La guerre est sale parce que la violence est sale.

La violence est si répandue que nous vivons dans un état de guerre pour certains, d’acceptation du spectacle de la guerre pour les autres, en tout, et cela dans une indifférence générale. C’est inacceptable.

La violence ce n’est pas d’avoir des pensées violentes, c’est de passer à l’acte.

Aujourd’hui la démonstration de la stupidité et de l’horreur de la violence nous interpelle sans concession.

Trois jeunes juifs pris en otages, évadés ou libérés du Hamas, tentent de rejoindre les leurs qui les abattent.

La boucle est bouclée à l’occasion de ce drame dont tout un chacun ressent au plus profond de lui l’horreur et l’absurdité.

J’ai des amis juifs, ils sont attachants, leur vision de la vie est séduisante et efficace, sauf sur un point : « œil pour œil, dent pour dent », la loi du talion.

Une façon de penser inconcevable pour un chrétien qui tend l’autre joue quand on le gifle et qui aime son prochain quel qu’il soit.

La loi du talion a des siècles de retard, et pourtant elle nous envahit aujourd’hui sous toutes ses formes, y compris les pires.

La liberté de penser admet que tant que les émotions sont au stade de la pensée elles sont libres de s’exprimer, mais le passage à l’acte est, lui, soumis au jugement, à la censure, à l’interdit. La violence ne doit pas échapper à cette règle.

Ainsi l’Etat Juif doit accepter d’être jugé sur son usage immodéré de la violence, tout autant que ceux qui répondent à cette violence par une violence qui tente d’être pire.

Je n’ai jamais adhéré à la pseudo fierté des Israéliens lorsqu’ils se ventent de maintenir leur pays par la violence, je n’adhère pas à la violence ultime de ceux qui s’opposent à eux, tout cela se traduit par des souffrances et des vies détruites stupidement.

Je pense la même chose de Poutine, de Mélenchon, de Le Pen, de tous ceux pour qui la violence est le moyen de conquérir. Je constate que ce moyen leur revient systématiquement en pleine figure, c’est réconfortant, c’est ce qui me maintient en vie.

Je pense évidemment à Le Maire et à sa gueule d’ange, à son coach Fournel et à ses vices profonds, deux hommes qui prônent et pratiquent à outrance la violence fiscale, alors que notre constitution parle, à juste titre, d’un impôt consenti. La différence est de taille.

Quand je les vois, eux et leurs magistrats sadiques, s’acharner sur Adjani, je les plains. Quel spectacle miteux nous donnent-ils à voir…

J’aime beaucoup Claude Reichman, certains lui reprochent sa non-violence, et pourtant il résiste depuis bien plus longtemps et bien plus fort que ceux qui un jour ou une nuit ont cassé des réverbères ou plus sans résultat. Il va gagner. La « Sécu » est en train de crever… Il est la conscience qui va permettre cette disparition sans violence. Il a tout subi et tout accepté de subir pour cela.

J’aimerais juste qu’il en soit de même pour moi face à la terreur fiscale, face à la violence prônée par Le Maire et Fournel. Ils ne méritent pas le statut d’hommes, ce sont des chiens, des animaux sans cervelle, juste avec des crocs. Ils ne savent que mordre.

Ils ne peuvent finir que dévorés.

Tous ceux qui sont du côté de la violence fiscale, de la terreur fiscale, finiront abattus par cette terreur fiscale dont ils attendent des avantages indus.

Ma sympathie va à Mme Adjani, pas à ses tortionnaires Le Maire et Fournel : courage.

Bercy tombera inéluctablement, même si moi et bien d’autres doivent crever avant.

Bien à vous. H. Dumas

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A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

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