Ils ont peur, parce qu’ils savent…

Nos hommes de l’Etat ont peur.

Ils savent que tout le monde va bientôt savoir… dans sa chair.

Ils savent que la faillite est non seulement certaine, mais que leurs soutiens, leurs fonctionnaires et leurs lèche-culs, vont morfler.

Ils savent que les « fraudeurs fiscaux », dont ils nous rabâchent les oreilles, n’existent pas, que les capitaux qu’ils guignent peuvent partir dans l’instant, que ne restera que le menu fretin qui sera bien loin de pouvoir payer la facture.

Ils savent que le départ du capital, c’est la glissade vers le fond du trou.

Ils savent que d’avoir laissé libre cours aux gouts de pillage de la population, de lui avoir laissé imaginer que quand elle le déciderait il lui suffirait de prendre à ceux qui auraient pour payer les folies d’un peuple insouciant et festif, était suicidaire.

Ils savent que leurs affidés vont se retourner contre eux violemment, peut-être les tuer.

Ils savent que ceux qu’ils ont harcelés, maltraités, ne bougeront pas le petit doigt pour les aider, alors qu’ils sont la seule force vive qui vaille.

Ils savent que c’est la fin pour eux.

Alors ils jactent à tout va, comme Macron. Ils se retournent dans leur veste comme Le Maire qui, si instable dans ses idées, n’a pas le temps de retourner sa veste, est obligé de se retourner sur lui-même à l’intérieur.

Ils jouent au shérif, comme Darmanin qui fait semblant de porter des coups terribles aux trafiquants de drogue, alors que c’est l’Allemagne qui va les ruiner en libéralisant les drogues douces, laissant nos banlieues sans le sous, mais avec les habitudes du luxe que procure l’argent facile.

Alors ils continuent à coup de fausses annonces.

“Nous ne toucherons pas aux retraites”. Les retraités seront évidemment les premiers ruinés par la chute de la monnaie.

“Nous ne toucherons pas aux soins”. Trop tard, ça ne marche déjà plus.

“Nous ne toucherons pas à ceci, pas à cela, pas d’impôt supplémentaire”. Ah bon ?

Mais rêvent-ils ou mentent-ils encore ? Ils ne maîtrisent déjà plus rien, ils sont le pont de Baltimore.

Trop tard hélas pour :

Refaire la constitution.

Enlever le pouvoir sur l’argent de la nation des mains des élus. Ils en font un usage délirant pour acheter leurs élections à coup de cadeaux sans retour. Le donner à un structure initiée, type « la préfectorale », avec des fonctionnaires responsables des résultats sur leurs fonds propres.

Réaffirmer solennellement la priorité de la propriété privée, incluant évidemment le capital. Privatiser les soins, les transports, l’énergie, etc…

Inclure des cours d’économie dès les petites classes, pas des cours d’égalitarisme aveugle, des cours de droit à l’égalité par le travail.

Ce qu’il ne faut pas faire

Anticiper la violence qui va naitre de tous les mensonges passés en la canalisant vers un ennemi extérieur. Hélas, c’est ce qui se prépare.

« Mourir pour des escrocs, pas d’accord, même de mort lente… »

Bien à vous. H. Dumas

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A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

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