Sous cette rubrique vous trouverez tous les billets dénonçant la situation actuelle et proposant éventuellement des solutions.
C’est un spectre très large, qui va bien au-delà du contrôle fiscal. Ceux qui ont vécu un contrôle fiscal comprendront l’intérêt de cette rubrique.
Une fois passée la violence du choc, la mort économique et sociale qui suit, si le contrôlé est encore en vie, s’il n’a pas commis sous la pression l’irréparable, il ne souhaite qu’une chose : que plus jamais personne ne puisse subir une telle violence, aveugle et mensongère.
C’est alors qu’il éprouve le besoin de témoigner, mais aussi de tenter de reconstruire, en faisant part de ses émotions et de son expérience.
Il s’agit donc d’une rubrique vaste, ouverte, susceptible de faire avancer les choses pour plus de justice, plus d’égalité et plus d’humanité dans la participation à l’impôt.
Devant la menace de l’arrivée de l’extrême droite au pouvoir, les partis politiques de toutes tendances exhortent les électeurs à rejoindre le front républicain pour faire barrage au RN.
Autrement dit on agite le chiffon rouge (ou noir) pour faire peur et entrainer les électeurs à un certain comportement.
Que s’est-il passé ?
Comme il y a eu une époque où la consigne occulte était « tout sauf Sarkozy » les électeurs ont franchi le pas et ont décidé de voter « tout sauf E Macron » !
E Macron a clairement lassé la population qui n’en veut plus, ne peut plus le voir mais malheureusement, du fait des institutions voulues par le général de Gaulle, ne peut pas s’en débarrasser !
Il y avait déjà eu un signe qui ne trompe pas en 2022 lors de l’élection présidentielle. E Macron nous a fait le coup du moi ou l’extrême droite ; ce qui lui a permis de remporter facilement sa réélection mais les français, qui n’étaient pas dupes, ne lui ont pas donné de majorité absolue à l’Assemblée Nationale ce qui l’a obligé à gouverner par le biais du fameux article 49.3 de la Constitution.
Jupiter n’avait plus les pleins pouvoirs que confèrent au président la constitution de 1958 et il est certain qu’il en a conçu une rancune tenace à l’encontre des (mauvais) français et le camouflet des élections européennes a été « le verre de trop » !
Certains ont dit qu’E Macron en enfant capricieux avait préféré casser son jouet de colère !
Le problème c’est que la France et les français ne sont pas des jouets !
E Macron portera une très lourde responsabilité devant l’histoire dans la mesure où il a décidé une dissolution qui a surpris tout le monde alors que rien, absolument rien, n’obligeait à le faire et qu’il a provoqué une situation extrêmement délicate que néanmoins on aurait pu rencontrer lors des élections présidentielles de 2027 !
Du coup, les listes extrémistes de droite et de gauche totalisent au premier tour 60 pour cent des votes ce qui est proprement énorme et un rien inquiétant dans une vieille démocratie, pleine de défauts, comme la France !
Comme la liste E Macron est dans les choux, la seule alternative, selon les politiciens de tous bords aussi irresponsables, qu’inconscients et malhonnêtes, c’est le front républicain et le vote en faveur du NFP (nouveau front populaire) qui n’est qu’un amalgame de partis en perdition et sans audience avec comme tête de liste LFI dont il faut rappeler qu’il s’agit d’un parti extrémiste, antisémite, pro islamiste, révolutionnaire, stalinien qui n’a aucun caractère démocratique ni républicain et qui est dirigé de manière autocratique par un admirateur de Castro et de Chavez !
C’est le seul argument qui ait été trouvé pour convaincre l’électeur de voter pour le statu quo et le maintien de la situation antérieure !
Un peu faible et pas sûr que ce message soit d’ailleurs suivi d’effet tant le rejet de la clique au pouvoir est important !
On vous dira aussi, histoire de vous convaincre à toute force, « il faut voter », et que des gens sont morts pour avoir le droit de vote !
Evidemment, c’est complètement faux, jamais personne n’est mort pour avoir le droit de vote ! Des gens sont morts dans ou pour des luttes de pouvoir ce qui est tout à faire différent.
Rien ne vous oblige à voter et surtout à voter pour un parti ou une liste de partis dont on est assuré qu’ils mèneront le pays à la ruine avec un programme complètement délirant de dépenses alors que la dette publique vient de passer les 110% du PIB à plus de 3.150 milliards € !
Voter pour des abrutis, des malhonnêtes ce n’est pas voter c’est donner un blanc-seing à des gens dangereux et vous en porterez, du fait de votre vote, une part de responsabilité !
En outre, il apparaît pour le moins singulier que l’actuel président, qui a tout fait pour propulser le RN dans les sommets afin d’en faire son adversaire favori qu’il battra à tous les coups par réflexe républicain des électeurs, soit aujourd’hui dans la posture de celui qui crie au loup !
Enfin, E Macron, en raison de son comportement, de ses déclarations, ne serait-il pas le premier responsable de la situation qui a de grande probabilités de se produire ce dimanche à savoir la prise de pouvoir démocratique du RN ?
Le président n’est finalement qu’un pyromane qui crie au feu !
Rassurez-vous je n’ai jamais voté pour le FN ou le RN et je n’ai aucune affinité avec la famille le Pen !
Je n’ai jamais voté pour E Macron non plus d’ailleurs que j’ai pris très vite pour ce qu’il est : un grand manipulateur, narcissique, beau parleur mais totalement inefficace !
En ce bas monde, il y a deux types de personnes, celles qui parlent et promettent et celles qui agissent. Incontestablement E Macron fait partie de la première …
En fait, depuis bien longtemps, je ne vote plus car j’estime que les partis et les candidats sont trop nuls et que je ne veux pas m’abaisser à donner mon vote à des gens qui ne représentent à aucun moment mes idées ou mes aspirations !
Votre vote vous appartient, vous devez garder votre libre arbitre, il doit résulter de votre seule décision et le vote par défaut ne doit pas exister !
On ne choisit pas le cholera pour éviter la peste !
Bien cordialement à tous !
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De trahisons en corruptions les hommes de l’Etat ont livré la France aux extrêmes, pieds et poings liés. Tout cela démocratiquement, c’est-à-dire avec l’aval des Français qui, par leurs votes, ont acquiescé à cette folie.
La question qui est posée dimanche : Quel extrême sera le moins extrême ?
Ou encore : Quel extrême sera le moins mauvais perdant ?
Et vous vous sentez obligé de voter ?
Les hommes de l’Etat qui nous ont amené à ce choix impossible portent une responsabilité historique.
Leurs complices aussi. Je citerai dans l’ordre :
La Justice, arbitre tricheur qui a failli à sa mission de dire le juste et de punir le mensonge, de le traquer au profit de la vérité. Qui n’a été qu’un outil de l’ordre, ou plutôt du désordre.
L’Education nationale sélectionneur tricheur qui a abusé de la crédulité des parents et des enfants, ou plutôt de leur vanité, et qui a capté iniquement la sélection sociale à son seul profit pour ensuite la politiser et rogner les libertés de penser.
La police nationale qui s’est transformée en milice au service du pouvoir politique en fonction des opportunités, des croyances de chacun de ses membres.
Les fonctionnaires de base qui, tout à la joie de leur planque et de leur irresponsabilité, ont dénaturé l’idée d’engagement, de résultat, de compte à rendre, de mérite, etc…, au profit de l’appartenance, du copinage, du soutien corporatif.
La presse qui a colporté les ragots séduisant son lectorat, au détriment de la recherche de la vérité.
Les acteurs économiques mus plus par la cupidité immédiate que par le service et la qualité de leurs produits.
Les élus, pauvres bougres en quête de notoriété, dissimulant leur vacuité par le bruit de leurs discours et l’avalanche de leurs lois liberticides et inconsistantes.
C’est beaucoup de monde.
Il en reste peu pour faire marcher la machine. Pas assez. Elle va donc s’arrêter. Le vote de dimanche n’est que l’aveu de l’échec.
Lundi nous rentrons dans le processus de fin. Nous laissons à nos enfants un territoire dévasté, où les libertés sont absentes, où les contraintes sont inconnues.
Les forces de démolition vont-elles venir de l’intérieur ou de l’extérieur, ou des deux ?
Nos enfants vont-ils faire face ? Je crois que oui, qu’ils sont armés pour se défendre, mais je ne saurais décrire ni pourquoi, ni comment… A eux de jouer.
Bien à vous. H. Dumas
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Je crois que tout le monde sait ce qu’est l’intégrité, le respect de l’autre et de sa propriété, de ses biens, de son être, de sa vie. Tout le monde comprend le sens de l’honneur, de l’intérêt collectif, du devoir, du bien et du mal, du mérite, de l’effort, du travail, de la conscience. Mais tout le monde s’en fout.
Tout le monde préfère se vautrer, piller, voler, tirer au flan, être irresponsable.
Tout particulièrement ceux qui accèdent au privilège suprême du pouvoir occulte, sans risque, masqué. Du pouvoir que l’on exerce en faisant porter à l’autre le chapeau des conséquences, car il y a toujours des conséquences à l’exercice du pouvoir.
Le problème n’est pas français, il est mondial.
Comme j’ai déjà eu l’occasion de l’expliquer les deux pouvoirs apparus l’un après l’autre, le pouvoir politique, puis le pouvoir économique, sont confrontés à un nouveau pouvoir, le pouvoir du sachant.
De celui qui sait, qui connait une partie du savoir global aujourd’hui morcelé à l’infini, car spécialisé à l’infini.
Celui-là est indispensable, il est le marionnettiste des guignols qui tiennent leur pouvoir de l’idée qu’ils sauraient agir en politique ou en économie, alors que c’est lui qui tire les ficelles.
Ils sont ses otages, à tous les niveaux, du plus petit guichet de la poste à La Cour de cassation, à l’Elysée.
Hommes d’affaires ou hommes politiques qui se pavanent, aucun ne maîtrise l’espace qu’il est censé commander, dominer, ordonner. Ils sont tous les otages de leur bureaucratie, bodybuildée à l’informatique.
Qu’on l’appelle fonctionnaire ou service privé de conseil, cette caste a le pouvoir et écrase les libertés. Politiques et hommes d’affaires ne sont qu’une interface dont l’unique activité est de faire avaler à la population le pouvoir des sachants.
Tout n’est pour nous qu’obligations énoncées par les sachants. De nos slips à nos bagnoles, nos livres, nos rêves et nos cauchemars, tout nous est dicté par les sachants. C’est ça ou les chèvres en Ardèche.
Ils sont cachés et inaccessibles, mais tout le monde souffre de leur pouvoir occulte.
Sans aller jusqu’où j’ai été pour faire ce constat, pour voir cette vermine s’engraisser sur notre dos, sur notre vie, au hasard des tribunaux, des services fiscaux, des services techniques municipaux où ils s’épanouissent et agissent à fond, chacun ressent sa liberté violemment attaquée, son honneur bafoué, sa condition d’homme remise en question, ses valeurs disparaitre.
Ceux qui les couvrent contre leur gré, pour sauver leur situation, qui veulent continuer à profiter du mythe de leur capacité à agir qui n’existe plus depuis longtemps, ceux là sont en première ligne, ils vont subir de plein fouet la violence nécessaire d’une aspiration au retour à la liberté, à la vie, que rien ne pourra arrêter.
Que ce soit dimanche prochain ou plus tard, cela arrivera.
Il faudra que ce pouvoir occulte des sachants apparaisse, accepte la nécessité de contrepouvoirs, le besoin d’un équilibre pour pouvoir retourner à l’intégrité et balayer les cinglés du pouvoir, les escrocs, que je croise régulièrement et à qui je dis qui ils sont, qui le prennent si mal. Qui rêvent de me tuer.
La population va les éradiquer sans le savoir, dommage, le prix sera plus lourd que si elle le faisait sciemment, lucidement. Mais ils sont si cachés, ils se soutiennent tant entre eux. Et les pauvres dindons qui les masquent, dont Macron fait partie, ont si peur que l’on voit leur fatuité, leur inutilité, leur dépendance aux sachants…
Je vous souhaite bonne chance, pour ce dimanche ou un autre, il va falloir démonter la maison pour pulvériser ces termites.
Bien à vous. H. Dumas
PS : Ne pas confondre les sachants avec les scientifiques, le sachant prétend savoir, le scientifique cherche à savoir. Aucun rapport.
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Au-delà du choc causé par la décision du président de la République de prononcer la dissolution de l’Assemblée Nationale, force est de constater l’absence totale de liste affichant un programme libéral.
Tous les candidats sont soit des collectivistes crypto communistes soit des étatistes dans la bonne vieille tradition française du jacobinisme voire du pétainisme.
Il est vrai que la France a une longue tradition bureaucratique et autocratique ; ce qui veut dire qu’elle n’a pratiquement jamais été un Etat libéral, quoiqu’en disent les tenants du collectivisme autoritaire si ce n’est autocratique !
Le libéralisme suppose déjà un Etat de droit c’est à dire un Etat qui respecte les droits des individus.
Or, n’en déplaise à beaucoup, la France a rarement fait partie des Etats respectueux du droit, même si elle le revendique, car en fait d’Etat de droit, il s’est agi le plus souvent d’une référence aux droits de l’Etat tout puissant ; ce qui est évidemment tout à fait différent !
En fait, les moments de libéralisme ont été extrêmement rares !
Et, de fait, le point central du programme de ces partis, si tant est qu’il y en ait un, est l’Etat avec les conséquences bien connues : fiscalité lourde, incompétence, inefficacité, mauvaise gestion voire corruption, dépense publique importante, accumulation de dettes, déclin économique … lent mais déclin quand même.
Il faut être conscient que cet attrait pour l’Etatisme et la bureaucratie constitue un véritable handicap pour le pays dans la mesure où l’activité économique des entreprises, qui seule crée de la richesse, se trouve en diminution constante et contrainte de plus en plus par ce secteur public qui ne sait qu’ériger des normes dans le cadre d’un système où l’Etat ne sait que taxer, interdire ou subventionner.
Mais comment expliquer cette fascination pour la bureaucratie et l’étatisme alors qu’il apparaît clairement que ça ne marche pas ?
Ici il faut faire la part des choses entre l’idéologie, le conformisme et les buts bassement matériels poursuivis.
Sur le plan idéologique
Les partis dits de gauche sont ouvertement collectivistes. Mais on peut se poser la question à propos d’un parti tel que les républicains, situé normalement à droite, qui pratique, lui aussi, une politique de gauche depuis au moins jacques Chirac.
Cette pratique, contre-productive, a d’ailleurs provoqué sa quasi disparition au profit d’un parti comme le RN beaucoup plus marqué idéologiquement … même si ce dernier véhicule aussi des idées collectivistes !
Il y a donc en France des étatistes de droite et des étatistes de gauche … parce qu’il y a une longue tradition française de dirigisme et on peut donc supposer qu’ils se retrouvent quelque part …
S’il y a une ligne de fracture, elle ne se situe visiblement pas au plan économique puisque les recettes sont finalement les mêmes !
Au plan idéologique alors ?
La France est connue pour sa détestation des riches, des américains et de tout ce qui représente l’argent et la richesse. Sa fiscalité est très forte ; ce qui a eu pour effet de développer une politique de redistributions parmi les plus importantes d’Europe et finalement une société relativement égalitaire même si certains partis de gauche disent le contraire !
Le libéralisme, dont l’origine anglo-saxonne n’est pas contestée, y est présenté de manière unanime comme une idéologie politique (ce qu’il n’est pas) et comme un danger ou une menace. Et, bien évidemment, ce serait encore pire avec l’ultra libéralisme dénoncé par des collectivistes de tous bords et présenté comme étant le symbole du capitalisme le plus sauvage, de l’exploitation de l’individu, des délocalisations qui provoquent le chômage … car l’entrepreneur, symbole de ce libéralisme monstrueux, est nécessairement un fraudeur, un exploiteur qui ne mérite d’ailleurs même pas la corde pour le pendre !
Et, de fait, le libéralisme n’a pas bonne presse en France parce qu’il est perçu au travers du prisme de la propagande développée, notamment par une administration qui est tout sauf neutre et libérale, comme la fin de tous les avantages petits et grands perçus par nombre de français !
A contrario, l’étatisme, voire l’ultra-étatisme si ce n’est le collectivisme pur et dur, présenté comme étant de gauche, est présumé protecteur avec une administration qui serait au service de la population.
Et les français y croient : ils aiment l’Etat !
Pendant longtemps, ne nous a-t-on pas servi le fameux couplet de ces services publics que le monde nous envie ; sans en voir le cout pour la société ?
Le problème est que cette idée est complètement fausse car c’est en fait exactement le contraire !
Les dangers du libéralisme ne sont qu’une vue de l’esprit pour ne pas dire un abus de langage ou pire une déformation intellectuelle destinée essentiellement à inspirer la crainte car, encore une fois, quoi de plus efficace que la peur pour convaincre !
C’est bien l’étatisme qui est une menace pour nos libertés et c’est bien cet étatisme qui asservit les populations avec ses règles et ses contraintes ! La soi-disant protection n’est en fait qu’une manipulation idéologique pour soumettre la population !
Néanmoins, il faut reconnaitre que les français, dans leur ensemble, plébiscitent cette organisation pour la très simple raison qu’elle les rassure ; d’autant plus qu’elle leur procure des avantages et notamment des revenus de substitution à des activités professionnelles qu’ils n’ont … pas forcément envie d’exercer !
Cela explique d’ailleurs pourquoi l’ensemble des « programmes » des partis politiques aux élections législatives prévoient essentiellement, malgré une dette publique colossale, de nouvelles dépenses, dans le cadre d’un clientélisme effréné, dont personne ne sait comment elles seront financées et sans même s’intéresser à leur pertinence.
Il est toujours plus facile de promettre de nouvelles dépenses « protectrices » que des réductions de dépenses qui se feront inévitablement aux dépens de certains ; si ce n’est de tous !
Mais que ces avantages disparaissent et l’opinion des français va invariablement changer et la situation des politiciens qui la vantent va devenir beaucoup plus inconfortable car il n’y a pas plus volatile que l’opinion publique
Ce n’est pas que les français soient pour ou contre la liberté, pour ou contre l’Etat omniprésent, ce qu’ils recherchent tout simplement, c’est la … solution de facilité.
Et nos politiciens adoptent exactement la même attitude !
L’opportunisme politique
Les personnes qui se lancent dans la politique ne sont ni les plus intelligents ni les plus capables ; ils ont juste une aptitude à polémiquer y compris sur des sujets sans intérêt ! Bien évidemment, cela fait la part belle aux narcissiques mais agiter des idées toute la journée demande juste une … langue bien pendue mais aucune compétence particulière !
Ce sont donc juste des gens qui veulent briller en réunion, faire croire à leurs compétences, voire à leur génie … et surtout vivre confortablement des deniers publics surtout si l’on est élu !
On peut parler de caste au pouvoir. Ce sont clairement des apparatchiks du système dans la même veine que la société soviétique.
Pour simplifier, ce sont juste des parasites qui, dans leur immense majorité, n’apportent absolument rien au pays bien qu’ils passent l’essentiel de leur temps à faire croire le contraire !
Ces personnes ne sont rien d’autre qu’une noblesse d’Etat qui vit des largesses de l’Etat et qui par conséquent ne voient que par l’Etat. Fatalement, entièrement financés par l’Etat c’est à dire par vos impôts, ils ne voient aucun intérêt aux entreprises hormis de les taxer pour faire rentrer l’argent nécessaire à leur propre train de vie !
Ce que l’on ne voit pas, c’est que l’Etat et son organisation sont en fait au service de cette caste qui affecte de tout contrôler ; caste qui, finalement, ne tolère que la liberté qu’elle concède ou autorise. Tout l’inverse donc du libéralisme où la liberté est le principe de base et l’interdiction l’exception.
Or, ce schéma étatique leur permet de bénéficier d’une organisation payée par les autres qui se met à leur service et leur permet de diriger sans avoir fait la preuve de quelque talent que ce soit ; ce qui, à bien y regarder, est quand même tout à fait extraordinaire !
Le recours à l’Etat et le refuge de l’Etat constitue donc une solution de facilité et finalement un consensus général, pour des raisons différentes selon les acteurs, mais qui se rejoignent, et ce d’autant plus facilement que l’organisation étatique existe et qu’il n’y a qu’à lui donner des ordres pour qu’elle les exécute !
Ces politiciens professionnels perçoivent en fait l’Etat et son organisation tentaculaire comme le meilleur moyen d’arriver au pouvoir en usant évidemment des contacts noués dans ce milieu.
Car, bien évidemment, tout est une question de pouvoir … car : Comment arriver au pouvoir quand on n’a jamais rien fait de ses dix doigts et qu’on n’a jamais créé quoique ce soit !
On s’appuie sur une organisation bureaucratique tentaculaire qui va tout contrôler dans un système où personne n’est responsable !
Le meilleur exemple en la matière est le bolchevisme de Lénine qui était un individu issu des classes aisées de la société russe, qui n’a jamais travaillé de sa vie et qui a passé son existence à comploter et à faire des discours pour exciter la population !
Autrement dit, il était le représentant type du révolutionnaire professionnel qui passait son temps à agiter des idées … mais qui était tout sauf un idéaliste.
Il a pris le pouvoir à la suite d’un coup d’Etat (fin 1917) et s’est effectivement appuyé sur une organisation bureaucratique tentaculaire grâce à laquelle les bolcheviks n’avaient aucunement besoin de faire la preuve de leur compétence … surtout que tout individu qui s’opposait à eux courait le risque d’une déportation au goulag ou pire d’une exécution sommaire dans les caves de la Loubianka.
Peut-on faire une comparaison utile avec les politiciens français ?
Oui, dans une certaine mesure, car il n’a échappé à personne que le niveau de compétence de ces derniers est extrêmement bas ; leur seul « atout » étant qu’ils sont persuadés qu’ils ne seront populaires que s’ils dépensent sans compter l’argent des autres !
On peut même parler pour nombre d’entre-eux de bons à rien !
Conclusion qui s’impose : l’étatisme n’est que le reflet de la médiocrité des personnes qui s’en font les chantres et du système mis en place tout comme il est la solution de facilité pour nombre de bénéficiaires des « aides » d’Etat …
Pas très flatteur pour les personnes concernées mais personne n’en sera surpris !
Bien cordialement à tous !
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Voici le lien d’accès aux pièces de la procédure qui m’est intentée : LIEN
A la suite de cette « enquête », je suis convoqué le mercredi 3 juillet 2024, devant une chambre pénale au TJ de Montpellier, à juge unique, donc avec décision sur le siège. Je n’irai pas.
Je ne peux pas accepter le fonctionnement actuel de notre justice inquisitoire, qui aboutit inévitablement à une justice stalinienne.
Il suffit en Russie de dire en public : « il y a la guerre en Ukraine », pour aller en prison. Il suffit en France de dire « Bercy pille le pays, maltraite les français, installe la terreur fiscale », pour subir le même sort.
Et pourtant c’est bien Poutine qui a envahi l’Ukraine et déclaré la guerre à ce territoire, c’est bien Bercy qui a mis la France en faillite.
Tout cela est insupportable.
Si je vais en prison, je cesserai de me nourrir et « basta », comme on dit à Sète.
J’ai honte pour M. Dupont-Moretti — pour qui j’avais de l’estime — de voir que, ministre, il n’a entamé aucune démarche pour passer de la justice inquisitoire à la justice accusatoire où les arguments s’équilibrent naturellement. Il a laissé la magistrature servir l’ordre des hommes de l’Etat ou ses fantasmes et non la justice pour les Français.
Première question :
Pourquoi les accusations dont je suis l’objet sont inadmissibles ?
Deuxième question :
Pourquoi je n’irai pas demander au tribunal des dommages et intérêts pour le préjudice qu’elles me portent ?
Réponses à la première question
1°) – Le 19/06/2020 à 11h52, je téléphone au Tribunal Administratif de Poitiers.
Le même jour, à 13h14, M. Cormier, Greffier en chef de ce tribunal, va déposer une plainte au commissariat de police de Poitiers.
Là, il ment, volontairement :« La standardiste m’a transféré l’appel et je n’ai pas eu le temps de me présenter que cet individu m’a dit « j’arrive je vais vous tuer ». Je lui ai demandé s’il savait à qui il parlait et ce que cela voulait dire mais il a réitéré ses propos en disant que c’est nous qui l’avions tué car il n’a plus d’argent pour manger à cause de la saisie de « 14 000 balles ». Il a réitéré ses menaces de mort encore plusieurs fois avant que je lui raccroche au nez. J’en ai avisé immédiatement le président du Tribunal Mr Lamontagne des faits… »
La preuve est rapportée par l’enquête que la conversation téléphonique a duré 10 minutes. Dix minutes c’est long, ça ne correspond pas au résumé de M. Cormier. Et effectivement ce n’est pas ce qui s’est passé.
Je ne suis pas un individu. Je me suis présenté. M. Le Greffier en chef aussi. Je lui ai fait part de mon incompréhension face à la violence et à la rapidité de la saisie, alors que les sommes demandées sont ridiculement exagérées, couvrent des agissements évidemment illégaux du maire de La Rochelle et sont contestées. Le ton est monté, et je lui ai dit « je vais vous tuer ». Je m’adressais évidemment au Tribunal, pas à lui. Il ne s’agissait pas d’une menace physique, mais administrative.
Alors M. Cormier m’a dit : « vous pouvez répéter ? », j’ai dit oui, évidemment, et j’ai répété. Quel mal y avait-il à lui répéter que j’allais tuer administrativement ce Tribunal ?
Mais lui, Cormier, il savait que me faisant répéter il pouvait affabuler sur une menace de mort physique.
Par ailleurs il n’était pas question que « j’arrive », j’étais à Sète. M. Cormier en a rajouté pour activer le parquet, qui a d’ailleurs enquêté et vérifié que j’étais bien à Sète et que j’y suis resté.
Ce mensonge, la justice ne l’a pas mis en doute. L’amicale de la fonction publique fait que le fonctionnaire est parfait, un ange sous cellophane.
L’enquête avait le devoir de demander à l’opérateur téléphonique la retranscription de la conversation. Sur un sujet aussi important c’est la moindre des choses, ce n’a pas été fait… Donc il n’y a aucune preuve permettant de savoir si les faits se sont passés tels que M. Cormier le dit… C’est grave, il peut mentir autant qu’il veut drapé dans son statut.
Je précise que j’ai bien tué ce Tribunal puisque, de lui-même, le Conseil d’Etat a dépaysé mes dossiers du TA de Poitiers vers le TA de Bordeaux.
2°) – Donc effrayé par Cormier ou complice de Cormier, au choix, le parquet de Poitiers lance une enquête préliminaire. Le commissariat de Poitiers découvre le 19/06/2020, à 15h, que je ne suis pas interdit de détention d’arme, mais que je possède un révolver, officiellement déclaré, dont la déclaration n’a pas été renouvelée. Aussi que je suis défavorablement connu de la justice – NDA : parce que je suis systématiquement condamné quand je me révolte fasse aux différents diktats des gendarmes sur la route ou du fisc dans mon travail –
Il va aussi découvrir mon blog…
Pas d’information cependant sur mes couteaux de cuisine, mes pinces à ongle ou autres objets pouvant devenir des armes par destination…
A partir de là, le parquet va amalgamer les deux fausses affaires pour donner du poids à ses poursuites.
La menace de mort qui n’en n’est pas une. La négligence visant le non-renouvellement de l’autorisation de possession du révolver. Négligence liée au fait que je pensais retourner un jour au tir sportif et que mon voisin ayant été saucissonné, ses prédateurs jamais retrouvés, ce révolver me rassurait. Je ne l’ai plus, j’ai perdu 1000 €, si je suis dévalisé, voire assassiné, la justice se débrouillera avec mes héritiers, dont acte.
L’incroyable c’est que lors de mon audition au commissariat de La Rochelle, le 28/06/2020 à 10h10, le Capitaine de Police me fait déclarer : « Une autorisation de détention d’arme m’a été délivrée pour le matériel suivant : autorisation à titre sportif délivrée sous le n° 01700782028 le 01/02/1984 pour une arme de catégorie B soumise à autorisation, de type révolver, de marque Winchester, de calibre 9MM »
Alors qu’à cette audition je ne savais même pas qu’il était question de mon révolver, dont je ne me sers plus, qui est dans un coin depuis plus de trente ans. Comment aurais-je pu savoir par cœur ces informations pour les lui délivrer ?
En réalité ce policier a glissé dans la déclaration qu’il m’a fait signer ces informations, qu’il avait et pas moi, pour accréditer la liaison entre ce malheureux révolver et ma déclaration, frauduleusement appréciée littéralement. Là aussi c’est grave.
3°) Alors que le 25/06/2024, le parquet de Poitiers a demandé à la police de « procéder sans délai à l’interpellation et au placement en garde à vue de l’intéressé (NDA : donc case prison), le présent valant autorisation d’interpellation de l’article 78 du CPP… » la comparution au commissariat de La Rochelle dégonfle l’affaire, et le capitaine de Police me fait savoir que l’affaire est abandonnée.
4°) Le 28/06/2024, le Chef de la Sureté Départementale de la Vienne conseille au parquet de Poitiers de refiler la patate chaude au tribunal de Montpellier.
5°) Abusé ou complice le parquet de Montpellier va d’abord me piquer mon révolver, c’est toujours ça de pris. Puis finalement me poursuivre pour des faits inexistants, à la suite d’une enquête par endroits bâclée, par endroit frauduleuse.
Réponse à la deuxième question :
Et il faudrait que je comparaisse, pendant que le menteur initial ne sera pas là – sauf peut-être s’il lit ce blog et veut s’assurer la complicité de la justice ?
C’est non.
Ce n’est pas un défi. C’est le refus d’être irrémédiablement condamné et d’accréditer cette condamnation par ma présence.
Car, quoique je dise, vous l’avez compris, je serai condamné.
Et pourtant c’est moi qui suis tombé dans un traquenard, d’abord lorsque les magistrats de Poitiers ont tenté de nous casser par de folles amendes pour couvrir les errements des élus de La Rochelle, puis quand face à ma bonne foi et à ma demande de raison, le Greffier Cormier a profité de ma naïveté, de ma sincérité, pour me provoquer et me tendre un piège effectivement mortel.
Tout cela a pour but la fermeture de ce blog. Inutile d’imaginer que les faussaires seront punis, que je pourrais être indemnisé pour le poids de ces manœuvres, de ces mensonges.
Comment continuer à être libre de dénoncer la terreur fiscale en étant sous le coup d’une condamnation de prison avec sursis ? c’est ce qui se concocte pour moi.
Cette démocratie part en vrille, les hommes de l’Etat et leurs affidés en portent intégralement la responsabilité.
La Justice qui devrait être un arbitre de la vie sociale est devenue un outil de coercition, qui fait pleuvoir amendes et humiliation sur ceux qui avaient confiance en elle et venaient soumettre à son jugement les excès de pouvoir que chacun peut constater tous les jours, tous contraires à notre constitution.
Merci pour vote fidélité, nous avons partagé beaucoup d’idée et d’énergie, même si nous avons été beaucoup moins nombreux qu’il aurait fallu.
Bien à vous. H. Dumas
Partager la publication "PIEGE JUDICIAIRE PREMEDITE"
J’ai été en déplacement du 9 juin au 23 Juin. Notamment pour un rendez-vous professionnel le 11 juin à La Rochelle, puis pour assurer ma présence le 18 juin à une soirée officielle toujours en Charente-Maritime pour laquelle je m’étais engagé. Le 20 juin pour être présent devant la 17ème du TJ de Paris nous en avons déjà parlé, et enfin le 21 juin pour une assemblée générale de copropriétaires en Charente-Maritime.
Quinze jours de déplacement professionnel intense et fatiguant, en voiture, à 80 ans, ce qui ne va pas manquer d’être sous peu interdit…
En rentrant à Sète, le lundi matin 24 juin, dans mon courrier il y avait cette convocation pénale (Pièce n° 1), pour dans 10 jours !!!
L’objectif de cette convocation.
Il s’agit pour Bruno Le Maire, lui-même, de mettre ce blog en situation de disparition.
La manœuvre est simple, une condamnation à prison — probablement avec un sursis qui pourra être levé à tout moment à l’aide une excuse fallacieuse — va paralyser la liberté d’expression de ce blog, qui disparaissant va permettre ma suppression définitive par ruine fiscale trafiquée…. Et les vôtres ensuite…
L’utilisation de la justice à cet effet n’augure rien de bon pour l’avenir de ce pays.
Car la réalité est tout autre que celle évoquée par le parquet.
En 2019 et 2020, Le maire de La Rochelle a engagé des travaux pour lesquels il n’était pas compétent. Ces travaux impactaient durablement l’urbanisme de la cité, dont nous reparlerons à la fin de ce billet.
Une association de propriétaires et moi-même avons entamé des procédures devant le Tribunal Administratif de Poitiers dans l’espoir d’obtenir de la justice l’arrêt de ces travaux hors compétence, et désastreux.
Agacés par notre insistance et souhaitant protéger Le maire de La Rochelle, les magistrats du TA de Poitiers, début 2020, nous ont condamnés à des amandes cumulées de 28 000€, soit 14 000€ pour chaque partie.
Pour tout observateur impartial ces amandes destructrices étaient déraisonnables.
Dès le 2 juin 2020 la saisie pour paiement de ces sommes était annoncée (pièce n° 2), puis le 17 juin 2020 la banque m’écrivait, lettre reçue le 19 juin 2020, que pour règlement de ces 14 000€ mon compte était saisi et vidé (pièce n° 3) entrainant des conséquences fatales pour moi.
C’est dans ces conditions que le jour de réception de l’information de la saisie de mon compte, de sa mise à zéro, le 19 juin 2020, sous le coup de l’émotion, je téléphonais au Tribunal Administratif de Poitiers, dans l’espoir de faire cesser cette provocation catastrophique pour moi.
Je ne sais pas qui j’ai eu au téléphone, sans doute le greffier, toujours est-il qu’il a été indifférent et hautain, alors qu’il était en train de me tuer. Il a même paru satisfait de lui-même. Il répondait au téléphone pour le compte des deux magistrats qui me détruisaient volontairement à travers leurs amandes abusives, que je n’ai pas pu avoir en ligne directement.
Sur le même registre, je l’ai averti que j’allais moi-même les tuer, métaphore, parallèle pour évoquer évidemment la même méthode. Car naïvement je pensais que la justice mettrait le holà à ces délires.
J’ai mis immédiatement à exécution mon annonce en citant à comparaître les deux magistrats (Pièce n° 4) pour le 3 septembre 2020.
A la suite de cette comparution, que j’ai évidemment perdue (pièce n° 5), nous sommes en appel. Seule satisfaction, Le Conseil d’Etat a dépaysé mes procédures du TA de Poitiers vers celui de Bordeaux. Où j’ai été fort bien reçu, mais toujours perdant.
La procédure qui me cite inclut des mensonges indignes.
Le premier
Si je ne nie pas l’expression « je vais vous tuer », je n’ai absolument pas dit « j’arrive ».
Cela n’a pas de sens. J’ai téléphoné de Sète à Poitiers, 850 km, on ne dit pas dans ces conditions « j’arrive », c’est ridicule à deux titres, du fait de la distance et du fait de l’usage du mot.
Le second
Je n’ai pas dit « j’arrive je vais vous tuer » à plusieurs reprises. J’ai dit « je vais vous tuer » une seule fois. La personne au bout du fil m’a alors dit : « vous pouvez répéter ce que vous venez de dire », j’ai dit oui et j’ai répété. Cela sans malice, puisque le mot était employé en métaphore. Sans me rendre compte que l’on me provoquait pour m’accuser ensuite d’un « délit ».
Ces deux mensonges sont graves
Parce qu’ils sont proférés par des personnes assermentées, avec des arrière-pensées perverses, aujourd’hui utilisées au pénal pour censurer un blog et la liberté d’expression, alors que ma spontanéité et ma sincérité qui étaient réelles ont été abusées par ces sachants.
De l’usage du mot tuer en politique :
Je n’envisage pas de me substituer à l’Académie Française, je vous propose simplement de lire les différents emplois du terme « tuer » en politique. Or ma lutte et celle de ce blog est politique, elle vise la terreur, la maltraitance et l’oppression de la politique fiscale.
Tout cela ne prête à aucune équivoque en parcourant ce qu’en dit ChatGPT :
« ChatGPT le 24/06/2024. 16H.
Pour démontrer que l’expression “tuer” en politique est une image courante sans implication de violence réelle, il est utile de rassembler des exemples d’articles de presse où les hommes politiques sont qualifiés de tueurs ou se traitent mutuellement de tueurs. Voici une liste d’exemples trouvés dans des articles de presse :
“Emmanuel Macron, le tueur en série de la politique française “
Dans cet article, le journaliste décrit Emmanuel Macron comme un “tueur en série” en politique, faisant référence à sa capacité à éliminer ses adversaires politiques lors des élections et réformes successives.
“Nicolas Sarkozy, le tueur de la droite française”
Cet article présente Nicolas Sarkozy comme un “tueur” en politique pour illustrer sa manière implacable de gérer les rivalités au sein de son propre camp.
“François Hollande, le tueur à gages de la gauche”
François Hollande est qualifié de “tueur à gages” en politique, signifiant sa capacité à éliminer ses opposants au sein du Parti Socialiste et à mener des politiques impopulaires malgré les critiques.
“Jean-Luc Mélenchon, le tueur des débats télévisés”
Jean-Luc Mélenchon est décrit comme un “tueur” lors des débats télévisés pour souligner son aptitude à dominer ses adversaires par la force de ses arguments et son éloquence.
“Marine Le Pen, la tueuse des Républicains”
Marine Le Pen est appelée “la tueuse des Républicains” en raison de sa stratégie visant à affaiblir le parti Les Républicains et à attirer leurs électeurs vers le Rassemblement National.
“Angela Merkel, la tueuse de l’austérité”
Angela Merkel est mentionnée comme une “tueuse de l’austérité” pour illustrer sa politique stricte en matière de finance publique et de contrôle budgétaire en Europe.
“Donald Trump, le tueur du politiquement correct”
Donald Trump est qualifié de “tueur du politiquement correct”, mettant en avant son style provocateur et son rejet des conventions politiques traditionnelles.
“Boris Johnson, le tueur du Brexit”
Boris Johnson est décrit comme le “tueur du Brexit” pour sa détermination à finaliser la sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne, malgré les obstacles.
“Barack Obama, le tueur des espoirs républicains”
Barack Obama est désigné comme le “tueur des espoirs républicains” pour sa victoire électorale et ses réformes qui ont contrarié les Républicains.
“François Mitterrand, le tueur de l’ombre”
François Mitterrand est parfois évoqué comme un “tueur de l’ombre” pour ses tactiques politiques subtiles et sa capacité à manipuler les dynamiques de pouvoir en coulisse.
Ces exemples montrent que l’expression “tuer” en politique est fréquemment utilisée comme une métaphore pour décrire l’élimination ou la neutralisation des adversaires politiques, sans aucune implication de violence réelle. »
En lisant directement un article du point visant M. Pierre Charon et d’autres personnes que je ne connais pas (pièce n° 6)
On pourrait trouver bien d’autres articles démontrant l’usage métaphorique du mot « tuer » en politique.
Ma citation pénale par le parquet ne fait donc pas honneur à ce dernier, tant elle est primairement stalinienne.
Traiter de la sorte un homme de 80 ans qui ne fait que signaler la dérive de nos hommes de l’Etat, leurs abus d’argent public qui les entrainent à la terreur fiscale qui « tue » nos enfants, nos familles, notre lien social, est une lourde responsabilité.
Je vais demander un renvoi pour avoir le temps de préparer non seulement ma défense, mais aussi une demande reconventionnelle visant une remise dans mes droits fiscaux, un remboursement de ce que le fisc me doit…
En tête de ce billet, je vous avais précisé une information à venir sur les culs de sac occasionnés par l’absence de compréhension, voir les différentes connivences, des élus en règle générale et de ceux de La Rochelle en particulier. Où, par leur stricte faute, l’hôpital va être transféré sur un site inadapté (pièce n° 7). Ceci n’a pas de lien direct avec ce billet, mais avec le sujet qui me tient à cœur : « Le troisième pouvoir, celui des sachants ». Prochains billets à venir.
Bien à vous. H. Dumas
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Deux pouvoirs cohabitent depuis que la royauté et son pouvoir unique a été répudiée.
Le pouvoir politique régi par les règles de la démocratie et le pouvoir financier régi par les règles du marché.
L’attelage, cahin-caha, a traversé deux siècles pendant lesquels il a fait la démonstration, non sans peine, de sa viabilité grâce aux règles qu’il s’est donné au fil du temps.
Ces deux pouvoirs se sont équilibrés et neutralisés pour les optimistes, acoquinés pour les pessimistes.
Arrive aujourd’hui un troisième pouvoir : le pouvoir technocratique de la fonction publique.
C’est, exprimé plus trivialement, le pouvoir des fonctionnaires.
Initialement ce n’était qu’un service à la nation, au même titre que l’armée par exemple.
Du fait de l’hyper spécialisation de ses techniques qui a « autistisé » les politiques, ce pouvoir a pris une importance considérable, incontournable, sans pour autant avoir à rendre des comptes à quiconque. Il a mis le pouvoir politique à sa merci.
Pendant que le pouvoir politique rend des comptes à ses électeurs et le pouvoir financier à ses clients, le pouvoir de la fonction publique n’en rend à personne.
De ce fait il a crû sans limite, aujourd’hui il nous impose sa loi, sans aucun contrôle.
Il accumule de ce fait toutes les tares, tous les excès, de tout pouvoir non régulé : abus de pouvoir, corruptions morales et matérielles, atteintes aux libertés, oppression et finalement dictature.
C’est le défi des élections qui font suite à la dissolution. C’est lui qui a mis Macron échec et mat.
Qui des trois candidats potentiels: Macron, Mélenchon ou Le Pen est capable de juguler le pouvoir technocratique de la fonction publique, de l’insérer dans des règles le limitant tout en lui préservant la place qui lui revient dans une société moderne ?
Lequel des trois est suffisamment libre pour s’atteler à cette tâche, suffisamment lucide pour comprendre que c’est l’unique problème qui se dresse face à l’avenir de nos démocraties.
Notons qu’aucun n’a un programme clair à ce sujet. C’est le problème.
Alors qu’il y aurait des pistes.
Nomination par élection des postes clef de la fonction publique, par exemple le Directeur de Bercy
Interdiction de cumuler une activité dans la fonction publique avec une des deux autres, économique ou politique.
Responsabilité face aux résultat des missions
Devoir de réserve, impossibilité de cumul.
Etc…
Allons nous laisser ce pouvoir s’étendre au point de mettre à terre ce que nous avons mis si longtemps à conquérir : notre démocratie.
On peut dire, pour dédramatiser, que l’absence de projet face à la nécessité de réguler ce troisième pouvoir nous fait vivre dans une France qui n’a pas « les lumières » à tous les étages.
Ce modeste blog est ouvert à tous ceux qui voudraient bien imaginer des solutions de régulation du pouvoir de la fonction publique de telle sorte que sa nécessité soit reconnue et son expansion maîtrisée.
Quant aux trois candidats, il faudra attendre sans doute une autre consultation pour que le sujet soit abordé.
Le paradis français, ce pays où tout est gratuit, où l’on vous soigne et on vous cajole, où vos vieux jours sont assurés et vos enfants instruits, bref ce pays dont l’administration fait l’envie du monde entier, ce paradis est en train de devenir un enfer. Pas un jour sans qu’un ou plusieurs habitants ne soient poignardés, pas un jour sans qu’une fillette soit violée, pas un jour sans qu’un politicien haineux vous déverse sa bile au visage en vous menaçant de vous confisquer vos petites économies. Mais qu’avons-nous fait au bon Dieu pour en arriver là ? Oh, c’est bien simple, nous avons fait du communisme.
Vouloir instituer le paradis conduit toujours à l’enfer. Le communisme est fondé sur un principe : on reçoit selon ses besoins, on paie selon ses moyens. Or les besoins de l’homme sont illimités et ses moyens par nature limités. Le choc de ces deux parties du principe est inévitable. Et le résultat en est toujours la contrainte. Qu’on nous cite un seul pays communiste qui ne soit pas une dictature. Celle-ci, en Occident est limitée par l’environnement démocratique. Mais la France démontre que même bien entouré, on peut être victime de la tyrannie sociale. Il est vrai que nos voisins sont eux aussi contaminés par le communisme, qui les imprègne depuis près d’un siècle.
La pensée de gauche est fondée sur la contrainte. C’est son vice profond. Une partie de la gauche veut encore plus de contrainte. Elle est faite d’individus déclassés qui ne voient pas d’autre moyen de progresser que l’abaissement de tous les autres. Nous avons en France vingt-cinq millions de déclassés, que le capitalisme réduit à une frange de la population a laissés au bord du chemin. Etonnez-vous qu’ils veuillent tout faire péter. Pour être enfin tranquilles dans leur médiocre existence. Et chez certains d’entre eux existe l’espoir de devenir les chefs de la société nouvelle.
Le drame français, c’est l’alliance des déclassés et de l’Etat. Les déclassés réclament toujours plus de contraintes et de prédation, cela tombe bien parce que l’Etat est tout prêt à les leur fournir. Les hauts fonctionnaires seront les mieux servis – et de loin – et les déclassés auront droit à la paresse. Dans une émission de la campagne électorale, une jeune femme a déclaré qu’atteinte d’une maladie rare, elle ne pouvait pas travailler. Oubliant toute charité, on serait tenté de diagnostiquer la flemme. Mais ce mot est imprononçable dans l’univers français. Tout le monde bosse, et bosse dur, même si l’on ne fait rien !
Le mal français est inguérissable par la persuasion. Vous ne pouvez pas remettre au boulot des gens que vous ne pouvez payer qu’avec des clopinettes. Tant qu’à être mal payé, autant ne rien faire. Et toucher des subsides payés par ceux qui ont encore quelque chose. La mécanique infernale est enclenchée. Appauvrissement général, mal être, violence, propagande éhontée, désignation de boucs émissaires, le spectacle est toujours le même. Les Tournées sociales se produisent dans tout le pays et le spectacle est gratuit. Avec un peu de chance, ou aura droit à des numéros d’anthologie, comme l’exposition de professeurs et de patrons avec une pancarte autour du cou, et qui sait même à la tonte de bourgeoises coupables d’élégance vestimentaire ou de simple bon goût.
Le pire de tout cela, c’est que personne n’y comprend rien. Je veux dire personne qui ait le droit de parler aux étranges lucarnes. Un de mes amis ayant accès aux micros, à qui je conseillais de promouvoir telle mesure salvatrice et de bon sens, et auquel je disais en plaisantant que, tel Diogène, je cherchais un homme, me répondit très sérieusement : « Je ne serai pas cet homme-là. ». C’est un très bon garçon, que j’ai connu autrefois, quand il y avait encore un peu de liberté en France. Il ne m’a pas dit que dans une dictature, on ferme sa gueule, mais il l’a pensé fortement.
Le torrent de haine qui inonde nos rues, nos places et nos micros ne se tarira pas de sitôt. Il faudra que la disette s’installe et rende les estomacs raisonnables, à la place des cerveaux. D’ici là, prions pour la France. Et si nous le pouvons, agissons. Je n’ai nullement renoncé à libérer les Français de la tyrannie sociale, et je me félicite que les juges français, au plus haut niveau, aient fini, sous notre pression, par se rendre à la raison – je veux dire aux dispositions européennes de liberté – et enfin admis que ces dernières doivent être appliquées par les tribunaux. C’est une avancée formidable, comme un mur de prison qui s’effondre. Le grand air est pour demain.
Les hommes aiment se réunir et pleurer sur leur sort. Dans certains pays on leur épargne cette peine en désignant des pleureuses dont c’est le métier. Dommage qu’on n’ait pas fait cela chez nous. Cela aurait libéré des énergies. Qui auraient pu s’employer utilement à changer les choses. A défaut, on ne peut compter que sur des hommes et des femmes décidés à se battre quoi qu’il en coûte, comme le disent nos gouvernants à propos d’argent. Je préfère vous quitter sur ce constat d’espoir.
Claude Reichman
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Hier j’étais cité directement devant la 17ème chambre correctionnelle du Tribunal judiciaire de Paris par des fonctionnaires importants de Bercy, directeurs régionaux, national, réclamant l’impunité pour leur maltraitance à mon égard dénoncée sur ce blog, donc pour la maltraitance fiscale en règle générale.
La 17ème est une chambre essentielle à la démocratie. C’est la chambre des diffamations, donc de notre liberté d’expression. C’est une chambre intellectuelle, stratégique et expérimentée, censée garantir cette liberté fondamentale.
L’audience a été étrange, inhabituelle.
Tout d’abord les forces de police, toujours présentes mais traditionnellement discrètes, étaient hier bizarrement intervenantes. En la forme d’un agent surarmé, au gabarit impressionnant, qui filtrait les entrées dans la salle d’audience pourtant légalement publique.
Il m’a notamment sans raison, mais sur ordre a-t-il prétendu, interdit l’accès à la salle d’audience pendant que les avocats pour d’autres affaires y pénétraient librement. Ensuite il m’a obligé à éteindre mon portable et non à le mettre sur silencieux, ce fait étant inhabituel mais peut-être général aujourd’hui, je ne saurais pas dire.
Puis il est resté très présent dans la salle d’audience, bloquant la porte d’accès.
Ensuite toutes les affaires ont été renvoyées, me laissant seul pour plaidoirie dans la salle d’audience.
Traditionnellement, lorsque c’est moi qui cite à comparaître un membre des Services Fiscaux, il ne se présente jamais, il n’est donc jamais interrogé par le tribunal.
Ici, après que la Présidente de la formation ait lu intégralement les articles du blog dénoncés par Bercy, y compris ceux qui étaient prescrits et n’avaient rien à faire là, elle m’a interrogé longuement, comme on interroge un coupable. Ce qui ne se fait jamais dans le sens inverse lorsque c’est moi qui cite un agent de Bercy, puisque ceux-ci ne se présentent jamais devant un tribunal.
Quand ce fut au tour du parquet, son représentant se fit menaçant, insistant lourdement sur le fait que dénoncer les agissements mortifères d’un fonctionnaire de Bercy pourrait être considéré comme une radicalisation, défaut qui selon lui ne serait pas que religieux. Ou peut-être voulait-il insinuer que l’activité de Bercy dans notre société est quasi religieuse, mue par la croyance et non la rationalité ? Je ne sais pas.
Lorsque vint mon tour j’ai pu m’exprimer librement, sauf lorsque j’ai souhaité revenir à la genèse de ma maltraitance fiscale, ce qui fut déclaré hors sujet par la présidente…
Bref, une audience tendue, où la 17ème eut l’air un temps, légèrement et pour partie, stalinienne.
Le délibéré est au 16 septembre, nous verrons bien.
Mais tout cela me fait dire que Bercy, et les hommes de l’Etat représentés par le parquet, semblent se radicaliser et envisager très sérieusement l’élimination judiciaire de tout porteur de critiques des agissements violents de leurs agents, qu’ils considèrent au dessus de tout soupçon, devant être couverts par l’impunité fiscale…
C’est la Sécurité sociale qui a détruit la France !
Que dirait-on d’un médecin qui sait depuis quinze ans ce dont souffre son malade et qui ne le traiterait pas ? Qu’il est incompétent, voire criminel. Que dit-on des politiciens qui savent depuis au moins quinze ans ce dont souffre la France et qui la laissent souffrir et s’affaiblir ? Rien. On les laisse s’ébrouer dans le champ médiatique et se présenter à des élections qui ne changent rien. Et comme ceux qui les interrogent dans les médias savent aussi bien qu’eux ce qui détruit notre pays et se gardent bien de poser des questions à ce sujet, le terrible déclin et la souffrance française se poursuivent inéluctablement.
La révélation du mal français a date certaine. Je ne parle pas – par modestie – de mon livre « Sécurité sociale, le vrai mal français », paru en 1995, mais de l’ouvrage intitulé « Les nerfs solides », paru en 2009. L’histoire de ce livre est édifiante. Il ne s’agit pas d’un essai politique et encore moins d’un ouvrage polémique, mais, au départ, d’une étude de la société Publicis destinée « à nous aider à assouvir notre inextinguible soif de savoir qui sont les clients qui font vivre nos clients », comme l’écrit le président de Publicis, Maurice Lévy, dans sa préface. Qu’apprend-on de cette étude réalisée par deux chercheurs de Publicis ? Qu’il y a en France vingt millions de personnes constituant ce qu’on appelle les classes moyennes et qui s’en sortent de plus en plus mal.
Cette étude sérieuse et documentée est une véritable bombe politique. Elle démontre qu’un mal terrible ronge la France et menace de la faire exploser. Nous y sommes. La France est un pays déclassé où une importante partie de la population tient encore le coup, mais plus pour longtemps. Une partie d’entre elle, aujourd’hui, ne rêve que de faire exploser la société, parce qu’elle ne lui apporte aucune satisfaction ni aucun espoir. En dissolvant l’Assemblée nationale, le président de la République a pris acte de cette situation. En déplacement en Italie pour le G7, il déclare que les Français ne supportent plus l’immigration et l’insécurité et leur propose de s’en occuper. Après sept ans de mandat !
Le diagnostic du président est le bon. Mais il est le dernier à avoir compris le mal français. Médiocre performance pour un homme qu’on présentait comme un petit génie. Il est probable que les Français ne confieront pas le traitement du mal à celui qui a été incapable de le déceler pendant sa présidence. Deux blocs s’affrontent aux élections législatives : un bloc de gauche dominé par l’extrême gauche, un bloc de la droite nationale alliée à une partie de la droite traditionnelle. C’est ce dernier qui semble avoir le plus de chances de l’emporter. Mais dans cette campagne, on n’entend personne évoquer les remèdes au mal français. Nous allons donc encore devoir naviguer dans des eaux incertaines où le naufrage menacera à tout instant.
La France est un vieux pays qui a réussi à se relever de bien des catastrophes. Mais celle qui est en cours risque d’être la dernière avant l’effacement de notre peuple. Raison de plus d’être lucide et déterminé. Pour l’heure, on ne constate aucune de ces qualités qui soit en œuvre. Les volontés ont été annihilées par le déversement d’argent magique sur la population. Les plus lucides disent que cela ne pourra pas durer, mais ils n’agissent pas pour constituer une force de redressement national. Le bloc de droite n’a pas de plan cohérent, autre que des mesures d’urgence contre l’immigration et le prix de l’énergie, pour ramener la France au rang des pays bien gérés. Tout est donc à faire.
Le drame français est la disparition des libéraux. C’est eux qui dirigent toutes les puissances occidentales, sauf la France. Chez nous, le communisme est chez lui. Voir le chef du parti communiste, fort de ses 2 % de voix, tenir le haut du pavé devant les médias est une insulte aux 100 millions de morts du communisme. Mais en France, cela ne choque pas grand monde. Les génocides sont devenus monnaie courante partout sur la planète. Alors on s’habitue !
Tant qu’on n’aura pas compris que c’est la Sécurité sociale qui a détruit la France, on n’aura rien compris. Une occasion magnifique de se débarrasser de ce fardeau s’est présentée en 1993 quand ont été mises en œuvre, dans l’Union européenne, les mesures décidées par le traité de l’Acte unique de 1986, c’est-à-dire la création du Marché intérieur, où la concurrence était généralisée dans tous les domaines. La France a voté toutes les lois de transposition … mais a tout fait pour ne pas les appliquer. Elle s’est notamment emparée du service juridique de la Commission afin de bloquer toutes nos tentatives de déverrouiller la situation. Nous avons pu, par notre acharnement libérer une importante partie des travailleurs indépendants, mais pas tous les Français. Pendant ce temps, l’économie française s’est effondrée en même temps que notre compétitivité trouvait sa résidence au Père Lachaise. C’est grâce à la banque centrale allemande que la France a obtenu les crédits qui lui ont permis de subsister. Mais il vient toujours un moment où les crédits s’épuisent. On n’attend plus que le gong final. Qui résonnera dans un pays déchiré, en proie aux émeutes et à la guerre civile. Il faudra bien alors que des Français se décident à sauver leur pays !
Claude Reichman
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Nous avons vu que les écolos tiennent un discours particulièrement incisif vis-à-vis des populations à seule fin de les contraindre à accepter leurs solutions radicales.
Mais, ce discours est aussi tenu par certains types d’entreprises « à but écologique » … qui sont surtout suspendues aux subventions.
Ce discours est bien rodé et il est toujours le même et nous allons voir que ce sont des affirmations pour le moins orientées …
-La transition énergétique demande certes un effort d’investissement important, essentiellement basé sur un financement public fait de subventions, mais elle améliorera notre niveau de vie.
Traduction : En fait, la proposition est de dépenser toujours plus d’argent public. Or, les solutions proposées ont surtout toutes eu pour conséquence d’augmenter le cout de la vie et ces dépenses tant vantées amélioreront surtout les résultats de l’entreprise qui bénéficiera de l’argent gratuit des autres !
-La transition énergétique sera créatrice nette d’emplois.
Traduction : Il s’agit surtout d’une promesse qui n’engage que ceux qui y croient. En fait, cette fameuse transition est surtout destructrice d’emplois et le marché de l’automobile en est symbole le plus évident puisque désormais la majeure partie des voitures vendues en France sont fabriquées à l’étranger (la France est revenue à des niveaux de production de 1960) et, de plus en plus souvent, en Chine ! L’Union Européenne en est réduite à infliger des droits de douane très élevés sur les voitures chinoises pour protéger les constructeurs européens. Le non-dit est évidemment que vous devrez payer votre voiture plus cher puisqu’on va artificiellement remonter le prix des voitures chinoises avec des taxes à l’importation !
Il n’y a plus de fabricants de panneaux solaires en France et les éoliennes qui fleurissent dans nos paysages sont fabriquées elles aussi à l’étranger (Allemagne) !
-Nous pouvons faire de la transition une aventure industrielle, mais nous ne devons pas ralentir la décarbonation ni compromettre notre compétitivité.
Traduction : On nous annonçait une baisse des couts mais elle n’a pas eu lieu ; bien au contraire puisque « transition écologique » rime pour l’instant surtout avec une énergie de plus en plus chère !
Quant à la compétitivité, on voit que l’Union Européenne taxe les voitures chinoises parce que les producteurs européens ne sont pas compétitifs et perdent pied !
-Si nous n’agissons pas pour contenir le changement climatique, la facture sera plus lourde plus tard.
Traduction : Encore une fois, la menace de la fin du monde est à peine masquée … il faut dépenser énormément (d’argent public) maintenant pour éviter de dépenser encore plus … plus tard ; affirmation évidemment ne reposant sur aucun fondement !
Les chiffres de la transition au seul niveau européen sont connus et ils donnent le vertige : rien que pour la France 145 Mds € par an dont … nous n’avons pas le premier sous !
Et les projets financés par l’argent public fleurissent comme par miracle par dizaines. On peut citer les éoliennes, les panneaux solaires, l’hydrogène, les carburants de substitution, les algues productrices de gazole, le biogaz … tous des modes de production d’énergie inefficaces qui attirent les idéalistes mais aussi et surtout des aventuriers peu scrupuleux abondamment subventionnés avec nos impôts et dont l’activité n’aurait aucune existence d’aucune sorte sans ces subventions qui ont surtout pour effet de fausser le marché et d’augmenter les couts !
L’absence de formation des politiciens, leur crédulité, voire leur idéologie et l’électoralisme permettent à des entrepreneurs peu scrupuleux de profiter, sans état d’âme, de la situation et des opportunités.
La décarbonation systématique de l’économie, telle qu’elle a été décidée à Bruxelles, s’apparente plus à un suicide économique qu’à un progrès … et nous en paierons les conséquences !
Or, l’action en faveur du climat au niveau européen est insignifiante si on la rapporte à la planète entière. L’Europe c’est 600 millions de personnes pour 8 milliards de terriens dont des mastodontes comme l’Inde et la Chine qui totalisent 3 milliards à eux deux et dont les objectifs écologiques sont le dernier de leurs soucis !
Il faut être conscient que les 3/4 de l’humanité (Chine, inde, Amérique du sud, Afrique) vivent en dehors de tout contexte écologique ou réchauffiste !
On sait aussi que les énergies dites renouvelables ne présentent aucun des critères requis pour assurer la fourniture d’énergie dont nos sociétés ne peuvent absolument pas se passer.
Elles ne sont pas stables et elles sont chères tout en fragilisant les réseaux électriques alors que nous avons besoin d’une énergie abondante, stable et bon marché.
Tout l’inverse donc !
Mais on a bien compris que, sous prétexte de sauver la planète, certains individus maximisent le profit tout en profitant des opportunités dans le cadre d’une économie de connivences c’est à dire en dehors d’un marché normalement ouvert à la concurrence.
Si les subventions disparaissent, ces entreprises « du futur » disparaissent aussi ; ce qui démontre sans ambiguïté aucune leur caractère artificiel !
La réalité est que la transition énergétique est juste une idéologie et que nous continuerons encore longtemps à consommer du pétrole et ses dérivés (sauf pour l’électricité qui est, en France, nucléaire pour 70%).
Bien cordialement à tous !
Partager la publication "Entreprises et écologie : Une réalité pas toujours verte (à défaut d’être rose)"
Imaginons que vous aimiez les pêches à la folie. Que vous n’appréciez ni les abricots ni les prunes. On vous laisse le choix entre une pêche, un abricot et une prune. Formidable : vous allez prendre la pêche, votre bonheur sera total.
Oui, mais : même si cela ne se voit pas, la pêche offerte est pourrie jusqu’au trognon. Problème.
C’est un peu ce qui nous est proposé pour les élections à venir. A ceux qui ne veulent pas d’un système autoritaire, par essence liberticide, que ce soit de droite ou de gauche, on propose la solution raisonnée : la démocratie.
Oui, mais, une démocratie préalablement pourrie, corrompue matériellement et moralement, par ceux-là mêmes qui prétendent la représenter.
Que faire ? D’autant que les électeurs n’ont même plus le souvenir de ce qu’est une démocratie sincère, où les libertés sont sacrées, notamment la première de toutes : la propriété privée. Celle qui est la base de toute démocratie, l’outil de protection pour chacun de sa propre liberté.
On sait comment et pourquoi cela est arrivé. Mais la situation est si avancée qu’il n’existe pas de remède, pas de retour en arrière.
Notre « démocratie » n’est pas capable de se régénérer. Sa dégradation a créé trop de privilèges, de situations dont la suppression ferait des ravages.
Enfin, disons plutôt qu’elle n’est pas capable de se régénérer par le vote, car nul doute qu’elle va se régénérer par la violence, par la rue, par le conflit, la guerre.
Le prix à payer va être terrible, qui l’assumera ? Personne, il est le fruit de la lâcheté de tous, il n’existera pas d’innocent pour dénoncer, car quand bien même il existerait des innocents ils ne pourraient pas se transformer en délateurs.
Aller voter pour qui ? Pour quoi ?
Alors que la décision de Macron pourrait être intellectuellement courageuse, une question se pose avant d’émettre une opinion à son sujet. Est-elle un acte sincère ou un stratagème pervers ?
Elle serait un acte sincère si Macron avait fait état, au préalable, d’une impossibilité à réformer face à l’effondrement moral et pratique du pays. Il ne l’a pas dit.
Donc, il s’est satisfait de la dégénérescence de notre démocratie. Il l’a utilisé lui-même. Se faisant il l’a donc cautionnée, il a participé à son expansion jusqu’au point de non-retour qu’il constate et qui lui fait dissoudre l’Assemblée nationale dit-il.
Alors non, Macron n’est pas sincère.
Moralité : il va perdre, il va nous faire perdre. Quelle énorme responsabilité !!!
Pour qui voter ? Aucune idée…
Bien à vous. H. Dumas
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Le pouvoir est comme l’alcool, il enivre ceux qui le consomment.
Or — et on doit le regretter intensément — nos élus ont, tous sans exception et avec l’accord tacite d’une écrasante majorité de Français, transformé le mandat que devrait leur conférer la démocratie en un pouvoir absolu, dont les comptes ne sont à rendre que les dimanches d’élection. Donc, de temps en temps, finalement rarement et si brièvement que le mensonge sur le bilan est la règle, et qu’il est très difficile à débusquer.
Nous ne sommes pas vraiment en démocratie, puisque cela supposerait un engagement courageux de chacun et une discrète modestie des élus.
La situation parait définitive. Revenir à une vraie démocratie où l’affaire publique serait l’affaire de tous, où donc l’élu ne serait qu’un mandataire mettant en œuvre la volonté de tous, supposerait que chacun accepte d’être responsable des décisions collectives.
Ce n’est vraiment pas le cas puisqu’au contraire chacun vise non seulement l’irresponsabilité, mais le larcin à son profit des biens de ses voisins eux-mêmes pillés par l’Etat – les hommes de l’Etat, comme il convient d’appeler la chose –.
Pour bien ressentir cela il faut avoir trainé un peu partout, dans ces endroits où se prennent les décisions ensuite habillées, voire déguisées, d’un langage et de rites technocratiques illusoires. C’est dire que l’on ne peut en fait échanger avec personne sur cette réalité.
Pour imager mon propos.
Prenons pour hypothèse que vous soyez passionné par l’Amazonie. Une année vous traversez l’Amazonie. Vous allez accumuler à cette occasion des connaissances et des émotions particulières.
Au retour, avec qui pourrez-vous les partager ? Avec tous ceux qui ont traversé l’Amazonie. Avouons que c’est limitatif…
Car tous les autres, ceux qui regardent tous les films, lisent tous les livres, ont étudié tout ce qui se sait sur l’Amazonie, vous ne pourrez pas partager avec eux, car en réalité ils ne savent rien de ce qu’ils croient savoir….
C’est exactement pareil pour le pouvoir. Pour en connaître les dimensions exactes, il faut l’avoir eu.
Je vous affirme donc que le pouvoir est enivrant.
Et que… comme pour le pinard, il en est qui ont le pouvoir méchant et d’autres qui ont le pouvoir gentil. C’est-à-dire que comme l’alcool le pouvoir libère leur vraie personnalité chez ceux qui le possèdent.
Le plus stupéfiant, c’est qu’elle est rarement détectable avant la biture, d’alcool ou de pouvoir.
Alors ? A-t-elle le pouvoir mauvais ? Je parle de Marine Le Pen, évidemment.
Ce sera déterminant, on verra bien, puisque les dés paraissent jetés.
Bien à vous. H. Dumas
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La taca-taca-taca-tac-tactique du Macron
C’est de dissoudre avec autorité »
Quand on regarde ou écoute les commentaires sur le sujet, il vaut mieux en sourire,
Au risque de passer pour un donneur de leçon, essayons de gratter légèrement et de découvrir l’affligeante vérité.
Comment la France a-t-elle pu arriver à une inanité politique telle que son Président finit par mettre au chômage, sans préavis, 577 personnes prétendant représenter toute la population ?
La crise
Elle est existentielle. La France pense pouvoir vivre en dansant devant le buffet vide.
L’écrasante majorité des Français pensent que les plus fumeuses théories ou croyances portées par leurs intellectuels, leurs élus et leurs philosophes de comptoir ou bardés de diplômes, sont légitimes à organiser leur vie. Ils sont prêts à s’étriper pour cela, ils en sont même très proches.
Ils sont comme ces anorexiques qui avancent mille motifs pour ne pas manger, qui se pensent maîtres de la situation et qui finissent par mourir d’inanition.
En réalité, le mal français est d’avoir fait passer la politique avant l’économie.
Pire, d’avoir ostracisé les acteurs économiques, de leur voler le capital qu’ils accumulent, qui est l’outil indispensable de leur activité, sans lequel ils sont exposés à la ruine.
C’est une attitude de riche. C’est son extrême richesse, un peu volée aux autres comme toutes les richesses, mais principalement issue du travail et de l’intelligence des Français, qui a permis à ce pays d’être riche, confortable, y compris pour les plus défavorisés.
Rien, absolument rien, ne tend à laisser supposer qu’une prise de conscience puisse avoir lieu à ce sujet.
Qu’elle est dictée par son souci de l’histoire, de l’intérêt du pays, de la nécessité de le sauver de la ruine qui pourrait le reléguer pour des années, voire des siècles, au statut de pays sous-développé, en voie de disparition, voire plus…
Que Macron n’a pas pu aboutir par le biais des structures actuelles, entièrement entre les mains de rêveurs ou de maquereaux… au choix.
Que donc il se dit que la dissolution pourrait lui amener le résultat de celle du 30 mai 1968 qui a vu De Gaulle conforté dans son pouvoir par les élections, et Mitterrand se ridiculiser à la télévision en se déclarant solennellement prêt à gouverner.
Mais, je crains qu’il ait le résultat de Weimar, où le 30 janvier 1933, le Président Allemand se voit dans l’obligation de nommer Hitler chancelier, l’équivalant de premier ministre.
En 1968, la France était riche. En 1933 l’Allemagne était dans la misère.
Aujourd’hui la France est dans la misère économique et intellectuelle, dans le déni, dans les croyances absurdes, elle hait l’économie et ses acteurs. Elle est plus proche de Weimar que de 68.
Conclusion
Sans jouer les devins, le plus probable est qu’il ne sorte rien des élections à venir, pas de majorité, pas d’homme ou de femme providentiel, pas de changement de pensée, pas de prise de conscience de la population.
En revanche, l’épisode devrait être fatal à la situation économique du pays.
La confiance des prêteurs va sans doute en prendre un sacré coup. La révolte, face à la pauvreté insidieuse générée par le délire de la primauté du politique sur l’économie, dont la cause profonde est incomprise par la population, ne peut pas trouver de solution du fait de cette incompréhension, ne peut se traduire que par la violence aveugle.
Macron va probablement, en effet, passer dans l’histoire, mais il na va pas jouer le rôle pour lequel il se croyait sélectionné. Dur, dur…
Ce n’est pas le moment de vendre vos biens solides, leur prix sous peu ne vous permettra d’acheter qu’une baguette, pas même un gros pain…
Bien à vous. H. Dumas
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Un client : Alors, Mme Michu, cette dissolution ? Faut croire que votre M. Macron a pris la mouche … Faut dire, y avait de quoi, avec la déculottée qu’il a prise !
Mme Michu : Allez M. Lambda, ne vous faites pas plus bête que vous n’êtes ! Vous avez bien compris ! Et, au fond, ça ne vous arrange pas tellement que ça ! La cohabitation n’a jamais fait les affaires de l’opposition. Si vous ne le saviez pas, vous allez l’apprendre ! Et je tiens le pari : si les Français choisissent l’aventure, Mme Le Pen n’entrera pas à l’Elysée dans deux ans. Pas si bête de la part de M. Macron… En tout cas, pas mal joué !
Le client : J’ignorais que vous étiez commerçante et devin !
Mme Michu : Je ne suis pas devin, M. Lambda, j’ai hélas l’expérience… dont vous manquez apparemment.
Le Chœur : L’avenir appartient aux dieux. Malheur à qui les défie ! Nul humain ne peut prédire ce qu’il adviendra des choix d’un peuple aussi imprévisible !
Mme Michu : Chacun sait cependant qu’il ne suffit pas de vouloir pour pouvoir. Seules les circonstances qui échappent aux hommes dirigent leurs combats : la pandémie, la guerre à nos frontières, le renversement des alliances traditionnelles, la folie impérialiste, la crise économique…
Le client : M Bardella sera Premier ministre pour les jeux Olympiques.
Mme Michu : Et Mme Hidalgo sera toujours là !!! Le Président aussi. Sans compter que pour gouverner il faut un majorité. On voit mal le RN arriver au pouvoir avec la majorité absolue !
Le client : Il trouvera des accords avec la droite qu’il aura plumée. Avec Ciotti.
Mme Michu : Il est passé par ici !
Le client : Avec Zemmour et Maréchal !
Mme Michu : Nous voilà ! Et si la gauche refaisait une union de circonstances, façon NUPES ?
Le client : Elle sera archi battue !
Mme Michu : Bien possible, mais la question n’est pas là. L’opposition sera dans la rue, comme d’habitude et c’est bien là, dans le chaos, qu’on jugera de l’autorité de vos amis !
Le Chœur : Dans une démocratie, l’autorité, comme la vertu, naît dans l’opposition et s’efface avec le pouvoir.
Le client : La démocratie molle, c’est la démocratie du renoncement. La démocratie forte, c’est l’expression de la volonté du peuple en faveur de l’autorité de l’Etat…
Mme Michu : Vous rêvez, M. Lambda ! Le peuple ne veut d’autorité que si elle s’exerce contre son voisin ! Même la fasciste Mme Meloni a renoncé à son autorité. Bref, vous aurez Mélenchon dans la rue, vos complices en embuscade, la paralysie politique du gouvernement et une situation économique ingérable, Tout ce qu’il faut pour que la France redevienne raisonnable en 2027 ! Non, décidément, n’y comptez pas, votre championne n’entrera pas à l’Elysée !
Le client : On verra bien, Mme Michu ! En attendant, M. Bardella sera à Matignon…
Mme Michu : Pour sa perte, M. Lambda, pour sa perte !
Ces mises en recouvrement visaient de pseudos-dettes fiscales issues de contrôles fiscaux abusifs, ne reposant sur aucune réalité, basse vengeance d’un pouvoir fiscal pervers qui avait généré la création de mon blog https://temoignagefiscal.com/, et une lutte mortelle de 20 ans, qui perdure et que j’espère encore gagner, car je crois en la justice et je pense que vos manœuvres seront lourdement condamnées.
Le 2 mars 2023, vous avez pratiqué sur le compte de ma société une SATD, pour un montant de 193 402 €, total d’une addition de restants dus tous égaux à zéro, vestige sans doute de mon paiement de toutes ses sommes irréelles par la vente imposée des biens de ma société !!! : https://ahp.li/18ce38e87a0171f7c918.pdf
Le 31 mai 2024, vous venez de pratiquer une nouvelle SATD, pour un montant de 197 021,77 €, qui vise toujours les mêmes objectifs : https://ahp.li/bcd9506bee4d1110b90c.pdf
La preuve que ces sommes ne sont pas dues :
Le 11 juillet 2022 vous avez établi un décompte définitif des sommes dont vous me prétendiez débiteur, que le notaire qui a procédé aux ventes de mes biens vous a soldé. Ces sommes visent toujours les mêmes délires inexistants dans la réalité : https://ahp.li/014cf73339c0384a3a62.pdf
Le 19 aout 2022 vous avez levé toutes les hypothèques que vous aviez prises sur les biens de ma société, car le notaire avait soldé vos prétendues créances : https://ahp.li/f0100efa5c58fb8f7c03.pdf
Vous ne pouvez en aucun cas prétendre à de nouvelles créances visant un contentieux que vous avez-vous-même soldé.
LA VERITE
En réalité, je me suis aperçu que vous déteniez, vos décomptes fantaisistes soldés, un trop perçu d’IR de 10 322 €, que je vous ai réclamé le 10 aout 2022 : https://ahp.li/64493490539f33bad9ea.pdf
Où avais-je la tête ? Demander des comptes à un tortionnaire ? Quelle idée loufoque.
La réponse ne peut être que : davantage de maltraitance. CQFD.
MALTRAITANCE ET TORTIONNAIRES
J’ai 80 ans, une fin de vie particulièrement difficile alors que je n’ai jamais dépendu de l’agent public, qu’au contraire j’ai enrichi le pot commun et la pensée collective par mes engagements et mon travail. Je ne juge pas utile d’en faire étalage, je ne l’ai jamais fait, je n’ai agi qu’animé par ma condition d’être humain responsable.
Pendant tout ce temps, j’ai beaucoup réfléchi, au-delà, je l’espère, des intoxications intellectuelles et sociales permanentes.
Notamment en ce qui concerne la maltraitance, les tortionnaires et les résistants. Peut-être parce que je suis un enfant de la guerre, issu de ces problématiques.
Il s’agit des maltraitances, considérées comme normales et nécessaires à l’époque, en vigueur il y a quelques années au lycée de Notre-Dame de Bétharram, à Pau.
Le constat
Pour qu’il y ait maltraitance — non définie comme « coups et blessures et atteinte à l’intégrité morale » qui sont la réalité — il faut :
Le support d’une croyance qui va effacer toute prise de conscience des faits, en les projetant dans une nécessité de future construction du cadre de l’implantation dans la société de cette croyance. Ici, c’est l’éducation sévère qui permettrait la construction d’un être parfait, efficace et solide, au point que ce sont les parents qui se privent pour envoyer leurs enfants souffrir dans cette boucherie humaine destructrice. Ce pourrait aussi être une religion, une organisation sociale, ou n’importe quelle croyance animée d’un prosélytisme fort.
Des tortionnaires volontaires. Le simple fait de croire prédispose à accepter la maltraitance, mais pas pour autant à en être un acteur. Or, le tortionnaire est un acteur. Ses motivations peuvent être la simple bêtise ou l’ambition, voire pire : le plaisir. Le tortionnaire est beaucoup plus présent que la trace qu’il laisse dans l’histoire des maltraitances éradiquées.
Une acceptation de la société. Sans laquelle la maltraitance n’ayant pas pignon sur rue va avoir du mal à se développer largement. La maltraitance est toujours, de ce fait, accompagnée de la censure pour éviter les contestations de la croyance qui lui donne vie. Elle est aussi couverte par la force qui s’exprime par la loi, la justice et les forces de l’ordre.
La résistance
La violence de la maltraitance et la résilience de l’être humain sont telles que très peu des maltraités entrent en résistance. La solution que pourrait apporter la résistance parait toujours plus lointaine que l’espoir immédiat d’imaginer la baisse de l’intensité de la maltraitance à cours terme par la soumission.
Pourtant aujourd’hui notre société a obtenu des résultats tangibles face à de nombreuses maltraitances. Citons : justement l’éducation des enfants, mais aussi la condition des femmes, la condition ouvrière, le rapport aux animaux, à la nature, l’acceptation des minorités, des préférences sexuelles, etc…
Et pourtant certains pensent encore que, justement, ces résultats prouveraient la faiblesse et la déliquescence de notre société, alors que c’est exactement l’inverse qui se produit.
La confusion
Elle se résume en peu de mot, un seul : l’égalitarisme.
Cette croyance qui permet à des personnes comme vous, Mme LORMEAU, de croire ou de faire semblant de croire à l’égalitarisme et de pouvoir au nom de cette croyance maltraiter tous les jours des êtres humains préalablement dévalorisés par la qualification de « fraudeurs fiscaux ». Cela sans que jamais leur position soit considérée par rapport à leur apport social, mais simplement par rapport à des règles que vous avez le droit d’inventer au jour le jour, juste pour avoir le plaisir de les torturer, comme cela est démontré dans le dossier que je rapporte en tête de ce billet.
Conclusion
Vous êtes, Madame LORMEAU, une tortionnaire dans un univers de maltraitance fiscale, dont Bercy est l’église sous-tendant la croyance en un égalitarisme qui sert de vecteur aux fanatiques de la maltraitance en général, qui comme vous s’épanouissent dans ces conditions extrêmement favorables.
Je suis un résistant qui, vu mon âge, risque de disparaître avant de voir la fin de cette maltraitance. Mais ce n’est pas sûr.
Car au bout de toute maltraitance il y a un échec cuisant. Ici se sera la faillite économique du pays générée par les dégâts sur les forces vives de cette maltraitance.
Et là, tous seront touchés, y compris les plus modestes, la croyance sera si ébranlée que les tortionnaires seront soudain vus pour ce qu’ils sont : des tortionnaires.
Alors ceux-ci seront lourdement condamnés. Aurai-je le temps de vous voir condamnée ? Je l’espère et je m’y emploie.
Serez-vous un jour condamnée pour tout le mal que vous faites ? J’en suis sûr, c’est ce qui me maintient en vie et me donne l’énergie pour continuer à me battre.
Désolé, mais pas de formule hypocrite de politesse, je vous souhaite simplement le dixième du mal que vous faites, ce sera déjà énorme à supporter.
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« Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé. » Il n’y a pas un seul candidat libéral à cette élection européenne. Certes il y en a un ou deux qui présentent un zeste de libéralisme, mais ce n’est que pour donner un peu de goût à leur breuvage socialisant. Cette élection est donc pour moi fort dépeuplée. Je suis face à un désert idéologique, où toute la nature se résume à quelques arbustes rabougris. L’image que donne la France est celle d’un Sahara où le soleil ne se lève que pour brûler.
Pourtant notre pays est engagé dans une coalition qui lutte pour préserver la liberté de l’Occident que met en péril le tyran russe, comme l’appelle justement le président des Etats-Unis. Comment peut-on être socialiste – et même communiste – dans une telle alliance ? Nos amis sont décidément bien tolérants envers nous. Il est vrai que la France a encore du sens. Elle ne le doit qu’à son passé. Mais à mesure que le temps passe, nous sommes poussés en dehors du monde civilisé. Non par nos amis, mais par notre propre faute.
Je suis la politique depuis de nombreuses années et j’y participe. Ce que je constate aujourd’hui me navre. Tous les espoirs et les efforts de redressement ont été anéantis par l’Etat, qui n’a cessé de prendre de l’argent aux actifs pour le distribuer aux inactifs. Dans des conditions d’ailleurs très contestables, puisque le régime de retraite a été bâti sur une idée folle consistant à ne jamais se soucier du sort des jeunes, contraints de financer les pensions de leurs aînés sans avoir la moindre chance d’en bénéficier un jour à leur tour en raison de l’effondrement du nombre de cotisants.
L’Etat, me direz-vous, mais qui est l’Etat ? La réponse est simple. L’Etat, ce sont ceux qui s’en sont emparés. Des partis politiques donc, dirigés par de hauts fonctionnaires alternant entre fonctions électives et pantouflages rémunérateurs et se souciant de la France comme de colin-tampon. La France, pour eux, n’a jamais été qu’un terrain d’expérience où l’on peut faire valoir son agilité intellectuelle sans jamais se soucier du résultat pour la nation. En fait ces gens ont tué le patriotisme en France en le rendant inutile et même gênant car il perturbe la redistribution de l’argent des Français. L’Etat s’est comporté en ennemi de la France et non en rempart. La lutte contre l’Etat prédateur est devenue une ardente obligation dans notre pays.
Or nous vivons une élection nationale où ce sujet n’a pas même été évoqué. Certes il s’agit d’une élection européenne, comme le répète M. Macron pour échapper à son bilan national, mais depuis quand l’Europe n’a-t-elle plus de rapport avec un pays qui en est membre ? En vérité, nous sommes entrés dans l’ère du mensonge permanent, au point qu’il va nous falloir un enfant, comme dans le conte d’Andersen, pour dissiper le nuage de crédulité qui fait voir à tout un peuple les habits neufs du souverain, alors qu’il est nu. Ce serait d’ailleurs assez drôle de représenter une cérémonie où tout le monde, du président au dernier manant, serait nu comme un ver et manifesterait son enthousiasme pour un régime qui l’a ainsi transformé.
Ce qui doit nous rassurer, c’est qu’aucun régime aussi décadent que le régime français actuel ne s’est jamais maintenu très longtemps. Même le communisme soviétique a fini par s’effondrer, soixante-douze ans après son instauration. Le régime français ne tient que par 250 000 policiers et gendarmes. Qui dissipent rapidement toute manifestation un peu dangereuse. Mais le maintien de l’ordre a ses limites. Surtout quand l’ordre n’est maintenu que dans les lieux les moins désordonnés. Car là où le désordre sévit vraiment, il règne en maître, le pouvoir tremblant à l’idée de devoir affronter les populations immigrées. Du coup, c’est une égérie de l’immigration qui est devenue la voix de l’opposition en France. Et ce n’est qu’un début.
En ce 80e anniversaire du Débarquement, il faut se souvenir de l’appel du 18 juin 1940, qu’aucun discours officiel n’a évoqué, comme si toutes ces excellences réunies ressentaient une crainte révérencielle face à l’extraordinaire exploit d’un général inconnu qui avait fini par incarner son pays et par apparaître comme son sauveur. Pour tout dire, ce qu’a fait De Gaulle, en fait ça ne se fait pas. Et pourtant, ça s’est fait. Comme tous les grands évènements de l’histoire, l’épopée de la France libre s’est produite au mépris de la vraisemblance. Et pourtant, elle a eu lieu.
Voilà pourquoi nous ne devons pas perdre courage. L’adversaire que nous devons affronter n’est pas fort d’une armée de fer, mais d’une montagne de paresse qu’il a répandue sur notre peuple. Elle est plus difficile à affronter qu’un adversaire lourdement armé parce que ces armes-là ont pour effet d’endormir ceux qu’elles frappent. Mais leur effet se dissipe à mesure qu’elles se décomposent dans l’effondrement général. Il vient toujours un moment où les ministères sont désertés. Et où la voix du peuple peut enfin se faire entendre. Notre devoir est de veiller à ce que cette voix soit bien celle du peuple et non de quelque usurpateur. Restons éveillés et attentifs. Les évènements approchent !
Claude Reichman
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La musique s’adresse directement aux sentiments sans impliquer aucun raisonnement. Michel Serres la classait au rang de langage vernaculaire universel, ce qui, pour un philosophe, était plus que méritoire. Il la créditait d’une capacité très supérieure aux mots qui, pour devenir universels exigent une traduction. L’universalité n’est accessible aux mots qu’avec l’intermédiation du traducteur. La musique est la seule expression artistique qui n’exige aucun apprentissage pour en saisir l’âme. On la ressent intimement.
On a ainsi coutume de dire que « l’art nous parle ». Et, en effet, l’art n’est jamais muet. Mais les spectateurs et les auditeurs sont parfois sourds et ne voient pas toujours très bien.
Pour les arts dits plastiques, les sentiments ne suffisent pas. Il faut apprendre à voir. L’un de mes vieux amis me disait à propos de l’art contemporain : « Il faut en voir le plus possible. C’est en voyant beaucoup d’œuvres que tu formes ton goût ». Il avait raison. À condition toutefois que le spectateur s’applique à voir.
Ce qui est vrai pour l’art contemporain, l’est tout autant pour l’art classique. Il y a tant de messages dans un tableau, les uns visibles mais incompréhensibles au premier regard, faute de connaissances de l’époque, du lieu ou des coutumes en usage du vivant de l’auteur, les autres allusifs à des événements connus des contemporains et de quelques initiés, puis passés dans l’oubli.
Toute connaissance exige un apprentissage.
Et c’est le spectateur et l’auditeur qui, grâce à cet apprentissage, censureront l’auteur ou lui donneront son label.
La politique n’est certes pas un art. Mais elle s’expose comme tel, se fait voir sur scène et se fait entendre devant un parterre d’audio-spectateurs d’autant plus sévères qu’ils sont artisans de leur propre avenir grâce à des interprètes qu’ils ont sélectionnés.
Reste pour ces spectateurs à comprendre l’œuvre, à en tirer les conséquences pour leur avenir et à approuver ou à censurer les acteurs selon qu’ils auront ou non répondu à leur attente.
La politique a, comme la musique, cette faculté d’être jugée sans avoir à être comprise. Elle devrait s’adresser à la raison. Comme la musique, elle s’adresse aux sentiments. La politique démocratique est de l’ordre de l’irrationnel. On aime ou l’on hait sans raison l’acteur politique.
Nul n’est besoin, comme en peinture, d’apprentissage pour devenir censeur.
Nul n’est besoin, comme dans un tableau de maître, de décrypter ses messages cachés.
Nul n’est besoin d’accumuler les connaissances pour former son goût à la politique.
Chacun peut la juger, sans la connaître, selon les sentiments qu’elle lui inspire.
Elle est, comme la musique de Michel Serres, un langage universel, de toutes les époques, de tous les continents et pour toutes les conditions.
Mais, à juger la cacophonie qui en résulte, c’est une drôle de musique !
En ce 06 juin, il faut rendre hommage aux soldats américains, britanniques et canadiens qui se sont sacrifiés pour sauver l’Europe du joug nazi et probablement aussi du joug soviétique en débarquant sur les plages de Normandie il y a 80 ans.
N’oublions pas les 4.500 soldats américains qui sont tombés à Omaha Beach sous les balles des redoutables MG 42 allemandes (*) et qui n’ont pas reculé.
Il faut aussi souligner la formidable logistique qui a été mise en place par les américains qui restent toujours, quoiqu’on en dise, les maitres absolus en la matière ; car sans logistique pas de guerre possible !
Mais, avez-vous seulement une fois imaginé ce qui se serait passé si les alliés n’avaient pas débarqué ou que le débarquement ait échoué et que l’URSS ait vaincu seule le troisième Reich.
Car il ne fait pas de doute que l’Allemagne aurait été vaincue ; cela aurait juste pris un peu plus de temps. Probablement en 1946, car Hitler aurait utilisé, en dernier recours, les puissantes unités stationnées en France.
A partir de ce point de départ, nous pouvons donc envisager une uchronie c’est à dire un récit fictif à partir d’un point de départ historique.
L’Armée rouge aurait donc terminé sa course non pas à Berlin mais à Brest ou même peut-être à Gibraltar après avoir franchi les Pyrénées !
Du coup, nous aurions été « libérés » par l’armée rouge et la physionomie de l’Europe en aurait été totalement bouleversée !
La libération de la France ne se serait pas du tout passée comme en 1944 et les mouvements de résistance, surtout non communistes, auraient été impitoyablement pourchassés par le « libérateur ».
Bien évidemment, le pouvoir en France serait revenu non pas au général de Gaulle, arrivé dans le wagon des alliés, mais à un membre du parti communiste français arrivé dans les wagons de l’armée rouge. Maurice Thorez, secrétaire général du PCF qui s’est enfui dès 1939 en URSS où il y a passé toute la guerre ?
On peut d’ailleurs se demander si l’administration française se serait mise au service de l’occupant soviétique comme … elle s’est mise au service de l’occupant allemand ?
Et cela aurait été la même chose dans tous les pays d’Europe puisque l’URSS aurait imposé partout son « système politique » qui est juste celui de la dictature du parti soviétique par le biais de régimes fantoches ; Staline n’ayant par ailleurs aucune considération pour la souveraineté des Etats limitrophes et de leurs populations !
Finalement, nous aurions échangé une dictature contre une autre car les sbires du NKVD (ancêtre du KGB) n’avaient rien à envier à ceux de la Gestapo !
Naturellement, l’Allemagne n’aurait pas été divisée en quatre zones d’occupation ; elle serait restée l’Allemagne mais elle se serait appelée juste RDA (ou DDR en allemand). La France aurait probablement hérité du nom de république démocratique de France …
L’OTAN n’aurait pas existé, les seuls pays libres en Europe auraient été le Royaume Uni, l’Irlande, l’Islande, peut-être la Grèce et enfin l’Italie, puisque celle-ci était déjà libérée depuis 1943 (débarquement allié de Sicile en juillet 1943) avec la chute de Mussolini le 24 juillet 1943).
Pour mémoire, le Maghreb était déjà occupés par les américains depuis octobre 1942 (opération Torch) pendant que les britanniques tenaient l’Egypte, la Palestine, la Syrie, l’Irak.
L’Espagne et le Portugal étaient sous des dictatures (Franco en Espagne et Salazar au Portugal)
Bien évidemment, toute l’Europe, y compris les pays scandinaves qui auraient été au minimum finlandisés, se serait retrouvée sous la botte du petit père des peuples, le terrible et sanguinaire Staline, qui aurait usé de ses méthodes habituelles pour imposer sa volonté ; à savoir l’élimination systématique de toutes les élites susceptibles de s’opposer à lui de quelque manière que ce soit et des déportations massives pour les autres même si on ne peut pas exclure des mouvements de révolte comme il y en a eu à Prague, Budapest ou Berlin.
Staline aurait procédé à un nettoyage politique ; c’est à dire en fait la même chose qu’un nettoyage ethnique mais pour des raisons politiques …
Inévitablement, la faveur intellectuelle dont a bénéficié le régime soviétique de la part d’une grande partie de l’intelligentsia française (Sartre et tous les intellectuels de gauche) n’aurait pas connu le même développement … surtout que les soviétiques auraient développé un système de surveillance généralisée de la population de même type que la fameuse Stasi est-allemande !
Y-aurait-il eu une « libéralisation » à la mort de Staline (en 1953) ?
On ne peut même pas en être sûr car Khrouchtchev, qui a succédé à Staline et contrairement à l’image qu’il a laissée, n’était pas du tout un gentil. C’était un commissaire politique dont les mains ruisselaient de sang (ukrainien et polonais notamment). En outre, il n’y aurait eu aucune pression extérieure susceptible de provoquer la critique et le changement du régime stalinien.
On peut penser aussi qu’il n’y aurait pas eu d’effondrement de l’URSS en 1990 car il n’y aurait pas eu d’alternative.
Tous les européens pratiqueraient le russe comme deuxième langue au lieu de l’anglais !
Les conséquences auraient été incalculables sur le plan économique car la formidable croissance des 30 glorieuses n’aurait pas eu lieu et notre niveau de développement serait aujourd’hui au mieux celui des années 60 !
Dans une économie planifiée, pas de société de consommation… pas de gadgets, pas de smartphone … juste le bon vieux téléphone filaire à cadran en bakélite mais … seulement pour les privilégiés !
Pour acheter une voiture, du type Trabant, il aurait fallu s’inscrire sur des listes d’attente avec l’espoir d’en recevoir une au bout de 12 ans d’attente (c’était la norme en RDA) !
Une entreprise comme Airbus, leader mondial de l’aviation civile, n’aurait jamais existé !
Il n’y aurait pas eu de mondialisation et le formidable développement de la Chine n’aurait probablement pas eu lieu pour la simple raison que les Etats Unis auraient freiné le plus possible l’accès aux marchés libres des produits chinois et le pillage technologique aurait été beaucoup plus difficile.
L’URSS se serait livrée au pillage systématique de tous les pays occupés, comme elle l’a fait dans l’Europe de l’est, et le rêve de V Poutine aurait finalement été accompli !
Fatalement, il n’y aurait eu aucune liberté politique ou d’opinion et par voie de conséquence, pas d’écologistes, pas de mouvement Woke, ni de mouvement LGBT++
La télé, avec 2 chaines, serait restée un haut lieu de propagande soviétique … tout comme la presse papier !
La Vème république n’aurait pas vu le jour, il n’y aurait pas eu d’élections (libres), il n’y aurait pas eu de rideau de fer (en tout pas là où il a été placé), l’Union Européenne n’aurait jamais existé, ni l’€, il n’y aurait pas eu de Brexit et les seuls riches seraient les oligarques issus de la Nomenklatura bureaucratique, KGBiste avec un système entièrement basé sur la corruption, le népotisme politique et le pillage !
La guerre d’Indochine n’aurait pas eu lieu car nous n’aurions jamais pu y reprendre pied après la capitulation japonaise !
L’Algérie française serait sans doute devenue, au moins temporairement, une zone de repli pour les français résistants allergiques au communisme à moins qu’ils n’aient préféré le Royaume Uni qui aurait été placé sous la protection du parapluie nucléaire américain !
La grande inconnue aurait été l’évolution des choses dans un monde totalement bipolaire avec des zones de contact Etats Unis/URSS susceptibles de provoquer des « frictions » et une nouvelle guerre mondiale.
Vous pensez qu’il s’agit là d’affabulations et pourtant, aussi surprenant que cela puisse apparaître aujourd’hui, cette hypothèse avait bien été envisagée par le pouvoir soviétique qui comptait bien ne pas s’arrêter à Berlin ! (**)
Seule l’arrivée des américains a empêché les soviétiques de mettre la main sur toute l’Europe !
Les américains nous ont donc non seulement libéré du joug nazi mais ils nous ont épargné la dictature soviétique.
Il ne faut jamais l’oublier !
Jamais !
Bien cordialement à tous !
(*) MG 42 Maschinen Gewehr modèle 1942 (mitrailleuse à grande cadence de tir encore en service dans de nombreuses armées sous le nom de MG3).
(**) L’URSS a quand même essayé de prendre le pouvoir en France en 1945 par le biais du parti communiste français, en provoquant des émeutes. Le PCF représentait alors pas moins de 30% des électeurs. Cela n’a finalement pas eu lieu !
C’est simple, la note de cotation est liée à la gestion du pays, la capacité d’emprunt est liée au volume de nos économies personnelles. Pour faire bref, qu’importe les compétences de l’emprunteur du moment qu’il offre une garantie largement supérieure au capital qu’il emprunte.
Disons même qu’au contraire, plus il est incompétent plus le préteur a des chances de faire une très bonne affaire puisque la faillite de l’emprunteur va lui donner accès aux garanties, donc à un capital supérieur aux crédits qu’il a consentis.
Le seul marqueur qui ressort de cette situation c’est que les préteurs sont totalement convaincus de la capacité de Bercy à nous déposséder pour payer les crédits engagés.
Comme les dirigeants des pays du tiers monde qui accueillent nos industries sont les garants de laisser leur population dans un état de misère économique les obligeant à travailler pour une poignée de pois chiches, ce qui est la raison de notre venue.
Quand Lemaire se réjouit du résultat et s’en attribut le mérite : il a raison.
C’est grâce à la maltraitance fiscale qu’il organise, à la terreur fiscale que cela instaure, à la violence qui en découle et devant laquelle tous plient, qu’il peut continuer à emprunter tout en n’ayant pas à gérer le pays, mais uniquement à faire semblant de distribuer — ou à distribuer pour de vrai à ses amis — pour garder le pouvoir à travers les élections, dans notre démocratie libérale…
Dans ce pillage, cette escroquerie gigantesque en pleine accélération, finalement qui fait quoi ?
D’abord le pouvoir.
Cette chose à laquelle les hommes sont génétiquement soumis au titre d’animal grégaire qui doit impérativement se regrouper ponctuellement pour exister, se défendre et régler des situations qui demandent un effort commun.
Ce pouvoir perdure au gré des évènements et peut-être – sans doute – du hasard, au-delà des situations où il est nécessaire, par la volonté de ceux qui y prennent gout, .
Actuellement ce pouvoir est entre les mains de la technobureaucratie. Nous pourrions développer les raisons et la succession des faits qui ont généré ce résultat, il faudrait un livre, pas un billet. Ce n’est pas l’objet du débat, qui est : qui fait quoi ?
Le fonctionnement du pouvoir.
Si la technobureaucratie exerçait directement le pouvoir, elle devrait affronter ses oppositions – il y en a toujours – en utilisant uniquement la force, ce qui serait peu pratique et provoquerait une contre-force qui la balayerait un jour ou l’autre.
Nous arrivons donc au tour de passe-passe.
La technobureaucratie a phagocyté la démocratie.
Disons que 90% des élus sont d’un ordinaire peu commun, car c’est la qualité qui leur permet de séduire la population. Pas de forte personnalité, pas de programme visant le mérite ou la rigueur, souplesse et démagogie sont les deux mamelles d’une bonne élection.
Donc, sauf cas exceptionnel, l’élu est arrangeant, peu ambitieux, craintif, à l’intérieur. Sensible aux honneurs, ébahi par sa notoriété, abusé par les imitations de servilité, courageux avec les faibles, à l’extérieur. Un dimanche il accède au pouvoir, souvent en même temps qu’à une luxation du poigné liée à son marathon de mains serrées qui l’a porté où il arrive.
Très vite il se range derrière la technobureaucratie qui lui fait comprendre sa nullité quant à la gestion qu’il est censé prendre en main.
Pour le consoler, et aussi dissimuler ou lui couper la chique quant aux avantages monstrueux que s’accorde la technobureaucratie en termes de revenus, d’irresponsabilité, de sadisme, elle lui ouvre largement l’accès au capitaux publics qui sont exclusivement composés de nos économies, du fruit de notre travail, car eux ne rapportent rien, absolument rien, ils en sont même fiers.
Voilà donc nos culs-terreux du dimanche devenus des personnages gonflés artificiellement d’importance par la technostructure, qui sont prêts à tout pour rester à ce poste équivalant à un gros lot de l’Euro millions.
L’attelage est sur les rails, le mensonge et la démagogie en carburants illimités — pas de risque de pénurie à ce sujet –, voilà les animateurs de notre esclavage — suivi de notre mort à venir — en route.
Tout le monde va payer la facture, ceux qui ne sont pas dans le système d’abord, mais ceux qui y sont aussi plus tard.
Et Bruno se congratule…
Est-ce bien utile de rabâcher cette réalité ? Non sans doute puisqu’il n’y a rien pour la déprogrammer.
Bien à vous. H. Dumas
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Telle qu’elle nous est assénée à longueur de journées, l’écologie est une immense tromperie basée sur l’ignorance et la crédulité des populations à qui l’on présente des preuves prétendument scientifiques tout en leur expliquant qu’il y a un consensus et un ressenti.
Or, ni l’un ni l’autre ne sont des preuves scientifiques ; loin s’en faut !
Une démarche anti scientifique
Que 100 personnes soient d’accord pour dire qu’un mensonge est une vérité n’en fait pas pour autant devenir la vérité et un consensus (par exemple que la Terre est plate) exprimé par plusieurs centaines de personnes qui se trompent ne constitue en aucune façon une preuve scientifique !
Une preuve scientifique ne peut résulter que d’études dûment documentées, validées et vérifiées.
Par ailleurs, il se trouve que notre civilisation chrétienne est bercée par la notion d’apocalypse ; laquelle figure dans le dernier livre du nouveau testament qu’on appelle aussi apocalypse de St Jean (évangiles chrétiennes) et cette vision purement religieuse est clairement reprise et exploitée par les écolos.
La peur, notamment de la fin du monde, est un excellent moyen de persuasion et surtout de soumission !
Seulement, dès que l’on creuse un peu, on s’aperçoit que l’écologie apocalyptique est basée sur un magma d’arguments infondés, invérifiables, pseudoscientifiques ou pire antiscientifiques et à …géométrie variable ce qui est évidemment tout sauf scientifique tout en faisant croire que ce l’est !
Autrement dit, on n’hésite pas à instrumentaliser la science, vraie ou fausse, afin de convaincre les populations et quand on associe la « science » et la peur on n’est pas loin du schéma de persuasion idéal !
Dans le passé, Malthus, notamment, nous avait prédit que la bombe démographique allait détruire l’humanité car l’agriculture ne pourrait pas nourrir tout le monde, puis cela a été dans les années 70 la bombe nucléaire qui allait détruire le climat. On nous aussi expliqué que le monde allait s’effondrer par manque d’eau (potable) et de pétrole (Club de Rome).
Il y a 30 ans, on nous avait annoncé que le niveau de la mer montait et qu’elle allait submerger les iles (les Maldives notamment). Néanmoins, ces iles font de la résistance ou bien la mer refuse obstinément de monter puisque nous attendons toujours la réalisation de cette prédiction hasardeuse.
Curieusement, il ne s’est rien passé ; les prédictions des prophètes de malheur ne se sont pas réalisées … mais les idéologues de l’écologie apocalyptique savent utiliser d’autres arguments et notamment celui de la bombe carbonique moins spectaculaire mais plus insidieuse puisque le CO2 est … partout !
De grands manipulateurs d’opinion
En fait, on s’aperçoit que les écolos bien conscientisés savent manipuler les opinions en utilisant des techniques qui sont parfaitement connues ; du moins des spécialistes et elles ont été énoncées notamment par Gustave Le Bon et Edward Bernays.
Car, on sait que l’individu réagit, statistiquement, de manière prévisible en fonction de stimuli ou d’informations données même si … elles sont fausses !
Un excellent exemple en a été donné en 2017 lors de l’élection présidentielle avec un candidat presque inconnu, n’ayant jamais rempli de mandat électoral, qui a été élu président de la république à la faveur d’un enchainement de faits qui n’ont rien à voir avec le hasard ou les idées politiques !
Pour mémoire, ces vecteurs d’action sont les suivants :
1-la diversion pour détourner l’attention des gens des véritables problèmes
2-la création de problèmes pour ensuite apporter des solutions au public qui devient demandeur des mesures que le pouvoir a envie de prendre
3-faire des sondages d’opinion afin de faire évoluer l’opinion publique vers une opinion présentée comme majoritaire.
4-La culpabilisation de l’individu en lui expliquant que c’est de sa faute pour lui faire accepter des mesures estimées pourtant inacceptables
5-La progressivité c’est à dire le fait de faire accepter par petits bouts des réformes qui seraient jugées inacceptables si elles étaient réalisées immédiatement.
6-utiliser la stratégie du différé pour faire entrer en application de manière discrète une mesure totalement impopulaire
7-l’infantilisation c’est à dire s’adresser au public comme à des enfants pour diminuer voire neutraliser son sens critique
8-utiliser l’aspect émotionnel, notamment la peur, pour empêcher l’analyse rationnelle et neutraliser le sens critique du public.
9-maintenir la population dans l’ignorance et la médiocrité c’est à dire empêcher l’accès du plus grand nombre à la culture et au savoir, lesquels sont potentiellement dangereux pour le pouvoir.
10-la surinformation c’est à dire noyer la population dans des infos de manière à la noyer dans un flux qui va accroître la vulnérabilité des individus à la propagande.
11-le filtrage de l’information c’est à dire passer sous silence des évènements importants et dérangeants,
12-la répétition de messages de manière à imprégner le subconscient des individus pour modifier leur système de valeurs et leurs comportements
13- Le recours à des experts ou pseudo experts afin de contourner la méfiance de l’opinion publique envers le discours officiel.
13- la création d’évènements afin de modifier le comportement du public envers un groupe minoritaire
Je vous laisse le soin de cocher les cases qui correspondent aux modes d’action des écolos tenants de l’apocalypse.
Fort de ce constat, on peut désormais faire une liste (non exhaustive) des petits et grands mensonges de l’écologie.
Petit panégyrique de la parole écologique
Auparavant, les idéologues du climat parlaient de réchauffement climatique tout en faisant une confusion intentionnelle entre variation climatique et dérèglement climatique, car le climat varie en permanence. Et quand on remonte dans le temps, on s’aperçoit que cette variabilité naturelle du climat est très bien documentée (optimum climatique médiéval).
Pourtant, cette variation du climat est clairement occultée !
Seulement, même si le coup de la sécheresse qui va tuer tout le monde reste encore un argument de choix, ces mêmes idéologues se sont aperçus que le réchauffement climatique ne couvrait pas tous les cas de figure et que, dès lors, l’argument pouvait être invalidé …ce qui n’est pas bon pour des gens qui ont une approche religieuse ou quasi religieuse et souvent totalitaire de la question.
C’est pourquoi, désormais, on parle de dérèglement climatique ce qui permet de cocher fort commodément … toutes les cases !
S’il fait chaud, s’il fait froid, s’il fait sec, s’il pleut trop c’est le dérèglement climatique. Toute canicule (phénomène temporaire par nature) ne peut d’ailleurs être due qu’au dérèglement climatique et l’opinion semble parfaitement adhérer à ce discours !
Des exemples récents sont encore dans les mémoires :
Les inondations dans le nord, c’est le dérèglement climatique alors que l’on sait que la cause tient au manque d’entretien des canaux d’évacuation des eaux dans une aire géographique située en dessous du niveau de la mer.
Si les frelons asiatiques arrivent en Europe, c’est encore le dérèglement climatique alors qu’ils sont arrivés tout simplement par bateau dans des cargaisons de bois !
Si les moustiques arrivent en France, c’est le dérèglement climatique sans se poser la question d’une autre possibilité et notamment d’une adaptation au milieu ou d’un transport tout bêtement par bateau comme pour les frelons.
Si des virus africains de type fièvre hémorragique arrivent en Europe c’est encore le dérèglement climatique alors qu’ils ont été transportés par des oiseaux migrateurs porteurs de tiques infectées.
Dès qu’il y a un cyclone ou une tempête, c’est toujours le dérèglement climatique même si les occurrences ne sont pas plus nombreuses, et même plutôt en baisse, qu’auparavant mais leur caractère spectaculaire permet de marquer une opinion publique qui est toujours sensible au risque ; alors que, du fait du progrès technologique et de l’amélioration des conditions de vie, les décès dus aux tempêtes et catastrophes naturelles ont diminué de 90%. Mais, bien évidemment, on prétend le contraire !
Tapez « tsunami » sur votre barre Google et vous aurez droit à un véritable déferlement de catastrophes annoncées qui ont même été colportées par un ancien président de la république qui nous a déclaré que les tsunamis étaient provoqués par le réchauffement climatique (pour mémoire ce sont des tremblements de terre sous-marins)
Récemment des cartes ont été publiées nous montrant que tout le littoral français allait disparaître sous la mer en 2050 et la presse s’est engouffrée, sans vergogne et sans scrupules, dans ces biais pseudo scientifiques en citant « d’après une étude » juste pour faire du clic sur internet
En fait, il ne se passe pas une journée sans que l’on ne soit assailli par les inepties des partisans de l’écologie idéologique avec quelques fois d’énormes mensonges.
Ainsi, « Riposte alimentaire », association gauchiste, a suggéré la mise en place d’une « sécurité sociale alimentaire» qui permettrait « aux 32 % de Français, qui ne peuvent pas se nourrir, de manger à leur faim, aux paysans de vivre dignement de leur métier, et de respecter les limites planétaires ».
Ce n’est pas tant l’idée qui est critiquable que le mensonge qui nous est asséné ; mensonge selon lequel un tiers des français ne mangeraient pas à leur faim ce qui ferait quand même un total, aussi incroyable que peu plausible, de 22 millions de personnes dans un pays connu pour la distribution généreuse des aides sociales !?!
Et ces idées farfelues sont relayées sans vergogne par la presse, et la télé en particulier, qui se vautre littéralement dans le dérèglement climatique !
De passage chez une amie, le 12 mai, j’ai eu le loisir de regarder le journal de 20h de la première chaine (je n’ai pas la télé). Le thème du dérèglement climatique a été abordé pas moins de 4 fois en une demi-heure !
On se situe là à un niveau qui dépasse largement celui de l’information pour celui de la propagande et du bourrage de crâne à moins que le catastrophisme climatique ne soit devenu qu’un marronnier. Quand on ne sait pas de quoi parler on parle du dérèglement climatique !
Le pire c’est que désormais les autorités légales contribuent à légitimer cette vision déformée du monde puisque la Suisse vient d’être condamnée par la Cour Européenne des Droits de l’Homme pour « inaction climatique »
L’incompréhension ne peut que nous gagner lorsque l’on apprend que cette décision a été rendue à la requête de gens qui « ressentent un mal être » … sans toutefois démontrer le moindre préjudice !
On condamne donc un Etat sur le fondement de simples états d’âme ; ce qui constitue une grave dérive jurisprudentielle. En France, obtenir une condamnation sur ce fondement est absolument impossible.
En outre, cette décision, juste saugrenue, constitue une violation de la souveraineté d’un pays plutôt réputé pour sa qualité de vie.
Et pour finir, les excès délirants de l’écologisme vont jusqu’à imputer désormais le réchauffement aux pets des ruminants qu’il va falloir éliminer en masse ; ce qui est une manière indirecte de nous amener, sous la contrainte, à adopter des régimes alimentaires végétariens car … oui souvent les écolos sont souvent végétariens ou pire vegan !
L’avenir apparait bien compromis …. car toutes ces “idées” relèvent avant tout de l’obscénité intellectuelle avec comme facteur aggravant que les solutions proposées font le plus souvent la part belle à la coercition avec comme seule option des dépenses publiques inutiles extrêmement couteuses pour résoudre des problèmes qui n’existent pas !
Bien cordialement à tous !
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Les juges vont enfin devoir respecter nos droits !
Pas une journée sans une mauvaise nouvelle. Le plus souvent, c’est un Français poignardé. Hier ce fut la dégradation de la note de la France par Standard & Poor’s. Heureusement le ministre de l’intérieur a pu nous offrir l’arrestation d’un terroriste qui projetait de frapper les spectateurs du stade de Saint Etienne. Mais à en croire le ministre des finances, tout va bien. Finalement, tout va toujours bien en France, même si nous avons 3000 milliards de dette et que l’insécurité ne cesse de gagner.
Je veux bien que les gouvernants soient optimistes. Sinon la catastrophe se déclencherait aussitôt. Mais entre l’optimisme et le pessimisme il y a le réalisme. Et de ce point de vue, nous ne sommes pas gâtés. Les têtes de liste à l’élection européenne se sont produits sur les chaînes de télévision. Il n’en est rien sorti. On a l’impression que ces jeunes gens ne vivent pas en France. Comment les a-t-on choisis ? A la courte paille ? La démocratie est un art difficile à pratiquer. On l’a vu tout de suite à Athènes où elle est née cinq siècles avant notre ère. Pensez que ces Grecs ont fait mourir Socrate, qui ne réclamait que la liberté de penser ! Alors vous imaginez bien qu’un Mélenchon ne ferait pas long feu si nous nous inspirions de la Grèce antique !
Tout le monde connaît l’histoire du type qui tombe d’un gratte-ciel et qui à chaque étage s’écrie : Jusqu’ici ça va. Nos gouvernants tombent en groupe du haut de la République et chantent en chœur que jusqu’ici ça va. Belle musique pour des obsèques ! Evidemment, on peut en rire, même si ce n’est pas gai. Mais Kafka lisait Le procès à ses amis et tous riaient de bon cœur. Aujourd’hui, kafkaïen signifie sinistre. Mais ce ne fut pas toujours le cas. Question d’époque. L’issue cependant est toujours dramatique. Quand les choses vont de plus en plus de travers, elles finissent toujours par se gâter et par faire d’innombrables victimes.
Beaucoup de Français pensent qu’il faut que cela aille vraiment très mal pour que les citoyens se réveillent et changent de classe politique à grands coups de bottes dans le train (ou, bien entendu, par un procédé plus violent). Il se peut qu’ils aient raison. Mais où en sera-ton au moment où se déclenchera la colère populaire ? Je crains qu’une très longue période de misère et de troubles graves ne se produise alors. Et combien de temps durera-t-elle ? Quelles en seront les ruines ? Qu’aurons-nous fait du pays dont nous avons hérité ?
Tout doit nous pousser à réagir sans tarder. Mais il faut reconnaître que les circonstances ne s’y prêtent pas. Nous sommes affligés de médias hors sol, qui n’accueillent qu’une petite troupe d’habitués. Ce n’est pas sur eux qu’il faut compter pour sonner le réveil et le salut au drapeau. Et les politiciens se trouvent fort aise de cette situation qui ne les dérange pas dans leurs ébats. Quant aux médias alternatifs qu’on trouve sur les réseaux sociaux, ils ont la mauvaise idée de singer les médias du système et nous délivrent la même mauvaise bibine. Alors que faire ?
« Assieds-toi au bord du fleuve, et tu verras passer le cadavre de ton ennemi », dit un adage qu’on dit russe mais qui est peut-être chinois ou africain. Bref, il est universel. C’est ce qu’on appelle la sagesse des nations. Mais elle est aussi synonyme de résignation. Et laisse donc ses chances à l’adversaire. Mieux vaut, ne serait-ce que pour le moral des troupes, lancer l’alarme à tous et se préparer à combattre. Je ne prône évidemment pas la guerre. Mais un combat qui abrogera les dispositions contre nature dont notre pays est accablé et les remplacera par d’autres qui sont bien connues de tous les réformateurs du monde civilisé.
La résistance au changement des élites françaises est abusive. Elle ne repose sur aucun motif sérieux, mais sur de vieilles habitudes, des préjugés stupides et des intérêts particuliers inadmissibles. Le plus grave est que le changement essentiel, celui de notre système social, a été prévu et organisé par un traité européen, celui de 1986 dénommé l’Acte unique. Il prévoit qu’au 1er janvier 1993 l’Europe constituera un marché unique où les hommes, les produits et les services circuleront librement. En France, on a tout fait pour refuser cette évolution alors qu’on avait adopté toutes les lois nécessaires pour l’appliquer. Les deux premiers magistrats qui ont jugé en faveur de ces dispositions ont été mutés du midi en banlieue parisienne et à Mayotte. Les autres ont compris le message et ne se s’y sont plus risqués.
Notre action a toutefois permis à plus d’un demi-million d’indépendants de sauver leur entreprise. Mais il en reste encore plus de deux millions et demi à sauver et, bien sûr, des millions de salariés qui ne parviennent à finir le mois. La Cour de cassation a fini par juger que les dispositions d’ordre public, comme celles qui résultent des traités, doivent être appliquées par les juges. L’issue est donc proche !
Claude Reichman
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Est-il quelqu’un de normal qui ressent un avantage positif en retour des contraintes auxquelles les hommes de l’Etat nous soumettent ?
Je serais curieux de le rencontrer et d’écouter son ressenti et ses analyses à ce sujet.
Est-il quelqu’un qui rencontre régulièrement dans sa vie des personnes, non attachées au pouvoir, qui viennent lui prendre ses affaires, lui voler le fruit de son travail, le torturer de soucis jour et nuit ?
Lui aussi j’aimerais le rencontrer, qu’il me raconte, puisque cela ne m’arrive pratiquement jamais.
Est-il quelqu’un qui ressent que son entourage espionne sa vie, contraint ses amis à le dénoncer, qui se sent donc obligé de dissimuler avec eux, comme il le fait face à son banquier, à son notaire, à son expert-comptable, à tous ces valets des Services Fiscaux ?
Encore un avec qui j’aimerais discuter, encore une situation que je ne connais pas avec mes amis.
En fait, j’aimerais rencontrer un être ordinaire, qui ne soit pas passé du côté des oppresseurs où je suppose la vie est facile, et qui s’épanouit dans notre « démocratie libérale », qui se sent protégé et qui est ravi de payer le prix exigé par les hommes de l’Etat pour se faire.
Parce que j’avoue que je finis par me demander si c’est moi qui suis paranoïaque, mythomane, envahi par des fantasmes d’horreur — n’existant que dans ma tête –, quand il faut que je roule à 30 à l’heure dans des endroits dégagés où il n’y a personne, quand il faut que je pile devant chaque piéton qui se gratte le nez sur le bord du trottoir, quand il faut que je remplisse pendant des heures entières des imprimés obligatoires pour lesquels, sans quoi, des professionnels me prennent des sommes faramineuses pour le faire mal à ma place, tout en me laissant responsable des résultats de leur laxisme.
Pour parfaire mon abattement, la presse, la radio, le net, se liguent et me farcissent la tête de nouvelles anxiogènes ou de petites vidéos falsifiées et majoritairement débiles.
L’heure n’est pas à la rigolade, parait-il.
C’est une question de résilience. A partir du moment où l’on arriverait à se foutre de tout, l’environnement actuel deviendrait probablement hautement risible.
Des homos aux énarques, des femmes aux machos, des croyants aux fanatiques, les situations qui ne manquent pas de piquant sont légion pour ceux qui voudraient s’esclaffer. Mais avec qui ?
Voilà le vrai problème.
Car il est possible de pleurer seul, de faire la tronche seul, mais pas de rire ou de sourire béatement seul.
Or, je voudrais bien rire de tout ce bordel, mais je me sens terriblement seul. Je crains que tous ces sinistres esclaves qui m’entourent m’expédient à l’asile en me surprenant à rire seul. Alors, je me retiens.
Face à des situations de plus en plus invraisemblables, cocasses, ridicules, je n’ose plus rire, tout simplement.
Vous dire que je le regrette est un euphémisme.
J’ai peur de ne plus jamais rire, alors que ce fût objectivement une de mes activités principales. Pratiquement mon plaisir extrême, depuis l’enfance jusqu’à ce jour maudit où plusieurs connards imbus de leur pouvoir, portés par le vice du sadisme, ont fabriqué de faux redressements fiscaux m’expédiant du côté des tristes.
Sont-ce mes éclats de rire qui les ont excités ? C’est bien possible…
C’était il y a vingt ans.
Depuis je vois la foule, logée à la même enseigne, me rejoindre, et ces connards toujours en place. Même s’ils la ramènent un peu moins, conscients que l’heure des comptes approche pour eux.
Le pire n’est pas certain, mais il est toujours possible. Pour nous ce serait de rire de nouveau, mais jaune…
Bien à vous. H. Dumas
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La diarrhée législative actuelle sur l’euthanasie n’est que l’expression de la morgue de prétendus diseurs de Droit, auto-proclamés conducteurs d’opinion. Ce sont les mêmes que ceux qui croient pouvoir tout régler par des textes toujours décevants pour leurs prétendus bénéficiaires et qui persistent malgré tout à imposer leur vérité.
La loi a par nature une portée générale. Or il est des domaines où la législation ne peut être que minimale.
La souffrance et la mort, par exemple, qui touchent l’individu au plus profond de lui-même, restent du seul domaine particulier. La façon de surmonter la souffrance et le choix ou le rejet de la mort provoquée, en sont l’expression ultime. Nul ne peut se substituer à celui qui souffre et la loi ne saurait en ce domaine imposer sa marque.
Elle ne peut décider pour chaque individu gravement malade s’il a encore ou non un intérêt à vivre. Elle ne peut ni répondre à la question de son destin sur terre ni apprécier sa résignation ou son aspiration à mourir. Chaque cas de souffrance qui précède la mort – sans qu’on n’en connaisse jamais le terme – est individuel, particulier, éminemment personnel et ne peut donc trouver de solution dans une approche globale nécessairement éloignée des convictions personnelles du patient et de celles de son entourage. D’autant que ces convictions, exprimées ou refoulées selon le tempérament des sujets, ataviques ou raisonnées selon leur culture, sont évolutives en fonction de l’état physique et psychologique du malade. Nul ne peut se substituer à lui. La loi n’a pas à répondre à des questions aussi intimes.
Seuls des esprits d’inspiration totalitaire prétendent dire si une vie vaut ou non d’être encore vécue. Et imposer dans la loi une vision aussi peu respectueuse des convictions de chacun serait une imposture.
Ainsi ceux qui passent pour les libérateurs du carcan vital, se comportent en réalité comme des liquidateurs d’affaires. La vie vaut infiniment plus – bien au-delà de leur valeur – que le coût de soins palliatifs remboursés par la Sécurité Sociale. La mort provoquée ne doit pas être un enjeu économicopolitique.
La loi qui régissait jusqu’à présent la question de l’aide à mourir se tenait à bonne distance de toute tentation d’euthanasie et prenait bien soin de ne pouvoir être exploitée de façon idéologique. Ce verrou a sauté sous la pression de ceux qui ont choisi de considérer la vie comme une simple fonction matérielle.
Qu’ils nous permettent de penser qu’elle est davantage que cela. Et que les donneurs de leçon qui ne savent rien de plus sur ce sujet que ceux qui subissent leurs ukases, veuillent bien s’abstenir de décider ce que vaut leur vie.
Le matérialisme qui guide la loi n’est pas la seule option possible.
Au nom de la liberté de penser, prononçons-nous contre la loi sur l’euthanasie.
Je viens de terminer un livre paru récemment sur le déclenchement de la première guerre mondiale intitulé LES SOMNANBULES. (réf en fin d’article).
Ce livre, assez ardu à lire compte tenu de la complexité du sujet abordé mais aussi de la pagination (en version epub) qui manque d’aération, revient sur les causes de cette guerre avec une description très complète de la situation géopolitique.
Et que lit-on ?
Une thèse totalement différente de celle qui nous a été enseignée à l’école de la République ; laquelle nous avait expliqué que le responsable du déclenchement de cette guerre, en aout 1914, était le militarisme allemand !
Et d’ailleurs, le traité de Versailles de 1919, réglant les conséquences de la guerre, a effectivement déclaré que l’Allemagne était responsable et qu’elle allait payer (ce qu’elle n’a pas fait puisqu’elle s’est retrouvée en faillite en 1923) !
Fatalement, l’histoire est écrite par les vainqueurs qui, comme par hasard, se donnent toujours le beau rôle ; c’est à dire celui de la victime vertueuse.
Au-delà du fait que ce traité, particulièrement dur, à l’instigation des français en raison des pertes subies (aussi bien humaines que matérielles), a provoqué indirectement, par esprit de revanche, la deuxième guerre mondiale, il s’avère que l’auteur s’écarte de cette thèse !
Non, ce ne sont pas les allemands qui sont les responsables mais les serbes, les russes et … les français !
On pourrait supposer un parti pris nationaliste mais l’auteur est un historien australien !
Négationnisme, thèse farfelue ?
Je vous laisserai le soin d’en juger par vous-même mais il s’avère que cet ouvrage est extrêmement documenté et que son auteur a eu accès à des sources britanniques, françaises, russes, allemandes, autrichiennes et serbes qu’il n’était pas possible de consulter auparavant du fait du secret des archives.
Rappelons, néanmoins, le point uniformément admis et non contesté : le fait générateur est bien l’assassinat, le 28 juin 1914, à Sarajevo, de l’archiduc d’Autriche François Ferdinand, héritier de la couronne, et de son épouse Sophia, par un serbe de Bosnie dénommé Gavrilo Princip.
Sarajevo, capitale de la Bosnie, faisait alors partie de l’empire austro hongrois qui était par ailleurs un empire multi-ethnique sans que cela lui ait posé des problèmes particuliers alors que je me souviens bien qu’on nous avait enseigné que la première guerre mondiale constituait le déclencheur de l’essor des nationalités.
Mais, cela n’est pas vraiment une surprise puisque, déjà à l’époque, on parlait de la poudrière des Balkans !
La Serbie était un état extrêmement turbulent qui avait déjà déclenché deux guerres en 1912 et 1913 et s’était agrandie notablement après avoir chassé les ottomans des Balkans ; ce que l’on peut appeler un mouvement pan-serbe qui avait pour but de constituer la « grande Serbie ».
En outre, cette même Serbie pratiquait déjà (comme en 1990) le nettoyage ethnique de la manière la plus violente notamment vis-à-vis des populations musulmanes (les serbes sont des chrétiens orthodoxes) avec des crimes de masses ; ce dont évidemment tous les dirigeants occidentaux ont été informés.
En fait, pour l’auteur, les intérêts des pays impliqués ne sont pas nécessairement ceux que l’on a indiqués après-guerre.
On sait qu’il existait deux grands blocs constitués par d’un côté la triple alliance formée de l’Allemagne, l’Autriche Hongrie et l’Italie (qui fera défection) et de l’autre la triple entente formée de la France, la Russie (tsariste) et du Royaume Uni.
En fait, pas si simple, les alliances n’étaient pas vraiment ce qu’elles semblaient être ; surtout que l’époque était à la concurrence entre les impérialismes colonialistes essentiellement du Royaume Uni, de la France, qui possédaient de gigantesques empires, mais aussi de la Russie qui colonisait essentiellement son étranger proche.
Rappelons qu’à l’époque la Pologne, la Finlande et les pays baltes n’existaient pas en tant que tels et qu’ils faisaient partie de l’empire russe.
L’auteur nous apprend que le Royaume Uni ne s’est « allié » à la Russie que pour mieux la contrôler ; afin surtout d’éviter des conflits sur les zones indienne, Perse et moyen orientale où la Russie se montrait particulièrement agressive, alors que, parallèlement, il ne considérait pas l’Allemagne comme un ennemi. Précédemment, le Royaume Uni s’était aussi allié au Japon, dans le même but, afin de protéger ses possessions d’extrême orient.
La triple entente était en fait une double alliance Royaume Uni/Russie et France/Russie qui n’est devenue une alliance militaire qu’une fois la guerre déclenchée.
Il nous apprend aussi que la France s’est alliée à la Russie essentiellement parce qu’elle craignait la puissance militaire allemande ; surtout qu’au niveau démographie, elle atteignait péniblement 39 millions d’habitants contre 70. En outre, la guerre de 1870 avait passablement douché les esprits !
Par contre, il estime que le revanchisme français à propos de l’Alsace-Lorraine, annexée par la Prusse en 1871, n’est pas entré en ligne de compte.
Il fait aussi état d’un certain nombre de points essentiels quant à la compréhension du déroulé des faits :
L’attentat contre l’archiduc n’était pas l’œuvre d’un isolé mais d’un commando comportant au moins 7 acteurs sur place, divisés en 2 groupes, qui devaient jeter des bombes, tirer au pistolet et …se suicider ensuite avec des capsules de cyanure pour qu’on ne puisse pas remonter sur les commanditaires. Il s’agissait donc bien d’un complot et il est avéré que ce complot trouvait sa source directement dans les cercles du pouvoir serbe puisque les bombes et les armes ont été fournies par les autorités serbes et que le premier ministre serbe était au minimum au courant de l’action ; aucune preuve n’ayant pu néanmoins être rapportée qu’il l’eut organisé ou seulement suscité.
La Serbie faisait donc en l’espèce figure d’Etat terroriste et l’Autriche Hongrie, qui a très vite collecté des informations, notamment du fait des aveux des terroristes interpellés divulguant les détails du complot, apparaissait tout à fait fondée à obtenir réparation ; ce qui l’a amené à délivrer un ultimatum en dix points qui a été presque accepté par la Serbie.
Il s’agissait notamment d’obtenir l’extradition de membres de la main noire, organisation serbe, dont il était avéré qu’ils avaient participé à l’opération. Toutefois, les autorités serbes ont fait disparaître ces individus et refusé de communiquer quelque renseignement que ce soit ; échaudées par le fait que les auteurs arrêtés sur place à Sarajevo n’avaient finalement pas gardé le silence puisque leurs capsules de cyanure destinées à les « suicider » n’avaient pas fonctionné !
Il fallait évidemment faire disparaître toutes les preuves menant au gouvernement serbe dont il est avéré qu’il était dirigé par des acteurs de l’irrédentisme serbe persuadés que la construction d’une grande Serbie ne pouvait passer que par la guerre.
La Russie, qui s’était instituée protectrice de la Serbie et qui entretenait avec elle des relations très étroites, a immédiatement contesté la position autrichienne et n’a rien voulu entendre des doléances de celle-ci ; elle a en outre poussé la Serbie à adopter une position dure et intransigeante (à se battre comme des lions) et a immédiatement menacé tout en ordonnant, la première, très rapidement une mobilisation partielle ; ce qui constituait évidemment un premier pas vers la guerre.
Or, à cette époque, les grandes puissances de l’époque, considéraient que ce conflit devait rester ce qu’il était ; à savoir un conflit isolé entre l’Autriche Hongrie et la Serbie et qu’il n’y avait aucune raison de s’en mêler … d’autant que les informations établissaient sans doute possible l’implication des autorités serbes !
A l’époque de l’attentat, la France était dirigée de facto par Raymond Poincaré, figure tutélaire de la troisième république qui, après avoir été président du conseil (chef du gouvernement), avait été élu président de la République.
L’auteur s’intéresse longuement à la France car normalement, sous la 3ème république, le président ne gouverne pas. Il a essentiellement une fonction honorifique et on disait du président qu’il inaugurait les chrysanthèmes.
Seulement, élu président, Poincaré a intrigué pour conserver le pouvoir dans la mesure où il a fait désigner par l’assemblée nationale un président du conseil qui n’était en fait qu’un homme de paille (Viviani) qu’il manipulait à sa guise !
Or, au moment de l’attentat, accompagné du falot et craintif Viviani, Poincaré, qui était très anti allemand, rendait visite au tsar Nicolas II du 13 au 23 juillet 1914 et l’a assuré du soutien inconditionnel de la France tout en incitant la Russie à faire « preuve de fermeté » ; ce qui était pour le moins audacieux de sa part … et outrepassait ses fonctions !
Et cela a eu une influence déterminante sur la suite des évènements.
En effet, la Russie, qui, il faut le dire, sortait du moyen âge, était à l’époque en plein développement économique et se réarmait à grande vitesse ; ce qui ne manquait d’ailleurs pas d’inquiéter à la fois les allemands et les anglais !
En outre, la Russie, qui n’avait nullement renoncé à ses ambitions impériales, visait à s’approprier d’une manière ou d’une autre les détroits de méditerranée orientale (Bosphore et Dardanelles) appartenant à l’empire ottoman afin de pouvoir s’extraire de la Mer Noire. N’oublions pas que la guerre de Crimée de 1853 avait déjà eu pour objet ces détroits et que la France, l’Angleterre et l’empire ottoman s’étaient violemment opposés à la Russie.
Cette situation conflictuelle entre la Russie et la Turquie a d’ailleurs perduré du temps de l’URSS ; ce qui explique notamment que la Turquie soit devenue membre de l’Otan.
La Russie considérait à l’époque que les Balkans constituaient sa zone d’influence et que rien ne pouvait s’y passer sans qu’elle y donne son accord. En outre, elle s’était instituée « protectrice » des serbes qui sont aussi des slaves (du sud).
De ce fait, il existait une source potentielle de conflit entre la Russie et l’Autriche Hongrie, cette dernière agrégeant diverses nationalités dont … des serbes, et la Russie a refusé que le conflit se limite aux seuls pays concernés en engageant le mécanisme de déclenchement des alliances.
Ainsi donc, l’auteur nous désigne clairement deux responsables : la Russie et la Serbie … même si l’Allemagne mobilisé assez rapidement et a attaqué la France en passant par la Belgique selon le plan Schlieffen de l’état-major afin d’éviter une guerre sur 2 fronts ; l’invasion de la Belgique ayant entrainé l’engagement du Royaume Uni.
Mais, en tout état de cause, il faut être conscient qu’en nous engageant dans ce conflit, aux côtés de la Russie, nous avons pris parti pour un Etat terroriste même si les français ont eu très peur que les britanniques, au dernier moment, refusent d’y entrer parce qu’ils estimaient n’avoir aucun litige avec l’Allemagne et n’avaient aucun intérêt dans la zone des Balkans.
Enfin, personne ne se faisait d’illusion ; tout le monde savait que ce conflit allait être extrêmement meurtrier … et il l’a été !
Pour l’auteur, il n’y a pas vraiment eu d’intention mais un enchainement de circonstances qui ont entrainé les nations européennes dans la guerre, quelquefois malgré la volonté de leurs dirigeants surtout qu’à bien y regarder, lorsque la France s’est engagée dans le conflit elle n’avait aucun intérêt à défendre ; à tel point qu’à un moment, tant les allemands que les français ont envisagé de se faire face mais sans s’affronter (une sorte de drôle de guerre avant l’heure).
Evidemment, toutes ces explications ne correspondent pas tout à fait à la version officielle qui nous a été distillée ; avec une complication supplémentaire …
Il semblerait que nous ayons été abreuvés d’images qui n’auraient été que pure propagande en nous montrant des hommes tous sourires et enthousiastes d’aller à la bataille (notamment dans des trains en partance pour l’est) avec la certitude que cette guerre serait rapidement terminée.
De là à penser qu’il s’agissait d’une manipulation du pouvoir pour obtenir l’assentiment des populations …
En fait, il ne s’agirait au mieux que de cas très isolés et, pire, carrément d’une mise en scène réalisée pour les actualités cinématographiques de l’époque alors que, dans leur immense majorité, les populations ont été profondément accablées par la mobilisation ; personne n’étant dupe de ce qui allait se passer !
Et ce qui était prévisible s’est effectivement réalisé avec pour conséquences le remodelage de l’Europe, un véritable effondrement (on a parlé de suicide de la civilisation européenne) et enfin la disparition des grands empires centraux (Allemagne, Autriche Hongrie, Russie et empire ottoman) dirigés par des monarchies plus ou moins autoritaires !
La Serbie n’a encouru aucune conséquence de ses actes, bien au contraire, puisque la guerre lui a permis de concrétiser ses ambitions irrédentistes avec la constitution d’une grande Yougoslavie sous domination … serbe.
Sic transit gloria mundi !
Bonne lecture.
LES SOMNANBULES Christopher Clark Editions Flammarion
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