Elle s’exprime symboliquement dans le mariage pour tous.
On voit un Président de La République qui vit en concubinage notoire imposer le mariage pour tous, alors même qu’il est le représentant abouti du mariage pour personne. C’est cela la logique socialiste de la haine.
J’ai une pensée émue pour les homosexuels pris dans cette logique. Qu’ont-ils à y gagner ? Le droit de s’aimer. Qui ne l’a pas ? Le droit à une sexualité originale. Qu’elle sexualité ne l’est pas ?
Ils n’ont rien à gagner sauf l’émergence d’une homophobie latente porteuse de haine.C’est cher payé pour un acte civil qui est nié par celui-là même qui les expose lucidement à la haine dont il est le seul bénéficiaire en s’offrant le luxe de la dénoncer après l’avoir fomentée.
Nous sommes au cœur de la perversion socialiste.
Cette perversion a un épicentre, un Vatican ou une Mecque socialiste, c’est : Bercy.
Bercy est un fauteur de haine dont le paradoxe est de faire croire qu’il serait au contraire porteur de justice sociale. Au point que personnellement je m’y suis fait prendre lors de ma première poussée d’agressivité en défense aux attaques sordides de Bercy dont je suis l’objet. En effet, j’ai titré mon premier ouvrage : « Je hais le fisc, notre associé déloyal » alors que la haine n’est pas de mon côté.
Extrait des définitions de la haine dans Wikipédia :
Le philosophe espagnol José Ortega y Gasset définit la nature de la haine : « Haïr, c’est tuer virtuellement, détruire en intention, supprimer le droit de vivre. Haïr quelqu’un, c’est ressentir de l’irritation du seul fait de son existence, c’est vouloir sa disparition radicale. »
La psychanalyste Marie-Claude Defores considère la haine comme une force délibérément déstructurante et déshumanisante, arme principale de la perversion : « Il est important de distinguer l’agressivité, qui est une pulsion de vie, de la haine, qui est une force de dépersonnalisation… La haine peut prendre les formes les plus socialisées ; elle refuse le nouveau, tourne vers le passé, produit la répétition et dépersonnalise »
Allant dans le même sens, Heitor de Macedo affirme : « La haine n’attrape pas la vérité, elle l’enserre à l’intérieur d’une pensée immobile où plus rien n’est transformable, où tout est pour toujours immuable : le haineux navigue dans un univers de certitudes »
Pour le psychanalyste Pierre Delaunay, » Celui qui hait dénie toute existence à l’objet de sa haine ; au point de la supprimer si elle se manifeste moindrement. […] Il pétrifie l’autre en sorte qu’il n’existe que très peu et, si ce n’est pas suffisant, il le tue. De l’existence de l’autre, il n’en veut rien savoir. »
Pour C.G.Jung : « L’arme de la perversion est le mensonge. » Le mensonge est « cet acte qui prend la forme de la négation : il est dénié, c’est le déni du déni ; il est le bras armé de la haine. […] Ce déni est un acte abstrait, efficace, né de la fiction. Il oppose à la réalité vivante et pleine d’énergie une non-réalité sans énergie comme de l’antimatière, qui agissant par obstacle, empêche le déploiement de la vie. »
En contrepoint de ces définitions, voici ce que j’ai reçu d’un lecteur :
« Il faut vraiment dénoncer cette machine étatique qui broie des vies.
Tu sais que je ne peux plus faire un seul achat sans me sentir mal.
Pourtant l’argent que je gagne c’est le fruit de mon travail, et non de magouilles comme certains. »
Cet homme est remarquable.
Les priorités des français sont la crise économique et le chômage qui sont reconnus comme les deux fléaux absolus de notre époque.
Bercy, en poursuivant ce contribuable pour une TVA excessive, qu’il ne doit pas, le condamne à la ruine et au chômage. Bercy s’en vante.
Lui ne ressent pas de haine, juste de l’incompréhension et même, soudain, un questionnement fondamental sur sa propre réalité.
Voilà donc un homme, précipité par Bercy vers une situation dont tout le monde s’accorde à penser qu’elle est la pire de celles qui peuvent se produire, qui ne développe aucune haine, qui se demande ce qui lui arrive alors même qu’il est écrasé injustement par la haine fomentée et distillée par le socialisme, dont Bercy est le fer de lance. Nous sommes au cœur de la logique socialiste qui gouverne notre pays depuis presque un siècle.
Dans mon blog je tente de témoigner, avec plus ou moins de bonheur, de la réalité que je vis depuis plus de dix ans, que ce lecteur expose en trois lignes.
Oui, le français contrôlé fiscal est majoritairement une victime de la haine socialiste, rien de plus.
C’est elle qui anime les contrôleurs du fisc serviles qui obéissent aux statistiques préétablies par Bercy au mépris des réalités économiques et comptables, elle que l’on voit, si évidente, dans les vidéos que j’ai faites de mes contrôles fiscaux et que Bercy s’acharne à faire interdire de publication.
Construite sur une prétention égalitaire et humaniste, cette haine qui s’est propagée à une majorité de français est d’une perversion hors du commun. Son pouvoir destructeur est à la mesure de cette perversion c’est à dire total, car elle déchaine les terribles fléaux que peut engendrer la jalousie.
L’histoire en jugera.
Bien cordialement. H. Dumas