La liberté, que vais-je en faire ?

Nous voyons que l’univers de celle-ci pour s’exprimer et se libérer en vue de règles, de normes, de spoliations administrées par une armée de l’ombre sous couvert du bien commun à tous se poursuit dans le concept de la grenouille plongée dans une casserole avec un feu modéré dessous.

Pour l’illustrer, la genèse du passeport vaccinal fait son chemin : Péremptoirement affiché par Macron 1er comme négociable, il va le devenir de moins en moins pour vivre en sociétés comme avant.


Devenir auto-entrepreneur ou plus ambitieux avec ou sans salarié en termes de chiffres d’affaires, c’est refuser le salariat ou tout du moins y être porté par un licenciement qui révèle une impossibilité de se faire réembaucher ou une réelle motivation de faire autre chose de sa vie.

La Matrice se dresse alors sur ses ergots pour répandre toutes ses tentacules de taxation et de contrôles pour à la fois déployer sa domination, manger sur la création de richesse de la bête convoitée. Vous apprenez ainsi que des potentats administratifs avec pignon sur rue, dont vous ne soupçonniez pas l’existence, s’invitent dans votre quotidien des affaires, non pour vous faciliter les choses, mais pour se nourrir sur ce que vous faites. J’en ai parlé dans un précédent article sur la médecine du travail, avec cotisations fortes pour des bénéfices faibles en regard des possibilités existantes par notre médecin traitant privé.

Vous voyez même des sociétés privées qui surfent sur tout ce fatras de normes pour vous mettre d’équerre face à l’inquisition de la Matrice et de son Alter ego, les sociétés d’assurances qui y collent forcément selon l’adage d’une suprastructure qui gouverne : Le risque est proscrit !

Un exemple ? Un commissariat aux comptes avec lequel je suis vissé sur ma holding qui ne produit rien que des loyers, car une loi pondue permet de s’en passer dans le registre, magique pour une fois. En attendant, c’est près de 2000 euros à verser pour son rapport que je ne lis jamais pour encore trois ans alors que ladite loi est passée. Je connais le commissariat aux comptes, un pisse copies pour protéger le cul de celui qui le pond, car j’ai fait des études d’expertise comptable après une Maîtrise en Science Economiques versée dans les mathématiques et la prévision économique via modèles économétriques. Des sciences économiques qui ne valent pas mieux que de l’astrologie en termes de prévision à contrario d’un contrôle de gestion interne, ce avec quoi j’ai redressé toutes mes entreprises héritées.

J’en ai déjà parlé dans un de mes précédents articles : La créativité des intelligences du privé a construit les moyens pour que la Matrice prenne définitivement le pouvoir sur toute individualité.

Son clergé, les médias Main Stream traduisent la route vers la servitude, pour rester en vie. Monstre de désinformation en boucle, information subjective jouant sur l’émotion. Monstre de préfabrication d’opinions peu éclairées avec son cousin, l’Ednat.

L’émotion, vaste sujet. Elle est utile et perverse. Nous allons prendre le meilleur d’entre vous qui est passé à trépas. Vous allez le regretter et l’inscrire dans votre mémoire, mais la vie s’en suit, sinon il n’y a pas d’évolution possible. Il y a une capacité d’oubli dans l’humain et plus certainement dans le reptilien qui siège en chacun d’entre nous, et c’est exactement ce que traduit la nature pour avancer et évoluer.

Dans un univers de monde probabiliste que je connais bien, le Trading, chose honnie par nos biens pensant assis sur le cul de leurs certitudes, il est possible de gagner sa vie de manière indépendante, sans client, sans salarié et mobile, c’est-à-dire porter son activité légère ailleurs de leur regard, le cauchemar de toutes nos sangsues. Si, si, c’est encore possible, car nos cons finis de l’administration n’ont pas encore tout prévu. Dans ce domaine, les vendeurs de pelles et de pioches qui n’ont jamais tradé de leur vie prospèrent.

Pourquoi chercher à échapper à cette administration du monde d’Orwell ? Car j’ai la conviction que les trains de la mort opérant durant la seconde Guerre Mondiale vont se répéter sur une population complètement abêtie. Son cœur sera encore l’Occident par ses propres moyens, ou par l’entremise de l’Asie prédominante et le Parti Communiste Chinois via son modèle de surveillance exacerbé et avancé.

Bien à vous !

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2 réflexions sur « La liberté, que vais-je en faire ? »

  1. Les vagues d’épidémie ont emporté 700.000 emplois en France en 2020 (INSEE)
    chez les fonctionnaires aucuns (zéro) et payés bien sûr intégralement ! pour faire l’équilibre il faut se séparer avec tristesse et regrets émus de 700.000 d’entre eux, non ?

    1. @zelectron-ce qu’il faut faire.
      Le silence assourdissant de la solidarité des fonctionnaires et des élus qui « mangent sur notre création de richesses » est intolérable il faudra s’en rappeler aux prochaines élections et exiger de tous les candidats voulant un meilleur avenir pour nous et nos enfants, de nous libérer d’une manière précise et programmée de toute cette gangue. Cela va demander du courage et une réelle abnégation

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