Tous les articles par Philippe Gault

La danse macabre des médecins, des politiques et des labos continue.

Ouf, doivent se dire les responsables français de la santé : une publication internationale dans le journal de référence The Lancet conclut que l’hydroxychloroquine et la chloroquine, associées ou non à un antibiotique macrolide de seconde génération, azythromycine ou clarithromycine, ne font pas mieux que les autres traitements, et même plutôt pire. L’article se trouve là :
https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)31180-6/fulltext

Notre ministre de la « santé » s’est fendu dans l’urgence d’une déclaration pour dire son intention de modifier les « autorisations d’usage » de l’hydroxychloroquine en particulier, histoire probablement d’embêter Raoult voire peut-être même l’agresser juridiquement.

Lorsque des études montrent des résultats contradictoires, il faut chercher à savoir pourquoi. L’étude publiée par The Lancet est énorme. 98262 patients hospitalisés covid+, des données venant de 671 hôpitaux de tous les continents, ça en impose. Et au final, les patients traités avec (hydroxy)chloroquine et macrolides ont des taux de mortalité supérieurs aux patients qui n’en ont pas pris. Il y a forcément quelqu’un qui triche, soit Raoult avec son étude sur 3200 cas, soit l’étude du Lancet.

À la lecture du Lancet, la première question vient avec l’inclusion des malades, qui doivent être covid+ au test PCR, et commencer l’un des 4 traitements comparés moins de 48 heures après le résultat du test, mais on ne sait pas à quel stade de l’infection et des symptômes ils en sont. Ils sont hospitalisés, donc c’est probablement déjà à un stade avancé. L’un des critères est qu’ils ne sont pas (encore) sous « respirateur mécanique », c’est dire que la limite d’inclusion était quand même à un stade sévère. Dans les chiffres donnés, une ligne interpèle. Celle des cas avec usage de respirateurs mécaniques. Le groupe témoin en a 7,7%, les 4 groupes de patients traités avec (hydroxy)chloroquine et macrolides ont eu des respirateurs à plus de 20%. Cela prouve que ces médicaments ont été donnés sur les cas les plus graves. D’ailleurs 1102 cas ont été sortis aussi de l’étude car on a commencé à donner de la choloquine alors qu’ils étaient déjà sous respirateurs. Beaucoup d’indices de l’article laisse penser que l’on est loin du traitement de Raoult dans son timing de prescription.

Autre bizarrerie, les patients prenant du Remdesivir, l’antiviral que Gilead a tout fait pour promouvoir, ont été sortis de l’étude. Pourquoi ? Il ne fallait pas que l’on puisse comparer le manque d’efficacité et les effets secondaires de ce produit aux autres ?

Par contre, 40,5% des malades (soit 38927 !) ont pris d’autres antiviraux contre le Covid19, tels que Lopinavir, Ritonavir, Ribavirin, Oseltamivir, mais ça, on n’en connait pas la répartition entre les groupes et leurs effets ne sont pas analysés. C’est comique ! Non ?

Quant aux effets cardiaques de la chloroquine, des taux d’arythmies ont été notés en plus grand nombre, mais il n’y avait pas d’électrocardiogrammes dans les données de l’étude et dans sa conclusion, la question est évoquée avec beaucoup de précautions et pas considérée comme démontrée ou significative par rapport aux autres facteurs et notamment l’état cardiovasculaire préalable.

Par ailleurs, les auteurs principaux ont de larges relations avec de nombreux laboratoires, et il serait difficile d’affirmer qu’il ne peut y avoir d’influence entre tout ce monde-là. Bien que cette étude soit imposante et apporte des données intéressantes notamment sur les facteurs de risques, elle sent quand même très fort la grosse manipulation des « hauts comités scientifiques », des laboratoires prêts à tout pour fourguer leurs poisons molécules, des politiques qui attendent leurs bakchichs, et des anti-Raoult de base qui pullulent en région parisienne. L’étude « Discovery » ayant sombré corps et biens, il fallait trouver autre chose comme excuse d’aspect scientifique qui fait sérieux. Pas sûr que cela fasse passer la pilule à la population.
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Le mépris insondable du microcosme parisien à l’égard du reste du monde

Les chiffres covidiens en France passent par des rapports simples ce jour : Sur 100 000 personnes contaminées hospitalisées et en EHPAD, un quart sont décédées, un quart sont actuellement hospitalisées, une moitié sont sorties de l’hôpital encore debout, mais peut-être pas sans séquelles.

Le traitement mis en place par le gouvernement français guidé par son « Conseil scientifique » est donc efficace dans 75 % des cas. Mais les médecins généralistes parlent de nombreux décès à domicile, probablement liés au Covid19, évalués vers 10000, et alors on se rapproche de 66% d’efficacité. Un tiers crève.

De son coté, l’institut Méditerranée Infection pratique un traitement dont les derniers résultats sur 3955 personnes contaminées par le virus sont de 99,7 % de guérisons avec peu d’hospitalisations.

Malgré ce résultat remarquable, supérieur à tout ce que l’on voit habituellement dans les études pharmacologiques, il n’y a pas de jour où nous n’entendons pas aux informations un professeur de médecine ou un ministre qui affirment qu’il n’existe toujours pas de traitement médicamenteux de l’infection au Covid 19. La note du Conseil scientifique Covid 19 du 20 avril 2020 mentionne ceci : « 2. Les médicaments. Il n’y a actuellement pas de médicament efficace contre le COVID-19. Une fois disponible, un médicament plus ou moins actif pourra jouer un rôle déterminant de la limitation de l’impact de l’épidémie (i) en évitant l’évolution des cas bénins vers des formes graves nécessitant une hospitalisation et (ii) en diminuant rapidement la charge virale, certains traitements anti-viraux permettant également de diminuer la contagiosité des cas. « 

La volonté de nos gouvernants et de leur conseil de faire déconsidérer les travaux et propositions de traitement du Pr Raoult n’a pas de base scientifique. Comment des profs d’université peuvent accepter de se rendre aussi ridicules auprès de leurs pairs et du public informé. Ils sont forcément contraints de dire ces bêtises. Il faut se poser la question de savoir pourquoi. On a déjà parlé de leur ego quelque peu handicapant et susceptible d’être fâcheusement irrité par un Marseillais un peu trop brillant. Mais il est aussi possible que, comme les tests, les masques, les respirateurs, etc… nous sommes aussi en défaut d’hydroxychloroquine. Les quelques réserves ont été récupérées par l’armée et sûrement la haute fonction publique. Et comme pour le reste, l’administration française a fait commande après tous les autres pays, et comme pour le reste, les citoyens français disposeront du traitement après la bataille.

La visite de Macron auprès de Raoult était donc juste un acte de communication, confirmé par le fait que lui aussi a dit à la suite qu’il n’y avait toujours pas de traitement prouvé.

Alors, que se passe-t-il dans les cerveaux dérangés de nos irresponsables gouvernementaux ? Cherchent-ils à cacher la série invraisemblable de ratages dans la gestion de cette crise sanitaire ? On peine à trouver des arguments pour penser qu’ils ne sont pas indifférents au décès prématuré de dizaines de milliers de français. C’est même peut-être une stratégie pour améliorer la situation des caisses de retraite. Cette crise aura été l’occasion de constater le niveau terrifiant de mépris dont ils font preuve à l’égard du peuple.

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La com du pouvoir

Faisons le point du jour, 20/4/2020, sur la guerre contre le coronavirus, après la brillante intervention de notre premier ministre et de la professeuse d’infectiologie de Lyon qui apportait tout son savoir conforme aux prescriptions politiques, ce qui ne l’a pas empêché de façon totalement déplacée vues les circonstances, de rire au début de son intervention, tellement fière de parler à la télévision probablement.

Avant d’essayer d’interpréter ce qui s’y est dit, voyons quelques chiffres actualisés :

– à l’institut méditerranée infection, 2970 cas traités, 12 décès, taux de mortalité : 4 pour mille;

– dans les hôpitaux du reste de la France, 109636 cas, 12061 décès, taux : 110 pour mille, 27 fois plus;

– dans le monde, 2403253 cas covid+, 165788 décès, taux : 69 pour mille;

Donc en France, on fait deux fois moins bien que la moyenne des pays.

Si l’approche thérapeutique du Pr Raoult avaient été mise en oeuvre depuis sa première proposition, en appliquant les taux ci-dessus, nous aurions eu 443 morts en France au lieu de 12061 dans les hôpitaux (hors Ephad), et 10000 au lieu de 165788 pour le monde entier.

Bien sûr, ces statistiques ne tiennent pas compte de l’absence de connaissance du traitement au début de l’épidémie, et de bien d’autres facteurs qui modifieraient plus ou moins les chiffres. Par exemple, le risque de mourrir du covid19 n’est pas de 27 fois plus important si vous vous faites traiter ailleurs qu’à IHU de Marseille. Il peut être d’un facteur de 25 ou de 30 fois plus important par exemple. Mais ce qui est sûr, c’est qu’il n’y a pas « photo », pas de doute, pas de débat, pas de discussion possible.

Alors comment le discours « officiel » donné par le premier ministre, le ministre de la « maladie et de la mort », et l’infectiologue loufoque de service, peut-il continuer à être complètement à coté de la plaque ?

Évidemment, ce rebelle de Raoult manque aux convenances de la « haute ». Il observe et décrit les dysfonctionnements et l’inefficacité des « Hautes Autorités », des « Hautes commissions », de tous ces guignols bien planqués qui ne savent plus rien, sont complètement dépassés, ont peur de tout et surtout d’agir, et se mettent en « Hauteur » en espérant qu’on ne viennent pas trop les asticoter. Tout ce microcosme, comme disait Raymond Barre, se vexe des critiques et se disent qu’ils vont prendre leur revanche sur ce vilain méchant de Raoult. Ces gros boudeurs niveau maternelle nous envoient donc leurs mensonges et erreurs par média esclaves interposés :

– il n’y a toujours pas de traitement « validé »; (voir ci-dessus, )

– faire croire au manque de sérieux de Raoult en laissant supposer que ses propos ne sont pas intéressants ou même crédibles;

– le seul traitement efficace serait un vaccin , en cours d’étude (prêt dans un an, peut-être, mais ce sera alors un autre virus);

– l’hydroxychloroquine est dangereuse (pourquoi alors était-elle en vente sans ordonnance il y a 3 mois, il y a certes des contre-indications à respecter comme la plupart des médicaments et il faut un contrôle médical);

– l’hydroxychloroquine est en cours de test dans l’étude européenne Discovery (appelée aussi « too late »), oui mais sans azythromycine et avec des symptômes trop avancés;

– les publications chinoises sur les résultats avec l’hydroxychloroquine ne sont pas valides (ah bon, ils ne sont pas assez intelligents, ce n’est pas l’avis de tous);

– le seul moyen d’arrêter l’épidémie est le confinement ( valable pour les personnes vulnérables, bien trop tard pour les autres et inutile avec le traitement de Raoult);

– les masques sont inefficaces, non, en fait, efficaces, (mais inefficaces quand même; en regardant la télé, je crois que je n’ai vu que deux personnes, sur des centaines, qui portaient correctement leurs masques);

– appeler le samu seulement si vous avez des symptômes graves ( c’est-à-dire quand vous avez perdu les meilleures chances de vous en sortir et qu’il faut bien occuper tous les services de réanimation).

Nos « gouvernants » nous apportent la preuve indiscutable qu’ils préfèrent donner raison à leur « microcosme obéissant» que de préserver la santé des français en général et sauver la vie de milliers d’entre eux.

C’est totalement consternant, écoeurant, révoltant.

Mais la question qui se pose n’est pas de savoir si les français sont suffisamment bien informés, car globalement, il est sûr qu’ils sont bien DÉSinformés. La question est de savoir s’ils étaient normalement informés, est-ce qu’ils réagiraient avec une vigueur en rapport avec ces crimes institutionnalisés. Question qui rejoint les propos de Claude Reichman.

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Sabotage ou incapacité ?

Sabotage, ou incapacité, difficile à dire ce qui qualifie le mieux nos élites politico-administratives. On a pu déjà voir les désastres en santé (le désert), en éducation (effondrement du niveau), en industrie (obligations de méthodes et non d’objectifs), en harcèlement bureaucratique et fiscal (fuite des cerveaux record), en apprentissage (le cauchemar des artisans), en compétitivité agricole et le reste, en emploi (embauche de polonais dans les chantiers navals), en écologie (éoliennes ruineuses), en permissions (le n’importe quoi des permis de conduire), la liste est sans fin si on voulait mentionner tout ce qui marche mal à cause des gouvernants qui ne comprennent rien à rien.

Mais avec la crise du coronavirus, le n’importe quoi du gouvernement et de l’administration atteint des sommets qui feront date par le niveau flagrant de leur incapacité et du sabotage des capacités de la nation.

Les statistiques sont terribles, même si elles ne sont pas des vérités mathématiques, il y a un moment où « ça » parle. Zone de Marseille-Nice : 10 morts, moins de 0,5 % des contaminés. Reste de la France au 16 avril : 17000 morts, plus de 7% des contaminés. 15 fois plus. Autrement dit, si le gouvernement avait appliqué les conseils du Pr Raoult, quelque chose comme 15000 décès auraient pu être évités. On appelle ça comment ? Du crime organisé ?

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Raoult et les parisiens

Encore un bel exemple des dysfonctionnements de notre société et du gaspillage de temps, d’opportunités et de vies, la guéguerre que livrent les pontes médicaux parisiens, bavant de tout leur ego surdimensionné, au professeur marseillais Didier Raoult.

La critique à priori de ses essais du traitement associant hydroxychloroquine et azythromicine est chose facile car il n’y a pas de groupe témoin et qu’en médecine, pour apporter la PREUVE qu’un traitement est mieux qu’un autre ou que rien du tout, il faut un groupe témoin, ou bien utiliser le principe de la cohorte qui nécessite beaucoup trop de temps et n’est pas applicable en l’occurrence.

Reste à savoir si les essais du Pr Raoult sont mieux que rien ou pas, et si une étude « randomisée » avec groupe témoin, était envisageable. Celle-ci nécessite que parmi des malades porteurs du Covid-19, l’on propose à une moitié choisis au hasard, de ne prendre qu’un placebo. L’essai est en double aveugle, c’est-à-dire que ni le malade ni l’examinateur en fin d’étude ne savent qui a pris le traitement ou le placebo. Les résultats sont ensuite analysés et on peut savoir si le traitement est plus efficace que le placebo avec toute la rigueur scientifique possible.

Très bien mais il y a un mais. D’une part, il faut une autorisation administrative pour faire un tel essai humain, et en France, une autorisation administrative, c’est l’arlésienne. D’autre part, il faut un consentement des « cobayes » humains malades, en leur expliquant qu’ils ont une chance sur deux de ne recevoir qu’un placebo ! Allez faire comprendre à un malade qu’il va servir à une expérience alors qu’il vient se faire SOIGNER ? Jamais il ne signera ce papier alors que l’on dit depuis un mois que le traitement proposé par le Dr Raoult est efficace.

Personnellement, j’ai baigné dans la recherche bio-médicale pendant vingt ans et je peux confirmer la célèbre tirade de Charles de Gaulle, « on trouve des chercheurs qui cherchent, mais on cherche des chercheurs qui trouvent ». La différence que j’ai pu noter chez les « bons » chercheurs, est d’abord une connaissance encyclopédique de son domaine, une grande capacité à mener une équipe, un sens pragmatique en airain, une énorme attention au détails. Une expérience, cela ne marche jamais du premier coup. Mais le bon chercheur dans son microscope ou ses stats va détecter les petits éléments positifs qui vont lui permettre de penser qu’il est sur le bon chemin, éléments qui échapperont complètement à bien d’autres.

Le Pr Raoult, référence mondiale de son domaine, a constaté sur un peu plus de 20 cas que le traitement associant hydroxychloroquine et azythromicine faisait chuter la charge virale en 6 jours, au lieu de trois semaines habituellement, et évitait beaucoup de complications et de transmissions. Malgré le faible nombre de malades, son expérience l’a convaincu de l’intérêt de cette solution pour lutter contre la pandémie et il en a parlé, au risque d’être critiqué par les scientifiques typés ayatollahs, mais en conformité avec l’urgence de la situation, les drames associés et le serment d’Hyppocrate. Ses essais successifs sur une centaine et un millier de malades n’ont fait que confirmer. Certes, ce ne sont toujours pas des preuves absolues, mais on peut commencer à les comparer sérieusement à d’autres études qui peuvent servir de témoin.

Est-ce raisonnable d’imaginer comme le préconisait avant hier le Pr Yves Buisson de l’académie de médecine, ou le Pr Karine Lacombe, rétribuée par des laboratoires pour certaines de ses activités, que le Pr Raoult aurait dû et aurait pu prendre un groupe témoin avec un placebo. Imaginons un tel essai avec les 1000 malades déjà vus dans son étude récente. 500 traités avec deux décès, 500 avec placebo et 35 décès (pourcentage de décès des contaminés en France actuellement) ! Le professeur Yves Buisson aurait été content de disposer d’une étude « evidence based ». Qu’en serait-il des familles des 35 « morts pour la science » qui n’ont pas bénéficié du traitement considéré comme opportun ? C’est un cas typique de non-assistance en personne en danger.

L’hydroxychloroquine était en vente libre il y a trois mois. Comment peut-on maintenant la déclarer dangereuse ? Bien sûr il n’est pas question d’auto-médication en la circonstance, avec en particulier des risques de surdosage. L’azythromicine est un antibiotique parmi les mieux tolérés. Sur une période courte, le risque de réaction adverse est négligeable. De plus le coût de ce traitement est très faible, surtout si on compare avec les conséquences économiques catastrophiques de la gestion française actuelle de l’épidémie.

La moindre des logiques serait de permettre aux médecins généralistes de les prescrire après un test covid+, et avant que les symptômes s’aggravent. Mais la logique gouvernementale n’est pas la même :
1. les citoyens doivent rester chez eux tant que les symptômes ne sont pas trop graves;
2. si les symptômes deviennent graves, ils vont directement à l’hôpital;
3. seul l’hôpital dispose d’hydroxychloroquine actuellement;
4. le traitement à l’hydroxychloroquine n’est efficace qu’avant que les symptômes ne deviennent graves.
Chercher l’erreur !

Donc le traitement du Pr Raoult est INTERDIT actuellement en France !

Y a-t-il interférence de laboratoires pharmaceutiques qui voudraient proposer un traitement beaucoup plus onéreux ? Je ne sais pas mais les conflits d’intérêt dans le marigot de l’élite ne manquent pas.

De plus, vu le conflit médical et la notoriété exponentielle de Didier Raoult, son traitement va avoir un effet psychologique comme un « bon » placebo qui va très certainement potentialiser son effet purement médical.

Nous verrons bientôt, mais les « décideurs gouvernementaux » prendront probablement la décision de la possibilité de ce traitement trop tard, comme pour le reste, les masques, les tests, les gants, les tenues de protection, le gel hydro-alcoolique, les respirateurs, le personnel hospitalier, le recours aux cliniques privées, l’interdiction des réunions, les précautions sur les transports, notamment venant de Chine, etc… Comment mieux démontrer que l’on est des incapables, inorganisés, incompétents, irresponsables, j’m’enfoutistes, …

La France est devenue un grand désert médical. Cette épreuve majeure, surtout pour ce qui reste de nos soignants, permettra peut-être de remettre en cause une organisation dramatiquement défaillante, dépassée. Les Français ont-ils droit à un service de santé réactif, évolutif et moderne, pour les 11,4 % du PIB qui y sont consacrés ? Cela me parait impossible tant que l’administration commande aux médecins. Vu les 100% de chute de la charge virale par le traitement hydroxychloroquine plus azythromycine, si leur prescription était accessible aux médecins généralistes et aux pharmaciens, on devrait stopper le confinement tout de suite, sauf pour les personnes vulnérables, car il est maintenant inutile. On peut dire que TOUT le personnel médical est ou a été contaminé (et immunisé) et diffuse le virus malgré les masques, qualifiés d’inefficaces au début et c’est vrai. Et dans la population, il est devenu impossible d’empêcher que tout le monde finisse par être touché. Le traitement défini par l’équipe du Dr Raoult est la seule porte de sortie rapide de cette crise.

Dr Philippe Gault

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