Dans sa quête effrénée de communication, Michel Sapin et ses joyeux inspecteurs assermentés du fisc veulent redresser SNCF Réseau qui est déjà endettée (en 2014) de 36 milliards et des brouettes (source Le Monde 19/02/2015) de 100 millions d’euros par an !
Et pan, ça c’est de l’initiative.
Il doit, certainement, être prévu par les Eliot Ness de Bercy de redresser, sans débander, les autres entreprises d’Etat :
Dans la foulée, La SNCF, qui pour sa part, a déjà une jolie dette de 44 milliards d’euros (source le Figaro 9/03/2016).
Après, pourquoi se gêner, EDF qui cumule pour lui plus de 34 milliards, puis Areva 5,8 milliards de dette (petit joueur !), puis la RATP 5 milliards de dette, et pour finir La Poste qui n’a qu’un petit 4 milliards de dettes (source l’APE et l’Expansion au 31/12/2014).
Ces coquettes dettes ne tiennent pas compte, bien évidemment, des sommes abyssales que ces sociétés, si elles étaient privées, devraient provisionner pour leurs régimes spéciaux de retraite.
Mais là on entrerait, sans oxygène, dans la stratosphère…
Nous savons tous, que si l’ensemble des contribuables français, n’était pas caution de toutes ces dettes cumulées, toutes ces entreprises, managées par nos fantastiques énarques, auraient dû déposer leur bilan depuis bien longtemps !
Essayez d’avoir la même gestion avec votre entreprise…
A part l’effet d’annonce, style « égalitaire », « personne n’est au- dessus des lois », pour se faire applaudir par le pékin normal, Bercy sait très bien que, comme d’habitude, c’est le contribuable (vous et moi) qui paiera pour SNCF Réseau les 100 millions en plus des 36 milliards de dettes!
A quoi lui sert, d’augmenter son chiffre annuel des redressements, en taxant les entreprises d’Etat, sauf à faire plaisir à notre ami Michel Sapin qui pourra une nouvelle fois se gargariser, devant les médias, en se félicitant comme d’habitude, des extraordinaires résultats de son Administration, chaque année plus performante que la précédente, puisqu’il sait, lui, qu’ils ne paieront pas.
Ni hier, ni aujourd’hui, ni demain et encore moins après-demain.
C’est une nouvelle façon, assez innovante (digne du concours Lépine), d’augmenter, d’une façon indirecte, nos impôts.
Façon inodore et incolore, puisqu’ils prendront ces « redressements » dans nos poches en catimini.
Et pour que la boucle soit bouclée, à quand le super redressement de Bercy ?
Emmanuel Bolling
RAPPEL : MOBILISONS NOUS. SIGNEZ LA PETITION. (Colonne à droite)
Le scorpion et la grenouille
Un scorpion et une grenouille se rencontrent sur la rive d’une rivière. Le scorpion se tient à distance respectable et s’adresse à la grenouille.
Scorpion : J’aurais un service à vous demander madame la grenouille.
Grenouille : Allez y ça pourrait peut-être m’intéresser.
Scorpion : Voilà, je dois absolument traverser la rivière car j’ai un rendez-vous important de l’autre côté de la rive et je suis déjà en retard. Donc je me demandais si vous pourriez me prendre sur votre dos pour me faire traverser la rivière, car vous savez que nous les scorpions nous ne savons pas nager.
Grenouille : Mais voyons monsieur le scorpion – tout le monde sait bien que la piqûre de votre dard est mortelle et que si je vous prends sur mon dos je risque la mort.
Scorpion : Mais voyons madame la grenouille un tel raisonnement n’est pas digne de votre intelligence – si je vous pique je vais moi aussi couler avec vous au fond de la rivière et au risque de me répéter nous les scorpions nous ne savons pas nager.
La grenouille se laisse convaincre et prend le scorpion sur son dos et nage vers l’autre rive de la rivière.
Rendue au milieu entre les deux rives la grenouille sent le dard du scorpion s’enfoncer dans son dos.
Avant de couler elle s’adresse au scorpion
Grenouille : Mais pourquoi scorpion m’as-tu piqué – ton incapacité à nager vas te condamner à une mort certaine.
Scorpion : Tu m’excuseras grenouille mais c’est dans ma nature
10 ke pour 5 années de mandât électif…faut pas charrier!
un smicar qui a travaillé toute saviez ( soit + de 42 ans) a 800 €
en bref pour rester poli ca veux dire que + tu fous rien + tu palpe !!
tous ce dont on parles régie par des conventions, retraites et activité a vie ..
il faudrait doc plutôt a mon sens .
rétablir le même régime de répartition public /prive
une grille salariale de base équilibrée
+ de FONK /grassement payés a vie par un statut a vie !!
uniquement pour certaines catégories justice /police.
et gestion de bon père de famille ( notion enlevé du code civil par la gauche) qui nous emmène droit dans la caisse a sapin!
parce que la seule croissance ou excroissance que j’ai pu constater, c’est la courbe du slip du président qui a tendance a l’embonpoint ..
PROFESSION DE FOI DE NOS CANDIDATS POUR 2017 : En 2017, il faut :
– Suppression du Sénat.
– Réduction de plus de la moitié des députés (200 suffisent) et réduction des élus des collectivités territoriales et des conseillers régionaux.
– Pointeuse à l’assemblée nationale afin que chaque député soit payé en fonction de sa présence !!!
– Interdiction réelle et effective du cumul des mandats et du cumul des retraites des dits mandats sauf le denier exercé.
-Retraite maxi 10000 € tout cumul confondu
Nous sommes une République et non une Monarchie ( ce que nos politiques actuellement confondent)
Non réélu, fin des protection et des privilèges…(anciens présidents y compris)
Comme dans toute profession : halte au pillage du pays par une certaine caste !!! (à un ouvrier on ne paie pas tous les échelons qu’il a franchi mais seulement le dernier)
– Réduction des parlementaires et des fonctionnaires européens qui ne servent à rien.
– Réduction du nombre des ministres et des secrétaires d’état.
– Que l’on arrête de payer des retraites à l’étranger sans savoir si les gens sont toujours vivants (déjà dénoncé par la cours des comptes !!!)
– Désendettement massif de la France par la réduction du train de vie de toutes les « élites » …(protection de leur propriété pendant leur absence, etc…)
– Alors, aidons plus les salariés pour une France qui avance
———………….etc
Bjr,
200% d’accord car avant de taxer il y a de ces &conomies à réaliser!
Mais nos politocards s’accorchent telles des sangsues à leurs victimes: nous les contribuables!
@+