Un aveu choquant de l’éditeur de THE LANCET !!
- Post published:4 juillet 2016
Un aveu choquant de l’éditeur de The Lancet, la revue médicale la plus estimée au monde, a été pratiquement ignoré par la grande presse et les médias dominants. Le Dr Richard Horton, rédacteur en chef de The Lancet, a récemment fait une annonce disant qu’un nombre scandaleux de publications d’études sont au mieux, peu fiables, quand elles ne sont pas complètement mensongères, en plus de frauduleuses.
Horton a déclaré :
« Une grande partie de la littérature scientifique, sans doute la moitié, pourrait être tout simplement fausse. Affligée d’études avec des échantillons réduits, d’effets infimes, d’analyses préliminaires invalides, et de conflits d’intérêts flagrants, avec l’obsession de suivre les tendances d’importance douteuse à la mode, la science a pris le mauvais tournant vers les ténèbres. » Faisant état des choses autrement, Horton dit carrément que les grandes compagnies pharmaceutiques falsifient ou truquent les tests sur la santé, la sécurité et l’efficacité de leurs divers médicaments, en prenant des échantillons trop petits pour être statistiquement significatifs, ou bien, pour les essais, embauchent des laboratoires ou des scientifiques ayant des conflits d’intérêt flagrants, ils doivent plaire à la compagnie pharmaceutique pour obtenir d’autres subventions. Au moins la moitié de tous ces tests ne valent rien ou sont pires, affirme-t-il. Les médicaments ayant un effet majeur sur la santé de millions de consommateurs, ce trucage équivaut à un manquement criminel et à de la malversation.
Ce dont parle Horton, le financement par l’industrie d’études thérapeutiques afin de mettre au point des médicaments ou des vaccins commerciaux, soi-disant pour aider les gens, sert à former le personnel médical, les étudiants en médecine et autres.
Horton a écrit ses commentaires choquants après avoir assisté à un symposium au Wellcome Trust de Londres, sur la reproductibilité et la fiabilité de la recherche biomédicale. Il a constaté la confidentialité, ou règles de « Chatham House », faisant que les participants ne doivent pas révéler les noms. « Beaucoup de ce qui est publié est incorrect. » Je ne suis pas autorisé à dire qui a fait cette remarque car nous avons été invités à observer les règles de Chatham House. Il nous a aussi été demandé de ne prendre ni photos, ni diapositives. »
Autres voix :
Le Dr Marcia Angell, un médecin, a longtemps été rédacteur en chef du New England Medical Journal, considéré comme l’une des autres revues médicales évaluées par les pairs les plus prestigieuses du monde. Angell a déclaré « Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie des publications de la recherche clinique, ni de compter sur le jugement des médecins expérimentés ou les directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à formuler cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur lors de mes deux décennies passées au poste de rédacteur en chef du New England Journal of Medicine. »
Harvey Marcovitch, qui a étudié et écrit sur la contrefaçon des tests médicaux et la publication dans les revues médicales, écrit, « les études montrant les résultats positifs d’un médicament ou d’un appareil analysé, sont plus susceptibles d’être publiées que les études « négatives » ; les éditeurs en sont en partie responsables, mais aussi les sponsors commerciaux, dont les études bien menées du point de vue méthodologique, mais dont les résultats sont défavorables, ont tendance à rester dans les cartons… »
Au Groupe de recherche sur la dynamique neuronale du Département des sciences ophtalmologiques et visuelles de l’université de British Columbia, le Dr Lucija Tomljenovic a obtenu des documents montrant que, « les fabricants de vaccins, les compagnies pharmaceutiques et les autorités sanitaires, connaissent les multiples dangers associés aux vaccins, mais ont choisi de les cacher au public. C’est de la tromperie scientifique, et leur complicité suggère que cette pratique continue encore aujourd’hui.
Le Dr Horton de The Lancet conclut : « Ceux qui ont le pouvoir d’agir semblent penser que quelqu’un d’autre devrait le faire en premier. Et chaque action positive (par exemple, le financement de reproductions d’études bien pourvues) se voit opposer un argument (la science deviendra moins créative). La bonne nouvelle, c’est que la science commence à prendre très au sérieux certains de ses pires défauts. La mauvaise nouvelle, c’est que personne n’est prêt à prendre les premières mesures pour nettoyer le système. »
Dans le monde entier, la corruption de l’industrie médicale est un énorme problème, peut-être plus grave que la menace de toutes les guerres réunies. Sommes-nous comme hypnotisés ? Avons-nous une foi aveugle en l’infaillibilité de nos médecins simplement parce qu’ils ont une blouse blanche ? Et, à leur tour, ont-ils une foi si aveugle envers les revues médicales pour recommander tout nouveau remède ou vaccin présenté prodigieux, qu’ils s’empressent de prescrire sans tenir compte de ces problèmes plus profonds ?
NEO, William F. Engdahl
Consultant en risque stratégique et conférencier, William F. Engdahl est titulaire d’un diplôme en politique de l’université de Princeton et auteur de best-sellers sur le pétrole et la géopolitique. Article écrit à l’origine pour le magazine en ligne New Eastern Outlook
SUR LE WEB/
https://criigen.org/un-aveu-choquant-de-lediteur-de-the-lancet/?fbclid=IwAR2WAIIuN-b3dRNzUlj0ZQ935Qm-B7eKw2ML2D_TXbCQJ08gFY7lRgxPUCY
Petite rectification par rapport à mon article ci – dessus. Dans l’étude, la proportion de personnes ayant des antécédents de maladies cardiovasculaires est bien représentative de l’échantillon des personnes décédés en France puisque 32 % avaient des problèmes cardiaques, ce qui n’enlève en rien à la crédibilité de mon analyse.
Ci – dessous quelques éléments découverts dans la lecture de la parution dans la revue LANCET (voir lien ci – dessous) qui confirme bien que cette étude est une grande manoeuvre pour décrédibiliser non seulement le traitement du professeur RAOULT mais aussi la choloroquine et l’hydroxichloroquine. En effets, les résultats de cette étude sont biaisés car son échantillon de personnes ne représente pas le profil de la population française, ni mondiale. Il comporte 28.6 % de personnes ayant des antécédents de maladies cardio vasculaires. En appliquant ce pourcentage sur la population française, notre pays aurait environ 20 millions de français souffrant de ces maladies, ce qui paraît irréaliste compte tenu que le chiffre d’hospitalisés à ce titre pour 2016 a été de 3.5 millions. Aucun chiffre n’a pu être trouvé sur le nombre de personnes souffrant de ces maladies. D’autre part, la chloroquine et l’hydroxichloroquine ne doivent pas être administrés à des doses importantes aux personnes souffrant de problèmes cardiaques et d’après le professeur RAOULT, nécessite une surveillance cardiaque. La notice de la « nivaquine » stipule d’ailleurs : « La chloroquine peut provoquer des troubles du rythme cardiaque chez certains patients : la chloroquine doit être utilisée avec prudence si vous présentez un allongement de l’intervalle QT depuis votre naissance ou si vous avez des antécédents familiaux de ce trouble, si vous présentez un allongement de l’intervalle QT acquis (détecté par l’ECG, l’enregistrement de l’activité électrique du cœur), si vous avez des troubles cardiaques ou des antécédents de crise cardiaque (infarctus du myocarde) » Compte tenu de ces éléments, l’étude ne fait que confirmer les risques de ces produits chez les personnes souffrant de maladies cardiovasculaires et pour pouvoir sortir des statistiques de létalité encore plus frappantes, ces personnes ont été surreprésentées dans l’échantillon. · Comment expliquer que tous les établissements de santé du monde entier, ayant participé à l’étude, n’ont pas appliqué cette recommandation, connaissant les dangers qu’ils faisaient courir à leurs patients? Les grands groupes pharmaceutiques, financeurs de cette étude, ont manifestement intérêt à décrédibiliser ce traitement qui semble donner de bons résultats dans de nombreux pays et sont prêts à tout pour y parvenir. https://www.thelancet.com/lancet/article/s0140673620311806
L’histoire des suprématies a commencé il y a bien longtemps avec les fondations Rockefeller et Carnegie qui ont largement investies dans le domaines de la santé et de la recherche, mais aussi dans bien des domaines, en Europe en fin de XIX siècle et début du vingtième, puis la suite plus connue bien évidemment.
La fondation Pasteur en fait partie…
https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00650461/document
En ce qui concerne Pasteur, comme un grand nombre de chercheurs éminents,
il a simplement « oublié » de citer les noms de ceux qui lui ont permis d’atteindre
la notoriété. Exemples : Antoine Béchamp, etc.
http://geobiophysique.e-monsite.com/pages/page-2.html
Et celui-ci afin d’étayer son histoire controversée :
https://www.rebelle-sante.com/pasteur-un-imposteur
Pardon, c’est sans doute long à lire, mais cette partie de l’histoire mérite
qu’on lui accorde un peu d’attention, car finalement, on parle bien du nerf
de la guerre !
Merci en tout cas pour l’intérêt que vous voudrez bien lui portez.
Cordialement.