Qu’importe que COVID soit masculin ou féminin, au point d’intimité où nous en sommes j’ai décidé de l’appeler COVID tout court, au titre de nom où de prénom.
Voici donc la vie de COVID, telle que je la ressens.
COVID est ordinaire, une grippe un peu plus tonique que les autres, sans plus.
Et pourtant, quelle notoriété : mondiale, le buzz…
En même temps, COVID n’est pas la seule figure ordinaire que les réseaux sociaux, pour des motifs toujours énigmatiques, expédient au firmament de la célébrité.
Née en Chine, COVID est donc asiatique, gage de sérieux, un peu moins que si COVID avait pris son essor en Espagne.
Nul doute que COVID doit sa notoriété à la fulgurance des réseaux sociaux, Bill Gates en avait fait une star bien avant son apparition. Accompagnée par les réseaux chaque jour, chaque heure, chaque minute, il ne pouvait en être autrement.
Oui — petite digression — je ne suis pas d’accord avec le fait que qui que ce soit puisse appuyer sur la souris à notre place, je crois au contraire que tous les puissants courent derrière nos clics de souris… Ce n’est pas une question de croyance, c’est une question d’angle d’observation. Je me sais isolé, j’accepte les autres hypothèses que je ne partage pas. Je ne crois absolument pas au souhait de manipulation des puissants, je sais pour les avoir intimement fréquentés qu’ils ont d’autres moteurs…, aussi qu’à un moment de richesse, assez rapide, l’intérêt matériel s’efface complètement.
Revenons à notre amie COVID. En France la star a bénéficié de conditions particulièrement favorables.
D’abord la Sécurité Sociale
Cette organisation, spécifique à la France, a fait des médecins une sorte de fonctionnaires à leur compte, traduisant les défauts réunis de la fonction publique et du libre marché. C’est à dire un coût élevé, non différencié par la qualité, donc une motivation limitée, suivie d’une disponibilité relative.
C’est ainsi que l’imprévu, l’urgence, ont peu à peu quitté les cabinets médicaux pour se recentrer sur l’hôpital. Lui-même totalement étatisé, donc inefficient.
COVID, arrivée par surprise, à été aiguillée vers l’hôpital, immédiatement débordé, immédiatement dans le déni.
Hôpital qui a exigé l’exclusivité de cet apport soudain pour que sa déliquescence avérée ne saute pas aux yeux de la population, dont il vit grassement et qui est dans l’ignorance de son état de décrépitude.
Disons-le, ce fût une catastrophe sanitaire et économique en même temps qu’une suite de gags politiques mémorables.
Donc ensuite le personnel politique
Ce passage « ouragantesque » de COVID laisse la France sens dessus dessous.
Il faut dire que les touristes au pouvoir ont fait très fort. Dans le genre, le premier ministre refusant publiquement de se faire vacciner est un grand moment.
Décisions et contre-décisions se sont succédées pendant des mois, et ce n’est pas fini.
Pendant que COVID bat de l’aile, est proche sans doute de sa fin naturelle.
Tout ce cirque pour cacher la misère d’une société égalitariste à la dérive, mais dont la population réclame à corps et à cri non seulement le maintien mais le renforcement, saccageant le capital seul socle possible d’une économie si indispensable, si fragile.
Rappelons la nouvelle devise du pays : « Liberté, égalité, fraternité… des fonctionnaires »
Dans le monde
Les effets mortels de COVID ont inquiété partout, leur réalité a été moins différenciée qu’imaginé. La relativité des informations nuit à une compréhension universelle.
Le résultat.
Il peut paraître grotesque, uniquement caricaturé par l’effet loupe et Hollywood des réseaux sociaux.
Mais il peut aussi être la base d’un progrès fondamental.
En effet COVID a ouvert des accès interdits et généré un vaccin génétique.
Soit ce vaccin sera un échec désespérant aux conséquences désastreuses, soit ce sera une découverte extraordinaire qui éradiquera les mortelles grippes annuelles.
Petite appréhension, alors : « Messieurs les Anglais, vaccinez les premiers »… c’est fait.
Nous verrons.
Bien à vous. H. Dumas.
Qu’ ils sont courageux ces anglais !
Ou alors ils sont peut etre kamikazes ?
Combien de temps s’ ecoule avant la commercialisation d’ un vaccin en bonne et due forme ?
Qu’ est ce qu’ ils en pensent ceux qui restent dans l’univers médical et qui respectent encore le sermon hypocrate ?
Oui, ces coronavirus 2019-2020 peuvent être à l’origine de grands progrès scientifiques et sociaux.
Sur le plan scientifique, c’est la première fois que l’on suit avec autant de précision, même si elle est relative et si les chiffres méritent d’être ré-analysés car les tests sont loin d’être fiables, et les décès comptabilisés sont loin d’être tous du covid. Mais néanmoins, les connaissances acquises sur la transmission de ce type de virus sont très importantes et demanderont également de longues analyses pour apprécier l’effet de chaque facteur. On finira par savoir vraiment l’intérêt du confinement, des masques, des fermetures de stades et de spectacles, de restaurant et de commerces.
Sur le plan politique et social, on aura pu avoir la preuve que de nombreux gouvernants élus et/ou fonctionnaires, surtout dans les pays riches, que l’on savait déjà surtout préoccupés à se « gaver » par tous les moyens, sont même capables dans cet objectif de mettre dans la balance la vie de dizaines de milliers de citoyens du « peuple ». Suffit d’inventer une « nouvelle » science basée sur la méthode « Coué » qui vient conforter les décisions aberrantes que l’on a prises par incompétence, corruption ou stupidité.
Maintenant, tout le monde sait que nos gouvernants n’ont absolument rien à foutre de notre santé ou de notre bonheur. Cette information est un progrès car elle ouvre la porte à des changements, selon le mode républicain ou bien par des modes plus expéditifs, tellement la population devient impatiente.
Aléas jacta es