Macron a dit une vérité ! Si ! Si !

À hôpital de Vendôme fin avril, Macron était venu contempler l’état du chaos médical, et tient précisément ces propos : «  on est dans une période où on refonde, on est en train de réinventer un modèle. C’est plus dur de le réinventer quand tout n’a pas été détruit ».

Ça a du faire plaisir à ses interlocuteurs qui avaient à comprendre qu’ils étaient bons pour la poubelle, constituants par eux-mêmes d’un système obsolète.

Entre l’anéantissement du service de santé précédent et la finalisation de la mise en œuvre du nouveau, qui ne tiendra pas du coup de baguette magique, on soigne comment ?

Certes, dans tout domaine, les connaissances, la technologie et les pratiques évoluent très vite, et en médecine tout particulièrement. Donc il faut forcément évoluer pour être plus efficace, et rendre le meilleur service.

Les professionnels de santé sont tellement insatisfaits des évolutions des dernières décennies, en particulier en France, que dans leur grande majorité, ils ne sont certainement pas opposés à changer leurs conditions d’exercice.

Mais quand on parle de changement dans un secteur aussi complexe que la santé publique, il faut avoir l’esprit très clair sur les objectifs et s’exprimer avec franchise et honnêteté. Que peut avoir en tête Macron en tant que « nouveau modèle » ?

Il ne le dit pas, mais c’est très facile de deviner. On a pu observer son parfait déploiement avec le Covid et c’est l’influence devenue contrainte sur les pays occidentaux, de l’OMS, elle-même jouet des Big Pharma et de Bill Gates, qui donnent les ordres. L’idée est de « rationaliser » : un modèle d’humain, diagnostic par robot médical à domicile, analyse par intelligence artificielle, comparaison aux épidémies en cours, livraison rapide des médicaments approuvés par l’OMS donc rentables pour les Big Pharma, ambulance si complications, Rivotril si pronostic défavorable, inutile de dépenser du fric pour une agonie de trois mois.

Voilà, comme cela, on squize les généralistes qui prescrivent comme ça leur chante. La liberté de prescription, c’est pas possible dans un monde moderne et cartésien ! Les ordinateurs feront très bien le boulot des médecins. Même en chirurgie, les robots seront capables de beaucoup de choses.

Le modèle de la pandémie est parfait pour nos génies sans diplômes de médecine. On interdit les anciens médicaments éprouvés, on enferme tout le monde, on libère ceux qui prennent le nouveau médicament tout neuf forcément issu des dernières technologies et efficace à 95% (d’après la pub).

Le but est de conditionner l’esprit jusqu’à ce qu’il ne réagisse plus à partir de sa volonté libre ou d’une base rationnelle, mais comme une réponse à des impulsions implantées depuis le dehors.

Bill Gates en 2017 : «  une attaque aux armes biologiques se prépare et ce n’est qu’une question de temps. Nous devons nous préparer aux épidémies comme l’armée se prépare à la guerre ».

Ce monde est l’œuvre de grands paranoïaques. Le problème, pour eux aussi, c’est que la gestion du covid par ce « NOUVEAU MODÈLE » a été totalement inefficace et désastreuse par les décès évitables, les effets secondaires très nombreux et souvent graves, les conséquences économiques et sociales.

Le bilan est catastrophique mais les responsables qui normalement devraient s’en rendre compte et remettre en cause ce qu’ils ont fait ne le font pas, malgré des milliers de résultats scientifiques attestant leurs mauvais choix et l’avis des grands noms de la médecine indépendante des labos.
D’un autre côté, reconnaître ses erreurs en l’occurrence les rend directement responsables de crimes. Il est facile de comprendre qu’ils s’accrochent désespérément à leur vision. Les « dominants » ont été beaucoup trop loin pour se dédire. Ils se divisent en deux catégories : ceux qui sont assez puissants, riches et égotiques pour se croire invulnérables, et ceux qui se rendent compte qu’ils pourraient avoir un jour à justifier de leurs actes devant un tribunal du peuple.

Il ne faut pas croire que les politiques de santé sont déterminées par de savants médecins compétents, expérimentés et pragmatiques. Ceux-là, on les fait taire, on les traite de charlatans, on les harcèle, on les détruit socialement, on les attaque juridiquement, on les démissionne. On fait discrètement disparaître du web les contenus trop peu conformes à la doxa. Un rien semble menacer la sécurité publique. Il n’en a jamais fallu si peu pour devenir un quasi-terroriste. La logique semble figurer désormais au nombre des délits. La dictature s’autorise le plus complet dogmatisme chaque fois que s’offre l’occasion de lyncher l’indocile.

Ce qui se passe, c’est l’utopie de nouveaux traitements révolutionnaires pensés par des chercheurs qui ne lèvent pas le nez de leurs éprouvettes et qui disent à leur patron qu’ils ont trouvé la solution. Comme le patron n’y connait rien, il met en place le business plan, la publicité, les contrats toujours secrets avec des politiciens élus ou pas, la distribution, la récupération et la mise à l’abri du fric. Et vogue la galère, jusqu’à ce que le monde entier constate que ces « vaccins » sont de la merde et que Albert Bourla, PDG de Pfizer, finisse par avouer publiquement qu’il s’était laissé persuadé par ses chercheurs, et que la technique de l’ARN messager n’était pas mature. Mais il s’en fout, car il a pris bien soin de refiler toute responsabilité quant aux effets secondaires aux acheteurs du pseudo-vaccin, dans des contrats que le citoyen européen ou ses représentants n’ont jamais eu l’honneur d’analyser. Ursula fait son marché à 71 milliards entre copains et hors toute procédure démocratique. Vous comprenez, il faut sauver d’urgence les peuples européens du méchant coronavirus qui tue 0,4% de la population à un âge médian de 84 ans, sans influence notable sur les statistiques démographiques. Si après ce feuilleton cauchemardesque, les citoyens ne conviennent pas de l’évidence de la décomposition cérébrale avancée des gouvernants qui jouent aux chefs suprêmes sauveurs de leurs peuples, il faut consulter et retrouver le mode d’emploi des neurones.

En fait, ils savaient depuis le départ que c’était de la merde. C’est pour cela qu’ils ont voulu garder secret le rapport d’essai clinique visant l’autorisation de mise sur le marché, et que l’OMS a attendu 5 jours quand même pour donner l’AMM conditionnelle, qui deux ans et demi et 13 milliard de doses après, reste conditionnelle, puisque les labos ne peuvent établir un rapport final d’essai de phase trois qui ne ressemble pas à une condamnation.

La faille monstrueuse de la pensée médicale de l’OMS, des labos et consorts, est de considérer l’homme, et on peut le dire de n’importe quelle espèce vivante, comme une copie conforme à son prochain. Alors bien sûr, il y a suffisamment de caractéristiques communes, liées au génome, pour que la reproduction soit possible. Mais au delà de cela, les variations sont infinies. Déjà, si vous regardez un Massaï, un suédois, un pygmée, un esquimau, un papou, on pourrait se poser la question de leur capacité à se reproduire ensemble, et pourtant c’est le cas. Ces différences anatomiques vont de pair avec une adaptation à l’alimentation disponible. Est-ce qu’un mangeur de mygales ou de vers blancs peut devenir mangeur exclusif de riz ou de phoques ? Question difficile. Mais ce n’est rien encore par rapport à la variabilité immunitaire, où chaque individu s’adapte et souvent s’immunise contre les pathogènes de son environnement, mais sera très exposé à des pathogènes d’autres contrées. Le sujet est trop vaste pour l’approfondir ici, mais pour en montrer un exemple dans les mémoires, il suffit de se refaire l’historique du SARS-COV-2, que la majorité de la population pouvait porter sans symptômes, une petite part présentait les symptômes, 200/100000 (sans vaccins, 400/100000 avec vaccins : données d’Ecosse) pouvaient être hospitalisés, et 0,4 % maxi pouvait en mourrir, en général en association avec des cofacteurs : diabète, obésité, insuffisances diverses. Dans ces conditions qui étaient parfaitement connues avant l’arrivée des pseudo-vaccins, comment justifier de traiter « quel qu’en soit le prix », toute la population de la même façon, y compris les enfants absolument pas concernés, les femmes enceintes sans études tératologiques, et tous les citoyens de moins de 50 ans qui n’avaient pas de risque significatif de Covid.

L’expérience médicale réelle part du principe que chaque personne est unique et doit être considérée comme telle. Les recettes thérapeutiques ne sont pas à rejeter bien sûr mais il faut toujours avoir à l’esprit que cela ne marche pas à tous les coups. L’idéal serait qu’un médecin généraliste puisse « suivre » en moyenne 700 personnes, avec des chances de les connaître suffisamment pour tenir compte des « variantes ». Cela n’empêche pas de développer toutes les possibilités nouvelles de diagnostic et d’information sur les évènements médicaux en cours, dans un format pratique compatible avec l’exercice de praticiens souvent trop sollicités, parfois pour des conneries. L’important est que la rédaction soit proposée par un conseil de thérapeutes réels et de scientifiques indépendants, et non pas par des fonctionnaires hors sol et des représentants de BIG PHARMA.

Cet opposition radicale dans les principes aboutit à la guerre civile occidentale. Big Pharma ne veut pas lâcher le morceau qui représente 1280 milliards $ en 2021, et continue d’arroser l’OMS, l’EMA, l’ANSM, et des milliers de bureaucrates, de politiques et de pseudo-scientifiques de plateau TV à conflits d’intérêt pour accentuer la pression mentale sur les populations. En France, les forces en présence sont une nomenclatura d’environ 1500 personnes, 35000 CRS disposant de fusils d’assaut, des centaines de blindés urbains, contre 56 millions (85%) de Français qui ont compris qu’on les traitaient comme du bétail. Je ne ferai pas de pari.

Au niveau de l’OMS, la pression est actuellement forte pour lui attribuer la capacité de décider des stratégies à appliquer obligatoirement en cas d’épidémie. Les nations occidentales n’auront plus à discuter de décisions prises par une organisation payée et infiltré par Big Pharma, sans recours démocratique, mais pour « le bien des peuples » ! Ceci prouve l’absence absolue de complexe de la caste des manipulateurs.

Tout cela passe aussi par le mépris de la liberté de traitement médical de tout citoyen, de la liberté d’opinion, de la liberté d’expression, des bonnes pratiques scientifiques, de la vérité en général. Mais il y a aussi assez de références pour évoquer des épidémies peut-être provoquées (gains de fonction artificiels, fuite improbable d’un labo P4, diffusion initiale dans un lieu idéal), avec de forts relents d’eugénisme.

Tout finalement est une question de valeurs. Elles sont déjà connues. Les droits de l’homme ne doivent pas être remis en cause. Tous les grands pactes internationaux qui en sont la formalisation sont un cadre pour vivre ensemble qui doit être absolument respecté. Sinon, c’est la guerre, comme dirait l’autre !







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6 réflexions sur « Macron a dit une vérité ! Si ! Si ! »

  1. Deux jours après la rédaction de l’article, le Dr David Martin, américain, donnait à la tribune de l’assemblée européenne un historique des coronavirus. Voici quelques éléments sélectionnés : le coronavirus, découvert en 1965, a été dès le début considéré comme intéressant par la capacité d’être modifié pour obtenir des effets médicaux, entre autre pour réaliser une arme bactériologique. Une première expérience a eu lieu en 1966. Et la recherche dans ce sens a débuté dès 1967, avec un premier test chez l’homme d’un coronavirus modifié, au mépris des lois internationales sur les armes chimiques et bactériologiques. La recherche des années 77 à 79 a porté sur les manières de le modifier. Premier vaccin à base de protéines Spike par Pfizer en 1990 pour traiter des désordres digestifs chez le porc. Mais les vaccins contre les coronavirus ne marchaient pas. Tous les essais (#1000) de vaccins contre le coronavirus rapportés dans la presse scientifique entre 1990 et 2018 montrent que le virus échappe systématiquement aux vaccins par sa capacité de mutation. En 2002, la faculté de Chapel Hill en Caroline du nord, en association avec Antony Fauci et le NIAID, qui a fourni 10 milliard $ de fond, a breveté un coronavirus “infectieux à réplication défectueuse”. Un an après, l’épidémie de SARS-COV-1 par le même COV n’est pas un hazard ! Le SARS est une invention humaine. Les versions naturelles du COV donnent le rhume. En 2003, le CDC a breveté le coronavirus humain, encore en violation des traités sur les armes chimiques et bactériologiques. En 2005, ce pathogène a été spécialement qualifié de plate-forme technologique pour le bioterrorisme et les armes biologiques. C’est la classification officielle depuis 2005. Cela ne ressemble pas à de la santé publique. Le moratoire sur le gain de fonction du virus, censé geler toute recherche, a été suspendu sous l’influence encore d’Antony Fauci et du NIAID, qui a donné une exemption à l’université de Chapel Hill. Un article de 2016 annonçait que le SARS-COV était prêt à émerger chez l’homme. C’était le WIV1 : Wuhan Institute of Virology 1. La phrase suivante a circulé en 2017 et quatre fois en avril 2019 : “Il va y avoir une libération accidentelle ou intentionnelle d’un pathogène respiratoire”. Quatre fois un brevet de Moderna a été modifié pour inclure cette phrase, afin de justifier la fabrication d’un vaccin pour une chose qui n’existait pas ! Insistons sur la nature préméditée de cette affaire. Suite : “Pour maintenir la base de financement au delà de la crise, nous devons mieux faire comprendre au public la nécessité de contre-mesures médicales telles qu’un vaccin universel contre la grippe ou le coronavirus. Les médias sont un moteur essentiel et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage médiatique à notre avantage pour nous attaquer aux vrais problèmes. Les investisseurs réagiront s’ils voient un bénéfice à la fin du processus “.

    Voilà. Une petite part de l’humanité trouve normal d’utiliser la mort de millions de personnes pour assurer les bénéfices d’entreprises pharmaceutiques et de leurs actionnaires, le tout sans se poser de question éthique, ni encore de remords, mais ça risque de venir. Faut-il être fou pour penser que de telles manipulations puissent rester secrètes, ou ne pas finir par une révolution.

  2. Une question doit tarauder les malthusiens. Doit on tuer les obèses, ces “mangeurs inutiles” selon les davosiens ou les laisser enrichir les actionnaires de big pharma ?

    Ne jamais oublier que l’idéologie se monétise. Big pharma défend les trans pour mieux les bourrer de medocs à vie avec l’argent du contribuable. Soros défend l’immigration pour recruter des esclaves. Avec l’aide de la gauche progressiste.

  3. Rappel =
    Socrate qui a dit :
    – 1) Les gens intelligents apprennent de tout et de tout le monde.
    – 2) Les gens moyens apprennent de leurs expériences.
    – 3) Les Gens Stupides ont déjà toutes les réponses.
    Beaucoup sont en 3 en particulier des journalistes et des politiques.

    – Goebbels un SS NAZI disait =”Si l’on répète un mensonge plusieurs fois, cela devient la vérité.”
    “Tous ces mensonges en France qui vous font croire que l’économie se porte bien” – Myret Zaki, qui s’indigne ?, cliquez pour écouter= https://www.youtube.com/watch?v=9u_UrufDdAI

    En France il n’y a pas le pouvoir mais l’abus de pouvoir et donc la faiblesse des contre-pouvoirs citoyens.
    La France est le pays qui a proclamé les droits de l’Homme, mais pas celui qui les applique !

    On peut facilement éliminer ou d’identifier une vraie dictature, mais il est très difficile d’éliminer une fausse démocratie.= ” La dictature parfaite aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où grâce à la consommation et au divertissement les esclaves auraient l’amour de leur servitude.” Aldous Huxley (1864-1963), écrivain britannique, auteur du livre “Le Meilleur des Mondes”

  4. Stéphane Eimer le numéro un de la biologie médicale en France devenu milliardaire par un coup de baguette magique et dont les labos ont réalisé une part énorme des tests covid, suicidé par dessus un balcon de l’hôtel Plazza Athénée : bizarre, bizarre…

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