Le déni est redoutable. La plupart du temps il est issu du mensonge à soi-même.
Tel notre Hulot national, si persuadé de sa croisade écologiste ringarde qu’il oublie qu’il est avant tout un méchant.
Et oui, le livre du couple Ancibure tacle les méchants, je vous le conseille. A lire d’urgence.
Ce que j’en ai compris
Dans notre « ça », il y a un peu de tout : du cupide, de l’obsédé sexuel ou autre, du lâche, du con et du méchant entre autres, etc… Ceux qui se persuadent qu’ils ne sont rien de tout cela sont les plus exposés à l’être justement ; puisque, l’étant alors à leur insu, ils ne font rien pour essayer de maîtriser leur « ça », ils mentent donc sans vergogne à leur « surmoi ».
Les Ancibure démontrent, et ils sont convaincants, que le premier territoire où s’éclate la méchanceté c’est chez les hommes, dans leurs rapports dominateurs avec les femmes. Donc Hulot est un méchant qui se prend pour un gentil, pour un protecteur de l’humanité.
Il n’est pas le premier à déconner de la sorte.
L’opinion publique, cette salope, reprend souvent un mot inventé il y a peu pour qualifier le déni de la Shoa, c’est « le négationnisme ». J’ai un peu de mal avec cette facilité à rejeter sur les autres, en un seul mot, la monstruosité humaine et à considérer ainsi en être affranchi.
En cette affaire particulière le déni est total. Le livre d’Hitler, « Mein Kampf », devrait non pas être planqué mais au contraire étudié par tous les élèves en secondaire. En effet sa lecture laisse pantois. Comment une telle bêtise, une vision si ordinaire et si méchante de l’organisation sociale a-t-elle pu convaincre les foules.
C’est ça le vrai mystère, pas qu’Hitler soit fou, mais qu’il ait pu paraître crédible.
Si ce livre était étudié dans nos écoles, il serait possible de décortiquer le concept de la méchanceté absolue, tournée vers l’homme avec l’excuse de l’intérêt du groupe.
Oui mais alors, tous les hommes de pouvoir, ou au moins la plus grande majorité, percevraient que leur moteur, lorsqu’ils prétendent que l’intérêt de la nation est supérieur à l’intérêt de l’individu, est simplement la méchanceté. Avec laquelle ils manipulent les autres à leur bénéfice exclusif de méchants.
Autre exemple, l’interview particulièrement sensée du professeur Toubiana.
Face à l’absurdité de la démesure des décisions qui accompagnent la survenue de COVID, il observe cliniquement et ne prend pas position, il a raison.
Mais nous, nous n’avons pas de gant à prendre.
Alors, nous pouvons dire que c’est l’opinion publique qui a souhaité toutes ces mesures liberticides. L’opinion publique dont la méchanceté déborde sans mesure. Alors qu’au départ les élus sous-estimaient COVID, la foule s’enfermait déjà, il fallait bien que l’enfermement devienne obligatoire, la méchanceté de l’opinion publique ne pouvait s’imaginer enfermée pendant que d’autres étaient libres.
Ensuite les élus ont compris tout l’intérêt qu’ils avaient à cet enfermement dès l’année précédant les élections, mais c’est du détail.
La méchanceté, moteur des grands mouvements humain ? Cela ne fait aucun doute.
Y-eut-il plus méchant que les curés ? Plus méchant que les philosophes communistes ? Plus méchant aujourd’hui que les écolos ? La liste n’est pas exhaustive.
Je n’ose même pas lister les méchancetés mortelles du fisc, c’est trop, c’est viscéral, c’est calculé, c’est fait pour tuer, c’est monstrueux, et cela réjouit l’opinion publique.
Tout est dit. Bien à vous. H. Dumas
A la tête de la commission de Bruxelles, il y a une femme qui pense qu’on peut violer les gens de manière chrétienne et démocratique.