après le dépôt d’un projet, le Gouvernement saisit le Sénat qui doit statuer dans un délai de quinze jours. Il est ensuite procédé dans les conditions prévues à l’article 45.

Si le Parlement ne s’est pas prononcé dans un délai de soixante-dix jours, les dispositions du projet peuvent être mises en vigueur par ordonnance.

Si la loi de finances fixant les ressources et les charges d’un exercice n’a pas été déposée en temps utile pour être promulguée avant le début de cet exercice, le Gouvernement demande d’urgence au Parlement l’autorisation de percevoir les impôts et ouvre par décret les crédits se rapportant aux services votés.

– Art.47-2. — Les comptes des administrations publiques sont réguliers et sincères. Ils donnent une image fidèle du résultat de leur gestion, de leur patrimoine et de leur situation financière.

A quelques nuances près :

Les français n’ont plus la faculté de vérifier la sincérité du capital commun, qui est devenu illimité dans son usage et non réservé “à l’entretien de la force publique et pour les dépenses d’administration”.

Leur consentement n’est plus nécessaire pour le montant, le recouvrement et l’usage du capital commun.

Ils sont privés du droit de constater sa légitimité puisque l’article 47-2 déclare les comptes de l’administration publique infaillibles, comme le pape.

Et enfin, il n’est évidemment pas question de pouvoir demander “compte à tout agent public de son administration”.

Ceci établi, le capital commun — aujourd’hui devenu une dette commune — existe bel et bien.

Par rapport à ce capital commun certains tentent de frauder.

On ne va pas les excuser, même si objectivement ils ont de larges circonstances atténuantes.

Mais il est impératif de les définir, si l’on a la prétention de les sanctionner. L’histoire jugera lourdement ceux qui sanctionnent à l’aveugle, qui seront évidemment assimilés à des pillards, des voleurs, qu’ils sont en réalité.

Fraude par captation indue du capital commun

C’est évidemment la plus grave, celle qui génère une perte sèche que tous devront compenser.

Il s’agit de ceux qui tapent dans les caisses, puisque nous avons aujourd’hui deux capitaux communs pratiquement égaux, celui de l’Etat et celui de la Sécurité Sociale.

Par exemple, ceux qui se font payer des prestations sociales sur de fausses déclarations. Ceux qui se font payer un salaire sans apporter en contrepartie le travail correspondant. Ceux qui manipulent les contrats ou les marchés pour obtenir du capital commun le paiement surévalué d’une prestation.

Ceux qui dépensent le capital commun en visant leur intérêt personnel, par exemple pour se faire élire à partir de réalisations inutiles mais démagogiques.

Ils représentent le plus gros de la fraude fiscale, ils n’ont aucune excuse et n’amènent aucune contrepartie.

Cependant, le paradoxe est qu’ils ne sont aucunement inquiétés. Nous pouvons même affirmer qu’ils sont la règle commune par rapport au capital commun, que toute notre organisation sociale tend à ce pillage.

C’est le grand procès de la fraude fiscale qui reste à faire, qui va se faire, fatalement.

Fraude par diminution de la contribution au capital commun.

C’est la fraude la moins grave. D’abord parce que, en ce qui concerne le capital commun de l’Etat, elle ne concerne que ceux qui paient un impôt direct, moins d’un français sur deux.

Ensuite elle n’intervient qu’en parallèle d’un enrichissement acquis, évidemment utile au capital commun global.

Par exemple, l’entrepreneur qui minore son impôt sur le revenu aura d’abord créé un revenu, et de ce fait évidemment enrichi tous ceux qui auront participé à la création de ce revenu.

Situation identique, concernant le capital commun social, pour celui qui minore le règlement de ses charges sociales, il aura quand même généré et payé des salaires qui sont un enrichissement collectif.

L’incroyable paradoxe

Cette analyse objective des fraudes fiscales n’a pas pour objet de les minimiser, ni de les excuser, mais d’attirer l’attention sur une manipulation de l’idée et de l’image de la fraude fiscale, mortelle pour notre société.

Le peuple — la foule — est excité contre les fraudeurs du deuxième type, par les fraudeurs du premier type.

Plus ces fraudeurs par captation directe augmentent en nombre, plus ils mettent le pays en danger, plus ils excitent le “peuple” contre les fraudeurs par diminution de contribution au capital commun.

Bien plus, ils ont organisé tout un système accusatoire, incontrôlable, qui a la complicité de tous les hommes de l’Etat — eux-mêmes largement fraudeurs par captation directe — pour inventer de toute pièce des fraudeurs par diminution de contribution au capital commun.

On arrive à cette situation grotesque, que l’histoire jugera sévèrement :

D’honnêtes gens sont accusés artificiellement — par un système au-dessus de tout soupçon — de fraudes fiscales par diminution de leur contribution au capital commun, persécutés, anéantis, ruinés, tout cela par et au profit des vrais tricheurs fiscaux par prélèvement direct indu sur le capital commun.

Qui plus est, ces honnêtes gens sont les moteurs économiques du pays.

C’est cette situation absurde qui nous détruit, qui va anéantir notre pays. Comment ne pas en être attristé ? Comment pardonner aux initiateurs de cette situation ? Comment redresser la situation ? Comment revenir à la raison ?

Certainement pas par des incantations à destination du “peuple”, qui ne comprend rien à cette situation, qui est persuadé d’être le grand bénéficiaire du pillage.

Ce “peuple” que des manipulateurs pervers dressent contre les pseudos-fraudeurs fiscaux, pendant qu’eux-mêmes font partie des vrais fraudeurs fiscaux.

Voilà la situation, telle qu’elle sera jugée un jour, même si aujourd’hui vous et moi mourront du fait de son incompréhension et des agissements de ceux qui profitent de cette incompréhension pour nous tuer et vivre de nos exécutions.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,43 sur 5 (7 avis)
Loading...
1 399 vues

L’incroyable aveuglement pervers de l’élite politique et philosophique européenne

La chute du mur de Berlin aura été la plus grande arnaque politique qui soit.

Alors qu’il s’agissait de l’effondrement de la philosophie européenne, cette emblématique évènement fut comptabilisé comme son écrasante victoire.

La population de l’URSS, soumise à la dictature communiste, collectiviste, a mortellement souffert pendant soixante dix ans. Elle a ouvert le chemin de croix du collectivisme que la Chine et bien d’autres empruntèrent peu après.

Tous ces pays furent les laboratoires de la pensée communiste européenne. Pendant que leurs ressortissants souffraient et mourraient de la perte de leurs libertés fondamentales, naturelles, au profit de la folle utopie collectiviste, ses inventeurs, les philosophes européens, aveugles à la réalité, se félicitaient de ces expériences, renchérissaient à leur sujet.

L’effondrement du mur de Berlin a donc été comptabilisé comme une victoire par les naïfs, alors qu’au contraire cette défaite donnait de facto libre court à la folie collectiviste qui a perdu ce jour là le miroir qui reflétait sa laideur.

Sans ce miroir la philosophie collectiviste, les dérives et les mensonges qui l’accompagnent, exclusivement basés sur l’envie et la jalousie, ont prospéré de façon illimité en taxant mortellement la richesse née de la liberté individuelle, de son énergie, de son inventivité naturelle, des progrès qu’elle engendre.

Sakharov a eu beau tenter d’avertir le monde entier de l’horreur communiste et tout particulièrement de son outil pervers : la bureaucratie, rien n’y fit.

La démocratie européenne s’est jetée avec délice dans les bras de cette bureaucratie. Ses fonctionnaires installant dans la joie le plus solide des collectivismes mondiaux.

Gagnant tous les esprits à l’aide d’une propagande flattant la médiocrité, la connivence, la lâcheté, la délation, au détriment du courage, du mérite et de la loyauté, la philosophie collectiviste européenne a corrompu toutes les démocraties.

Aujourd’hui l’heure des comptes a sonné.

Les valeurs individuelles sont terrassées, nous vivons le règne de la haine, de la médiocrité et des peurs qui l’accompagnent, des dérives classiques du collectivisme telle que l’écologie religion parmi les autres.

Dans la pratique, c’est tout particulièrement la misère et les pénuries qui accompagnent la philosophie européenne collectiviste lorsqu’elle prend le pouvoir comme elle l’avait fait dans les pays de l’Est.

Aujourd’hui la réalité rattrape l’Europe, ses énergies individuelles, exsangues, sont balayées par la gestion communiste du plus individuel des problèmes : rester en vie face à la maladie.

Après l’effondrement du mur de Berlin ce sont donc ses inventeurs, les philosophes politiques européens, qui entraînent aujourd’hui toute l’Europe dans la chute vertigineuse mais incontournable de leur utopie, en s’aidant de la naïveté de la démocratie qu’ils ont préalablement désinformée.

Rien ne peut arrêter le scénario enclenché sauf la raison, mais elle n’a pas sa place : les croyances ont tout emporté. Une espèce d’Alzheimer désoriente la société européenne qui se tourne, perdue, vers des conflits de croyances qui vont tout détruire.

Les fonctionnaires, par qui tout est arrivé, sont les plus zélés à dénoncer le vide qu’ils ont créé, la guerre des religions dont ils sont l’acteur principal en tant que serviteurs du Dieu-Etat qui refuse toute concurrence.

Je vous souhaite une belle mort, la moins douloureuse possible et jusqu’au bout la maitrise de votre raison

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,43 sur 5 (7 avis)
Loading...
1 044 vues

Qui est le ventriloque qui s’exprime par la bouche de Macron ?

Un ancien patron de Bercy, commandeur des croyants en l’Etat, comme Macron, ne peut pas se parer de toutes les qualités qu’il expose alors qu’il couvre les  abus religieux de l’église de l’égalitarisme Bercy, qui tue la moitié de la France, soi-disant au profit de l’autre moitié.

Force est de constater l’inadéquation qu’il y a entre les mots prononcés par Macron et la réalité de sa vie publique, des agissements de ses troupes, de toutes ses troupes.

Alors je pose la question : qui est le ventriloque qui s’exprime par la bouche de Macron ?

J’aimerais le connaître, ce doit être un type bien, à en juger par ce qu’il dit.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (10 avis)
Loading...
1 122 vues

HERVE BRABANT est une sous-merde.

Evidemment, vous vous en doutez, le titre de ce billet n’est pas une insulte. Je m’en garderais bien.

Il s’agit d’une caricature écrite, car malheureusement je n’ai pas le don du coup de crayon permettant la caricature dessinée.

Cette caricature, qui représenterait un plat de merde posé sur la tête d’Hervé Brabant, visant ainsi son statut de sous-merde, est dans la droite ligne de mon droit au blasphème face aux Dieux vivants que sont les agents des Services Fiscaux et les magistrats qui couvrent leurs agissements.

Hervé Brabant est le sous-directeur des Services Fiscaux de la Charente-Maritime, chargé des recouvrements. Tel XXXL pendu, il exécute, peaufine, améliore sans cesse l’efficacité dans son activité principale : faire entrer dans les caisses de l’Etat des sommes indues, ruiner les sous-hommes, que nous sommes, issus de ses accusations de fraudes fiscales imaginaires.

Il est parti de loin. Obscur petit comptable d’un camping dans les Vosges, il a gravi tous les échelons des Services Fiscaux grâce à son zèle réputé de serveur de merde.

Pourquoi user de mon droit au blasphème par la caricature, que nous accorde dans sa grande bonté le chef de ces sous-merdes, notre Président de La République B. Macron ? (B pour Bon).

Et bien c’est très simple

La photo ci-dessous est le bouquet qui finit une jolie table, à laquelle Hervé Brabant s’apprête à mettre la dernière main chez moi, en servant à toute ma famille son assiette de merde.

Il s’agit de la vanne trois voies et de la pompe d’accélération de mon chauffage central.

L’ensemble vient de rendre l’âme après vingt ans de bons et loyaux services. Je n’ai plus de chauffage, plus d’eau chaude.

J’ai 76 ans, je m’attends aux pires conséquences. Je n’ai plus d’argent, ni pour manger à la fin du mois, ni maintenant pour me chauffer.

Merci aux sous-merdes.

Rappelons brièvement les faits.

Hervé Brabant et ses complices divins me poursuivent pour des dettes dont j’ai la preuve qu’elles sont imaginaires.

Il est possible que je me sois mal défendu, mais un fait est certain, alors que tout le monde sait que ces dettes n’existent pas, Hervé Brabant a reçu l’onction des magistrats spécialisés dans cette œuvre destructrice, de sa hiérarchie, de l’opinion publique, et il paralyse, lui et les siens, ma trésorerie depuis 15 ans.

Je suis au bout de mes capacités de résistance, des capacités d’aide de la famille ou des amis qui m’entourent, je vais donc crever.

Dieu soit loué, il me reste le droit au blasphème. Piètre consolation, mais quand même…autant en profiter.

Pouvez-vous imaginer cela ?

Hervé m’empêche de vendre trois maisons, sans aucune raison.

Il a largement de quoi couvrir sa fausse dette par la vente forcée qu’il a engagée sur sept autres maisons, toujours pour sa dette imaginaire.

Il piétine et ravage le capital que j’ai mis de côté en cinquante ans de travail, pendant que ses amis fonctionnaires, prétendants à la fonction divine de représentant de l’Etat, m’ont pompé pendant quarante ans des cotisations, pour me verser aujourd’hui une retraite de 420€ par mois !!!

Mon écœurement est massif, il me donne envie de vomir, voir plus si affinité.

Comment j’arrive à limiter ma haine à cette simple caricature ? L’éducation sans doute…

Il est cinq heures, je retourne me mettre sous les couvertures, j’ai froid, on verra demain…

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,55 sur 5 (11 avis)
Loading...
2 132 vues

La peur de la mort, la peur de la vie

Au départ il est des angoisses diffuses et des peurs, partagées par tous les hommes. A tel point que ces peurs deviennent insupportables, déstabilisent profondément l’existence du plus grand nombre. C’est alors qu’une croyance s’installe pour permettre d’évacuer ces peurs, qui n’ont aucune solution raisonnée possible.

Ces croyances ont une puissance à la hauteur de l’oubli qu’elles impliquent du problème qu’elles régulent.

La peur de la mort

Qui, en réalité, est plutôt une peur de l’inexistence, l’idée du néant qui suivrait la vie et la rendrait si insignifiante que, peut-être, elle paraitrait ne pas valoir la peine d’être vécue.

Face à cette peur s’installe naturellement l’idée d’un au-delà.

Initialement cet au-delà était diffus, à la fois proche et lointain, peuplé de Dieux et de demi-Dieux au fil des inventions des petits malins qui se prétendaient en communication avec cet au-delà.

Car, c’est là le piège, il est toujours des petits malins qui, y croyant ou non, arrivent à persuader un certain nombre de peureux qu’eux connaissent et maitrisent l’espace inconnu qui suit la mort.

A votre choix, et selon qu’ils croient eux-mêmes ou non, se sont au mieux des mythomanes menteurs, au pire des escrocs.

Avec le temps, la force naturelle de la centralisation, et le désir de puissance, il parut inévitablement nécessaire de mettre cet espace de néant, d’inconnu, sous la responsabilité d’un seul Dieu, évidemment plus puissant que la multitude de ses prédécesseurs, puisque regroupant toutes leurs puissances.

Ce qui n’a pas manqué de renforcer la puissance de ceux qui prétendent le représenter.

C’est ainsi que sont nées les croyances en des religions monothéistes et leur puissance démesurée.

La peur de la vie

Elle est constante, mettant chacun de nous en face de ses responsabilités. Moins implacable que la confrontation avec le néant, elle trouble quand même le plus grand nombre par l’obligation à tout instant de choisir, de décider, puis d’assumer.

L’ensemble imbriqué dans les choix et obligations des autres, au point que la vision de nos propres actes s’en trouve difficilement définie.

Ici nous allons rencontrer les mêmes mythomanes ou escrocs qui vont prétendre être en mesure de choisir, de décider puis d’assumer pour nous. Tout cela évidemment à notre profit, ils vont même jusqu’à inventer cette idée saugrenue qu’un intérêt supérieur, en réalité le leur, devrait contraindre nos intérêts personnels.

Initialement, ces “messieurs, je fais tout pour vous et mieux que vous” intervenaient par la seule force de leurs biceps, tout comme dans le monde animal.

Puis, associés aux spécialistes du néant, ils s’imposèrent en tant que “chefs vénérés”, Rois. Chacun leur devant obéissance jusqu’à la mort. Tout ça pour ne pas affronter la peur de la vie, ce qui est, il faut en convenir, cocasse.

Les excès du système aboutirent, en Occident, à différentes révolutions et à ce que l’on a appelé “les lumières”, c’est-à-dire cet acte isolé de courage de certains penseurs qui promulguèrent, sans grand succès pratique, l’idée que chacun doit vivre librement sa vie, ne pas en avoir peur.

Aujourd’hui la peur de la vie a atteint son paroxysme et les “messieurs, je fais tout pour vous et mieux que vous” ont créé une sorte de divinité compensatoire, à laquelle nous sommes tous tenus de croire, à travers laquelle ils interviennent, qu’ils appellent : l’Etat.

Pour que cette divinité ne se confonde pas avec les Dieux du néant, pour que sa toute puissance ne soit pas concurrencée, ils durent d’abord séparer les Dieux du néant de ce Dieu du présent. Ce fut la séparation de l’église et de l’Etat.

Les hommes de l’Etat prétendent représenter cette abstraction divinisée, le plus grand nombre d’entre nous croit qu’elle existe vraiment et s’y soumet intégralement, jusqu’à la mort.

La confrontation

Tout va bien, les escrocs s’étant partagés les deux marchés divins — équitablement à leurs yeux — la masse des esclaves que nous sommes avance cahin-caha.

Oui, mais voilà. Il reste sur cette planète, une organisation presque fossile, qui fonctionne dans l’ancien système où seul le Dieu du néant a le pouvoir, la séparation entre le Dieu de la vie et le Dieu de la mort n’a pas encore eu lieu.

Manque de pot, cette organisation est à la tête de la plus grande quantité de matière première, dont nous avons tous un besoin vital : le pétrole. Elle est immensément riche.

Ce Dieu de la mort, riche, ne reconnait pas les différents Dieux de la vie. Les musulmans ne reconnaissent pas les Etats.

Le conflit des croyances aveugles est inévitable.

Car, chaque croyant se croit raisonnable, sans quoi il ne croirait pas. Alors que toute raison a quitté préalablement tout croyant.

Par exemple, n’allez pas dire en ville, à qui que ce soit, que l’Etat n’existe pas, n’est qu’une sorte de divinité fabriquée pour que certains vous possèdent, vous et vos biens. Personne ne vous portera attention. Bien pire, ce sera même considéré comme un sacrilège passible des tribunaux.

Quand deux croyants opposés se rencontrent, ils ne peuvent que s’invectiver, voir se battre et s’entretuer.

C’est donc ce qui nous attend, une lutte à mort entre les musulmans et les étatistes.

Pour combien de temps ? Pour toujours, jusqu’à que la raison ait raison des Dieux Mahomet et Etat.

Ce n’est pas demain la veille, à moins que le pétrole disparaissant, la religion liée disparaisse faute de moyen, ce qui nous soumettrait définitivement au seul Dieu ETAT.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (7 avis)
Loading...
1 338 vues

Duel au sommet

Dans le grand concours d’obscurantisme existant entre les musulmans et les socialo-fonctionnaires c’est la croyance le grand coupable, accompagnée de ses incontournables outils : le mensonge, la bêtise et la force aveugle.

Le contraire de la raison, de la tolérance, de l’intelligence, de l’échange et du respect de l’autre et de ses biens.

Comment est-on arrivé aux incroyables déclarations d’un ministre de la république ; ministre de l’intérieur : “La liberté d’expression a une limite, c’est l’ordre public” ou “Ça m’a toujours choqué de rentrer dans un hypermarché et de voir qu’il y a un rayon de telle cuisine communautaire. C’est comme ça que ça commence le communautarisme”.

Voilà donc un ministre qui ne va pas tarder à fermer les pizzerias, et à qui on peut légitimement demander : “C’est quoi l’ordre public”

Est-ce que la caricature du Directeur des finances, le patron de Bercy, à poil, un code fiscal dans la main droite et un tube de vaseline dans la ma main gauche, en train de baiser Marianne, qui serait elle à quatre pattes, nue aussi, serait une caricature publiable ou troublerait-elle l’ordre public ?

Nous sommes dans un combat au sommet entre intégristes.

Si vous voulez mon avis, ce ne sont pas les musulmans qui vont gagner, ils ont plusieurs siècles de retard.

Qui voudrait aujourd’hui vivre selon leurs préceptes. Qui veut les mariages forcés, qui veut la polygamie, qui veut la loi du talion, qui veut l’interdiction du crédit, qui veut la soumission de la femme, qui veut obéir à une vérité toute faite ? Une minorité primaire, y compris évidemment chez les musulmans.

Alors que les “socialo-communistes-fonctionnaires”, lanceurs de “fatwa” du type “mur des cons” ou contrôles fiscaux à outrance, dépossession et éradication des riches, adeptes de restons chez nous les autres dehors, qui en sont déjà à plus de cinquante millions de morts au compteur, sont autrement plus dangereux.

Ils défilent par milliers, iIs assènent sans gêne leur vérité médiocre, ils n’acceptent aucune critique, ils sont prêts à tuer en masse, pas en amateur.

Ils ont eu la peau des classes moyennes, des gilets jaunes, des libéraux, de la raison, de l’intelligence, ils auront la peau de tout le monde car leurs héros n’ont pas de limite, ils se retourneront contre eux demain s’ils font mine de penser autrement.

La pensée dominante étant : “iI faut prendre au voisin riche, d’abord pour moi puis un peu pour le voisin pour sauver la face”.

Je m’occupe de tout, j’ai tous les droits, tu ne t’occupes de rien, tu n’as aucun droit, c’est le mantra de nos intégristes socialo-fonctionnaires, c’est autrement dangereux que les élucubrations débiles de quelques imans illettrés.

Les morts sont moins visibles, ils se suicident discrètement ou meurent de misère, c’est moins spectaculaire mais beaucoup plus efficace.

Alors de grâce, M. Darmanin, fermez-là, puisque nous sommes impuissants à vous la boucler.

Inutile de surfer sur l’assentiment de la majorité, vous l’avez malheureusement.

Hélas, nul ne peut poursuivre vos propagandistes, nul ne peut arrêter vos zélotes, votre vérité nous tue impunément, ayez au moins la discrétion de vous taire, puisque vous savez tout cela, que la police, l’armée et la justice fonctionnent au profit de votre “ordre public” contraire à nos vies, à nos libertés fondamentales et naturelles, à notre bonheur.

N’en rajoutez pas, Darmanin.

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,88 sur 5 (8 avis)
Loading...
1 122 vues

Le menteur prend, avant toutes choses, ses interlocuteurs pour des cons.

Il ne faut pas oublier ce théorème si l’on veut comprendre l’attitude de nos hommes de l’Etat pour qui le mensonge est l’outil de communication de tous les instants en toutes situations.

Ainsi, allaient-ils sanctionner le professeur décapité qu’ils vénèrent aujourd’hui ?

Oui, c’est un fait, qu’ils ne peuvent réfuter, pourtant ils le font.

Il ne faut jamais avoir déposé une plainte contre un fonctionnaire déviant pour ne pas savoir que le procureur de la république les classe toujours sans suite, sauf en matière sexuelle. Ici le procureur a poursuivi.

Le professeur s’est retrouvé au commissariat. Pour sa défense il a cru bon de déposer une plainte en diffamation à son tour. Effet beaucoup plus dévastateur pour la suite mortelle que les réseaux sociaux accusés par les hommes de l’Etat.

Mensonge ordinaire pour eux qui ont aujourd’hui le culot de surfer sur le racisme pour proposer le Panthéon à celui qu’ils s’apprêtaient à poursuivre en justice, qu’un simple d’esprit, crédule et manipulé par leurs semblables, a assassiné en se suicidant.

J’ajouterai, et ce sera mon dernier avis sur cette affaire, ce professeur remplit-il sa mission lorsque, abordant le sujet de la liberté d’expression, de conscience, il propose à ceux qui ont le plus besoin de son cours – les intoxiqués par la religion musulmane – de quitter la classe ? Evidemment non. Alors un peu de pudeur. L’horreur de sa mort, évidemment inacceptable, ne peut pas le transformer en héros de la nation.

Plus généralement.

Prendre la population pour des cons, se prendre pour un génie, n’est-ce pas la marque de fabrique de toute dictature, de tout abus de pouvoir ? N’est-ce pas le contraire de la démocratie, du respect de l’autre ? Si, évidemment.

Nous sommes effectivement sous dictature.

A ce sujet, Michel Georgel pose des questions dans son dernier billet qui m’ont interpellé.

En effet, l’INSEE rapporte qu’entre le 1ᵉʳ mai et le 5 octobre 2020, c’est 247 613 décès qui ont été enregistrés en France à la date du 16 octobre, soit 1 % de plus qu’en 2019. Soit 2.476 de morts supplémentaires, et non 33.000. Donc, sur les 33.000 attribués au COVID, 30.500 seraient morts sans le COVID.

Il n’est pas ridicule d’imaginer que les 2.476 décès supplémentaires de 2020 ont été victimes des dysfonctionnements des hôpitaux et des HEPAD.

Donc, il n’y a pas d’épidémie particulière.

Il faut reconnaître que cela fait bizarre. Il faut se pincer pour le croire, et encore…et pourtant…

Je n’adhère à aucune théorie du complot volontariste, mais je crois aux grandes tendances qui s’imposent du fait d’intérêts — ou d’idées — dominants et synergiques, qui dictent une conduite majoritaire qui peut donner l’impression d’un complot, que des opportunistes adoptent et que des escrocs s’attribuent effectivement au titre de complot, ou vision politique, ou religion, etc …

Je propose une analyse avec toute la prudence d’usage en pareil cas.

L’économie se cherche depuis quelques années, sans que personne ne comprenne très bien d’où viendrait le mal ni quel il serait exactement. Les avis à ce sujet sont très divergents.

Soudain, début 2020, une fraction importante de la population cesse de travailler, est confinée.

Et… l’économie ne se porte pas plus mal…

D’où la question : le travail de toutes ces personnes arrêtées était-il utile ? La réponse pourrait-être : non.

Mais alors, il faudrait admettre que notre société peut parfaitement fonctionner avec une énorme masse d’inactifs.

Oui mais, ces inactifs ne sont supportables que s’ils n’entravent pas le travail des actifs et s’ils ne réclament pas une part trop importante des revenus de ceux qui travaillent et produisent des richesses.

L’apparition soudaine d’un nouveau virus, très agressif mais peu mortel pour les personnes en bonne santé, génère l’effroi s’il est l’objet d’une surinformation.

Cet effroi permet de sortir du marché du travail une grande partie des inutiles, qui sont eux-mêmes demandeurs et se précipitent vers toutes les cases possibles à ce sujet : télétravail, diminution des dépenses personnelles, départ à la campagne, etc…

Jusque-là tout va bien.

Pour parfaire l’opération, il suffit de mettre en place quelques détails :

– D’abord, la fausse monnaie, pour indemniser les naufragés du travail, sur laquelle on s’accordera entre initiés de l’économie.

– Ensuite, il faut que ceux qui entravaient l’économie naturellement, les fonctionnaires, soient mis hors de course.

– Et enfin, il faut que les oisifs, ceux qui ne travaillent plus, ne profitent pas de leur temps libre pour imaginer on ne sait quelle utopie mortifère à l’économie, pour cela il faut les habituer à vivre chez eux, avec le moins de contact possible, attachés uniquement à leurs écrans.

Il me semble que tout cela colle assez bien avec ce qui se déroule sous nos yeux, que l’étape cruciale de la modification de nos vies par la robotique est peut -être en train de se dérouler incognito.

Alors il faut admettre que les acteurs économiques vont gagner en richesse et en liberté, que ceux qui se sont, ou ont été, exclus de l’économie seront certes inactifs mais en contrepartie surveillés comme le lait sur le feu, donc verront leurs libertés se réduire comme peau de chagrin.

Tout cela n’est qu’une hypothèse…

Bien à vous. H. Dumas

 

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,78 sur 5 (9 avis)
Loading...
1 193 vues

Après le viol des consciences, le meurtre

Clausewitz, de façon très claire, explique que la guerre n’est que la continuation d’une diplomatie — discussion — non aboutie.

A Conflans-Sainte Honorine, hier, c’est la guerre qui a parlé.

C’est l’issue d’une diplomatie non aboutie.

On ne peut pas affirmer que toute croyance est acceptable et ridiculiser les croyances de l’autre.

Alors que, en réalité, toute croyance est à bannir, la lutte de la raison contre les croyances devrait être constante, elle s’appellerait laïcité. Oui mais voilà, elle-même est devenue une croyance, qui comme toute croyance exclut l’autre, celui qui ne croit pas.

Le Dieu des laïques est lui aussi une abstraction “l’Etat”.

En son nom on humilie les autres Dieux au lieu d’en démontrer le non-sens, les incohérences.

On tue aussi en prétendant, par exemple, que lui seul peut intervenir en cas de pandémie.

On tue encore quand on prétend que les individus doivent être dépossédés de leur biens au profit de ce “Dieu État”, quand ses exécutants ruinent en toute impunité en son nom.

Dans ces conditions, que Charlie-Hebdo fasse commerce de la moquerie, même excessive, pourquoi pas, nul n’est obligé de l’acheter, mais l’Education Nationale …

N’y a-t-il pas mieux à faire pour éveiller l’enfance au doute, à l’intelligence, à la raison, que de se moquer des autres croyances au lieu de les analyser froidement, de dénoncer leur obscurantisme ?

Voici donc une affaire qui tombe bien pour le petit Macron, chevalier croisé du fascisme, de la religion de l’Etat, du tout par l’Etat, tout pour l’Etat.

Dans cette affaire, les complices dénoncés du tueur sont aussi des croyants. Quel niveau de complicité peut s’établir par le biais de la croyance et qu’elles en sont les limites ? Quels fantasmes vont imaginer nos magistrats, croyants d’Etat ?

Voilà une affaire bien mal embarquée, qui compte déjà deux morts inutiles.

Alors que les aspects ridicules des croyances, c’est à dire les pitreries et les délires de ceux qui se prétendent les représentants des Dieux — État compris — seraient aisément démontables si ceux-ci ne s’octroyaient pas l’exclusivité de la force pour soumettre les hommes et celle de la monnaie pour les acheter.

Le courage n’est pas de ridiculiser les croyances des autres mais de lutter contre toutes les croyances et plus particulièrement contre ceux qui prétendent les représenter et les véhiculer.

Chaque homme doit pouvoir accéder à la raison, construire seul librement les croyances pouvant en découler pour lui. C’est la fierté de l’enseignant de faire comprendre cela, de permettre à chacun d’accéder à la liberté de penser, qui doit être totale. Alors que la liberté de s’exprimer, impliquant les autres, ne peut être que mesurée à l’échelle du respect de l’autre.

Mais hélas, l’Education Nationale croit dur comme fer qu’elle seule dispose de la vérité, que l’Etat est Dieu, et elle n’hésite pas à l’imposer, y compris aux hommes alors qu’ils ne sont pas encore en âge de comprendre et de se défendre.

Macron dans cette affaire souffle sur les braises, nous avons bien à faire à un dictateur en herbe.

Demain va-t-être sombre pour ceux qui ont la raison pour guide, pendant que les croyances vont en découdre.

Bien à vous.

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (8 avis)
Loading...
1 599 vues

Ce n’est pas parce que tout est accessible que tout le monde peut y accéder.

Il me parait que là est le problème qui va engloutir notre société.

Trois confusions aboutissent à l’impasse dans laquelle nous sommes, quel que soit l’objectif visé :

L’accès à une situation est à 90% lié au hasard. Ceux qui prétendent le contraire, Education Nationale en tête, sont des charlatans. Le travail, la passion, l’intelligence, l’énergie, la compétence, voire la connivence, la combine, les relations, etc… sont hélas peu de chose si l’on analyse froidement les trajectoires.

En fait les analyses postérieures des réussites, toujours subjectives, sont en général trompeuses et marginales, explications destinées justement à faire oublier la force du hasard initiateur en effet objectivement désespérante.

Le monde est plein d’hommes et de femmes, voire de “genres”, qui ont brillamment travaillé toute leur vie, avec intelligence et compétence, ou d’autres qui ont combiné, intrigué, sollicité, avec acharnement, sans pour autant accéder au but qu’ils convoitaient.

– La présentation des situations idéales est falsifiée. Les contraintes liées à ces situations exemplaires sont occultées, leur relativité notamment temporelle est oubliée. Ceux qui occupent ces situations enviées, bien que vivant ces contradictions ne peuvent en faire état, ils sont tenus de faire : comme si…

Le cirque se nourrit de cette omission, quel qu’en soit le prix à payer pour ceux qui regardent ou pour ceux qui sont regardés.

Dans cet espace fantasmagorique tout le monde est dupe. L’envie crée la réalité, la transforme, elle n’est alors que mirage auquel chacun est obligé de croire. Le réel devient marginal, l’irréel le remplace d’abord dans les esprits, puis dans les faits. Tous les repères explosent.

– Tous les coups sont permis. La morale ne tient pas le choc. Elle souffre des dérapages de ceux qui sont prêts à tout pour accéder à l’idéal qu’ils imaginent.

“Comme sur la photo” est le mantra de notre société. Il justifie tous les moyens, qui d’ailleurs sont oubliés, ignorés, une fois sur “la photo”.

Ainsi donc se présente le problème.

Tous courent pour atteindre l’instant qu’ils imaginent essentiel, car c’est ainsi qu’il est vécu par l’opinion publique. Ils s’occultent la puissance du hasard, la temporalité de l’instant vers lequel ils courent, pour in fine s’apercevoir que leur but est inaccessible.

Et pourtant

Leur vie leur appartient, elle n’est pas le fruit du regard des autres mais la résultante de leur personnalité qu’ils ignorent, de leur environnement qu’ils méprisent, de leur engagement qu’ils trahissent, de leur morale personnelle qu’ils bafouent.

Au bout, la déprime, la dévalorisation de leur personne, le mal être.

S’ils intégraient que la conscience de ses limites est le secret de l’altérité, on pourrait espérer.

Mais rien n’est fait dans ce sens. C’est ce qui fait les pauvres de plus en plus pauvres et les riches de plus en plus riche, c’est ce qui ne permet pas la discussion, c’est ce qui nous mène droit vers la guerre civile.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 5,00 sur 5 (8 avis)
Loading...
950 vues

Oui, Macron peut devenir un dictateur

Qu’est ce un dictateur ?

Je trouve satisfaisante la réponse de Yung en 1938, parlant d’Hitler ” Il est le haut-parleur qui amplifie les murmures inaudibles de l’âme allemande… Le secret de la puissance d’Hitler, c’est qu’il a un accès exceptionnel à l’inconscient. Dans notre cas, même si occasionnellement notre inconscient nous atteint à travers les rêves, nous avons trop de “cérébral” pour lui obéir, mais Hitler, lui, écoute et obéi. Le véritable leader est toujours “dirigé”… C’est ce qui le rend puissant. Sans le peuple allemand, il ne serait rien”. (Extrait de “Le siècle des dictateurs”, Hitler de Eric Branca, sous la direction de Olivier Guez)

Au moment où certains trouvent oppressant et ridicule le port du masque, force est de constater que — flics présents ou pas présents — les masques sont majoritairement portés par la population.

Que donc Macron, dont par ailleurs nul n’ignore le parcours de “dirigé”, est en phase avec l’inconscient de notre société lorsqu’il rend le masque obligatoire, quelles que soient les incohérences liées à cette obligation.

Dans l’inconscient sociétal, à quoi correspond le masque ?

Le masque est le symbole du refus de l’autre, il est en fait le refus de l’autre.

Ici, l’autre est entendu comme un occupant illégitime de nos espaces personnels. L’autre est celui à cause de qui nous sommes tenus de nous entasser, entassement devenu insupportable, et risqué car porteur de maladies.

Le luxe c’est l’espace.

Un des symptômes de la misère est la réduction de l’espace qu’elle génère. A Versailles Louis XIV va chercher l’espace, le luxe absolu.

Toute ascension sociale se concrétise par plus d’espace. Les acheteurs de SUV achètent de l’espace intérieur, du volume, pas des capacités de franchissement qui ne sont que l’excuse, ils pourraient tout aussi bien se déplacer en camionnette mais la connotation laborieuse les arrête.

Dans le même temps que les français réclament inconsciemment plus d’espace alors que leur est prêché l’entassement, notamment dans les transports en commun, ils sont interpellés par l’idée que la planète ne peut plus subvenir à leurs besoins tant ils sont entassés, que même ils pourraient à terme ne plus pouvoir respirer ce qui, à juste titre, les inquiète.

Evidemment, l’entassement c’est l’autre, c’est lui qui est à fuir, voire même à éliminer.

Clairement, celui qui a accès à l’espace est le privilégié. Le premier visé est le propriétaire de SUV. Il doit rentrer dans le rang pense l’inconscient collectif, si on lui prend son trop d’espace pour le partager, nous aurons tous plus de place.

Nous avons là l’ingrédient classique de la dictature.

Le droit à la conquête de plus d’espace, donc la légitimité d’en priver par la force ceux qui en possèdent trop. Indiscutable.

Cette émotion d’espace peut se modeler, se traduire par des qualificatifs rattachés mais exprimés différemment, sous réserve in fine de restreindre l’espace des privilégiés pour augmenter, soi-disant, celui de tous.

Par exemple, la richesse est un symbole de possibilité d’espace, la réduire chez ceux qui sont réputés en avoir trop va dans le bon sens de la plus équitable répartition de l’espace. Sans qu’il soit alors besoin de rentrer dans les méandres de l’économie.

Macron est donc en phase avec l’inconscient collectif qui étouffe, il surfe sur le syndrome du poulet en batterie dont est victime 90% de la population sans l’exprimer cela va de soi.

Macron amplifie les murmures des français. Qu’importe la façon dont il le fait, quand bien même elle serait totalement incohérente.

Peut-il franchir la ligne jaune, prendre les pleins pouvoirs et devenir dictateur ?

Oui, parce qu’il n’est pas vicieux, juste “dirigé”, naïf et totalement immergé au point de ne pas avoir conscience de son image, donc de son paraitre.

Il peut être le porteur symbolique de toutes les dérives induites par la psychose de l’entassement. Elles sont nombreuses.

La suite est ordinaire, le gout du pouvoir, les hommes de confiance indélicats, irrespectueux des minorités, la certitude d’avoir raison, l’idée de la nécessité absolue d’aboutir et de déjouer toutes les oppositions forcément dans l’erreur, l’intelligence, la ruse, la ténacité, etc…

Oui, Macron peut devenir un dictateur.

Et… si ce n’est lui, ce sera un autre, les phobiques de l’entassement veulent en découdre. Le masque ne va pas leur suffire.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,38 sur 5 (13 avis)
Loading...
1 400 vues

Et maintenant

On ne peut pas dire que la crise soit une surprise, en tout cas pour ceux qui lisent ou participent à ce blog.

Depuis des années nous étions convaincus que la gestion de nos sociétés ne pouvait pas perdurer telle que nous la voyions être pratiquée.

La connivence qui a remplacé dans tous les postes clefs la compétence, le mérite. Le crédit qui a remplacé les économies comme méthode d’achat ou d’investissement. Les bénéfices de ceux qui travaillent, en créent, prélevés au profit de ceux qui ne font rien et accumulent les pertes professionnelles ou personnelles. La responsabilité et la création entourées d’une suspicion légale maximum. L’inculture largement affichée avec sa compagne l’incompétence, toutes deux proportionnelles aux gesticulations et au bruit de leur supporters.

Tout cela mis en exergue par une organisation politique et judiciaire complice affichée des tenants de ce système.

Résistants à tout cela, avons-nous bien perçu que ça y est, que la catastrophe pressentie est là, derrière nous, appartenant déjà au passé ? Ce n’est pas sûr.

Le déguisement dont s’est affublée la crise nous a abusé. Se déguiser en grippe mortelle, il fallait y penser.

Pendant que nous nous confinions, que nous pinaillions sur l’utilité du masque, le complot du vaccin, les massacres des EHPADS, que nous comptions nos morts, la crise s’installait discrètement, définitivement.

Ceux qui travaillent pour de vrai ont été plutôt débordés. Il fallait assumer pendant que les autres, les inutiles du système, les plus nombreux, restaient sur le bord du chemin et regardaient passer les épaves de la crise : eux-mêmes et leurs comportements dévastateurs.

Leurs complices politiques et légaux ont immédiatement fabriqué de la fausse monnaie pour qu’ils croient que la machine était encore en activité. Aujourd’hui encore ils s’agitent sur tous les fronts, y compris les plus inutiles, pour faire croire que la société défunte existe toujours.

Trop tard, la partie est jouée, c’est fini, la crise a tout emporté.

Nous sommes donc dans l’après-crise, inutile d’attendre sa survenance.

Que va-t-il se passer ?

Si nous regardons l’histoire, ce type de situation n’est pas nouveau, il se conclut toujours par une catastrophe : une guerre ou une dictature.

La cause en est simple. Il est intrinsèquement impossible aux initiateurs de l’accident de se remettre en question, c’est d’ailleurs à cause de ce défaut qu’ils sont ce qu’ils sont.

Or, pour que la société dérape à ce point il a fallu qu’ils soient suffisamment nombreux, majoritaires.

Cons ils sont, cons ils resteront. Malhonnêtes ils sont, malhonnêtes ils resteront. Faux-culs et traitres ils sont, faux-culs et traitres ils resteront. Egoïstes et sans vergogne ils sont, égoïste et sans vergogne ils resteront. En clair, il n’y a rien à espérer d’eux, tout à craindre.

La crise passée, la catastrophe qu’elle va induire est en route, quel déguisement va-t-elle prendre ?

Nous sommes encore une fois aveugles, il y a tant de travail à faire pour ceux qui sont dans l’action, si peu nombreux.

Les déclencheurs du drame sont actuellement aphones, justes étonnés face aux conséquences de leur comportement. Ils ne vont pas tarder à entrer dans la phase conséquence, qui ne va manquer de les surprendre, lourdement.

Et là, fidèles à leur fonctionnement, ils vont d’abord accuser le voisin, puis mettre en place une organisation qui pillera mortellement ce voisin désigné.

Pour concrétiser cela ils vont devoir confier leur avenir à un champion du mensonge, de l’escroquerie, de la folie, qui ensuite, mais bien plus tard, les anéantira.

Disons qu’une décennie est le temps de ces mutations.

Dans ce laps de temps, les individus responsables vont, comme à leur habitude, travailler, assumer et ne pas se rendre compte de l’enfer vers lequel la crise, qu’ils ont à peine perçue, les entraine.

Ainsi va l’histoire, la plupart du temps écrite par les fossoyeurs, les fous, rarement par les raisonnables, les lucides, les solides, ceux qui assument la survie des hommes.

Les psychopathes et les escrocs font l’histoire, les autres, tant bien que mal, essaient de maintenir la vie sur terre.

Bien à vous. H. Dumas

1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles 4,89 sur 5 (9 avis)
Loading...
1 569 vues