C’est ce que chacun de nous doit avoir à l’esprit lorsqu’il utilise son bulletin de vote. Voter n’est pas anodin, ce ne peut pas être un simple caprice. Ce devrait être, dans l’absolu, limité à confier un mandat nous laissant la maîtrise de notre destin à travers une administration et une justice neutre et démocratique, respectant toutes les opinions. Ce n’est pas le cas.
Les condamnations, à la prison conduisant à la mort pour le résistant Alexeï Navalny, ou directement à la peine de mort pour le rappeur Toomaj Salehi, ne sont pas des exceptions. C’est la règle.
Le vote ne confie pas un mandat, il donne le pouvoir, et le pouvoir n’a pas de limite. Où que ce soit. La coercition qu’il peut mettre en œuvre avec ce qui se fait appeler abusivement la justice est illimitée.
Un exemple flagrant.
Cela fait deux fois que le magistrat Faucou Gérald, Président de la formation ayant à fixer une consignation au TJ de La Rochelle, abuse de son pouvoir pour entraver la justice.
La consignation à l’occasion d’une citation directe est fixée, selon l’article 392-1du Code de procédure pénale « en fonction des ressources de la partie civile ».
Deux de mes sociétés en survie difficile et ayant peu de ressources du fait d’agressions indues par les Services Fiscaux pour l’une, par les élus et Services Municipaux de l’Urbanisme pour l’autre, ont fait citer les responsables devant la Chambre correctionnelle du TJ de La Rochelle.
Ai-je tort ou raison dans ces affaires ? Vous pouvez en juger en lisant les citations accessibles avec les liens liés ci-dessus. En ce qui me concerne, je me défends, dos au mur, avec les moyens que me donne la constitution : la justice et le droit d’expression.
En règle générale, ces deux moyens me sont refusés par « la justice » qui poursuit mon blog pour le compte de Bercy et me colle, lorsque je la saisis, des montants de consignation pour le moins dissuasifs, disons en réalité carrément inaccessibles.
Ici en particulier, en imposant deux fois des consignations de dix mille Euros, le magistrat n’hésite pas à se mettre hors la loi. La Cour Européenne a déjà jugé qu’une consignation excessive est une entrave à la justice. C’est évident, puisqu’alors ne pouvant pas être payée elle met fin aux poursuites engagées.
Il est peu probable que La Cour d’Appel de Poitiers déjuge ce magistrat, qui en tout état de cause sera celui qui jugerait si la consignation pouvait être réglée, alors qu’il a déjà jugé, sans entendre le plaignant que je suis… sans procès juste et équitable.
Il faut savoir que dans le cas contraire, où c’est un membre de l’administration qui me poursuit, où sa consignation est payée par son employeur, celle-ci ne dépasse jamais 500 €, le plus souvent elle est limitée à 300 €…
Conclusion
Il existe bel et bien un corporatisme d’Etat couvrant un pouvoir absolu. La défense de nos droits, de la liberté d’expression, face à ce pouvoir absolu ne passe pas par la case justice. C’est un constat factuel, pas une impression ou une obsession, une phobie complotiste…
Hors, pas de vie sociale possible sans arbitre pour chaque phase de jeu…
N’est-ce pas le point essentiel à défendre, celui qui précède tout ?
Bien à vous.
Oui, la Justice est au final l’outil qui a le pouvoir de contenir toutes les combines et les dérives des pouvoirs quels qu’ils soient. Il faut relire un texte de Guy Canivet :
» Au nom de qui jugent les juges? »
La justice est rendue au nom du peuple qui doit surveiller les juges ! Ça commence à s’organiser un peu partout.
16 ans de batailles judiciaires pour destituer mon notaire Roger Bodiguel à Vieillevigne (44) d`une escroquerie en bandes organisées de notables de tout mon patrimoine. Cela s’appelle la mafia judiciaire. Pourquoi ? La même personne, la même étant associée unique de mon Hôtel d’un sinistre d’eau en bénéfice. A connue de A à Z que du faux en écritures frauduleuses dans les premiers jugements d’avocats avec le TG I de Nantes, aussi, une provocation d’une liquidation judiciaire en bénéfi.mce au tribunal de commerce à Nantes. Pour mensonges à tous les niveaux Je décidais de faire la grève de la faim seule pour demander à parler au procureur de la République de la cour d’appel de Rennes sur la place du parlement car je voulais lui expliquer mon premier métier qui était le paradoxe de me faire subir, porter se qui était contraire aux entreprises que je laissais debout, en était missionnée en profession libérale de certains gros groupes des clients du constructeur informatique. Je gagne à la cour d’appel à rennes. La justice était bien trop longue ( ). J’aimerais faire un film pour raconter les paliers de l’escroquerie des notables car je me confrontais à eux-mêmes. J’étais passionnée avec le goût de la recherche du mal à la racine à comprendre et à solutionner Je suis dans la résilience. Se sont des malades dans l’addiction de l’argent. J’aimais mes 2 carrières.Cordialement