Bon, nous approchons du but, quelques évidences s’imposent.
Le vaccin ne vaccine pas
Aujourd’hui nous avons tous un parent, un ami, un voisin, respectueux du pouvoir, qui s’est bombé ses trois doses et qui vient d’attraper, à défaut de la queue du Mickey, COVID.
Terrible constat : le vaccin ne protège pas du virus. Il n’empêche pas la transmission. Mais attention, il a évité la mort à ceux qui ne sont pas morts, parait-il, parce que pour les autres « nada » il n’a servi à rien.
Objectivement, autorisant et incitant la foule à se réunir en ne la protégeant pas, on peut considérer que le vaccin fût un des éléments clefs de la propagation de la maladie.
Un point positif, la docilité de Macron, son aspiration pathologique et scolaire à dénoncer le voisin fautif imaginaire, tel qu’il le faisait à Bercy pour les « Fraudeurs Fiscaux ».
En effet, son ostracisme envers les « non-vaccinés », sous-race de « sous-humains » venant momentanément remplacer les juifs et les riches, lui a rapporté gros :
– Nous allons abriter une usine flambant neuve de production de l’élixir du docteur Pfizer. La potion magique du cow-boy enrhumé…
C’est formidable pour l’emploi et la campagne électorale du gamin. Pour l’utilité de l’élixir, on verra plus tard.
Ah, aussi, il y aura peut-être les effets secondaires du fameux vaccin, mais ce n’est ni sûr ni proche, on verra… on n’est pas là pour faire des prédictions pense Macron, ni pour communiquer des informations. Que chacun se démerde pour savoir ce qu’il veut savoir.
La mondialisation
Vous savez ce machin qui part du principe qu’il y a une terre sur laquelle courent dans tous les sens des petites bestioles qu’on appelle des hommes, avec pour seul objectif de manger et de se reproduire, deux choses au surplus fort agréables.
Un machin qui rentre en conflit avec l’idée qu’ont les planqués visant à ce que personne ne puisse venir partager leur planque.
Depuis bientôt trente ans la mondialisation est acquise pour ceux qui sont libres dans leurs têtes et dans leurs jambes. Ils sont au sommet de la démarche, devenus si puissants et si indispensables qu’ils se sont fait repérer.
Puis, ces couillons ont inventé la communication partout et pour tous : internet.
Il s’en est suivi une explosion, en tout, en bien et en mal, finalement en ce que sont les hommes. Mais surtout, une stupéfaction pour ceux qui vivaient en tant que chefs des planqués, assis sur le pouvoir obtenu sur des groupes captifs, endoctrinés ou attachés physiquement aux lieux.
Soudain, la mondialisation affaiblit terriblement leur pouvoir.
Alors, ils tentent de la pénétrer, de lui imposer la sempiternelle question : voulez-vous être libres mais face au risque, ou voulez-vous être nos soumis mais protégés par nous du risque.
C’est l’éternelle proposition mafieuse : « tu paies ou ta boutique va bruler. »
Ces possédés ou possédants du pouvoir clanique et leurs zélés serviteurs tentent, avec un certain succès, de pactiser avec les champions de la mondialisation étonnamment sensibles à leurs menaces et à la connivence facile espérant en échange protéger leur monopole naissant.
Ainsi la mondialisation se retrouve dans la situation classique : se construire sur le socle des libertés individuelles ou au contraire à partir d’une organisation collective entre les mains d’un « pouvoir » et fédérée par une ou plusieurs croyances.
Nous en sommes donc là.
COVID est une modélisation grandeur nature de la deuxième solution : l’organisation collective fédérée par une croyance, l’initiative individuelle n’a pas été que négligée : elle a été bannie.
Le résultat est à la hauteur du système : catastrophique.
Pour autant la messe n’est pas dite. Les deux solutions ne demandent qu’à s’affronter, elles trouveront mille excuses à ce sujet. La guerre, la vraie, n’est pas loin.
Elle sera aveugle et totale tant ces deux visions du monde sont inconciliables.
Bien à vous. H. Dumas
Ce qui est paradoxal dans cette affaire, c’est que ce sont les partis modérés, le centre mou qui se montrent les plus extrémistes à restreindre la liberté au contraire des partis extrémistes qui sont les plus modérés. Comparez les positions d’un Bayrou, d’un Estrosi, d’un Macron à ceux d’un Mélenchon, d’un Philippot, d’un de Villiers ou d’une Le Pen.
Enfin il est vrai que ce sont ces premiers qui ont le pouvoir, donc qui ont le plus à perdre si le peuple leur échappe.
J’avais écris sur ce blog au printemps 2020 que Delfraissy serait notre Trofim Lyssenko, je ne m’étais pas trompé hélas.
Les politique français donnent des leçons en France bien sûr, au monde entier et beaucoup de français y croient. Par exemple Le Président Français a dit ce jour il faut que les pays européen respectent l’état de droit, je suis donc mort de rire, car La France est le pays qui a proclamé les droits de l’Homme, mais pas celui qui les applique et maintenant notre Président proclame qu’il faut respecter l’état de droit, mais ne se l’ applique pas= La justice, l’état de droit en France, rapport sur la France et l’ UE (de 114 pages 18 Mo difficile à communiquer car fichier important) , ou pour certains ne peuvent pas le lire car en Anglais et donc je vous adresse seulement la traduction de ce rapport sur la France, rapport réalisé en 2021 par Madame La Députée UE Irlandaise Clare DALY, son assistante Mme Bethany Tallulah HOWARD, cliquez pour lire la traduction sur ce lien = http://injustice.blog.free.fr/public/Traduction_Rapport_Parlement_Europe_en_word.pdf
Et j’ai été invité à participer à cette étude européenne ainsi que Monsieur Ernest PARDO ( Auteur de la supercherie judiciaire= https://www.youtube.com/watch?v=Q1JtMDYS9ug ) et autres. Bonne lecture et Bonne écoute.
Mais Qui s’indigne vraiment sur la justice française ? #EtatsGenerauxDeLaJustice
La France est le pays qui a proclamé les droits de l’Homme, mais pas celui qui les applique !
Explication d’un système corrompu= cliquez pour lire la suite : http://injustice.blog.free.fr/public/Explication_du_systeme_corrompu_a_quelqu_un.jpg
Si la France a inventé la Liberté, elle a surtout par le biais de Charles de Secondat, Baron de la Brède et de Montesquieu, inventé une des choses les plus importantes dite la séparation des pouvoirs. Je veux parler du pouvoir législatif, pour faire les lois, du pouvoir exécutif, pour mener la politique du pays et du pouvoir judiciaire, qui lui se charge du respect les lois. Ces trois pouvoirs, selon la règle de Montesquieu, étaient élus par le peuple, principe dont les USA se sont inspirés en particulier.
Nos juges furent élus pendant les premières années de la Révolution Française en respect des constitutions, telles celles du 3 septembre 1791, du 24 juin 1793, du 22 août 1795 ainsi que celle du 13 décembre 1799 : ces quatre Constitutions exigeaient que les juges soient élus par le peuple. Napoléon instaura qu’ils soient nommés par le pouvoir exécutif en 1799. Ainsi ils devenaient des fonctionnaires de l’autorité judiciaire.
En 1789 la réflexion judiciaire était de rendre Justice au nom du peuple français.
Dans toutes les universités étrangères on fait gentiment cette dernière remarque sur le ton de la plaisanterie à ceux qui entrent en première année de droit, allant même jusqu’à évoquer la « publicité mensongère » ?
En France les journalistes ne se préoccupent pas des citoyens = Vous pouvez voir la suite à l’adresse suivante : https://www.temoignagefiscal.com/en-france-les-journalistes-francais-ne-se-preoccupent-pas-des-citoyens/