Les Français sont parfois d’étranges phénomènes. La menace d’un échec électoral les conduit à des déclarations définitives. « S’il passe, je quitte la France » ! On en a tellement entendu de la sorte… Et, à l’approche de la prochaine présidentielle, ça recommence.
Mais lorsque la situation financière du pays est telle qu’elle devrait conduire chacun à une interrogation sur notre avenir collectif, les citoyens, droits dans leurs bottes, dénoncent et invectivent mais, à l’abri du danger, rejoignent calmement leur nid douillet ! Pas question d’exil !
On sait ce qu’il advient des communes qui, au détriment de leur indépendance, refusent d’investir en s’en remettant, faute d’efforts, à d’autres collectivités ou à la nation. Elles périclitent doucement, perdent leur autonomie et deviennent les vassales de collectivités mieux armées qu’elles.
L’emploi se fait rare. Et l’idée de départ renaît alors dans les chaumières.
Ce n’est plus sur un coup de tête que l’on s’en va. C’est après mûre réflexion. On décide d’aller ailleurs pour survivre ou pour vivre mieux.
Ne peuplent alors les communes désertées par leurs habitants les plus lucides et les plus volontaires que des inactifs qui entretiennent le règne de l’inaction.
Il en est de même de la France.
Les mauvaises conditions économiques de la nation entraînent les plus volontaires à trouver ailleurs les débouchés que leur pays acculé par la dette ne pourra plus leur donner.
La migration est plus souvent économique que politique. La migration politique est le stade ultime d’une souffrance, un réflexe de désespoir, loin des déclarations fracassantes de quelques militants gavés en mal de reconnaissance.
La migration économique est de tous temps et de toutes origines. Elle est silencieuse. Elle est le résultat d’une volonté de survie ou d’un projet de vie, d’une espérance fondée sur l’analyse objective d’une situation donnée comparée à une situation désirée.
La France endettée est désormais classée au rang des faibles, de ceux auxquels on ne fait pas confiance.
Ce n’est pas la faute des gouvernants. Il ne sont au fond que le résultat d’un libre choix de la nation. Car lorsqu’on bouscule la nation pour lui imposer le courage au lieu de la facilité, elle récuse ce choix et renvoie le gouvernement.
Elle préfère les démagogues aux réalistes. C’est son choix. Un déni de réalité.
Partir deviendrait-il une option ?
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Albert Einstein affirmait = “On ne résout pas les problèmes avec ceux qui les ont créés”
« Quand le pillage devient un moyen d’existence pour un groupe d’hommes, qui vit au sein de la société , ce groupe finit par créer pour lui-même tout un système juridique qui autorise le pillage et un code moral qui le glorifie . « Frédéric BASTIAT
On peut facilement identifier une vraie Dictature, mais il est difficile d’éliminer une fausse démocratie comme en France, USA, UE. Article 16 en France !
« L’Histoire du projet Européen en France depuis 1970, est une suite de mensonges sur lesquels des politiques et les médias se mettent d’accord. »
Et sur l’Ukraine, Ne soyons pas naïfs. L’attitude de certains pays Européen/OTAN est faite pour acheter des munitions aux USA et permettre ainsi aux USA de financer le renouvellement de ses armes face aux Chinois. Les USA sont maître en communication hollywoodienne de mensonges. La Russie n’est pas dupe!
RAPPEL= L’ancien Premier ministre ukrainien s’est adressé aux soldats des forces armées ukrainiennes en désespoir de cause
Azarov a déclaré que les soldats des forces armées ukrainiennes n’avaient aucune raison de se battre avec la Russie.
MOSCOU, 10 août — RIA Novosti. Les soldats des forces armées ukrainiennes doivent comprendre qu’ils n’ont plus aucune raison de se battre, a déclaré l’ancien Premier ministre ukrainien Mykola Azarov sur sa chaîne Telegram .
« Et pour quoi, au juste, le soldat ukrainien se bat-il maintenant ? Que défend-il ? On dit : la Patrie. Quelle Patrie ? Elle a cessé d’exister depuis longtemps. Ses ressources minières ont été transférées à des étrangers, son industrie a été vendue, son agriculture a été vendue, c’est tout. Vous n’avez rien ! Que défendez-vous ? » a-t-il écrit.
Selon Azarov , les forces armées ukrainiennes sont désormais obligées de se battre non pas pour leur patrie, mais pour le régime de Zelensky, qui est prêt à envoyer des milliers de personnes dans le hachoir à viande juste pour maintenir son pouvoir.
Col. Jacques Baud / UKRAINE: LA PIRE PARTIE DE LA GUERRE EST-ELLE À VENIR ? RÉPONSE CHOQUANTE. La Russie ne peut pas perdre (le 25 aout 2025).
Jacques Baud, ancien colonel de l’armée suisse, de l’OTAN, spécialiste du renseignement et du terrorisme, auteur de plusieurs ouvrages parus aux éditions Max Milo, notamment ”Ukraine entre guerre et paix”, “Opération Z” , ”Gouverner par les fake news” , écoutons = https://www.youtube.com/watch?v=u14B479ACzg