Tous les articles par Henri Dumas

A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

Le droit à l’erreur, encore et encore

Le Ministre Gérald Darmanin, à la tête du Ministère de l’Action et des Comptes publics, a donc dévoilé la fameuse botte secrète de Macron pour calmer la fureur des français producteurs de richesses contre la terreur fiscale instaurée par Bercy.

Et, finalement, dès le début, la montagne accouche d’une souris.

Je vous rappelle qu’il y a quelques jours la télévision française cherchait un citoyen écrasé, par mégarde, sous les bottes à clou de Bercy, tant cette télévision pensait que la nouvelle loi annoncée concernait les excès de zèle des contrôleurs fiscaux et la terreur fiscale installée par Bercy.

Mais pas du tout ou si peu, presque rien.

Quarante articles noient l’échec politique de Macron. Il est probable qu’il voulait desserrer la corde de Bercy du cou des contribuables. Accordons-lui le bénéfice du doute quant à l’objectif.

Comment a-t-il pu rêver que cela serait possible ?

Bercy a dû s’arc-bouter sur ses droits à la torture fiscale en lui disant :

 – “Comment voulez-vous que nous fassions entrer dans les caisses de l’Etat des impôts — aussi importants que ceux dont vous avez besoin — sans tortures et terreurs fiscales ? Si vous perdurez dans votre démagogie “bisounours”, ne comptez plus sur nous, vous irez réclamer vos impôts vous-même.”

Imagine-t-on un Président de La République et ses ministres passant chez l’un et chez l’autre, comme les pompiers ou les éboueurs, pour vendre leur calendrier et abonder ainsi les caisses de l’Etat ?

Non,  donc : rétropédalage de Macron et de sa bande.

Oui mais, l’honneur dans tout ça ? Les promesses de campagne ?

Qu’à cela ne tienne : “abracadabra, plouf, plouf, un escargot tout chaud et une poule sur un mur”, le ministre parle et hop, la foule est en extase, la presse s’embrase, la révolution est en marche.

Ceci exclusivement pour ceux qui s’en foutent, qui ne paient pas d’impôt, n’ont pas de salarié à leur charge, pas d’entreprise, pas de responsabilité. Pour les autres, c’est une nouvelle mascarade qui est en route.

Résumons la propagande du jour :

-“Tu vois le grand costaud là-bas, qui distribue des coups-de-poing à tout le monde ?

– Oui.

– Et bien à partir d’aujourd’hui son premier coup il devra le donner doucement.

– Ah bon et les suivants ?

– Ah ben là, évidement, ça va cogner plus fort sans doute…”

Ben oui, probable. Dure réalité.

Le Ministre a aussi dit : “Aujourd’hui, le citoyen, le contribuable, l’association, l’entreprise doivent prouver leur bonne foi. L’idée, c’est de faire l’inverse”.

L’inverse ??? Ce serait que l’administration doit prouver sa bonne foi, non ?

Et ben non, ce n’est pas ça, ce serait impossible. Enfin, réfléchissez….

Donc c’est :”le citoyen est supposé de bonne foi, c’est juste que l’administration doit prouver qu’il ne l’est pas”. Mais, ça a toujours été comme ça….

N’oubliez surtout pas que (grosse voix) : “l’administration a les moyens de vous faire de mauvaise foi… C’est ça le problème.

Néanmoins, il resterait une piste pour une solution entre gens de bonne foi.

En effet, si l’Etat éprouve le besoin d’envisager que les rapports, entre l’administration en général — fiscale en particulier — et les français, doivent changer c’est qu’il considère qu’ils ne sont pas bons.

C’est un aveu, partons de là.

S’ils ne sont pas bons, et c’est vrai nous pouvons en témoigner, ceux qui ont eu à subir les conséquences de ces mauvais rapports doivent être remis dans leurs droits.

C’est-à-dire que, si le gouvernent était sincère, il devrait s’excuser des harcèlements et tortures administratives passés, qu’il dénonce aujourd’hui et cherche à réduire.

Donc, si Macron était habité par un vrai souci de justice, de réduction des abus administratifs et fiscaux, il proposerait à ceux qui les ont subis une cellule d’écoute et de réhabilitation des situations détruites, de recherche des harcèlements et tortures fiscales et administratives diverses passées, pour rétablir les victimes dans leurs droits.

Là, oui, nous pourrions peut-être commencer à penser que la justice est en route, que demain sera peut-être meilleur. On peut rêver.

Mais ce n’est pas le cas aujourd’hui, et ce ne le sera pas dans un avenir proche.

Nous devrons donc les renverser nous-mêmes, ces bourreaux. Il n’y aura pas d’autre solution.

Bien cordialement. H. Dumas

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Bercy : le début de la fin ? (vidéo)

Bonjour,

Bien cordialement. H. Dumas et E. Bolling

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Les obligés de Bercy vont légiférer sur le droit à l’erreur.

Il y a quelques jours, une sympathique journaliste d’une chaîne de télévision nationale, dont je tairai le nom pour ne pas gêner cette personne, nous a contactés.

Dans le cadre d’une émission à venir sur la loi liberticide concoctée perversement par Bercy sur l’idée d’un droit à l’erreur — portée par les obligés de Bercy, l’Elysée et l’Assemblée Nationale — cette journaliste nous proposait d’intervenir au titre du contrôle fiscal et de l’extraordinaire mansuétude que représentait évidemment pour les contrôlés fiscaux cette exceptionnelle loi de tolérance.

Après que je lui ai fait part de notre reconnaissance pour l’honneur qu’elle nous faisait en nous appelant, je lui ai dit :

            – Pourrons-nous évoquer la question cruciale de qui sera l’autorité qui jugera s’il y a ou non erreur de bonne foi ?

            – Non pas vraiment, me répondît-elle.   

Un peu perplexe je lui demandai :

            – Avez-vous conscience que cette loi sera accusatrice, puisqu’elle renforcera la culpabilité de celui qui ne sera pas reconnu comme ayant fait une simple erreur ? 

Elle n’avait pas vu le problème sous cet angle et elle n’envisageait pas de le voir ainsi. Elle s’est excusée de m’avoir dérangé pour rien.

Encore une journaliste que nous ne reverrons plus…

Elle n’avait probablement jamais eu à affronter un contrôle fiscal, sans quoi ce projet de loi aurait éveillé ses soupçons, l’aurait terrorisée.

Elle n’aurait pas eu de peine à imaginer que l’autorité chargée de détecter l’erreur de bonne foi, un peu comme le médiateur, ne la reconnaîtra sans doute jamais, ou si peu souvent…

Qu’ensuite, devant les faux tribunaux que sont les tribunaux administratifs, fisc et magistrats pourront en toute bonne conscience condamner à tour de bras.

Comment se défendre une fois qu’il a été établi que vous n’avez pas fait une erreur de bonne foi ? Que donc c’est volontairement que vous tentez de soustraire votre capital, vos économies gagnées si péniblement, à la convoitise des fainéants. 

Arrivé à ce point de délinquance fiscale supposée, dans votre cas les bonnes âmes ne peuvent que recommander au moins la prison, puis le bannissement et pourquoi pas la réintroduction de la peine de mort pour atteinte à l’intérêt de l’Etat et haute trahison.

L’erreur ce sont eux – et pas de bonne foi –, ce n’est pas nous.

Ce sont eux qui votent de faux budgets, qui dépensent sans compter pour acheter des voix, qui déresponsabilisent majoritairement le peuple pour mieux le soumettre, qui mentent comme ils respirent, naturellement.

Pendant que nous créons, que nous prenons des risques, que nous travaillons sans compter nos heures, tels des proxénètes ils se pavanent et relèvent les compteurs sous la menace, sans hésiter à recourir à la violence et au meurtre social. Ils sèment la ruine et la misère tout en se faisant passer pour des justiciers.

Ce sont des tyrans, Bercy est un repère de tyrans

Dans son livre “Conversations entre adultes” Yanis VAROUFAKIS écrit ceci :

“Un tyran accuse sa victime. Un tyran intelligent agit comme si la culpabilité de sa victime était une évidence.”

Le tyran intelligent et pervers Bercy fait mieux, il fabrique artificiellement la culpabilité de ses victimes.

Conclusions

Après cette éphémère rencontre journalistique nous aurons au moins appris une chose : ce n’est pas sur cette chaîne, ni dans cette émission, que seront pris en compte la réalité du non droit des contrôles fiscaux, des abus de droit multiples,  constants et assassins, de Bercy, de la propagande qui cache tout cela.

Une réalité simple

Admettons qu’une infime parcelle de sincérité soit incluse dans cette future loi sur le droit à l’erreur pour le contrôlé, voire pour le contrôleur.

Sachant, qu’à partir de notre expérience, nous pouvons affirmer que 80% des redressements fiscaux sont des erreurs, soit du déclarant soit du contrôleur.

Vous imaginez, dès la promulgation de la loi, une baisse de 80% des redressements fiscaux, qui précédemment avaient pour origine une erreur !!!

Allez, soyons sérieux, je suis sûr qu’il vous est beaucoup plus facile d’imaginer les tourments décuplés de l’innocent auquel l’autorité ad hoc aura évidemment refusé le statut d’erreur de bonne foi.

Vous voyez beaucoup plus clair maintenant, en tout cas bien plus clair que ma journaliste, qui d’ailleurs n’a ni l’envie ni l’intention de voir clair sur ce sujet.

Oui, la loi sur l’erreur de bonne foi est un pas de plus vers la tyrannie administrative, tout particulièrement en matière de contrôles fiscaux. Elle va décupler l’accusation populaire, qui va se sentir des ailes pour accuser et piller.

Pas d’erreur, donc pas de quartier.

Ce sera la devise de Filoche, le Filochard des pieds nickelés, gouvernants prétentieux, qui nous prennent pour des cons.

Alors que la solution sincère serait une baisse de la dépense publique et des impôts, une libéralisation de l’économie, la mise en place d’un espace de justice tel que nous l’avons défini pour gérer les contrôles fiscaux et leur interdire leur rôle actuel de sur-impôt pour catégories sociales persécutées.

Décidemment, tout va de mal en pis.

Cordialement. H. Dumas

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Capital et révolution culturelle

En 1966, Mao Tsé-toung lance la révolution culturelle.

Il s’agit d’éradiquer le capital culturel de la Chine qu’il considère comme une entrave à la mise en place de la pensée unique du paradis communiste qu’il imagine.

Mao Tsé-toung entreprend alors un gigantesque lavage de cerveau collectif à travers lequel il pense asseoir son pouvoir et jeter les bases d’une organisation sociale nouvelle.

Il utilise les armes classiques : la propagande, la délation, l’enquête falsifiée, la justice d’exception, la fausse accusation, la sanction publique, l’exclusion sociale et l’enfermement, voire la mort, en un mot il installe la terreur.

Est-il sincère ? Pourquoi pas ? Fou assurément, mais aussi probablement sincère par rapport à cette folie. C’est bien là le drame.

La chine depuis des millénaires a capitalisé une culture très sophistiquée, dont Confucius est pour nous l’élément le plus connu.

Comme tout “capital”, le capital culturel procède de façon naturelle par accumulation et transmission au cours des siècles.

En 1966, l’outil principal de l’accumulation et de la transmission du capital culturel est le livre. Logiquement, à l’occasion de cette campagne, tout livre autre que le petit livre rouge de Mao ou qui ne serait pas dans la ligne du parti, est interdit.

Ceux qui détiennent un tel livre sont passibles de peines lourdes. De très nombreux intellectuels chinois braveront l’interdit. Certains le paieront cher.

Heureusement, cette folie eut une fin avant la destruction culturelle générale du pays, que sa continuité aurait provoquée.

Aujourd’hui, les résistants chinois de l’époque ou leurs descendants, malgré les réhabilitations, ont encore, marquées au plus profond de leur esprit, les violences dont ils ont été l’objet pour avoir résisté et avoir tenté de préserver leur capital culturel personnel, qui était aussi celui de la Chine.

Nos bureaucrates, fonctionnaires et énarques, agissent de la même façon que Mao Tsé-toung.

Ils cherchent à mettre en œuvre une société économique paradisiaque, dans leurs rêves, dont évidemment ils auraient la maîtrise en gérant exclusivement et selon leurs souhaits le capital financier et sa répartition.

Tout comme Mao Tsé-toung rêvait de gérer le capital culturel au mépris des richesses culturelles individuelles, nos technocrates rêvent de contrôler le capital économique global au mépris des richesses économiques individuelles.

La folie de Mao Tsé-toung était de croire que le capital culturel pouvait être issu de directives politiques, alors qu’il est insaisissable et issu de millions de connexions libres,  dont les initiatives peuvent être publiques ou privées.

La folie de nos technocrates est de croire la même chose pour le capital économique alors qu’il n’est pas diffèrent, dans sa structure et sa répartition, du capital culturel. La somme du capital économique d’un pays est faite de la valeur de ses biens publics et de ses biens privés et des milliards de connexions libres entre ces biens.

La révolution économique qu’appellent de leurs vœux tous nos hommes politiques sans exception, nos fonctionnaires et nos technocrates, est aussi folle et irresponsable que l’était la révolution culturelle de Mao Tsé-toung.

Tous souhaitent détruire le capital privé pour bâtir sur ses ruines un capital collectif, soi-disant mieux réparti.

C’est pure folie qui ne peut qu’aboutir à la disparition totale du capital, privé évidemment mais aussi public. Donc à la ruine de l’économie.

C’était exactement le schéma de la gestion du capital culturel par Mao Tsé-toung, notre capital économique n’y survivra pas.

La terreur et tout son cortège de dérives sociologiques  que nous avons déjà vus à l’œuvre chez Mao : la propagande, la délation, l’enquête falsifiée, la justice d’exception, la fausse accusation, la sanction publique, l’exclusion sociale et l’enfermement, sont mis en place par Bercy, au service de cette barbarie.

Les français les plus courageux doivent résister.

Pour cela une seule solution : contourner le prédateur fou Bercy.

Résister par l’évasion ou l’optimisation au prédateur, protéger son capital économique personnel qui est évidemment une part du capital économique global de la France.

Sans capital culturel pas de culture, sans capital économique pas d’économie.

Aujourd’hui vilipendés par une propagande outrancière, demain les résistants, ceux qui auront caché et protégé leur capital, seront réhabilites. La France aura besoin d’eux et de leur capital.

Courage, résistez, cachez votre capital, vos économies. Ne vous laissez pas traiter de fraudeurs, vous êtes des résistants.

Cordialement. H. Dumas

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Championne du monde des prélèvements fiscaux, jusqu’où ira la France.

Emmanuel Bolling a publié sur ce site, le Jeudi 16 Novembre, un tableau récapitulant le classement mondial des enfers fiscaux. Ce tableau, publié en 2009 par Forbes Asia, est toujours d’actualité. La France est bonne première mondiale au titre du prélèvement fiscal.

Cette publication a fait le buzz. Deux jours après sa parution, elle enregistrait 5.800 vues. Puis, dans la nuit de Samedi à Dimanche, le compteur a été remis à zéro, sans que l’on puisse déterminer par qui, pourquoi et comment…. Dont acte.

Mais il y a mieux, la France est aussi première au titre de la performance du recouvrement de l’impôt et de la chasse aux “fraudeurs”.

Nous sommes bien placés sur ce blog pour savoir que 90% des “fraudeurs” sont de braves gens dépassés ou négligents, mais aussi très souvent des victimes carrément innocentes.

Nous savons aussi que Bercy installe volontairement la terreur fiscale, elle est palpable.

Ceux qui nous suivent ont peur. Ils ont raison d’avoir peur. Mais, bien souvent ils renoncent à résister, à lutter, et là ils ont torts.

Cette terreur fiscale vit de la destruction aveugle de ceux qui sont pris dans la nasse, qu’ils soient – rarement—coupables ou – la plupart du temps —  innocents.

Cette dictature fiscale peut-elle avoir ne serait-ce que l’ombre d’une justification ?

Non, la France a :

            – Un taux de chômage anormalement élevé.

            – Une dette abyssale.

            – Une administration pléthorique défaillante

    – Des services monopolisés par l’Etat qui dysfonctionnent complètement, l’enseignement, la santé, la justice, l’urbanisme et la construction par voie de conséquence, les chemins de fer, la presse, etc…

            – Un coefficient de désespérance supérieur à tous les autres pays évolués.

            – Des entreprises non performantes si elles n’ont pas un pied ailleurs dans le monde normal.

Cela est lié à la dictature fiscale que nous subissons.

La dictature fiscale alimente ces échecs, plus elle s’impose plus ces échecs prennent de l’ampleur, plus ils prennent de l’ampleur plus la dictature fiscale se renforce. Le cercle vicieux et infernal ne s’arrêtera que par la ruine totale, voire la disparition de la France.

Le danger n’est donc pas Daech mais Bercy.

Nous pouvons même dire que si Daech n’existait pas, Bercy serait obligé de l’inventer pour détourner l’attention.

La conclusion

Rien dans les résultats actuels de la France ne justifie son statut d’enfer fiscal.

La dictature de Bercy est totalement illégitime, sa complice la justice – complice de toutes les dictatures – est elle aussi illégitime.

Tout donc justifie la fuite fiscale, légale ou illégale.

Le capital est essentiel, le sauver est pour chaque citoyen un devoir personnel et collectif. Lutter contre la dictature fiscale est un acte de résistance crucial.

Aujourd’hui, beaucoup de français pensent qu’ils sont les bénéficiaires de la torture fiscale, que les fruits amers de cette torture leur sont redistribués. Ils acceptent, voire encouragent, la dictature fiscale. Ils se trompent lourdement.

Ils sont déjà, pour certains, eux-mêmes torturés par Bercy tant la dictature est toujours aveugle. Demain ils le seront tous.

Ce lien pour bien évaluer la marche en avant de la dictature fiscale, comprendre les prochaines oppressions, les chaines qui vont nous asservir.

Bercy détruit toute notre raison de vivre ensemble.

Bercy introduit la délation, la suspicion, la ruine aveugle, l’abus de droit, la torture fiscale, dans notre lien social.

Que reste-t-il de chacun de nous quand nos biens sont pillés, quand nos secrets sont sur la place publique, quand la peur et l’angoisse sont constantes ? Rien.

Vivre ensemble ne doit pas être une abjecte contrainte, mais au contraire une joie partagée, un atout complémentaire et non une entrave à la vie, à l’épanouissement, au bonheur.

Réfléchissez, prenez votre courage à deux mains et rejoignez-nous. Dans un premier temps simplement en vous abonnant gratuitement à ce site

Cordialement. H. Dumas

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Hier j’étais dans l’antre du monstre

L’immobilier est le sommet des activités du bipède humain, toutes options confondues.

Tout finit ou tend à finir par une construction.

Qu’il s’agisse du simple nid personnel ou familial, des activités industrielles, commerciales, ou tertiaires, de la culture ou des divertissements, l’immobilier s’impose. Par exemple, à Menlo Park on trouve le siège, gigantesque aboutissement immobilier, de l’activité la plus dématérialisée qui soit : Facebook.

La paléontologie consiste à gratter la terre pour découvrir l’origine des êtres vivants, principalement à partir de leurs lieux de vie et les accessoires s’y trouvant.

C’est donc à travers leur immobilier que les sociétés se découvrent : “dis moi quoi et comment tu construis et je te dirai qu’elle société tu es”.

Hier je participais à un Forum à Paris intitulé “Le 17ème forum des projets urbains”.

Une caricature de notre société immobilière politico-collectiviste où la liberté de l’individu est inexistante, même pas envisagée.

Parfaitement organisé au Palais des Congrès de la Porte Maillot, ce Forum regroupait les acteurs des plus grands projets immobiliers du pays.

Une vaste salle recevait plus de cent tables de 12 personnes pour un repas en commun.

Un large couloir déambulatoire favorable aux rencontres programmées ou fortuites séparait cette salle de deux couloirs desservant une dizaine d’espaces de conférence suréquipés en sonos, écrans, projecteurs et tribunes.

Dans ces espaces, tout au long de la journée, quelques orateurs aguerris ou débutants — mais tous sans originalité — ressassaient, quelque soit le projet présenté, exactement les mêmes idées aux mots prés devant une poignée de spectateurs indifférents au sujet car uniquement absorbés par le leur propre. Tout cela sans passion et sans aucun intérêt.

Pendant ce temps, le balais des ronds de jambe et des égos surdimensionnés battait son plein dans le couloir dédié.

Tous attendaient le repas.

Dans l’immense salle qui lui était consacrée à l’endroit le plus noble, un vaste carré ouvrant sur la verrière dominant la Porte Maillot, se trouvait les tables réservées aux majors, à nos grandes entreprises apparatchiks de l’immobilier. Le reste de la salle était consacré à la piétaille des fonctionnaires des services publics et des prestataires insignifiants.

Nulle trace des destinataires de ces grands projets : les acquéreurs, qui sont quand même à la fois les utilisateurs et les financiers ultimes de tout ce cirque.

Parmi les 1500 présents, que des seconds couteaux, pas un seul décideur.

Je me posais la question : mais à quoi sert ce type de manifestation ?

Car enfin, tout est voulu par le politique, tout est mis en musique par les services, tout est bâti par les majors qui dictent leur prix sans réelle concurrence. Pourquoi réunir coûteusement toute cette faune, d’où sont absents les véritables décideurs, sans aucune participation des destinataires ultimes : les acquéreurs utilisateurs ? Je ne sais pas.

Peut-être s’agit-il d’une propagande interne pour donner du cœur à l’ouvrage aux exécutants, faute pour eux d’avoir la récompense du travail bien fait par le retour satisfait du client. Il est vrai que leurs clients, les utilisateurs de l’immobilier, souffrent des contraintes politiques et idéologiques qu’ils leur imposent en bon exécutants lobotomisés, sans état d’âme.

Figurez-vous que, tel le canard dans la couvée de gras poulets de Bresse, j’étais venu distribuer le tract visible avec ce lien :

LE LIEN

Vous l’avez compris, mon décalage était complet.

Cependant pas d’agressivité juste de la condescendance de leur part.

Je suis parti après le déjeuner — compris dans le prix du ticket de participation — je n’ai pas attendu la grande messe d’autocongratulation générale de la fin de la journée.

Qu’il est dur d’être libéral dans ce monde de collectivistes convaincus, de penser et de respecter les individus pour eux-mêmes et non comme un morceau d’un ensemble. Où sont passées les lumières ?

Quelques échanges pendant le déjeuner m’ont convaincu que les acteurs de cette monstruosité sont parfaitement conscients de leurs actes et de la situation. Mais la récompense du confort qu’ils obtiennent en échange de leur complicité étouffe vite leurs velléités de morale.

Ils tuent l’immobilier en martyrisant le consommateur, comme ils tuent le reste. Les autres pour eux ne sont que les pions sur lesquels s’assoient leur pouvoir et leur confort.

Vivement qu’ils fassent faillite — ce qui ne saurait tarder — la liberté retrouvée sera à ce prix.

Bien cordialement. H. Dumas

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Au fond du trou, inaudible, le journal Le Monde délire encore

Ainsi donc Le Monde (lien) aurait ouï-dire que 15.000 scientifiques, représentant 184 pays, s’inquiètent pour la planète. Ils ont peur.

Notez, on les comprend. Cette planète entourée d’astres morts, dans un vide sidéral, c’est un peu “viens passer la nuit au cimetière”. Un film d’horreur.

Parce que, les photos de la planète bleue vue de la station orbitale, c’est très beau mais ça craint un peu pour ceux et celles qui ont l’angoisse facile, ou qui se prennent pour le nombril du monde.

De là à ce qu’une bande d’escrocs nous la rejouent “faites ce qu’on vous dit, flagellez-vous, souffrez et haïssez vous les uns les autres, nous jouirons à votre place”. Non merci, on a déjà donné.

Voyons donc les choses de plus près.

15000 scientifiques pour 184 pays cela ne fait que 81,5 scientifiques par pays…. peuchère.

Heureusement, il reste des millions de scientifiques dans le monde qui n’ont pas signé cette harangue à la manipulation sociologique, aux relents “facho-collectivistes” du type “laissez-moi fabriquer l’homme idéal”

Dans son interminable glissade vers le fond, Le Monde lâche les conclusions de la réflexion de ces scientifiques, sans nous dire dans quel bar ils les ont écrites et après combien de pastis.

Globalement c’est plutôt marrant, l’article 4 à lui seul vaut le détour.

Le voici : ” 4. ré-ensauvager des régions abritant des espèces endémiques, en particulier des super-prédateurs, afin de rétablir les dynamiques et processus écologiques”

Zut, j’aurais dû avertir les porteurs de dentier du risque de l’avaler par violent éclat de rire.

Si j’analyse bien l’article 4, il faudrait, pour que les lois écologiques de la nature fonctionnent à plein régime — je suppose qu’il s’agit de celles que l’on appelle la sélection naturelle — que, dans les régions où les abrutis s’épanouissent, les “super-prédateurs” soient insérés ou protégés pour bouffer les abrutis et redonner du tonus à l’ensemble.

Ré-ensauvager voulant dire déciviliser — on a déjà ça en magasin —

Et ben dis-donc, putains de scientifiques, ils n’y vont pas avec le dos de la cuillère.

Ah mais, suis-je bête, ça c’est pour les animaux et, comme chacun le sait, l’homme n’est pas un animal. Enfin, quand il est scientifique, parce qu’autrement…. à y bien réfléchir … Ne laissent-ils pas entendre qu’il se reproduirait comme les lapins ?

J’espère que l’aspect “facho-collectif” de l’opération ne vous a pas échappé.

On installe une peur, on prétend être porteur d’une solution, on réclame la soumission totale à cette solution et le tour est joué. L’individu disparaît au profit des organisateurs de la combine. Il devient leur obligé, toute tentative d’exister se transforme pour lui en délit.

Ces collectivistes sont affligeants.

Voici une anecdote qui les ridiculise. Elle est liée à la fameuse approche des problèmes, réels ou imaginaires, politiquement correcte qui oublie dans sa fougue — ou sa turpitude — tout simplement le consommateur final.

D’où, déplaisir pour tous et connerie illimitée puisque l’utilisateur n’est jamais pris en compte et que seul compte le gain politique espéré.

Les vélib’

Poussés par la folie écologique, les élus parisiens décident de mettre la population au vélo. Objectif totalement irréalisable pour des raisons de capacité physique, de circulation, de météo, de dénivelés, mais bon.

Qu’à cela ne tienne, une bonne propagande, un max de tune et un pouvoir absolu transforment rapidement de nombreuses places précieuses de stationnement en nids à vélib’.

Sorti du chapeau, un industriel de complaisance rentre dans le trip, adhère au projet débile — entre nous celui qui veut faire du vélo peut en acheter un ce n’est pas un objet couteux –, décide de jouer la partie au service des élus.

Donc, vélos bien visibles, lourds et énormes, camionnettes qui sillonnent la ville pour alimenter en vélib’ les stations, stations gigantesques et facture à l’avenant pour les impôts des parisiens.

En réalité, une colossale faillite, payée par l’impôt, que j’avais annoncée dès les premiers jours du bidule.

Notons que dans cette affaire tout est parti du politique collectiviste. Juste, l’avis du  potentiel cycliste et ses besoins ont été oubliés.

Face à l’échec, notre industriel est viré, un autre, ami d’amis, prend le bébé pour légèrement moins cher mais affligé des mêmes tares.

Et pendant ce temps là, un troisième larron s’intéresse au problème.

Mais lui, de façon libérale. C’est-à-dire à partir du besoin du consommateur et non des fantasmes de conquêtes électorales du politique.

Il invente un joli vélo vert, plus léger, sans station de regroupement.

Car, ce vélo possède dans son antivol une puce qui, par GPS, le situe dès qu’il est à l’arrêt. Génial non ?

Donc, vous avez une carte d’abonnement, au moment où vous avez besoin d’un vélo votre téléphone vous indique le plus près, vous partez avec et vous le laissez où vous voulez. Les pneus sont pleins, pas de crevaison. Pas mal et pas con, non ?

Plus de places de stationnement sacrifiées. Plus de frais de figuration politique, de poudre aux yeux. Que du bonheur.

Mais alors ? Comment les élus écolos vont-ils gérer leur échec ? Un des premiers vraiment visible, incontestable.

Leur nouveau complice ne peut pas, avec son cahier des charges incluant un cinéma de propagande politique, s’en sortir économiquement.

Nous allons donc avoir, d’un côté une solution libérale discrète de petits vélos verts qui rapporte et offre le service voulu, de l’autre une solution “politico-collectiviste” qui coûte une fortune mais sert de propagande aux élus tout en enrichissant la connivence.

On parie que les petits vélos verts vont être interdits ?

C’est de cette vanité politique, machine à obtenir les votes des naïfs entraînés jour après jour à la haine des autres, de ceux qui proposent des solutions simples mais sans intervention politique, que notre pays meurt, lentement mais surement.

Cherchez l’erreur.

Cordialement. H. Dumas

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TRACFIN et la dénonciation calomnieuse

Avant que  l’article ci-dessous soit effacé du code pénal, prenez le temps de le lire.

Article 226-10

La dénonciation, effectuée par tout moyen et dirigée contre une personne déterminée, d’un fait qui est de nature à entraîner des sanctions judiciaires, administratives ou disciplinaires et que l’on sait totalement ou partiellement inexact, lorsqu’elle est adressée soit à un officier de justice ou de police administrative ou judiciaire, soit à une autorité ayant le pouvoir d’y donner suite ou de saisir l’autorité compétente, soit aux supérieurs hiérarchiques ou à l’employeur de la personne dénoncée est punie de cinq ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende.

La fausseté du fait dénoncé résulte nécessairement de la décision, devenue définitive, d’acquittement, de relaxe ou de non-lieu, déclarant que le fait n’a pas été commis ou que celui-ci n’est pas imputable à la personne dénoncée.

En tout autre cas, le tribunal saisi des poursuites contre le dénonciateur apprécie la pertinence des accusations portées par celui-ci.

NOTA : 

Conformément à la décision n° 2016-741 DC du 8 décembre 2016, Art. 4 : Les mots ” , soit, en dernier ressort, à un journaliste, au sens de l’article 2 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse ” figurant au premier alinéa de l’article 226-10 du code pénal sont contraires à la Constitution.

Notez au passage que nos élus, très craintifs vis-à-vis de la délation pour eux-mêmes, avaient prévu de punir ceux qui les dénoncent à la presse. Mais, la manœuvre a échoué retoquée par le Conseil Constitutionnel. Où ça va se nicher quand même toute cette crapulerie….

Cet article du Code Pénal est un vestige de l’époque où le respect de la liberté individuelle avait amené le législateur à regarder avec suspicion toute délation et même à punir lourdement ceux qui dénonçaient des faits irréels.

Sous la pression de Bercy, les choses ont bien changé.

Démocratiquement, évidemment, puisque c’est notre parlement qui a voté les nouvelles lois liberticides. Après, convenons-en, une propagande terrifiante et morbide utilisant sans vergogne la mort d’innocents en aucune façon liée à la liberté individuelle et au secret de la vie privée, mais plutôt liée à la démagogie politique, à l’irresponsabilité des élus et aux mensonges électoraux qui, promettant des vies de rêve, frustrent les âmes simples.

Ainsi naquit TRACFIN, la Stasi de Bercy.

Une pourriture qui ne va pas tarder à rendre notre vie commune aussi nauséabonde que l’était celle des allemands de l’Est, des russes, des chinois, des cambodgiens etc… de tous ceux qui ont été un jour engloutis par la délation collective.

La réalité

Mettons que vous allez chez votre notaire acheter un immeuble de 300.000€ en le payant comptant. Ou encore chez votre banquier déposer plus de 10.000€ en liquide, cadeau de votre riche tante. Voire exposer à votre avocat un truc qui ne lui plait pas. Ou encore que vous ayez sauté la femme de votre huissier, qui s’ennuyait à mourir avec lui, et qu’il l’ait su.

Ceux-ci vont immédiatement vous dénoncer à TRACFIN. Sans avoir au préalable eu besoin de s’assurer que votre acte était réel ou délictueux.

TRACFIN c’est quoi ?

Une bande de fonctionnaires, la tête dans le guidon, heureux comme des papes d’avoir un salaire et une retraite assurés à vie, probablement pas hantés par le destin de l’humanité et surtout pas par celui des individus, leur sensibilité, leur droit au secret, à l’intimité, à la discrétion, à la confiance, à la vie tout bêtement.

Ces gens là ont, comme tout le monde, une curiosité aiguisée, un instinct de chasseur, qu’il est facile de chatouiller et de mettre en branle.

Donc, dès que votre nom apparaît dans leur champ de vision d’abord c’est pour toujours, ensuite la machine qu’ils sont se met en route.

Une enquête commence, votre vie va être épluchée. D’abord, les renseignements d’usage, votre parcours personnel et professionnel, la liste de vos biens. Plus tard, vos comptes en banque, vos relations, vos cartes et abonnements, vos habitudes. Tout un dossier, qui restera archivé en un lieu dont vous n’avez pas connaissance mais auquel eux auront accès pour toujours, qu’ils continueront mécaniquement à alimenter.

Sans doute que tout va bien pour vous, que ce dossier, en l’état, restera inutilisé.

Il n’en sera pas de même si, par accident, le pouvoir tombe entre les mains de fanatiques gourmands de renseignements, par exemple dans le cadre de la levée d’un impôt exceptionnel…. Mais bon, ne dramatisons pas… Pas tout de suite.

Donc tout va bien

Mais, si tout va bien, vous avez donc fait l’objet d’une dénonciation calomnieuse.

S’il n’y a rien à vous reprocher, certes vous êtes un être exceptionnel dans cette société de fautifs, mais votre banquier, votre notaire ou x sont donc des dénonciateurs calomnieux, dans l’esprit de l’article 226-10 du Code Pénal.

Et oui…. C’est là que l’on peut percevoir à quel point notre société dérape.

Car, non, en fait ils ont obtenu le droit, grâce à Bercy, de dénoncer leurs concitoyens sans contrainte, sans vérification préalable, sans aucune responsabilité, et vogue la galère.

Bien pire, ils sont tenus de le faire, sans quoi ils sont passibles de sanction. On pourrait presque les comprendre…

Sauf qu’ils ne se sont pas révoltés contre cette obligation contraire à leur secret professionnel, disons même qu’ils en retirent une certaine satisfaction… quelque part.

Toute cette chaîne de crapulerie est révoltante, et pourtant il est vrai que la démocratie la soutient. S’il y avait à voter, c’est massivement que les français entérineraient cette situation. Il faudra qu’ils en paient le prix de la servitude induite pour, peut être, se révolter, mais ce n’est même pas sûr.

Les allemands de l’Est ne se sont pas révoltés pour ça, mais juste pour ne plus être obligés de rouler en Traban.

Cordialement. H. Dumas

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David PUJADAS : faux journalisme mais vraie propagande

Bonjour,

Avant de visionner la vidéo ci-dessous, veuillez cliquer sur ce lien : “24H Pujadas, l’info en question” . Il vous emmènera sur le “replay” de l’émission du 3 Novembre 2017. Soyez patient car vous devrez peut-être subir d’abord un écran noir et 7/8 minutes de pub avant de pouvoir la visionner

Vous allez être surpris par l’émission visible avec le lien. Elle véhicule des idées convenues que nous savons fausses et une dose de propagande exceptionnelle.

Vous allez avoir des difficultés à visionner jusqu’au bout de cette ignominie, mais soyez tenace, vous devez connaître l’horreur pour pouvoir vous défendre et sauver votre peau et vos biens.

La lutte promet d’être sans pitié.

Bien cordialement. H. Dumas et E. Bolling

 

 

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Rencontre avec le professeur Jacques Garello

Toujours à Dax, à l’occasion du huitième Weekend de la liberté organisé par le Cercle Frédéric Bastiat, j’ai eu l’honneur de rencontrer et d’interviewer le professeur Jacques Garello

Le Weekend de la Liberté est une manifestation animée par notre ami Patrick de Casanove, à Dax. Ces rencontres libérales  sont fructueuses et alimentent réellement la réflexion sociétale et politique. Je ne peux que vous conseiller d’y participer l’année prochaine.

Dans cet interview Jacques Garello défend le libéralisme, qui en a bien besoin.

Bien cordialement. H. Dumas

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Immobilier et pots-de vin.

Dans la plupart des villes, lorsqu’un opérateur construit un programme immobilier il doit inclure entre 25 et 40% de HLM.

Cela se concrétise de la façon suivante. Mettons que le marché soit établi sur un prix de vente de 4 à 5.000 € le m² bâti, l’opérateur devra réserver dans son projet le pourcentage de plancher prévu pour les HLM qu’il rétrocèdera à ceux-ci au prix de 2.000 € le m².

Evidemment il répercutera cette perte sur la vente du reste du programme.

C’est-à-dire que lorsque vous achetez un appartement dans un programme neuf, vous payez, à la société d’HLM inféodée à la collectivité qui va donner le permis de construire, la différence entre le prix du marché et les 2.000 € le m² de son prix d’acquisition.

Cette charge, qui est portée par vous seul, ne peut pas être considérée comme une solidarité dont la charge devrait incomber, à travers l’impôt, à l’ensemble de la population.

Il s’agit donc tout simplement d’un pot-de-vin, perçu par les sociétés d’HLM dont chacun connait l’immense richesse et la carence dans leur capacité à loger les plus démunis.

Mais les choses ne s’arrêtent pas là. A l’aide des outils que le législateur a mis à leur disposition, les collectivités locales dépossèdent les propriétaires de terrains vierges à vil prix par le biais de leurs droits de préemption et d’organisation de l’espace, puis revendent à des opérateurs amis ces fonciers à un prix très élevé.

Là encore seul l’acquéreur final – et non la collectivité nationale fiscale — va supporter cette plus value artificielle, réclamée au titre de l’aménagement de l’espace et de la solidarité nationale. Ce n’est donc qu’un pot-de-vin supplémentaire versé, exclusivement et à son insu, par l’acquéreur final aux hommes de l’Etat qui gèrent les communes.

En résumé, lorsque vous achetez de l’immobilier neuf, vous payez 20 à 30 %  de pots-de-vin hors marché. Vous partez donc avec un handicap de l’ordre de 50 % sur la valeur marché de votre bien, marge de l’opérateur comprise.

Ce n’est pas demain que votre achat trouvera sa rentabilité ou sa valeur refuge.

Comme le prix du neuf commande indirectement le prix de l’occasion, je vous conseille de passer votre chemin face aux pots-de-vin de l’immobilier qui ruinent la moitié de votre effort d’investissement et créent une bulle artificielle.

Depuis quinze ans j’accumule les preuves de ce que je vous dis sur un programme situé à La Rochelle, qui s’appelle les Cottes-Mailles, qui a de grandes difficultés à voir le jour, contrairement aux intérêts des rochelais. Ce programme  est une victime directe de ces exigences générales de pots-de-vin, déguisées pour les profanes en protection de l’intérêt public.

Cette opération va faire l’objet d’une procédure pénale qui révèlera ces faits délictueux, tout comme nous révélons ici les supercheries de l’impôt soi-disant outil de solidarité. Procédure qui sera probablement perdue.

Comment tout cela est-il possible ?

La corruption ou pot-de-vin exige deux complices, le corrupteur et le corrompu, et évidemment le secret ou la dissimulation.

En règle générale, il est très difficile en matière de corruption de déterminer qui est le corrupteur et qui est le corrompu, tant les intérêts des deux sont croisés.

En immobilier les acteurs sont les services de l’urbanisme et les opérateurs immobiliers.

Les bénéficiaires initiateurs sont les hommes de l’Etat qui espèrent par ce biais acheter leurs électeurs, un peu aussi les opérateurs qui se procurent ainsi des permis de construire.

En réalité, lorsque vous achetez de l’immobilier neuf on ne vous vend pas un bien immobilier, on vous vend un permis de construire, une autorisation, une signature. Dans 90% des cas cette autorisation ne vaut pas un pet de lapin, quelques fois, mais rarement, il y a une adéquation entre cette autorisation et la valeur factuelle de votre achat. Disons qu’alors vous avez eu de la chance, que les dégâts seront moins graves pour vous.

Tour d’horizon des intervenants.

Les services de l’urbanisme

Ils sont les patrons de l’immobilier dans tout le pays, les ordonnateurs des pots-de-vin.

Chaque ville ou agglomération possède un service de l’urbanisme, avec à sa tête un directeur des services. Cela représente environ 1.500 entités et autant de directeurs des services. Ceux-ci, même s’ils sont d’obédiences politiques opposées, sont liés par un pacte commun non défini, occulte, une espèce de franc-maçonnerie à pensée unique, accompagnée de la capacité à exclure toute personne qui ne ferait pas allégeance à leur système.

Tout opérateur qui résiste à la ronde des pots-de-vin est grillé dans tout le pays par cette fraternité des directeurs des services.

Personne donc ne s’y risque. La sanction étant : plus aucun permis de construire, nulle part. Et ne comptez pas sur la justice pour faire échec à cette razzia.

Les élus

Pauvres types. Ils ne connaissent qu’une activité : être élus. Puis, aussitôt fait : être réélus.

La totalité de leur temps et de leur énergie est absorbée par cette activité. Cela entraine pour eux un devoir de séduire la médiocrité au détriment de la compétence. La première représentant beaucoup plus de voix que la seconde, elle est privilégiée par eux.

Ils n’ont que deux moyens matériels pour satisfaire cette obligation, l’impôt et le pot-de-vin, tout deux déguisés évidemment en protection du lien social, du bien public, de la veuve et de l’opprimé, de la solidarité, de l’égalité.

Ils donnent la direction et l’objectif, mais c’est, en immobilier, le directeur des services qui va au charbon, qui met les mains dans le cambouis.

Ce partage des tâches rend difficile à faire la démonstration de leur corruption, d’autant que la fraternité des élus leur permet de légiférer à leur avantage et paralyse la justice qui préfère s’en foutre, même lorsqu’elle comprend ce qui se passe.

N’est ce pas le peuple qui a élus les élus dont, de ce fait, les “cacas sont sacrés”.

Les opérateurs

Ils sont à la fois les corrompus et les corrupteurs. Sans leur participation le système s’écroulerait. Il ne tient qu’autant que vous acceptez de surpayer vos achats immobiliers.

Mais il est vrai que s’ils ne participent pas à la combine ils n’ont pas de permis de construire.

Ils perdent de vue leur mission qui serait de servir au mieux leurs clients. Au lieu de cela, ils n’ont pas d’état d’âme à fabriquer des produits sans valeur factuelle qu’ils vendent très chers au motif qu’il n’y a pas d’autre proposition que celles acceptées par les élus à l’occasion du sésame permis de construire.

Quelque part, ils deviennent des agents des hommes de l’Etat au détriment de leurs acquéreurs. Nous sommes sans doute là devant l’ultime version du communisme égalitariste, du dogme imbécile qui a détruit le marché immobilier, créé la pénurie et interdit l’accès à la propriété raisonnable pour les nouvelles générations.

L’effondrement du système sera terrible. Une pensée émue pour ceux qui ont mis ou mettent dans l’immobilier d’aujourd’hui leurs espoirs et leurs économies.

Bien cordialement. H. Dumas

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Aux enfoiré.e.s de Bercy et à leurs affidé.e.s : prenez garde…

Confortablement assis dans vos bureaux ou sur vos privilèges vous dirigez des drones fiscaux tueurs sur ceux qui donnent sans compter leur temps et leur énergie pour créer de la vie et de la richesse.

Ils sont commerçants, professions libérales, industriels, entrepreneurs, travailleurs du secteur privé, ils sont des millions.

Vous les abattez sans scrupule pour conforter vos petits privilèges. Vous êtes à l’abri derrière votre statut qui vous procure un emploi à vie et une retraite dorée que nous vous payons.

En contrepartie nous avons droit à longueur de journées à votre arrogance, que ce soit derrière vos bureaux quand vous êtes en activité, à travers les normes que vous pondez journellement pour nous soumettre, sur les routes et dans toutes les activités sociales lorsque vous êtes, très tôt et indéfiniment, à la retraite que nous vous payons et grâce à laquelle vous encombrez abusivement tout l’espace commun, sans vergogne et sans élégance.

Vous auriez pu n’être que des poids morts, mais vous vous êtes transformés en assassins sociaux, en destructeur du lien social, en coupeurs de têtes qui dépassent.

Vous êtes porteurs d’une croyance mortifère qui a tué des millions de gens et qui en tuera encore plus si l’on vous laisse continuer à la répandre.

Vous vous prétendez redresseurs de tort. Votre prétention n’a pas de limite à ce sujet, elle est inversement proportionnelle à votre médiocrité.

Vous parlez de redistribution, mais elle ne se fait qu’à votre profit, les pauvres restent pauvres, les mal-logés restent mal-logés, les chômeurs restent chômeurs, bien plus vous transformez en déshérités ceux que vous accusez abusivement de fraude fiscale, alors que vos accusations sont issues de mensonges qu’une justice défaillante, faux-semblant dans une zone de non-droit, fait mine de légaliser.

La défense de vos privilèges vous amène à dépasser les bornes.

Vous vous contenteriez de nous déposséder, à votre avantage, de ce que nous avons gagné par notre travail, cela serait désagréable mais pas si grave, nous sommes en effet capables de recommencer à créer jusqu’à des 70 ans et plus.

Mais cela ne vous suffit pas.

Vous voulez bêtement nous anéantir, alors que sans nous, la démonstration a été faite partout dans le monde, vous êtes incapables de vivre, d’exister.

Mais la culpabilité inconsciente qui vous hante, impose pour vous notre disparition totale. Après le vol vient le meurtre, comme l’a parfaitement analysé Balzac.

C’est ainsi qu’après avoir tout pris à l’une de vos cibles, vous continuez à la détruire, elle et tous les membres de sa famille que vous appelez “foyer fiscal”, jusqu’à et y compris sa descendance.

Alors qu’ils sont à terre et cherchent à survivre, vous ne les lâchez pas. Vous les harcelez de contraintes, ATD, saisies, menaces, dénonciations auprès des tiers, etc…

Vous avez mis en place un système d’espionnage majeur qui a détruit des pans entiers de la vie privée. Vous avez détruit les secrets bancaires, notariés, comptables, stratégiques, sans lesquels la vie n’est pas possible.

Par contre vous sanctifiez le secret d’Etat ou administratif qui protège vos manœuvres, alors que vous nous devez la transparence.

Vous poussez des cris d’orfraie lorsque vous prétendez que l’on porte atteinte à votre vie privée, alors que vous foulez aux pieds la vie privée des autres, de ceux que vous considérez comme vos assujettis alors que vous devriez être leurs obligés, car ce sont eux qui vous font vivre et au service desquels vous êtes censés être.

Vous dépassez les bornes.

Nous sommes en état de légitime défense.

Prenez garde.  H. Dumas

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Temoignagefiscal était au congrès des libérés de la sécu (vidéo)

Bonjour,

Invité par Claude Reichman, j’ai représenté Témoignagefiscal au 2ème congrés des libérés de la sécu à Paris le 15 Octobre.

Je vous joins la vidéo de mon intervention, pour laquelle vous voudrez bien accepter mes excuses pour la qualité déficiente du son. Pris en caméra seule il s’est avéré trop faible et son augmentation au montage n’est pas une réussite.

Cordialement. H. Dumas

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Le juge René Salomon, complice ou victime d’un déni de justice.

Comme le dit un de mes bons amis — que je ne nommerai pas pour ne pas le gêner — en parlant de ce magistrat : “Le mal nommé Juge Salomon”.

En effet, dans l’ancien testament, le roi Salomon était réputé pour la qualité de ses jugements. Il savait partager les torts et la raison, mais aussi provoquer des situations desquelles jaillissait la vérité.

Il s’agit probablement d’une légende situé vers 950 av JC, datant donc de trois mille ans environ. C’est dire qu’enfanter une vraie justice a toujours été le parcours du combattant pour les sociétés humaines.

Quelques hommes emblématiques y sont arrivés ou en ont été la représentativité, les millénaires n’ont pas de prise sur leur réputation, tant la chose est ardue.

Nous pardonnerons donc au juge Salomon de Montpellier la médiocrité de son jugement, mais quand même…

Les faits

Après quarante ans de cotisations fort onéreuses, la CIPAV, caisse de retraite des architectes, me sert une retraite de 420€ par mois !!!

Très en dessous du RSA, plus de moitié moins que le seuil de pauvreté défini à 1.000€ par mois, cette somme ridicule est une escroquerie pour celui qui a, en toute confiance, cotisé toute sa vie pour sa retraite.

Mais il y a pire, cette situation m’obligeant à travailler, la CIPAV en profite pour exiger de moi une cotisation retraite supplémentaire, sans aucune contrepartie !!!

Ce lien pour lire mes conclusions et les pièces jointes , que j’ai défendues devant le TAS de Montpellier le  19 Septembre 2017

Le jugement

Le 17 Octobre 2017, le Juge Salomon a rendu le jugement accessible avec ce lien.

Dans l’exposé des faits, Salomon décrit de façon très claire ma situation et l’objet de la procédure que j’ai engagée.

Cette description est si claire, si lucide, qu’un constat s’impose, avec deux hypothèses :

            – Soit Salomon se sent piégé et ne se croit pas autorisé à juger en fonction de ce qu’il a parfaitement compris. Il passe très clairement la patate chaude à La Cour d’Appel.

            – Soit c’est en toute conscience qu’il prend un jugement qui n’a aucun rapport avec la loi et avec la situation qu’il reconnait comprendre parfaitement. Dans ce deuxième cas il rendrait un jugement lié à des croyances aveugles qu’il partagerait, au mépris de toute réalité et lois.

Car enfin

Quand Salomon écrit : “La CIPAV est un organisme de droit privé jouissant de la personnalité morale assurant la gestion d’un service public, celui des assurances vieillesse…”  Il exprime l’idée que l’assurance vieillesse serait un service public.

En quoi l’Etat aurait vocation à gérer une assurance dans une démocratie libre ? Ailleurs donc que dans un pays communiste ou totalitaire ?

Que l’Etat prenne en charge une assistance à ceux que la vie aurait brisé, qui donc ne pourraient pas s’assurer, oui. Mais de là à devenir assureur, il y a une marge, dénoncée à juste titre par l’Europe.

Cette affirmation gratuite de Salomon ne repose sur rien.

Elle transforme le client que j’aurais dû être pour une compagnie privée d’assurance vieillesse, avec tous mes droits à contracter librement selon mon choix, en un assujetti qui a subi 40 ans sans pouvoir donner son avis et est aujourd’hui la victime d’une évidente escroquerie.

Quand Salomon écrit : “Il s’agit donc d’un régime obligatoire qui est prévu par les articles de référence du Code de la Sécurité Sociale, cette caisse étant un organisme de droit privé chargé d’une mission de service public…” Il entache son raisonnement d’une confusion grave, il confond l’obligation avec le monopole.

Il est en contradiction totale avec les lois européennes. Il entérine une situation qui n’était pas celle-là initialement, qui n’est que la résultante de dérives et incompétences dramatiques que lui et l’Etat couvrent !!!

Les escrocs sont confortés dans leur escroquerie, les victimes sont condamnées, c’est “pousser le bouchon un peu trop loin Maurice”.

Quand Salomon écrit : “La CIPAV n’est pas une mutuelle, mais un organisme de droit privé chargé d’une mission de service public”, il affirme dangereusement.

En effet, prenons l’hypothèse avancée, il est clair que la CIPAV ne pourrait pas émettre une facture sans justifier de sa réalité légale d’entreprise privée et du marché de service public dont elle aurait été l’adjudicataire.

C’est-à-dire que les affirmations avancées par Salomon ne reposent sur aucune pièce, alors qu’il n’ignore pas que j’ai demandé dans mes écritures que la CIPAV justifie de ses droits à facturer.

En se contentant d’une simple affirmation Salomon trahit sa mission, mais peut-il faire autrement ? Non.

Nous irons donc en appel, l’affaire se présente bien.

Quand Salomon n’écrit pas : “Les cotisations demandées à M. Dumas ne lui donne droit à rien…”

Car si Salomon est prolixe sur le calcul des cotisations il est muet sur le fait qu’elles sont demandées sans prestation en retour, qu’il s’agit donc non pas d’une cotisation mais bien d’un impôt.

Il ne nous fait pas part du type de mission de service public qui permettrait à la CIPAV de lever un impôt….

Silence radio sur ce point.

Alors oui, ce jugement dénote soit d’une fuite judiciaire soit d’une adhésion à une croyance dans laquelle la justice et la raison n’ont pas leur place.

Pour finir je propose,

A ceux d’entre vous qui sont des entrepreneurs, de lancer une société compatible avec le Code de la Sécurité Sociale.

Il s’agirait de répondre aux exigences de ce code quand à l’obligation d’adhérer à une assurance de retraite vieillesse lorsque l’on travaille, mais uniquement dans le cadre de ceux qui, déjà retraités, ne perçoivent aucune prestation en retour de leur cotisation.

Nous demanderions à assurer ce service public.

Ainsi nous éditerions des cotisations sans avoir à assurer de prestation, mais nos clients seraient en règle avec le CSS, nous leur enverrions une attestation à cet effet.

Je pense que nous pourrions assurer cette prestation pour 5 à 10 € par an. Nous sommes sûrs d’être adjudicataires du marché en comparaison des coûts exigés par la CIPAV pour la même prestation. Très bonne affaire. Nous embaucherions Salomon pour les détails juridiques tant il est doué, après sa retraite évidemment.

Bien cordialement. H. Dumas

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Harcèlements et viols fiscaux illimités (Vidéo)

Bonjour,

Bien cordialement. H. Dumas et E. Bolling

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Le Bitcoin, avec Vincent Ginocchio

Toujours à Dax, à l’occasion du huitième Weekend de la liberté organisé par le Cercle Frédéric Bastiat, j’ai eu l’honneur de rencontrer et d’interviewer Vincent Ginocchio, ancien président de Liberté Chérie, spécialiste du Bitcoin.

Le Weekend de la Liberté est une manifestation animée par notre ami Patrick de Casanove, à Dax. Ces rencontres libérales  sont fructueuses et alimentent réellement la réflexion sociétale et politique. Je ne peux que vous conseiller d’y participer l’année prochaine.

Dans cet interview vous apprendrez ce que vous ne savez pas sur le Bitcoin, ou vous conforterez vos connaissances.

Regardez cette vidéo et faites vous votre avis. Comme pour moi, ça n’engagera que vous.

Cordialement. H. Dumas

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Résistants : levez-vous.

Hier, Dimanche 15 Octobre 2017, j’étais au deuxième congrès des Libérés de la Sécu.

Très aimablement invité par Claude Reichman pour faire un exposé sur la zone de non droit des contrôles fiscaux, je me suis retrouvé devant une salle composée de plus de trois cents résistants.

L’âge moyen était de trente à cinquante ans, la pleine force. J’ai ressenti la détermination qui remplissait la salle, j’ai été envoûté.

En même temps, la grande souffrance liée au seul fait de résister était palpable.

J’ai complètement oublié mon sujet.

J’ai voulu parler de résistance, de combat. Y suis-je arrivé ? Je ne sais pas.

Les pillards

Dans un premier temps je me suis employé à définir les pillards, ceux qui nous prennent nos vies et nos biens.

Chaque fois le schéma est le même.

Tout part d’une idée envahissante pour l’homme mais un peu informelle, circonstancielle, par exemple la temporalité.

Cette faculté qui appartient exclusivement aux hommes de comprendre que leur temps personnel a une durée finie pendant qu’ils font partie d’un ensemble qui parait ne pas en avoir, être éternel.

Les hommes appellent ce mystère “Dieu”, il s’agit évidemment d’une abstraction, d’un concept.

Arrivent alors les escrocs, les pillards. Ils se font appeler les hommes de “Dieu”, ils n’hésitent pas à nous dire qu’ils sont en prise directe avec cette abstraction “Dieu”. Ils prétendent alors le connaître au point de nous dicter ses ordres et évidemment nous monnayer leurs informations. Ils prennent au passage notre liberté et nos biens. Ils s’associent à cet effet avec les hommes d’armes.

Ce type de pillage est dépassé dans nos sociétés, mais encore en pleine activité dans d’autres.

Dans notre société l’idée de départ est autre.

Nous savons tous au fond de nous qu’il est des fois où la vie oblige les hommes à se regrouper pour faire face à des difficultés qu’ils ne pourraient pas affronter seuls. Oui mais voilà, en cas de besoin ce regroupement aurait-il lieu naturellement ? L’organisation de ce regroupement potentiellement nécessaire c’est le mystère, l’abstraction, que nous appelons l’Etat.

Ici aussi arrivent les escrocs, les pillards, ils se font appeler les hommes de l’Etat, ils n’hésitent pas à prétendre qu’ils savent de quel regroupement nous avons besoin, qu’ils savent le gérer. Ils nous menacent, si nous ne les écoutons pas, de nous retrouver tout seul et tout nu en cas de besoin d’action de groupe.

Ils nous somment de payer leurs services et nous imposent au passage des contraintes pour entraver notre liberté et augmenter notre dépendance à eux.

Ils sont aujourd’hui au bout de leur escroquerie, la révolte gronde, leurs jours sont comptés, car ils sont démasqués par les résistants et le seront bientôt par le plus grand nombre à l’occasion de leur faillite, qui va être retentissante.

En effet, tous ces escrocs ne peuvent faire que faillite, la raison en est simple : Ils exigent d’être payés d’avance.

Or, la vie ne se comprend que si l’on donne d’abord pour recevoir après. Eux veulent recevoir d’abord et donner après, c’est ce qui fait d’eux des escrocs qui ne peuvent que faillir.

Mais attention déjà se lèvent les prochains.

L’idée sous jacente de ceux-ci est que la planète pourrait devenir invivable. Pourquoi pas ? On voit bien l’angoisse que cela génère. Cette idée se qualifie par une abstraction que l’on appelle l’écologie, qui impute le risque avancé à l’action de l’homme. Ridicule, qu’est-il dans les forces en présence ? Rien.

Aussitôt pourtant arrivent encore les escrocs, les pillards, ils s’appellent maintenant les hommes de l’écologie ou les défenseurs de l’environnement. De quel environnement s’agit-il ? Du cosmos, de l’univers, de mon studio ?

Toujours les même balivernes, soumettez-vous disent-ils et envoyez la monnaie.

La résistance

Alors, lorsque l’on est face à des résistants, une pleine salle, on a envie d’abord de les féliciter tant ils sont une rareté, puis de leur dire qu’il faut non seulement résister mais aussi se préparer à prendre le pouvoir, à protéger la liberté individuelle, la liberté de son être et de son avoir, à repousser les assauts de ces soi-disant initiés de tout poil qui ne sont que de pales escrocs, qu’ils arrivent déguisés en évêques, en énarques, en élus, en écologistes ou autre.

Car, si les résistants ne se lèvent pas pour opposer une fin de non recevoir définitive à tous ces pillards, leur constante succession aura raison de la liberté individuelle, des progrès de l’humanité par le miracle de cette liberté individuelle, seul gage de créativité, de tolérance, de progrès, d’amour.

Bonne chance à Claude Reichman et aux siens, souhaitons-leur tout le succès et la notoriété que mérite leur combat opiniâtre et juste, qui déborde aujourd’hui largement leur sujet initial le RSI, mort et sur le point d’être enterré.

Bien cordialement. H. Dumas

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Rencontre avec Charles GAVE

Toujours à Dax, à l’occasion du huitième Weekend de la liberté organisé par le Cercle Frédéric Bastiat, j’ai eu l’honneur de rencontrer et d’interviewer Charles GAVE, économiste et homme d’affaire international, pragmatique, qui ne pratique pas la langue de bois.

Le Weekend de la Liberté est une manifestation animée par notre ami Patrick de Casanove, à Dax. Ces rencontres libérales  sont fructueuses et alimentent réellement la réflexion sociétale et politique. Je ne peux que vous conseiller d’y participer l’année prochaine.

Dans cet interview vous serez frappé par deux choses :

  • Charles Gave avait prédit les distorsions ingérables de le monnaie unique — l’€ —  pour des nations aux économies inconciliables.
  • Il propose l’abandon de l’€ et l’interdiction aux fonctionnaires de cumuler la garantie du statut et une fonction élective.

Regardez cette vidéo et faites vous votre avis. Comme pour moi, ça n’engagera que vous.

Cordialement.  H. Dumas

 

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L’imbécile confusion

Il y a une imbécile confusion à confondre les signes extérieurs de richesse avec les signes extérieurs de consommation.

Ce mélange constant entre le capital et la consommation est non seulement insupportable mais socialement suicidaire, d’autant que la foule y croit, aiguisée par son fond hideux d’envie.

D’abord les signes extérieurs

Peut-on vivre sans signe extérieur ? Comment pourrait s’organiser une société sans signe extérieur ? Les tribus les plus primitives cultivent les signes extérieurs.

Car, en réalité, lorsque l’on rencontre son prochain, que voit-on en premier si ce n’est ses signes extérieurs ? Ce sont eux qui le définissent.

Peut-on imaginer un SDF faisant la manche en costume trois pièces impeccable ou un ministre allant à son ministère habillé en SDF ?

Bien plus, une des qualités essentielles pour survivre dans l’organisation des hommes est justement la sensibilité qui permet de reconnaître les signes extérieurs sincères de l’honnête homme de ceux falsifiés de l’escroc.

Donc, nous mettons tous un soin particulier à veiller au bon emploi de nos signes extérieurs. Certains transgressent volontairement leurs règles, d’autres les appliquent avec précision, tous sont jugés par rapport à cela.

Il s’agit d’un premier jugement évidemment, si l’occasion nous est donnée de rentrer en connaissance plus approfondie avec quelqu’un, alors les signes extérieurs qui le définissent seront moins importants à nos yeux, mais ils seront toujours là, en contrepoint s’il le faut.

Pensons aux magistrats et à leurs Palais de Justice, à leurs estrades et à leurs accoutrements nécessaires à leur autorité. Pensons à nos hommes politiques, à leurs mairies, leurs  conseils généraux ou régionaux luxueux, leurs voitures de fonction, leurs huissiers, sans lesquels ils auraient l’impression d’être nus.

Et que dire de nos militaires, de nos gendarmes, de notre police qui pour rien au monde ne se départiraient de leurs uniformes et autres signes extérieurs d’autorité.

Alors pourquoi les rois de l’économie n’auraient-ils pas besoin des signes extérieurs de richesse qui les mettent à la place sociale qu’ils revendiquent dans leur système ?

Que pour chacun d’eux cela soit ou non justifié, là n’est pas le problème.

Pourquoi chaque homme aurait-il la nécessité de signes extérieurs d’existence et pas les acteurs économiques ? C’est absurde.

De la confusion entre les signes extérieurs

Sauf les mythomanes avérés, rares sont ceux qui se déguisent en gendarme, si l’on exclut le sympathique animateur de rue de Saint Tropez.

Tout simplement la chose est totalement interdite, tant la puissance du signe extérieur permettrait alors tous les excès.

Il n’y a pas, dans l’esprit de la population, de confusion entre la jouissance du pouvoir autorisée par l’uniforme et la fonction respectée du gendarme. Personne ne revendique le droit de se déguiser en gendarme le weekend pour satisfaire un souhait de commandement.

Il ne vient pas à l’idée de nos énarques de taxer les signes extérieurs de la maréchaussée.

Pouvoir et signes extérieurs du pouvoir sont acceptés, ne sont pas revendiqués par ceux qui sont extérieurs au pouvoir. Alors que dans l’absolu ils le pourraient, peut-être certains en rêvent-ils d’ailleurs ?

En réalité, personne ne confond le pouvoir qu’il s’octroie personnellement et les signes extérieurs du pouvoir que la société attribue à ceux à qui elle confie officiellement le pouvoir.

Les signes extérieurs de richesse

Ils sont évidemment un étalage de richesse, c’est une évidence.

Tout un chacun est impressionné par le Quatari qui finance le PSG, c’est un signe extérieur de sa richesse. Tout comme l’achat par tel chinois d’une propriété dans le bordelais. Evidemment yachts et jets font partie de cette panoplie sans laquelle un entrepreneur n’est pas reconnu par ses pairs à l’échelle du monde.

Nul ne peut nier qu’une certaine vulgarité, souvent liée à l’exagération, peut entacher les signes extérieurs.

Il en est ainsi, la plupart du temps, des uniformes du pouvoir des dictateurs, ainsi que de certains signes extérieurs de richesse des nouveaux riches.

Mais cela n’a pas d’incidence sur la nécessité des signes extérieurs qui, dans le cas des signes de richesse, lorsqu’ils sont discrets pour les non initiés sont souvent encore plus coûteux pour les initiés.

Le signe extérieur de richesse doit être coûteux, très coûteux, c’est la raison même de son existence. Est-il pour autant un acte de consommation personnelle ?

La réponse est non.  D’abord parce qu’il est une obligation, ensuite parce qu’il est une charge. Il n’est pas libre. Or la consommation, elle, est libre, c’est même sa définition.

Tout comme l’uniforme est une contrainte rapidement plus lourde que ses avantages — Lady Di en souffrait terriblement — les signes extérieurs de richesse sont plus contraignants que gratifiants.

Quel intérêt de les imposer lourdement ?

Absolument aucun.

Pourquoi ne pas imposer les robes des magistrats, l’uniforme des gendarmes, les palais de la république; etc…

L’imposition des signes extérieurs est absurde, cela revient à imposer les signes de reconnaissance dont les hommes ont besoin entre eux pour se retrouver dans le labyrinthe de l’organisation sociale.

Sauf à vouloir volontairement perdre une catégorie sociale dans ce labyrinthe, la neutraliser pour la voir disparaître, il est absurde de l’amputer de ses signes extérieurs.

C’est bien tout le problème soulevé par l’imposition des signes extérieurs de richesse, il ne s’agit pas de justice sociale, mais d’éradication des riches.

Que cela soit dit. Au moins nous saurions où nous en sommes.

Un pays qui voue ses riches à la disparition doit assumer les conséquences pour lui dans le monde, que chacun connait.

Stop donc à l’imbécile confusion. Soyons clairs sur ce sujet.

Cordialement. H. Dumas

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Rencontre avec le professeur Pascal SALIN

Toujours à Dax, à l’occasion du huitième Weekend de la liberté organisé par le Cercle Frédéric Bastiat, j’ai eu l’honneur de rencontrer et d’interviewer Le Professeur Pascal SALIN.

Le Weekend de la Liberté est une manifestation animée par notre ami Patrick de Casanove, à Dax. Ces rencontres libérales  sont fructueuses et alimentent réellement la réflexion sociétale et politique. Je ne peux que vous conseiller d’y participer l’année prochaine.

Dans cet interview vous serez frappé par deux choses :

  • La tolérance et la confiance en l’homme de cet éminent économiste. Cela nous change vraiment de la suspicion généralisée dans laquelle nous vivons, exacerbée par les politiques et les médias. C’est un grand bol d’air et de respect pour l’individu, sa liberté, la propriété de sa personne et de ses biens.
  • Mon intrusion excessive dans la discussion. Merci d’avoir la bonté de m’en excuser.

Regardez cette vidéo et faites vous votre avis. Comme pour moi, ça n’engagera que vous.

Bien cordialement. H. Dumas

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Quand les mots nous manquent.

Très aimablement invité à Dax au Weekend de la Liberté du Cercle Frédéric Bastiat par notre ami Patrick de Casanove, j’ai dû faire face à la difficulté qu’il y a à expliquer la souffrance générée par les injustices chroniques d’un contrôle fiscal.

J’y ai renoncé me contentant d’indiquer : “Je tiens un blog qui est une sorte de léproserie pour contribuables en stade final”. En quelque sorte j’ai fui face à la difficulté. Comment faire autrement ?

Les mots ne suffisent pas pour imager le gouffre qui s’ouvre sous les pieds du contrôlé fiscal lorsqu’il prend connaissance de sa notification de redressement, qui ne correspond jamais, jamais, à une quelconque réalité.

Ce jour là, il entrevoit sa disparition sociale totale. Il est en état de choc. Et ce n’est qu’un début.

Pour comprendre cette difficulté de communication imaginez, sans télévision, sans image, l’émotion qu’aurait provoquée en vous le cyclone Irma qui a frappé l’île Saint Martin. Probablement une compassion fugace, nuancée par l’idée que le reste du temps ces îles sont paradisiaques, que donc ce n’est que les contraintes de la vie qui passent de l’un à l’autre, un jour pour eux, un jour pour vous. Vous seriez rapidement revenus à vos propres soucis.

Mais là, devant votre écran, face aux images, votre stupéfaction n’a pu être que totale en voyant tant de destruction. Vous avez vu tout détruit, vous n’avez pas cherché à savoir ce que chacun faisait ou était avant, vous avez immédiatement compris que tous ne sont plus rien.

Il est des cas où les mots ne servent à rien pour décrire les choses, il faut soit les vivre soit en voir directement les conséquences.

Il en fut ainsi de l’holocauste, de la famine en Russie en 1931, en Chine en 1958, du génocide Rwandais de 1994, autant de choses que les mots ne peuvent ni raconter ni prévoir, que les hommes constatent toujours après, hébétés et saisis par l’incrédulité face à l’horreur absolue incluse dans ces folies.

C’est le cas du contrôle fiscal.

Prospérant dans une zone de non droit, le contrôle fiscal s’épanouit dans une ambiance assez semblable à celle de l’inquisition.

Il a en effet ses inquisiteurs qui fabriquent de toutes pièces des preuves écrasantes de la culpabilité de personnes la plupart du temps innocentes, mais dont les activités seraient susceptibles de les rendre coupables.

Pourquoi ces inquisiteurs font-ils cela ?  D’abord parce qu’ils aiment le faire, ensuite parce qu’ils y trouvent un intérêt personnel et enfin parce qu’ils finissent par y croire, même s’ils n’y croyaient pas dès le début.

La croyance est essentielle, ici comme ailleurs elle défie la raison.

En conséquence, pour se protéger, tous y croient.

C’est ici que les mots deviennent inutiles, leur subtilité ne peut rien face à la carapace de la croyance. Le contrôlé fiscal ne peut en aucun cas espérer communiquer sa souffrance, et surtout pas évidemment son intensité.

Tous doivent impérativement croire que l’Etat providence est le bonheur sur terre, que le seul obstacle à ce bonheur est la fraude fiscale, que donc son éradication justifie toutes les horreurs.

Alors qu’une simple réflexion de bon sens permettrait de prendre conscience que, quand bien même quelques-uns dissimuleraient une part de leurs bénéfices, ce ne serait pas très grave.

L’important est qu’une économie fasse des bénéfices, ceux-ci constituant le moteur qui lui est essentiel. Pendant que toute destruction des créateurs de bénéfices est un acte suicidaire pour une société.

La fraude fiscale n’étant pas particulièrement répandue, contrairement aux affirmations des inquisiteurs, se sont en réalité eux qui sont les fossoyeurs de notre économie par leurs destructions inconsidérées de nos entrepreneurs innocents.

Cette situation invraisemblable se traduit par une chaine de non-dits, accompagnée d’une inversion des réalités, qui excluent toute communication.

A réception de la notification, le contribuable se trouve projeté dans l’arène où il va trouver la mort. Les avocats fiscalistes seront ses picadors, la justice son matador, les autres son ultime souffrance la raison du spectacle dont il va faire les frais.

Rien ne sera vrai, sauf sa mort sociale.

Comment, dans ces conditions, le contribuable pourrait-il espérer s’en sortir en criant la vérité ?

C’est pourtant ce qu’il va faire, ce que j’ai fait, ce qu’impuissant je vois ce faire aujourd’hui sur mon blog.

Lorsqu’il comprend, trop tard, il est mort.

Et pourtant, tout le rituel est connu, chaque étape de son calvaire est répertoriée, déjà vécue et racontée par des milliers de malheureux avant lui, qu’il n’a pas cru, qu’il ne croit d’ailleurs toujours pas, même à sa dernière heure.

Quand je vous dis que les mots nous manquent…..

Cordialement. H. Dumas

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Agnès Verdier Molinié : première femme Présidente de La République ?

C’est à Dax, à l’occasion du huitième Weekend de la liberté organisé par le Cercle Frédéric Bastiat, que j’ai eu l’occasion de rencontrer et d’interviewer Madame Agnès Verdier Molinié, Directrice de la fondation iFRAP.

Le Weekend de la Liberté est une manifestation animée par notre ami Patrick de Casanove, à Dax. Ces rencontres libérales  sont fructueuses et alimentent réellement la réflexion sociétale et politique. Je ne peux que vous conseiller d’y participer l’année prochaine.

Après cet interview je me suis dit : “Une femme Présidente de La République en France, ce serait peut-être la fin de ces “ego machos” qui tout doucement nous entraînent vers la violence et nous font passer à côté de la raison. Cette femme pourrait être Agnès Verdier Molinié tant son discours est dépassionné, précis, rationnel, constructif”.

Regardez cette vidéo et faites vous votre avis. Comme pour moi, ça n’engagera que vous.

Bien cordialement. H. Dumas

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Olivier Selmati, un énarque à la tête d’une bande d’escrocs (vidéo).

Bonjour,

Bien cordialement. H. Dumas et E. Bolling

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Délation et pénurie : les deux virus attachés au collectivisme égalitariste.

Le corps social, tout comme le corps humain, peut attraper de vilaines maladies qui l’affaiblissent, le rendent impotent, puis le tue.

Certaines de ces maladies du corps social présentent des symptômes caractéristiques qui permettent de les diagnostiquer.

Par exemple le communisme, qui se présente comme la version pratique des philosophies collectivistes et égalitaristes, se reconnait à la présence de deux virus particulièrement dangereux : la délation et la pénurie.

La délation            

Ce virus nait dans le cadre classique de la lutte de la raison contre la croyance. Il est essentiellement attaché aux organisations dogmatiques.

Né de la croyance, il envahit et détruit la raison dans les sociétés où l’Etat, cette abstraction bâtie justement sur la croyance, est prépondérant.

Ce type de société, qu’elle soit matérialiste ou religieuse, se structure autour d’un dogme, à laquelle certains croient pendant que d’autres font semblant d’y croire.

L’organisation sociale étant établie par rapport au dogme, celui-ci n’ayant pas de traduction matérielle évaluable, la fidélité à ce dogme prête à interprétation, à évaluation relative.

Dans ces conditions il est intéressant de dénoncer son voisin, deux avantages en sont tirés : d’une part on se débarrasse à bon compte de ce dernier pour peu que l’on ait une dent contre lui, d’autre part on fait preuve de fidélité au dogme par ce biais et l’on peut tirer des avantages substantiels de cette marque de fidélité.

La délation prospère en société dogmatique. Mais la délation détruit totalement le lien social.

Du simple fait que plus personne ne peut faire confiance à qui que ce soit, on comprend aisément à quel point le lien social est rompu par cette suspicion constante entre tous les membres du groupe.

La pénurie

L’organisation sociale par le dogme privilégie l’attachement à celui-ci, même au détriment de l’excellence ou de la compétence.

Quand bien même ils ne sont pas systématiques, la récurrence des conflits entre respect du dogme et créativité ou compétence ainsi que les dégâts personnels qu’ils génèrent font que petit à petit les hommes compétents fuient ou se retirent au maximum  des activités du groupe.

A terme, ces activités pâtissent lourdement de cette situation. C’est alors que la pénurie survient, marqueur inévitable de la disparition des compétences.

Témoignage

A l’occasion du Weekend de la Liberté, organisé tous les ans en Septembre à Dax par le Cercle Frédéric Bastiat, j’ai eu l’occasion d’interviewer M. Nicolas Lecaussin, Directeur de l’IREF (Institut de Recherche Economiques et Fiscal), né en Roumanie.

Il a vécu le régime communiste jusqu’à la chute du mur de Berlin qui a entrainé la fin du communisme dans les pays satellisés, il avait alors 20 ans.

Je vous joins cette vidéo, dont le son fait défaut en ce qui me concerne, mais est parfait pour M. Lecaussin, ce qui est l’essentiel.

Cordialement. H. Dumas

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La misère tue. Donne-t-elle pour autant le droit de tuer ?

La misère détruit l’homme. Les exemples ne manquent pas qui nous permettent de constater la réalité de cet axiome.

Cela peut être le fait de la nature à travers sa dureté ou les catastrophes naturelles, ou encore tout simplement d’une inadaptation, maitrisable ou non maitrisable, de certains à acquérir des biens matériels protecteurs.

Cela peut être aussi le fait du vol ou du pillage par d’autres hommes.

Dans tous les cas la misère fait la démonstration de l’absolue nécessité des biens matériels, de l’impossibilité de les dissocier de la vie des hommes, aussi du fait qu’un homme est composé de son corps, de son esprit et de ses biens.

Toute atteinte à l’une de ces trois composantes est une atteinte à son intégrité d’homme, que rien, en aucun cas, ne peut justifier.

S’il fallait une preuve de la légitimité de la propriété privée, cette démonstration des dégâts irréversibles engendrés par son absence l’apporterait.

Il n’est pas besoin de pousser le raisonnement plus avant, la misère tue, nous le savons tous.

Peut-on légitimement tuer au nom de la misère ?

Ce questionnement porte sur deux aspects du problème, le meurtre direct en tant que légitime défense de la misère, le meurtre indirect par le pillage du bien d’autrui — entraînant sa misère donc sa mort —  au motif de la réduction de la misère du pilleur.

Le meurtre direct

Il est rarement mis en œuvre par le miséreux lui-même. Souvent il le retourne contre lui-même, c’est le suicide. Ou encore, le meurtre direct d’autrui par le miséreux est simplement un dérapage du vol ou du pillage.

Plus globalement le meurtre lié à la misère est rarement imputable aux miséreux eux-mêmes. Il est initié par des hommes de pouvoir qui le pratiquent au nom de la misère, mais à des buts trivialement personnels.

Ainsi par exemple Che Guevara tuait-il à l’unité, sans nécessité, au nom des miséreux qu’il prétendait représenter.

Il faut noter que les hommes de pouvoir qui tuent au nom des miséreux pratiquent en règle générale le meurtre de masse. C’est ici tout particulièrement que va se poser la question de la légitimité du meurtre au nom de la misère.

L’homme de l’Etat pratique assez facilement le meurtre de masse, il en est même fier. Il le déguise sous forme de guerres qu’il prétend justes, d’ordre indispensable, de punition des asociaux, d’avènement de l’homme nouveau, etc…

Mais, et c’est là que la question trouve toute sa légitimité, le meurtre de masse est pardonné, voire glorifié, lorsqu’il s’habille de l’image de la défense du miséreux, il est banni pour tout autre motif.

Il s’agit là d’une réaction commune, pour moi énigmatique.

Le meurtre indirect

C’est le plus courant. Il s’agit de plonger dans la misère des hommes et des femmes qui ne demandaient rien à personne et organisaient par eux-mêmes l’environnement matériel nécessaire à leur protection vitale, sans motif réel autre que par exemple la redistribution ou la participation à l’effort national, la création d’un homme nouveau, d’une société nouvelle, etc…

C’est ainsi que Staline d’abord puis Mao ensuite ont pillé leurs agriculteurs au point d’entrainer leur mort, par millions.

Ce type de meurtre date de la nuit des temps, il est imagé dans la parabole de Job où Satan et Dieu complices dépossèdent le riche Job sans que personne n’y trouve à redire. Ils le laissent pour mort, détruit par la misère, jusqu’à l’extrême limite.

Quand le tueur est Bercy

Bercy agit ainsi avec nous. Bercy nous dépossède, laisse certains si faibles que la mort les attend. N’hésite pas à ruiner des familles entières sur plusieurs générations, pratiquant ainsi le meurtre familial.

Bercy se cache pour piller derrière l’idée d’éradiquer la misère par la redistribution.

Evidemment la misère demeure, le troc est dur pour celui qui y est plongé sans raison autre que les baïonnettes de Bercy, mais la combine marche.

Les meurtres indirects de Bercy passent pour autant d’actes de bravoure, la foule applaudit.

C’est par centaines de milliers, voire par millions avec le temps, que Bercy ruine et tue au nom de la misère.

Conclusion

Oui, l’expérience prouve que la misère a le droit de tuer.

Du fait qu’elle ne peut pas être éradiquée pour de multiples raisons, vivre demande beaucoup de discrétion et de prudence pour ne pas devenir la cible des miséreux tueurs ou de leurs représentants autoproclamés.

Cordialement. H. Dumas

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