3 réflexions sur « A la poignée de fidèles lecteurs de ce blog »
Quand Saddam a massé ses troupes à la frontière du Koweit, c’était aussi pour l’envahir, et les US, avec tous leurs satellites espions n’auraient rien vu venir? Pareil pour l’Ukraine quand Poutine a envoyé son corps d’armée à la frontière, c’était juste pour leur faire prendre l’air? Et les US regardaient ailleurs (Taïwan peut-être?)
En occident, nous sommes vraiment gouvernés par des Bisounours!
A présent un extrait plus que prémonitoire d’un roman très difficile à lire (sans doute à dessein) tournant autour de la personne de Cagliostro (et de l’aboutissement dans le futur de sa pensée hermétique, à base de magie égyptienne, devant se substituer à terme à tous les cultes connus). Il s’agit de « Celle qui doit venir » (Dervy, 2021, l’achevé d’imprimer portant la date du mois d’AVRIL !!!) par l’un des plus grands esprits de notre temps : le fort méconnu Jean ROBIN (né en 1946), spécialiste de l’ésotériste René GUENON (à ne pas confondre avec son homonyme des Editions Tatamis, également très remarquable et clairvoyant lui aussi, mais pour des raisons qui ne sont pas les mêmes) . [PAGES 404-405] « (…) : La crise ukrainienne s’était subitement ravivée-une provocation occidentale selon le Kremlin-sur fond de chute des marchés préludant à un krach que les Cassandres annonçaient plus grave que celui de 2021. Mais tout cela-qui durait depuis plus de dix ans, avec des hauts et des bas, des poussées de fièvre et des accalmies-ne justifiait pas la diffusion de musique classique sur les chaînes de radio…Enfin, à huit heures, il y eut un flash spécial et il comprit. A la suite d’une nouvelle et plus grave « provocation » censée mettre en péril les intérêts vitaux du pays, la machine de guerre russe, pour tester la réaction de l’adversaire, avait d’abord « volé au secours » des Ukrainiens de l’Est, en profitant de l’impuissance de l’Alliance atlantique, qui se dissolvait dans des réunions de crise et autres conciliabules affolés, tandis que l’ONU, en séance quasi permanente, émettait à jet continu des résolutions aussi emphatiques que contradictoires. La cacophonie était telle que le dernier message du président américain-dont l’outrance voulait masquer un désarroi trop manifeste-était presque passé inaperçu. Personne n’avait cru à la volonté affichée par la Maison Blanche, de « vitrifier la Russie », et de finir ainsi le job commencé par Ronald Reagan avec l’opération « Guerre des Etoiles ». Le Maître du Kremlin-qui savait mieux que personne à quoi s’en tenir sur les menaces américaines-n’avait donc aucune raison de s’arrêter en si bon chemin : celui de la constitution d’une « Grande Europe » s’étendant de l’Atlantique à l’Oural, et seule garante de « la paix et de la prospérité pour les siècles futurs »…Après être entrés dans Kiev, les Russes, constatant la totale impéritie des Occidentaux, avaient poursuivi leur marche sur la Pologne et, ayant nettoyé toute la plaine qui s’étend de la Vistule jusqu’à l’Elbe, ils fonçaient à travers la Poméranie, filant droit sur Berlin. Les bulletins d’information se succédaient maintenant, de plus en plus alarmistes. De Prague, une autre colonne se dirigeait vers Vienne. Un peu plus tard, ayant atteint la capitale autrichienne sans coup férir, on apprenait qu’elle descendait déjà vers le Brenner. Godard alluma la télévision. Des « spécialistes » rameutés de toute urgence-certains tirés du lit et manifestement dépassés-tentaient de commenter les informations avec trois coups de retard…On en vint à rapporter des rumeurs bien sûr incontrôlées qui couraient sur les réseaux sociaux, et selon lesquelles les avions de l’OTAN étaient cloués au sol par des pannes mystérieuses, les missiles, pour leur part, étant désactivés… »
CONCLUSION PAR L’ABSURDE DE TOUT CELA : le gouvernement ne lit pas « Sud-Ouest », ne lit pas non plus les romans, mais comme il a été démontré qu’en revanche il lit « Témoignage fiscal » (puisqu’il le surveille, s’en indigne et veut le faire fermer) : PAR CES DEUX COMMENTAIRES, IL VA ENFIN POUVOIR S’INSTRUIRE !!! Bien malicieusement !
De l’Henri DUMAS vérifié, vous dis-je ! Il n’y a que cela de vrai, c’est l’avenir ! Et maintenant, complétons le tout par une confidence de Raymond NART, ancien de la DST, co-auteur avec Jean-François CLAIR et Michel GUERIN du livre : « La DST sur le front de la guerre froide » (Editions de Mareuil, 2022). Voici ce qu’il confiait à Benoît LASSERRE dans un entretien accordé récemment à Sud-Ouest (Edition de Dordogne, page 5, mercredi 14 décembre 2022, « Raymond Nart, une vie à traquer les espions russes ») : « Il est vrai qu’en 1985, des hauts responsables de la CIA et du FBI passent à l’ennemi russe ». Et l’auteur de l’article de poursuivre ainsi : « Aujourd’hui, Raymond NART (…) suit toujours de près l’actualité, notamment la guerre en Ukraine à propos de laquelle il se demande comment les services secrets français n’avaient pas anticipé l’invasion russe (…) » !!!
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Quand Saddam a massé ses troupes à la frontière du Koweit, c’était aussi pour l’envahir, et les US, avec tous leurs satellites espions n’auraient rien vu venir? Pareil pour l’Ukraine quand Poutine a envoyé son corps d’armée à la frontière, c’était juste pour leur faire prendre l’air? Et les US regardaient ailleurs (Taïwan peut-être?)
En occident, nous sommes vraiment gouvernés par des Bisounours!
A présent un extrait plus que prémonitoire d’un roman très difficile à lire (sans doute à dessein) tournant autour de la personne de Cagliostro (et de l’aboutissement dans le futur de sa pensée hermétique, à base de magie égyptienne, devant se substituer à terme à tous les cultes connus). Il s’agit de « Celle qui doit venir » (Dervy, 2021, l’achevé d’imprimer portant la date du mois d’AVRIL !!!) par l’un des plus grands esprits de notre temps : le fort méconnu Jean ROBIN (né en 1946), spécialiste de l’ésotériste René GUENON (à ne pas confondre avec son homonyme des Editions Tatamis, également très remarquable et clairvoyant lui aussi, mais pour des raisons qui ne sont pas les mêmes) . [PAGES 404-405] « (…) : La crise ukrainienne s’était subitement ravivée-une provocation occidentale selon le Kremlin-sur fond de chute des marchés préludant à un krach que les Cassandres annonçaient plus grave que celui de 2021. Mais tout cela-qui durait depuis plus de dix ans, avec des hauts et des bas, des poussées de fièvre et des accalmies-ne justifiait pas la diffusion de musique classique sur les chaînes de radio…Enfin, à huit heures, il y eut un flash spécial et il comprit. A la suite d’une nouvelle et plus grave « provocation » censée mettre en péril les intérêts vitaux du pays, la machine de guerre russe, pour tester la réaction de l’adversaire, avait d’abord « volé au secours » des Ukrainiens de l’Est, en profitant de l’impuissance de l’Alliance atlantique, qui se dissolvait dans des réunions de crise et autres conciliabules affolés, tandis que l’ONU, en séance quasi permanente, émettait à jet continu des résolutions aussi emphatiques que contradictoires. La cacophonie était telle que le dernier message du président américain-dont l’outrance voulait masquer un désarroi trop manifeste-était presque passé inaperçu. Personne n’avait cru à la volonté affichée par la Maison Blanche, de « vitrifier la Russie », et de finir ainsi le job commencé par Ronald Reagan avec l’opération « Guerre des Etoiles ». Le Maître du Kremlin-qui savait mieux que personne à quoi s’en tenir sur les menaces américaines-n’avait donc aucune raison de s’arrêter en si bon chemin : celui de la constitution d’une « Grande Europe » s’étendant de l’Atlantique à l’Oural, et seule garante de « la paix et de la prospérité pour les siècles futurs »…Après être entrés dans Kiev, les Russes, constatant la totale impéritie des Occidentaux, avaient poursuivi leur marche sur la Pologne et, ayant nettoyé toute la plaine qui s’étend de la Vistule jusqu’à l’Elbe, ils fonçaient à travers la Poméranie, filant droit sur Berlin. Les bulletins d’information se succédaient maintenant, de plus en plus alarmistes. De Prague, une autre colonne se dirigeait vers Vienne. Un peu plus tard, ayant atteint la capitale autrichienne sans coup férir, on apprenait qu’elle descendait déjà vers le Brenner. Godard alluma la télévision. Des « spécialistes » rameutés de toute urgence-certains tirés du lit et manifestement dépassés-tentaient de commenter les informations avec trois coups de retard…On en vint à rapporter des rumeurs bien sûr incontrôlées qui couraient sur les réseaux sociaux, et selon lesquelles les avions de l’OTAN étaient cloués au sol par des pannes mystérieuses, les missiles, pour leur part, étant désactivés… »
CONCLUSION PAR L’ABSURDE DE TOUT CELA : le gouvernement ne lit pas « Sud-Ouest », ne lit pas non plus les romans, mais comme il a été démontré qu’en revanche il lit « Témoignage fiscal » (puisqu’il le surveille, s’en indigne et veut le faire fermer) : PAR CES DEUX COMMENTAIRES, IL VA ENFIN POUVOIR S’INSTRUIRE !!! Bien malicieusement !
De l’Henri DUMAS vérifié, vous dis-je ! Il n’y a que cela de vrai, c’est l’avenir ! Et maintenant, complétons le tout par une confidence de Raymond NART, ancien de la DST, co-auteur avec Jean-François CLAIR et Michel GUERIN du livre : « La DST sur le front de la guerre froide » (Editions de Mareuil, 2022). Voici ce qu’il confiait à Benoît LASSERRE dans un entretien accordé récemment à Sud-Ouest (Edition de Dordogne, page 5, mercredi 14 décembre 2022, « Raymond Nart, une vie à traquer les espions russes ») : « Il est vrai qu’en 1985, des hauts responsables de la CIA et du FBI passent à l’ennemi russe ». Et l’auteur de l’article de poursuivre ainsi : « Aujourd’hui, Raymond NART (…) suit toujours de près l’actualité, notamment la guerre en Ukraine à propos de laquelle il se demande comment les services secrets français n’avaient pas anticipé l’invasion russe (…) » !!!