Pour une dose de plus !

Tout le monde connaît l’histoire de cette personne, qui s’étant cassé le bras, décide de se soigner… en prenant de l’aspirine. Comme prévisible, le bras ne guérit pas, c’est même tout le contraire, et à chaque aggravation, notre bras cassé prend… une plus grande quantité d’aspirine. Finalement, se retrouvant à l’article de la mort, juste avant de trépasser, il s’écrie… « J’aurais dû prendre plus d’aspirine ! »

Les croyants covid se sont fait injecter. L’injection n’a pas marché. Donc ils se refont injecter. Ça ne marchera pas, peu importe, ils se referont injecter. Bien sûr, à chaque dose, ils se fragilisent un peu plus, réduisant à rien leur immunité naturelle. Espérons une issue qui ne sera pas fatale. Et qu’ils seront dispensés d’avoir à s’écrier, dans un ultime sursaut de lucidité : « J’aurais dû me faire injecter plus, j’aurais dû demander plus de doses… »

Hier, on avait des malades et des morts. Beaucoup moins qu’on ne l’a dit, mais bon, on en avait tout de même assez pour faire croire qu’on en avait beaucoup plus. Problème, ce mensonge d’état devient de plus en plus difficile à soutenir. Plus malades, plus de morts, plus de véranattitude tenable.

Sauf si… sauf à remplace les malades par… des « cas » ! Ce qui fut fait, avec le succès que l’on constate.

Les cas, c’est une trouvaille géniale ! Pour multiplier les cas, la recette est simple, il suffit de multiplier les tests. Plus il y a de tests, plus il y a de cas. Les cas, c’est bien, ça n’encombre pas les hôpitaux, même pas besoin de les soigner. Et auprès des gogos, ça marche tout aussi bien. De plus en plus de cas répètent en boucles les médias du mensonge. Le gogo ne vérifie rien. Se précipite sur Doctolib pour sa troisième dose aujourd’hui, la quatrième demain, la cinquième ensuite…

Danger, craignent certains : les effets indésirables des injections expérimentales, d’abord facilement cachés sous le tapis médiatique tant qu’ils sont peu nombreux, seront plus difficiles à déguiser quand ils seront trop nombreux. Ne risque-t-on pas de voir des injectés gravement touchés se rebeller en nombre ?

Rien à craindre, pourtant, pensent nos oligarques, sans doute avec raison. Le gogo injecté puis touché par quelque « accident de vaccination » n’en tirera nulle leçon, et continuera d’aller répétant : « Ce qu’il me faut, désormais, c’est une nouvelle dose, une dose de plus ! »

Et comme le disait un mien ami, en parlant d’autre chose : « N’en mourront que les plus malades ! »

Et vous, où en êtes-vous de votre compte de doses ?

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9 réflexions sur « Pour une dose de plus ! »

  1. L’argument du coût du vaccin pour la collectivité est fallacieux quand on sait le coût pour la collectivité d’une journée de réanimation. Mais ce n’est pas inintéressant. Choisir entre payer 3 doses ou plus de vaccin à 20 euros pièce ou prendre le risque de payer intégralement un séjour hospitalier avec éventuellement plusieurs journées de réanimation, c’est pas un choix très difficile…

    1. Moi, j’ai choisi. Réanimation ? Je n’ai pas assez peur de mourir, ou je n’aime pas assez la vie pour accepter de subir ce genre d’horreur.
      Par ailleurs, il devient difficile d’affirmer comme le gouvernement que c’est le vaccin ou la réanimation, tant sont nombreux les cas qui ont subi l’un et l’autre. Mais comme cette constatation est politiquement tout à fait incorrecte, je préfère me retirer sur la pointe des pieds…

  2. Bonsoir , Toujours pas piqué donc complètement piqué !!!vaccinez vous ! seule consigne raisonnable . Ah au fait c’est un site anti fiscal ou de piqués aux hannetons

    1. Question à Monsieur Jacques l’hypocondriaque : on vaccine contre la grippe saisonnière depuis plus de trente ans sans avoir réussi à éradiquer cette maladie infectieuse, pourquoi en serait-il autrement du covid ?

    2. L’évangile dit « Heureux les simples d’esprit (les croyants je suppose) le royaume des cieux leur appartient » aujourd’hui « heureux les piqués ils échappent au piquet des non-piqués »

    3. Vous ne le savez peut-être pas, mais la folie vaccinale est aussi une folie fiscale. Vous avez envie de vaccin ? C’est votre droit, et je n’aurais rien à y redire si vous vous le payez. Mais ce n’est pas le cas. Nous payons donc pour que vous vous fassiez injecter, et pire, pour que ceux qui ne le souhaitent pas le soient aussi.
      Quant à mon statut vaccinal personnel, je ne vous ai pas fait de confidence, que je sache.

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