François FLEURY, directeur départemental du recouvrement de l’Hérault n’a aucune limite dans le harcèlement et la torture fiscale, dans l’abject.
C’est lui qui, poursuivit par mes soins devant le tribunal correctionnel pour concussion, se contente de déclarer à la barre : « je me demande ce que je fais là », sans autre explication. Il se pense assuré de la complicité des juges et considère que cette déclaration est suffisante. En première instance elle le fût.
Il n’est pas le premier tortionnaire dans ce monde à se persuader que tous les moyens sont bons pour sa mission qu’il croit indispensable, cette croyance lui permettant d’occulter à bon compte les conséquences terribles de ses décisions iniques, prises sans vergogne, ses meurtres.
Je vais vous prouver ce que je vous rapporte.
L’administration à laquelle appartient Fleury est appelée populairement Bercy.
Cette administration se voit fixer comme fonction principale le vol pour le compte d’autrui. Les élus de tous bords vivent du vol de la moitié du pays au profit de l’autre. In fine, ils finissent par voler les deux, il y a même surenchère à chaque élection sur la méthode et les moyens.
Passe encore pour ce vol lorsqu’il a été voté légalement sous la forme d’impôt direct ou de taxe par le législateur, à chaque français de comprendre la situation et de l’assumer.
Mais, pour que ce vol ne fasse pas l’objet de contestation Bercy l’accompagne de l’installation de la terreur fiscale, à travers les contrôles fiscaux. Il s’agit d’une zone de non droit dans laquelle est lâchée une milice vouée à la torture et au meurtre fiscal, à partir d’élucubrations sans lien avec la vie économique de ceux qui sont pris dans ses filets. Ils sont ostracisés, jetés en pâture au lynchage social, et torturés jusqu’à que leur mort économique s’en suive. Evidemment, plus ils sont innocents et en font la démonstration, plus la terreur est efficace. C’est ainsi que fonctionnent toutes les milices du monde.
Vous l’imaginez, ma résistance désespérée fait de moi le prototype idéal pour donner toute sa force à la terreur fiscale, au harcèlement fiscal, au meurtre fiscal, auxquels chacun souhaite échapper.
Pas malin de ma part, direz-vous. Vous avez raison. Mais bon, d’une part on ne se refait pas, d’autre part je me croyais dans un pays de droit… Ce n’est pas le cas, dont acte.
L’objet de ce billet
Flory cherche à recouvrir un redressement fiscal irréel, dont l’irréalité a été rapportée et prouvée. Il ne l’ignore pas. Le fait que la justice administrative ait couvert ce redressement est sans valeur objective. La preuve en est rapportée par ma poursuite devant le tribunal correctionnel de la magistrate à l’origine de cette scandaleuse couverture où, malgré sa pression sur ses collègues magistrats, je n’ai pas été condamné. Certes, elle non plus, mais c’est un autre problème puisqu’en réalité le déni de justice n’existe pas pour les magistrats des tribunaux administratifs…
Passons aux preuves
Dans le cadre de son harcèlement, de sa torture fiscale, FLEURY a décidé de vendre le fond de mon jardin. Ce viol d’une propriété familiale est pervers mais efficace, nous en sommes très malheureux.
Face à cette attaque perverse, j’ai déposé un recours gracieux, accompagné d’une demande de discussion en PS. Le lien.
Comme vous avez pu le lire les arguments que j’ai présentés sont simples et de bonne foi.
Lisez maintenant la réponse signée Fleury. Lien.
Terrible, non ?
D’abord, la milice se retranche sans vergogne derrière la complicité qu’elle a obtenue des juges administratifs. Alors que ceux-ci ont menti. Je souhaitais filmer le débat oral et contradictoire du contrôle fiscal, rien ne me l’interdisait. Les agents du fisc ont refusé et m’ont accusé d’entrave au contrôle fiscal, ce qui est absolument faux.
Ils m’ont, à partir de là, privé du débat oral et contradictoire et ont majoré leur redressement au motif d’une opposition à contrôle fiscal inexistante. Pour pouvoir couvrir cette énormité les magistrats ont été obligés de prétendre que l’image des contrôleurs était en jeu. Alors qu’un constat d’huissier prouvait le contraire, ils étaient filmés de dos. Tout cela impunément pour les juges…
Ensuite, la milice fait bien comprendre que rien ne peut entraver ses meurtres.
Enfin, la milice se fout éperdument de savoir si le terrain qu’elle prétend mettre aux enchères publiques comme constructible l’est vraiment. C’est l’exacte répétition de sa position lors de la succession de ma mère, qui a vu les services fiscaux condamnés, vingt ans après leurs mensonges et sans dommage pour eux.
Pour finir, la milice ignore superbement ma proposition de dialogue. Dialogue devenu, par la loi, une composante essentielle de tout conflit judiciaire. Mais une milice, par essence, se fout de la loi. N’est-ce pas ?
« Tout est mal qui finit mal », telle est la devise de la milice de Bercy.
Devise « no limit » elle aussi, dont les conséquences ravageuses commencent à se faire sentir, pendant qu’elle exige toujours plus de pouvoir, toujours plus d’impunité…
Une seule consolation : FLEURY signe là le justificatif à mes poursuites, notamment pour l’appel de son élargissement en première instance.
Bien à vous. H. Dumas
je suis vraiment désolé de voir que cela ne s’arrange vraiment pas pour vous.
C’est dans la lignée…
Cher Ami , Henri, La seule fin heureuse que je connaisse en France, c’est la fin de semaine. Le travail d’equipe de Bercy avec nos gouvernants est essentiel. car en cas d’erreur de Bercy, ça permet d’accuser le citoyen.