Tous les articles par Henri Dumas

A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

Bayrou a raison sur trois points

A dire vrai je ne connais pas Bayrou. En réalité je n’ai jamais croisé ses activités politiques, ses pouvoirs, je ne peux donc pas apprécier sa personnalité, ses qualités ou ses défauts.

Mon fonctionnement, très basique, très empirique, demande une connexion directe ou indirecte avec les personnes sur un sujet que je maitrise à minima pour enclencher le processus qui va me permettre d’avoir une idée de celui, ou de celle, qui est en face de moi. Le recueil d’informations extérieures ne m’est d’aucun secours, tant je n’y accorde que peu de foi.

Donc, j’ignore tout de Bayrou, qui n’est jamais passé devant mon petit radar personnel.

Pour Barnier j’avais un repère, son éventuelle sincérité était décapitée net pour moi dès lors qu’il avait accepté de prendre pour chef de cabinet Fournel, celui-là même qui avait permis à Macron de dépenser notre fric indument en tant que chef administratif de Bercy, qui était le chantre de la terreur fiscale, qui à ce tire proposait de m’embastiller, pas moins…

Rien de comparable avec Bayrou.

Ma première émotion est donc liée à ses premières déclarations, et… j’y adhère !!!

Incroyable, non ?

Je m’explique.

Quand Bayrou ne se précipite pas à Mayotte, j’adhère.

Je pense à Zelensky qui répond à Biden lui proposant de l’évacuer : « J’ai besoin d’armes, pas d’un taxi ».

Ce ne sont pas des hommes sandwichs faisant leur publicité politique dont ont besoin les habitants de Mayotte, mais de nourriture, de matériaux de soins et de construction. Qui d’ailleurs auraient dû être présents sur l’île depuis longtemps, avec des abris dédiés, pour cette région à lourds risques climatiques.

Quand Bayrou propose la proportionnelle, j’adhère.

Ce sont les combines liées au vote à la majorité qui empoisonnent notre débat politique. D’abord par l’apparence du résultat qui amène à le confondre avec une prise de pouvoir alors qu’il s’agit d’un simple mandat. Ensuite par la création d’alliances contre-nature pour l’obtention de la majorité. Et enfin parce que les oppositions qui n’accèdent jamais au pouvoir se radicalisent dangereusement, et entrainent en retour une rigidification du pouvoir en place,  alors potentiellement sujet à tous les excès.

Globalement la violence nait de l’impossibilité des minorités d’appréhender la réalité de leurs idées. La démocratie doit permettre la confrontation des idées à la réalité, elle en a le pouvoir et elle est capable d’en définir les limites par le vote.

Quand Bayrou veut revenir au cumul des mandats, j’adhère.

Un mandat un élu est  un non-sens. Cela multiplie, inutilement et presqu’à l’infini, le nombre d’élus, les rendant anonymes pour la population qui alors ne connait plus la personnalité des candidats pour qui elle est appelée à voter.

L’élu a besoin d’une compréhension de l’ensemble de la société. Plus il a de mandats, plus cette compréhension s’étoffe et plus, complémentairement, ses électeurs vont le connaître et voteront alors pour lui en connaissance de cause.

A contre-courant.

Quand je lis la presse, je m’effraie d’être si intensément à contre-courant.

En même temps, il y a si longtemps que ça dure…et puis… ça peut changer… je veux dire que la presse pourrait adhérer à mes idées (non, je plaisante…).

Bien à vous. H. Dumas

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FANTASME, REALITE ET VERITE.

En titre de ce billet des sujets sur lesquels l’humanité réfléchit depuis longtemps. Pour autant, ne doit-on y penser ou en parler qu’après avoir au préalable pris connaissance de tout ce qui a été dit sur eux.

Certainement diront ceux qui s’arrogent l’exclusivité du droit à exprimer des pensées, au prétexte fallacieux qu’iIs auraient autorité du fait qu’ils possèdent un savoir acquis des autres.

Bien sûr que non diront les curieux ouverts qui acceptent l’idée d’exposer candidement leurs réflexions au fur et à mesure qu’elles arrivent, indépendamment de ce que l’on peut déjà savoir. Exposer ses réflexions n’est pas fatalement une compétition, ce peut être un simple souhait de partage sans prétention. La redite n’est pas une infamie, elle n’entrave pas les marges d’évolution.

Je me range dans la deuxième catégorie, donc : « en avant Simone… ».

Ce billet m’est venu en pensant à l’incroyable aventure du Marineland d’Antibes. J’ai le souvenir de la création de ce parc à thèmes dans les années 70. Son succès fut foudroyant. L’amour supposé entre les cétacés et l’homme trouvait ici son heure de gloire. Les enfants étaient amenés en visite en masse. Les jeunes gens épris de nature et d’écologie rêvaient d’être soigneurs ou dresseurs de dauphins. L’homme et l’animal accédaient à un bonheur commun. C’était le fantasme populaire, transformé en réalité.

Puis, en 2015, les inondations sur la côte d’azur ravagent le Marineland d’Antibes, et dans le même temps les fantasmes populaires bifurquent de 180°. Oui, l’amour entre dauphins et hommes est toujours d’actualité, mais chacun libre et dans son espace dédié.

Alors, de génies dans la compréhension de la nature, les créateurs du Marineland deviennent des parias profiteurs et esclavagistes de cétacés.

En janvier 2025, sous les coups de boutoir de la nouvelle réalité pour la population et des lois complices qui l’accompagnent, le Marineland fermera ses portes.

N’est-ce pas extraordinaire de constater que la réalité, fille de fantasmes, s’impose à tous, et peut changer du tout au tout au fil du temps, en restant la réalité.

Mais alors, où est la vérité ?

Nous sommes surs, à partir de cet exemple, qu’elle n’est pas fatalement dans la réalité. Donc elle est ailleurs. C’est quand même un problème, non ?

Comment la trouver ? Car elle est, évidemment. Quoique…

Disons qu’elle est peut-être dans le raisonnement…

Les dauphins et les hommes sont au sommet de la chaine alimentaire, les uns dans les océans, les autres partout. La lutte entre eux pour la nourriture est perpétuelle, elle engloutit tous les présupposés initiateurs de fantasmes puis de réalité.

Une vérité demeure : ce sont les prélèvements conjugués des cétacés et des hommes sur la richesse nutritionnelle maritime commune. C’est elle qui actionne les fantasmes et donc les réalités. C’est d’elle dont on ne parlera jamais ou très peu.

Pourtant, c’est elle, au fil des équilibres, qui commande, qui génère les fantasmes. Thons et dauphins libres et protégés, plus les hommes, égale la disparition prévisible des ressources maritimes. Alors, les fantasmes et les réalités ont largement le temps de se modifier au fil de cette vérité qui est la clef invisible de tout.

Extension à l’actualité.

S’il est une réalité omnidirectionnelle, sans cesse bifurquant, c’est bien la sexualité.

Sa vérité est existentielle, puisque sans elle il n’est pas de reproduction. On n’en parle jamais, ou très peu, sous cet angle. Alors que sa réalité est agitée de fantasmes d’une puissance hors du commun, qui vont de la négation totale aux extrêmes les plus invraisemblables.

C’est ainsi que chaque société possède sa solution pour gérer l’incroyable dichotomie existant entre les femmes et les hommes. Certaines sociétés donnant le pouvoir aux premières, d’autres aux seconds selon le temps et les émotions.

La vérité est bien loin de tout ça et jamais évoquée.

A ce sujet l’exemple de l’affaire de Mazan est exceptionnel. Où est la réalité dans cette affaire. Est-elle dans le prétoire et ses résultats, ou ailleurs ?

Quel fantasme et sa réalité ont prédominé ? L’époux pervers se croyant manipulateur ou l’épouse effacée mais redoutable, qui en quelques jours renverse une situation désespérée en un pouvoir mondial, universellement reconnu, ce qui n’est pas une mince affaire.

L’affaire Mazan correspond à un fantasme sociétal, elle est une réalité : sa réalité, évolutive ou non à terme. Mais elle n’est pas une vérité comme on tente de nous l’asséner.

La vérité est que l’acte sexuel est incontournable de la reproduction, tout ce qui l’entrave réduit la reproduction. Les fantasmes et leurs réalités évoluent en fonction de cette vérité sans pourtant que jamais on la mette en perspective.

Qui plus est, nous ne saurons jamais, et cela importe peu, la réalité exacte de cette affaire, nous n’en connaissons que l’apparence qui n’est pas sympathique, c’est le moins que l’on puisse dire… mais aussi la publicité faite autour, pas plus sympathique, bien que peut-être efficace mais sans certitude.

Elle exacerbe l’antagonisme naturel entre les hommes et les femmes, en est-il besoin ? N’est-il pas déjà suffisamment existant naturellement. La sexualité siège de douleurs et de questionnements existentiels colossaux a-t-elle besoin de drames, voulus ou accidentels, pervers ou naïfs, dangereux ou délirants ?

Je ne sais pas. On s’y perd, comme on se perd entre tous les fantasmes, toutes les réalités qu’ils génèrent, et en fond la vérité supposée jamais avérée.

Evidemment le paragraphe sur la politique et ses fantasmes, sa réalité et sa vérité reste à ouvrir. Gardons le pour un prochain billet.

Bien à vous. H. Dumas

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FOURNEL, la preuve par neuf…

Jerome Fournel était interrogé le 5 décembre 2024 par les membres de La Commission d’enquête sur les déficits et prévisions budgétaires.

Vous pouvez visionner sa prestation ici

Ou encore lire le compte rendu officiel ici

Que dire de cette mascarade ?

D’abord prenons acte du fait que Jerome Fournel est intelligent, qu’il a du répondant et l’assurance d’un homme qui détient le pouvoir et qui en jouit. Autant de qualités qui le rendent très dangereux.

L’histoire a déjà eu l’occasion de braquer ses projecteurs sur des personnages tout en efficacité, sans aucun sens d’humanité, allant pour certains jusqu’à se justifier d’une grande efficacité dans les déplacements ferroviaires, sans se poser la question de la destination finale des voyageurs.

Ecrasés par un verbiage pseudo-technique et par des intérêts croisés évidents avec Fournel, les membres de la commission ne placent pas le débat à son niveau, ils le laissent se trainer dans le faire semblant.

Plusieurs conclusions sont à tirer de cet interrogatoire :

  • Les Services Fiscaux sont incapables de comprendre ou de prévoir les millions de connexions journalières qui font l’économie.
  • Seules les mille et une façons de taxer les préoccupent. La réalité du capital dans l’économie est exclue de leurs préoccupations. Le capital pour eux est le fromage qu’ils doivent s’approprier, quel que soit le prix à payer pour ceux qui le possèdent. Quelles que soient les conséquences sur l’économie.
  • Ils rêvent d’un monde lisse, ils accusent les accidents naturels de la vie – épidémies, ouragans, guerres voisines, etc… — d’être les responsables de la misère économique des Français, alors qu’elle leur est pourtant uniquement imputable.
  • Ils comprennent parfaitement les dangers du crédit et de la volatilité de ses taux, mais ils poussent, par la pression fiscale, les Français à l’emprunt.
  • Ils reprochent aux Français de tenter de se protéger en économisant, ils guignent leurs économies.

Ni Fournel, ni les élus qui l’interrogent, ne posent la question du poids mortel de la fiscalité sur le pays, de ses conséquences dramatiques pour les individus et leurs libertés.

Bien plus, on comprend, en écoutant Fournel, qu’il rêve de mettre en œuvre tous les moyens possibles pour que chaque Français soit « finement » espionné, afin d’être l’objet d’une fiscalité totale.

Sa vision est celle d’un petit comptable de province, enivré par les volumes des sommes qu’il manie, à des kilomètres de l’inventivité, de l’intuition et du courage nécessaires à la vie économique.

Cette incompréhension des faits économiques, son irrespect pour l’acteur économique, sont les mamelles de sa participation active à la terreur fiscale. La terreur ayant toujours pour but de détruire largement pour contrer les contestations supposées que l’on ne comprend pas.

L’entrepreneur pour Fournel est un mouton à tondre, le plus vite possible, le plus ras possible. L’économie est la chienne dont il est la tique.

Il a été sporadiquement et inutilement inquiet pendant cet entretien, mais il est ressorti rassuré et grandi dans sa tête par ce faux interrogatoire, cette fausse enquête.

Il est le type parfait du haut fonctionnaire, ne fonctionnant qu’à son profit, à celui de sa caste et de ses affidés, insensible aux individus qui composent la collectivité qu’il prétend servir, qui pourtant font la réalité et la raison d’être de cette collectivité.

La conclusion est toujours la même.

Il n’y a rien à attendre de ces gens. Qui les remplacera ?

Le cycle classique est : la sincérité initiale d’une collectivité et de ses élites, puis la prise de pouvoir par les tricheurs et ensuite par les assassins et les fossoyeurs.

Puis les cycles recommencent sans fin.

Sauf accident heureux, retour par exemple de la sincérité, nous allons vers la fin du règne des tricheurs par faillite et l’avènement des assassins ou autocrates dictateurs.

Désolé pour la conclusion. Bien à vous. H. Dumas

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Les bouffées délirantes de Le Maire.

Ce n’est pas manquer de respect à notre collectivité de dire que ce type qui n’est plus rien aujourd’hui ne manque pas d’air.

Voilà un homme, anciennement Ministre des finances, qui avec son complice de l’époque Fournel, alors Directeur national des services fiscaux, a fait un trou de mille milliards, tout en nous faisant croire que tout allait bien était sous contrôle.

Il a menti au service de sa seule ambition. Il fait aujourd’hui le reproche à ceux à qui il a menti en premier : la représentation nationale, devant une commission de cette représentation nationale, d’être eux-mêmes les responsables de ses mensonges.

Il continue à dissimuler la terreur fiscale qu’il a portée à son paroxysme, à la couvrir en ne dénonçant pas la mascarade autocratique de Bercy qui a imposé Fournel comme directeur de cabinet du premier ministre Barnier triste potiche au service des exactions de Bercy.

Personnellement, et je suis loin d’être le seul, j’ai payé le prix fort les agissements de ce triste sire impliquant sa complice la justice — qui a été à ses ordres et l’est toujours majoritairement –– à travers  sa soumission aux escrocs de Bercy.

Personne ne me fera croire que toute cette engeance n’a pas compris, ou appris, qu’il n’y a pas d’économie sans capital et pas de société en paix sans économie.

Voir son pays pillé par ceux-là même qui constitutionnellement sont en charge de sa protection — jusqu’à l’exposer pieds et points liés aux pillards extérieurs, ce qui ne peut qu’entraîner la mort de sa jeunesse lorsqu’elle tentera désespérément de défendre sa liberté évidemment étroitement liée à son économie — est révoltant.

C’est ce type, Le Maire, qui m’a envoyé en prison pour l’avoir prématurément débusqué, qui en réalité mériterait d’y aller lui et qui pourtant se pavane et se rengorge de ses mensonges devant nos élus.

Il les accuse de ne pas avoir dénoncé ce qu’il leur a caché : le pillage du pays.

Effectivement, les Français totalement hermétiques au fonctionnement de l’économie ne sont pas en situation de comprendre que rien n’existe sans capital, sans accumulation et transmission.

Mais ce n’est pas à eux de comprendre le fonctionnement de la société, c’est à ceux qui prennent la responsabilité de les diriger de leur expliquer et de faire en sorte que tous les acteurs économiques et leurs capitaux soient protégés et favorisés, pas uniquement les amis du pouvoir. Ce ne sont pas les spectateurs d’un orchestre philharmonique qui peuvent avoir la charge de jouer des instruments qui le composent, ni les spectateurs du Paris Saint Germain qui peuvent descendre sur la pelouse jouer à la place des footballeurs.

Aucune décence n’est à attendre de Le Maire dont les capacités cognitives sont vite au taquet.

Et Fournel ? Ce sinistre fossoyeur, sera-t-il le chef de cabinet du prochain premier ministre ?

Quand et comment tout cela s’effondrera-t-il ?

Quel prix devrons-nous payer à la place des Le Maire ?

Ce sont des questions dont on se doute des réponses.

Mais en définitive, la seule question qui vaut, est : quels pillards arriveront les premier pour la razzia du pays en cours, ceux de l’intérieur ou ceux de l’extérieur ? 

Bien à vous. H. Dumas

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La loi du pompon

Décidément Macron n’en rate pas une.

Il vient d’utiliser au plus haut niveau, d’inscrire dans le marbre et ainsi de faire passer à la postérité la « loi du pompon »

Chacun connaît la loi du pompon, arme fatale qui sidère les adversaires, les laisse les bras ballants, ce qui permet de les neutraliser, au moins momentanément.

La loi du pompon c’est un peu comme la pétanque. C’est l’énormité d’un envoi du cochonnet, enfin surtout l’incroyable résultat de cet envoi, qui laisse les joueurs incrédules sans idée sur la façon de jouer leurs boules et s’exclamant : « Alors là, c’est le pompon »

Le cochonnet envoyé par Macron ce matin c’est Bayrou.

On ne sait pas encore comment il va rouler jusqu’à sa destination mais tout le monde se doute que cela va être psychédélique, puis que ça va merder pour la suite.

Il est à craindre que les joueurs délaissent ce cochonnet –– sauf énorme surprise à la fin de son jeté — et que furieux, la surprise passée, ils lancent carrément leurs boules sur Macron.

Ce que personne ne peut souhaiter évidemment, la pagaille dans un concours de pétanque étant toujours à éviter puisque chaque compétiteur est armé de trois boules.

Supposons que Bayrou mette une bonne semaine à concrétiser sa trajectoire et attendons patiemment.

On se tient au courant.

Bon bowling. H. Dumas

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L’heure des comptes et l’heure des promesses.

La vie des individus, des groupes, des nations, passe alternativement par les heures des comptes, puis celles des promesses, puis encore et encore, celle des comptes puis des promesses, etc…

Les organisations politiques deviennent inévitablement obsolètes, soit parce que les situations évoluent sans que les acteurs au pouvoir pris dans le poids des privilèges acquis suivent cette évolution, soit parce qu’elles sont directement défectueuses, voire volontairement véreuses. Dans tous les cas elles se retrouvent en décalage avec la réalité, l’intégrité, le respect dû aux êtres humains et à leurs biens.

C’est alors l’heure des comptes. Elle advient toujours, que les comptes soient favorables ou défavorables pour certains ou pour d’autres.

Cette heure des comptes est précédée d’un évènement de rupture, plus ou moins violent mais incontournable, les situations peinent à se modifier par la seule raison.

Sous nos yeux, en quarante-huit heures apparentes, l’heure des comptes est arrivée en Syrie. Immédiatement suivie de celle des promesses.

Ne sont surpris que ceux qui croient à l’immuable, croyance pas plus utile ou vraie que toutes les autres…

On a du mal à plaindre ceux qui vont rendre des comptes, on n’a pas de sympathie pour ceux qui auraient dû en rendre et qui vont y échapper. Si on a un peu d’empathie pour la race humaine, on pense aux promesses et à ceux qui vont y croire tant en Syrie la situation parait peu propice au calme, à la sérénité et aux libertés.

Chez nous, c’est aussi bientôt l’heure des comptes.

L’heure des comptes est toujours précédée d’une période plus ou moins longue de mensonges ou de propagande.

Il y a une bonne cinquantaine d’année que les différents tenants du pouvoir en France ne respectent pas les bases élémentaires de la vie en société : la liberté de penser et la propriété privée, et qu’ils mentent effrontément.

Mais aujourd’hui chacun constate que le fruit de son travail est capté par le pouvoir, dans une proportion qui lui interdit d’accéder aux moyens minimums de vie et de protection. Sans trop définir comment pour le plus grand nombre, la conscience du mensonge constant des hommes de l’Etat s’installe.

Le déficit en contrepoint des prélèvements abusifs pose question, même aux plus confiants ou aux plus insouciants. La faillite se profile inexorablement.

L’heure des comptes approche, ce n’est pas le moment de se réclamer de Bercy… ou de la politique. Le point de rupture devrait être politique, ce serait mieux. C’est évidemment préférable à la violence.

Mais, pour l’instant, le refus de Macron de mettre son mandat en jeu, alors qu’il est l’acteur de la cerise sur le gâteau quinquagénaire empoisonné, ne donne pas la visibilité démocratique qui serait nécessaire pour une transition raisonnée.

Dans le même temps, jamais en retard, le temps des promesses est déjà à fond la caisse. On ne sait pas où donner de la tête dans ce fatras de promesses. Si bien que la passion irraisonnée de certains croyants fait peur, en même temps qu’elle déroute tant elle ressemble, en pire, à ce que nous connaissons aujourd’hui qui justifie la nécessité de rupture…

Nous voilà pris entre l’immense joie de voir bientôt Bercy rendre des comptes et la crainte d’un dérapage pire…

Qu’importe : l’heure des comptes approche, espérons que l’heure des promesses qui va suivre ne nous soit pas fatale.

Bien à vous. H. Dumas

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Le déchainement des psychopathes

À juste titre les psychopathes font peur. Mais il s’agit d’une peur qui manque de base puisque la définition du psychopathe n’est pas très bien répertoriée et prête à confusion.

En gros de la même manière que nous sommes toujours le con d’un autre nous pouvons aussi être son psychopathe.

Et pourtant les psychopathes font des ravages — les cons aussi mais moins graves —.

Pourquoi ? Comment ? Et peut-on les éviter ?

Seule l’histoire, en permettant de collecter les résultats, pose le diagnostic. Au présent nous sommes souvent bien en peine d’anticiper l’arrivée au pouvoir des psychopathes et la série des catastrophes qui vont avec eux, dont la plus grave est la perte de notre liberté jusqu’à la mort possible. Ce n’est pas rien.

La démocratie ne protège pas de leur survenance, elle est un acte de confiance qui fait l’histoire, dont les conclusions seront fatalement ultérieures.

Nous n’avons pas vu venir Hitler qui pourtant avec sa clique symbolise la prise de pouvoir par les psychopathes et ses conséquences.

Le pire est que nous pouvons même aller jusqu’à croire que le psychopathe qui va nous berner serait notre sauveur putatif.

N’est ce donc pas prétentieux et téméraire de prétendre trier entre les psychopathes et les sincères face au déferlement des candidats au pouvoir ?

Si, évidemment. Tant pis, nous allons quand même le faire.

Soyons empiriques.

En fait le défaut de base du psychopathe est qu’il imagine faux. Tout comme on peut chanter faux on peut imaginer faux.

Sans ce terrible défaut le psychopathe n’est que désagréable, pas dangereux. En effet qu’importe alors ses manipulations, son manque d’empathie, de sensibilité, de discipline, s’il nous entraîne vers des solutions justes, équilibrées, valorisantes pour tous.

C’est son imagination défaillante qui va éveiller notre critique et son inflexibilité en contrepoint, dont le résultat va se traduire par la violence à tous les étages, jusqu’à épuisement.

Finalement la solution paraît simple, il suffit donc de ne pas donner sa confiance à ceux qui imaginent faux. Hé oui…

D’accord ? C’est un sacré problème, non ?

Comment les repérer, ceux qui imaginent faux ?

Nouveau problème.

Comme ceux qui chantent faux ne peuvent pas être repérés tant qu’ils ne chantent pas, ceux qui imaginent faux ne peuvent pas être repérés tant qu’il n’ont pas fait état de ce qu’ils imaginent.

Pire. Lorsqu’ils font état de ce qu’ils imaginent il se trouve toujours d’autres imaginations détraquées pour les rejoindre, au point même qu’ils peuvent arriver au pouvoir par leur nombre et leurs forces réunies, où il ne leur reste plus qu’à fabriquer des lois au service de leur imagination détraquée, et… c’est foutu.

La seule solution consiste à ne pas permettre l’accès au pouvoir de ceux qui imaginent faux.

En fait c’est très simple.

Il suffit d’éliminer tous ceux qui ont échoué dans leurs projets — même minimes et quels qu’ils soient — issus de leur propre imagination. Sont exclus évidemment tous les copieurs et les sans-imaginations inutiles.

Je suis convaincu que nous sommes ici tous d’accord.

Alors, pourquoi c’est exactement l’inverse qui se passe ? Pourquoi nous ne choisissons que des copieurs, des ratés ou des sans-imaginations ?

Bien à vous. Henri Dumas

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Les dénis présidentiels.

Vous avez vu à 20 heures ? Incroyable, non ?

Il ne manquerait plus que Mme Trogneux nous conseille les brioches de la pâtisserie familiale…

Cet homme, qui est notre président, en CDD pour 30 mois, est impressionnant. Ce soir il nous a fait un numéro semblable à celui du gars qui chute du haut d’un gratte-ciel et qui en passant devant chaque fenêtre dit : « jusque-là, ça va ».

Pas l’ombre d’une culpabilité, un mépris total pour environ 26 millions d’électeurs, 73% des votants, quand même.

Une obsession pour une solution aux moyens identiques à ceux mis en œuvre dans le cadre de l’échec du gouvernement, avec le fol espoir que le résultat à venir pourrait être différent.

Ses références : le chantier des Jeux Olympiques et la reconstruction de Notre-Dame. Ne lui a-t-on pas dit, à Pôle-emploi, que nous n’avons pas besoin d’un chef de chantier mais d’un Président de la République ?

Et que, pour cela, ses références… laissent vraiment à désirer.

Mais le plus grave

C’est que ce soir il a boosté la violence.

Les émissions, après sa prestation désastreuse, ont été d’une violence soutenue. La resucée de « l’arc commun » dynamise les forces politiques centripètes qui ne pensent qu’en terme de crépage de chignons, voire plus….

En politique tous les mensonges sont possibles – c’est le drame de cette activité – sauf de faire le contraire de ce que l’on dit. Parlez-en au clergé catholique, vous verrez… ils vous expliqueront la facture…

Tous ces politiques sont obsédés par le fric, malheureusement ils ne comprennent rien à l’économie. En fait leur obsession c’est la consommation. C’est-à-dire la récompense que permet l’usage du fric, gagné au préalable grâce à l’économie.

Le fric : oui, les efforts et le respect des règles de l’économie : non. C’est absurde.

Cet homme est absurde. La violence qu’il attise va le détruire évidemment, mais nous aussi, c’est le problème.

Que faire ? Visiblement, il est incapable de prendre la distance nécessaire par rapport à son égo pour analyser objectivement les situations, il en est sans doute ainsi depuis son jeune âge.

C’est probablement un peu embêtant pour lui, mais c’est encore plus grave pour nous.

Nous sommes coincés dans un monde qui demande d’être libres et mobiles pour survivre au désordre général en cours.

Imaginer qu’il pourrait élégamment se retirer pour laisser la France réfléchir et se reconstruire ? Même pas en rêve…

Conclusion : nous sommes foutus.

Bien à vous. H. Dumas

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L’heure est grave

Ce ne sont pas que des menteurs, ce sont aussi de mythomanes.

Il fallait voir cette soirée politique. Quel enseignement !!!

Voyons, ils sont tous d’accord pour nous dire que la France va mal, que ce n’est pas le moment de déconner. Mais, objectivement, …c’est évidemment leur faute, pas la nôtre.

Alors pourquoi nous traitent-ils d’irresponsables ? C’est incroyable ce délire.

En plus, objectivement, ce n’est pas le sujet.

Le sujet, ils nous le cachent, ou ils se le cachent.

Le sujet, c’est que – suivant en cela une tradition bien établie – la démocratie plonge dans ses travers et les dictatures en profitent pour la ramener.

Ce phénomène est mondial, il s’invite chez nous par une porte dérobée, mais les politiques ne peuvent pas l’ignorer. Ceux qui l’ignoreraient seraient d’un égocentrisme rédhibitoire.

C’est la guerre qui arrive chez nous, habillée en danseuse. Les entrechats des soi-disant représentants du peuple à l’Assemblée nationale cachent mal leur responsabilité.

Cette responsabilité tient en seul fait : avoir bradé l’économie du pays, son capital, pour acheter des voix et vivre la belle vie du pouvoir.

La faiblesse économique attire les prédateurs, les naufrageurs, c’est constant.

Alors, voir sur les plateaux ces charlots nous assurer la main sur le cœur qu’il faut tout faire pour payer la dette qu’ils ont faite, que nous sommes irresponsables de les mettre dehors juste au moment où iIs allaient tout arranger après avoir tout déranger, est une insulte grave à notre intelligence.

En effet, il n’y a qu’une solution, dût-il être absent à l’inauguration de Notre Dame, Macron doit démissionner et donner au peuple son droit à chercher et peut-être trouver des hommes et une formule pour sortir de l’impasse économique et résister à ce qui sans quoi attend le pays : l’invasion par toutes les formes de dictature, matérielles, religieuses et morales.

Oui, l’heure et grave, il ne s’agit pas du confort ou de la susceptibilité de quelques couillons corrompus qui nous ont amené où nous sommes, mais de faire en sorte que la démocratie, ce moins mauvais système, perdure en France. Et ce n’est pas gagné, aussi bien du fait de forces intérieures malfaisantes que de forces extérieures ambitieuses et sans vergogne.

La responsabilité de Macron est énorme. Il a porté à son paroxysme — il a été formé pour cela par notre système éducatif — les faiblesses de la corruption intellectuelle, le cynisme de la réalpolitique, la lâcheté, la délation et le report de ses propres responsabilité sur les autres.

Nous devons revenir aux basiques : à la liberté individuelle, au droit de penser et de s’exprimer librement, à la propriété privée, au respect du capital, à la parole donnée, à l’honneur.

Il ne peut pas prétendre porter ces nécessités, c’est trop tard. Son honneur serait de libérer le peuple, il pourra alors réclamer la paternité de lui avoir ouvert les yeux.

C’est peut-être ce qu’il dira demain à 20H.

Le temps presse, les brutes et le violeurs de conscience sont à nos portes.

Bien à vous. H. Dumas

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Les loups et le pouvoir

En quarante ans les sangliers ont envahi notre espace naturel, jusqu’en ses parties les plus sophistiquées, voire habitées. C’est ainsi que fleurissent, sur les réseaux ou dans la presse, les conseils aux promeneurs susceptibles de se trouver face à face avec un sanglier.

J’ai connu l’époque précédente où il n’y avait presque plus de sangliers, j’ai vu sa réintroduction par les chasseurs à coup de nourriture et préservations diverses. Aujourd’hui la régulation de ces animaux est hors de contrôle. Mais, ils sont majoritairement herbivores… franchement très peu dangereux pour nous, et facilement apprivoisables.

Les loups ont un taux de reproduction inférieur aux sanglier, mais important. Ils sont protégés, et donc ils devraient en quarante ans avoir objectivement envahi notre espace naturel. Les éleveurs protègeront leurs brebis des loups, ils n’ont pas le choix. Les loups sont de gros chiens méchants, ils ne s’apprivoisent pas… Ils ne sont pas herbivores. Il est certain qu’un jour prochain promeneurs ou cyclistes les rencontreront régulièrement… Ils n’auront pas beaucoup de solution…

Je continue à penser que la nature n’est pas une copine, qu’elle est belle mais terriblement dangereuse pour les très faibles animaux que nous sommes. Que l’homme n’existe que parce qu’il a réussi à lutter contre elle et trouver un équilibre fragile avec elle.

Demain nous tuerons les loups dont nous aurons favorisé la réintroduction, ce ne sera pas juste… Ce sera un abus de pouvoir pernicieux.

Les hommes ne sont pas différents de ces animaux, leur intelligence n’a pas de prise sur leur animalité.

En cela ils sont les animaux les plus dangereux que nous rencontrons.

C’est ainsi que dans notre pays ils allument depuis un certain temps la mèche de la bombe qui amènera la violence au pouvoir.

Contrairement aux idées reçues, le pouvoir ne se conquiert pas, c’est la masse qui le confie aux prétendants. Même lorsque ceux-ci font croire, ou croient eux-mêmes, qu’ils sont au pouvoir par leur volonté, il n’en n’est rien.

Les loups vont retrouver un certain pouvoir dans nos campagnes, ils n’en sont pas la cause. Ils ne seront pas conscients de ne pas en être la cause.

Le drame prend naturellement de l’ampleur parce que le pouvoir n’attire que les imbéciles. Quelle personne intelligente voudrait de cet artifice — en dehors de cas spéciaux et éphémères — qui va l’entrainer dans des choix insolubles, l’obliger à entraver, par la force ou la ruse, la liberté des opposants ? Aucune.

C’est la notoriété liée au pouvoir qui attire les gogos.

Une fois en place, ils se trompent sur ce qu’ils sont et sur ce qui est attendu d’eux. Les flatteries leur donnent l’impression d’être supérieurs, et la masse qui ne souhaite que vaquer à ses occupations leur fait croire qu’ils pourraient l’y aider.

Les voilà donc trichant et rusant comme des fous si l’ambiance est au papotage, violents et facilement assassins si l’ambiance est plus dure.

Dans tous les cas ils ne seront que le reflet de l’ambiance générale, que le jouet de leur environnement, tels les loups ou les sangliers.

Or, chaque jour qui passe voit le papotage général englué dans le mensonge que malheureusement il génère inévitablement, et la violence se prévaloir en réponse.

Suivant cette pente inévitable, les gogos du pouvoir vont devenir des assassins.

Ils étaient déjà des pillards, des bandits menteurs, des voleurs, ils vont devenir des oppresseurs physiques, des éradicateurs de liberté, des vecteurs d’emprisonnement et de mort.

C’est la nature. Où, par exemple, le sanglier est un être intelligent qui se débrouille avec les moyens du bord et le moins de violence possible, le loup est aussi un être intelligent mais lui ne connait que sa force, qu’il sait regrouper, pour vivre.

Il en est ainsi des hommes, sauf qu’iIs sont adaptables aux deux situations.

Drôle de fin pour la génération des trente glorieuses…

Bien à vous. H. Dumas

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L’affaire de Mazan

Il fallait bien qu’on finisse par en parler….

Il parait que 83% des Français sont au courant, c’est bien plus qu’en ce qui concerne la terreur fiscale…

La sexualité c’est comme le fric, la sienne n’a pas de limite volumétrique, voire morale, mais celle des autres peut, ou doit…, se limiter au SMIC (sexualité minimum imposable au concubin).

Il y a une similitude flagrante entre le fait divers de Mazan et le fait divers de Bullecourt.

Les deux sont catastrophiques, irrespectueux de la vie, de la propriété physique et matérielle des victimes, abominablement douloureux, destructeurs, inacceptables.

La foule se dresse face à ces drames, la pierre à la main. Jetons-là d’abord, nous réfléchirons plus tard, pense-t-elle.

C’est là il me semble que, pour ces deux affaires, il manque un élément clef : la connaissance de l’origine.

Vous savez cette origine matricielle, mère de tout, sans laquelle le mystère s’installe et nous oblige à l’accepter. Au niveau de notre vie d’homme nous sommes bien obligés d’accepter le mystère puisque nous sommes incapables de percer l’histoire de notre origine. Mais en ce qui concerne nos actes, nos petites décisions d’hommes, nous sommes parfaitement capables d’en définir les origines.

Je dirais que la seule façon de nous améliorer, si tant est que cela soit possible, est justement de connaître l’origine de nos actes, de nos situations, pour comprendre et maitriser éventuellement les résultats qui en découlent.

Hélas, notre justice, si imbue d’elle-même, se contente de lancer les pierres que la foule tient dans ses mains. Elle n’effectue pas son travail de recherche, de compréhension et d’explication de l’origine. Ainsi rien ne change. La justice entérine pour le compte de la société une crise de dérégulation qui justifie le châtiment du désigné coupable. Rien sur le fond, fiscal d’un côté, sexuel de l’autre. Pourtant des sujets où une meilleure compréhension ne serait pas un luxe.

Très clairement.

Ici, à Mazan, nous ne savons toujours pas si les produits imposés à Mme Pélicot endorment ou anesthésient. Nous ne savons même pas si les spécialistes le savent.

Et pourtant la différence est de taille. Endormi le cerveau reste sensible aux bruits et aux stimuli, anesthésié il est déconnecté de tout.

Cela ne change pas grand-chose aux faits et aux dangers auxquels cette dame a été exposée, mais cela change tout dans le cadre de la réflexion autour du sujet et de sa présentation publique, aussi des sanctions à venir évidemment liées à l’exposition publique de l’affaire.

Le poids des responsabilités, la présentation judiciaire, ne peuvent pas être appréhendés correctement sans connaître l’origine des événements.

Or, ni à Bullecourt, ni à Mazan, nous ne connaitrons l’origine qui a précédé ces actes révoltants. Nous sommes donc dans l’impossibilité de construire sur ces échecs pour éviter leur reproduction. Comment les juges peuvent-ils faire face à un tel déshonneur professionnel ?

Pour le reste, le sordide de ces évènements est objectivement banal face au sordide universel dont nous sommes abreuvés chaque heure qui passe…

Existe-t-il dans l’univers un lieu plus pur, plus simple, plus paisible, que notre Terre ? Qui ne serait pas le fameux paradis évoqué par les charlatans.

Où on pourrait aller sans casser sa pipe au préalable, évidemment.

Dormons tranquille, Elon cherche….

Bien à vous. H. Dumas

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Le consentement

Voilà un sujet très actuel. Enfin, disons dans nos salons de causeries. Je ne suis pas sûr que, hélas ou pas, ce soit un sujet d’intérêt mondial…

Demandons son avis à notre nouvelle encyclopédie, qui s’appelle elle-même « intelligence artificielle ». Rappelons que précédemment les encyclopédie parlaient d’outil de connaissance, pas d’intelligence. N’était-ce pas plus précis ? Plus clair ? Plus modeste ?…

Donc voici ce que dit Chat GPT du consentement :

« Le consentement est un concept fondamental dans de nombreux aspects de la vie sociale, juridique et personnelle. Il se réfère à l’accord volontaire donné par une personne pour qu’une action soit entreprise ou pour participer à une activité. Voici une exploration du consentement sous différents angles :

  1. Définition et principes de base

Le consentement signifie dire “oui” librement, sans pression, manipulation ou contrainte. Il repose sur plusieurs piliers :

  • Liberté : La décision doit être prise sans coercition.
  • Clarté : La personne doit comprendre ce à quoi elle consent.
  • Réversibilité : Le consentement peut être retiré à tout moment.
  • Capacité : La personne doit être apte à consentir, c’est-à-dire en pleine possession de ses moyens intellectuels, physiques et juridiques (ex. : majorité légale, absence d’altération mentale).
  1. Consentement dans les relations interpersonnelles

Dans les relations, qu’elles soient intimes, amicales ou professionnelles, le consentement est essentiel :

  • Consentement dans les relations sexuelles : Une relation sexuelle doit être basée sur un accord explicite entre les partenaires. L’absence de “non” ne signifie pas un “oui”. Des campagnes de sensibilisation comme “Only Yes Means Yes” insistent sur l’importance du consentement verbal et explicite.
  • Interactions quotidiennes : Même des gestes simples (comme toucher quelqu’un ou emprunter un objet) nécessitent une demande et une acceptation.
  1. Consentement dans le cadre légal
  • Contrats et accords : Dans la sphère légale, signer un contrat signifie donner son consentement à ses termes. Cependant, ce consentement doit être éclairé et non obtenu par ruse ou pression.
  • Soins médicaux : En médecine, aucun traitement ne peut être administré sans le consentement du patient, sauf dans des situations d’urgence ou si le patient est incapable de consentir et qu’il n’y a pas de représentant légal.
  1. Importance de l’éducation au consentement

L’éducation au consentement dès le plus jeune âge est cruciale pour :

  • Sensibiliser à l’importance de respecter les limites des autres.
  • Apprendre à exprimer ses propres limites.
  • Prévenir les abus et les violences.
  1. Les défis liés au consentement
  • Consentement sous influence : Si une personne est sous l’effet de drogues, d’alcool ou sous pression, son consentement est invalide.
  • Différences culturelles : La perception du consentement varie selon les sociétés, ce qui peut poser des défis dans des contextes internationaux.
  • Zone grise : Dans certaines interactions, le consentement peut être ambigu ou mal interprété, ce qui rend crucial d’établir une communication claire.

En résumé :

Le consentement est un acte de respect mutuel et de liberté individuelle. Il joue un rôle clé dans la construction de relations saines et dans le respect des droits de chacun »

C’est bien, non ?

Vous imaginez, depuis que j’ai lu ça, je gamberge…

Je cherche où et à quoi j’ai consenti dans ma vie.

A ma naissance ?

Franchement ce n’est pas mon impression. Bien plus, je n’ai pas ouï-dire que mes géniteurs aient consenti eux-mêmes à mon arrivée…

Mes premiers pas, mes premières paroles ?

Pas trop non plus. Je me demande si je ne serais pas resté à quatre pattes plus longtemps, en me contentant d’onomatopées.

L’école ?

Alors là sûr que non. Je n’ai jamais donné mon consentement. Je ne prétends pas avoir eu raison. Je rappelle que la question ici n’est pas la raison, mais le consentement.

Le travail ?

La situation est mitigée. J’ai bien aimé travailler, mais plus souvent sous la contrainte que par consentement. Et pourtant, certains considèrent que j’ai été un privilégié.

Autour de moi les autres m’ont donné l’impression d‘avoir mollement consenti.

Mon pays ?

Je ne l’ai pas choisi, il n’a jamais imaginé me demander mon consentement, en quoi que ce soit…

Mes impôts ?

Vous m’attendiez là, évidemment. Eh bien oui, personne n’a jamais envisagé de me demander mon consentement à ce sujet.

Donc, tout bien réfléchi, cette idée de consentement, comme le dit dès le début Chat GTP, est un concept, un simple concept. C’est-à-dire une abstraction, une construction intellectuelle, une aide à la réflexion, mais en aucun cas une réalité concrète.

Les réalités concrètes sont la force, la ruse, la méfiance, les situations, les ambitions, le courage, la lâcheté, l’intégrité, le respect des autres ou son absence, etc… et enfin le temps.

Alors ? Devons-nous nous étriper pour savoir qui a consenti à quoi ? Pourquoi et comment ? Avons-nous le droit de décréter qui consent et qui ne consent pas, sachant qu’une des caractéristiques du consentement c’est son renoncement possible à tout moment…

En quoi la collectivité aurait-elle une légitimité pour juger du consentement, qui me parait une notion particulièrement personnelle et ambigüe.

Il me semble que si la collectivité se contentait de faire en sorte que les interactions entre chacun de nous ne puissent pas nous porter un préjudice personnel, certain, constaté indubitablement, ce ne serait déjà pas si mal, toute idée de consentement restant alors de la sphère du privé.

En tout cas, en ce qui concerne la fiscalité, ce serait parfait… et inespéré…

Bien à vous. H. Dumas

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Vous rappelez-vous de la QPC

La Question Prioritaire de Constitutionnalité. Vous n’en avez pas trop le souvenir ?

Pour vous rafraichir la mémoire, voici ce qu’en disait en 2011, un haut et respectable fonctionnaire — qui savait ce qu’il disait puisqu’il était alors membre du Conseil Constitutionnel – Monsieur Renaud DENOIX de SAINT MARC :

« Cette réforme, entrée en vigueur le 1 mars 2010, a un triple objectif :

Premièrement : elle donne un droit nouveau au citoyen en lui permettant de faire valoir les droits qu’il tire de la Constitution.  

Deuxièmement, elle permet de purger l’ordre juridique des dispositions législatives inconstitutionnelles ; cette procédure conduit à l’abrogation, par le Conseil constitutionnel, des dispositions contraires à la Constitution. Les décisions produisent un effet erga omnes (à l’égard de tous ou égal pour tous).

Troisièmement, elle assure la prééminence de la Constitution dans l’ordre interne. Elle met fin ainsi à une anomalie de la hiérarchie des normes française qui voulait que la norme suprême ne puisse pas être invoquée utilement dans une procédure dès lors qu’une loi faisait « écran ». »

Un bel enthousiasme, il y a 13 ans déjà.

Vous vous rendez-compte, faire valoir nos droits constitutionnels, que les hommes de l’Etat — ces escrocs — bafouent allègrement chaque jour qui passe.

Assurer la prééminence de la Constitution, donc : de la liberté, de la propriété privée, des comptes que nous doit l’administration, d’un impôt consenti, d’une justice équitable, etc…on croit rêver.

D’ailleurs, il rêvait M. Renaud Denoix de Saint Marc, puisque rien n’est arrivé de tout ce qu’il imaginait alors.

Quels citoyens déposent des QPC, et quels en sont les résultats par rapport aux disfonctionnements que nous constatons tous entre nos droits constitutionnels et la réalité de notre maltraitance de la part de l’administration des hommes de l’Etat ?

En 2023, 850 QPC ont été déposées. Seules 160 ont été transmises, donc 690 ont été bloquées par la justice, qui est l’organe de transmission. Sur les 160 examinées, seule 32 ont fait l’objet d’un avis favorable, donc d’une modification de la loi jugée non conforme à la Constitution. Modifications certainement si marginales que vous n’en avez pas entendu parler, et que vous n’avez constaté aucune modification dans votre vie de tous les jours, pourtant si différente de ce que prévoyait pour nous notre constitution, tout particulièrement la DDHC.

Oui, il rêvait M. Denoix de Saint Marc, il n’avait pas très bien compris que les magistrats ne sont que des hommes, relativement ordinaires.

Que deviendraient-ils si notre liberté constitutionnelle nous était reconnue ?

Qui peut imaginer, en dehors de M. Denoix de Saint Marc, qu’iIs se satisferaient de juger, acte si peu gratifiant, et non d’exercer le terrible pouvoir qui leur est confié : le pouvoir de condamner.

Voyons, ils sont de gauche parce que la spécialité de la gauche c’est de condamner, ils ne le sont pas par vocation philosophique. En réalité, ce sont des bourgeois…

Sachez-le, le magistrat aime condamner et, à la manœuvre, les femmes y sont encore plus égales que les hommes.

Qui n’a pas compris cela ne peut pas saisir le fonctionnement du machin que l’on nous somme d’appeler « justice ».

Alors, tout naturellement, la sincérité de la QPC a été laminée. A-t-elle jamais existé, puisque son dépôt est filtré par ceux-là mêmes qui violeraient la Constitution en appliquant journellement les lois qui lui seraient contraires ?

Tout est bon pour ne pas accepter une QPC.

Initialement, elle pouvait être exposée simplement, comme une lettre à quelqu’un de confiance. Aujourd’hui, le formalisme est compliqué, il faudrait démontrer que le sujet traité ne l’a pas déjà été, et puis, disons-le, si elle n’est pas déposée par un avocat avec force de références, peu d’espoir qu’elle passe la barre de la sélection et soit transmise au Conseil Constitutionnel… Elle est devenu tout sauf sincère…

Puisqu’on en parle : ce LIEN pour lire la QPC que j’ai établie ce jour, qui n’a aucune chance d’être retenue.

Bien à vous. H. Dumas

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Est-ce trop moins d’escrocs ?

Ce que pense Chat GPT du terme escroc :

« Un escroc est une personne qui trompe ou manipule les autres dans le but de leur soutirer de l’argent, des biens ou d’autres avantages de manière malhonnête.

L’escroquerie repose généralement sur des stratagèmes ou des mensonges pour abuser de la confiance des victimes. Par exemple, un escroc peut promettre des gains fictifs, vendre des objets inexistants, ou usurper une identité pour obtenir des informations sensibles.

En droit, l’escroquerie est souvent considérée comme un délit, et elle peut être punie par des peines de prison ou des amendes. »

Combien d’escrocs sur 66 millions de Français ?

Avant de se prononcer il faut, il me semble, séparer les escrocs en deux catégories : les gentils et les méchants. Certes les deux ont pour objectif de nous voler, mais les premiers par la séduction, les seconds par la menace et la force.

En ce qui concerne les premiers, refuser de rentrer dans leur jeu et possible sans risque, et le plaisir d’être séduit vaut dans tous les cas un peu, même si ce peu devient vite trop si on se laisse envoûter.

En ce qui concerne les seconds, ils ont aussi une période séduction, qui ne manque pas de charme la plupart du temps. Mais ce qui les caractérise c’est le fait que lorsque nous ouvrons les yeux, lorsque nous voulons échapper à leur séduction, ils deviennent redoutables, méchants, maltraitants, voire mortels.

Ils commencent alors à prétendre que ce sont nous les escrocs parce que nous résistons à leurs pillages. Le comble…

Ils disposent de la force morale par l’intermédiaire d’une justice manipulée ou complice, de la force physique par les condamnations émanant de cette justice.

Ils prétendent que nous devons impérativement adhérer à l’une de leurs escroqueries, que ce serait la preuve de notre liberté. Ils se présentent à nous sous diverses raisons sociales, nous imposent d’en choisir une, alors qu’elles ont toutes le même objectif : nous piller, et le même stratagème : affirmer que c’est pour notre bien et qu’ils pilleront le voisin, pas nous …

Un constat s’impose : 60% environ du pays coche la case, joue le jeu des escrocs méchants. Ce sont ceux-là même qui croyaient les curés puceaux à vie, qui croyaient que le roi représentait Dieu, qui croient aujourd’hui que les hommes de l’Etat remplacent Dieu, le roi et les curés…

Nous sommes donc déjà à 40 millions d’escrocs, directs ou par procuration. Reste l’autre partie de la population, celle où se niche l’escroc basique qui ne peut compter que sur son charme.

Je dirais que finalement, à l’usage, l’escroc qui ne dispose pas de la force est souvent obligé pour escroquer de travailler plus que s’il était honnête. Sans compter les risques qu’il prend et qui finissent toujours par être découverts, lui valant de sérieux ennuis qui annihilent ses résultats.

Donc, les escrocs gentils sont assez peu nombreux dans la population, au pif je dirais 10% des 26 millions non-escroc de la population globale.

Reste une différence de taille :

L’impunité totale des escrocs méchants. Pour cela ils appellent leur escroquerie : la politique.

Pourrons-nous sortir de cette situation, et comment ?

Je ne vois pas d’autre possibilité qu’un miracle.

Comment faire pour qu’une majorité de gens accepte de n’être que ce qu’ils sont au lieu de penser que par le pillage délégué aux politiques ils pourraient devenir ce qu’ils rêvent ?

Comment empêcher des pillards de se faire donner un mandat pour piller impunément, à l’aide de promesses mensongères ?

On sent bien que c’est impossible, que ça a toujours été impossible et que ça le sera toujours. C’est éternel.

Alors à quoi sert d’en parler, voire d’en prendre conscience ? À rien.

Mais ça soulage, ça éclaire notre noir destin.

La sagesse est-elle de devenir escroc ou complice d’escroc ?

Peut-être, mais il faut alors se soudoyer soi-même, réduire sa conscience en bouillie, fermer les yeux sur le mal fait aux autres, éradiquer l’amour de son panel émotionnel.

Il faut se doper à la haine.

Gare aux débordements… je crois qu’ils arrivent au galop. C’est peut-être par eux que l’escroquerie sera cantonnée à sa part naturelle…

Bien à vous. Henri Dumas

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MARINE LE PEN face à la consanguinité intellectuelle des élites.

Il est clair que Marine Le Pen n’a aucune sympathie pour les gens comme moi, qui défendent la liberté, le droit de propriété, la nécessité du capital, le mérite et les élites qui en découlent, en un mot le capitalisme démocratique et son économie inclusive — comme il est convenu de l’appeler depuis le dernier Nobel d’économie –.

Bien sûr, ce manque de sympathie de sa part pour la société que je crois juste, qui n’est que celle décrite par notre constitution, m’amène à mon tour à ne pas avoir une grande sympathie pour les méthodes et les idées qu’elle véhicule.

Et cependant, je trouve ce qui lui arrive intolérable.

Quand j’entends le ministre de la Justice, Didier Migaud, déclarer qu’il faut que la justice soit la même pour tout le monde : je rêve. Il a vu ça où ? Désolé pour la facilité, mais je trouve son discours « nigaud ».

Revenons sur le sujet Le Pen, qui en réalité est le sujet, jamais réglé, du financement de la politique.

Au temps lointain de ma jeunesse, les prétendants à la politique avaient le plus souvent précédé leur prétention d’une activité professionnelle qui leur avait fourni les moyens du bénévolat qu’était alors l’acte politique.

Puis l’enrichissement soudain et mirifique du pays pendant les trente glorieuses a changé la donne. Les impécunieux ont réclamé le droit à l’accès au pouvoir politique.

Cela a paru normal, ça l’était probablement, peut-être…

Mais s’ils obtinrent assez rapidement, une fois élus, des émoluments importants pour ce bénévolat, le problème de la mise de fonds initiale n’a pas été évoqué.

L’économie se portait alors si bien qu’il parut naturel de la mettre à contribution. C’est ainsi que les élus et leurs partis politiques ont organisé une corruption hors du commun en échange d’autorisations bidons payées grassement.

Ce que j’en connais personnellement, pour les avoir vus sans y participer, ce sont les pots de vin liés à la loi Royer pour obtenir les autorisations d’implantation de la grande distribution et les monopoles qui vont la tuer, ou encore les demandes de permis de construire et les trafics sur la constructibilité des terrains à travers les POS et PLUI.

Je suppose qu’il en a été de même, à plus grande échelle, dans les autres secteurs de l’économie : l’industrie, les services, etc…

Toute cette corruption aurait dû finir devant la justice dont parle le « nigaud ». Mais, comme elle n’existe pas, il a été inventé la loi sur le financement des partis politiques en même temps que l’on décorait et honorait les coupables.

Cette loi de financement des partis politiques n’est ni plus ni moins qu’une prime à ceux qui sont en place, puisque ce financement est calculé sur le nombre d’élus ou de voix.

Comment financer la phase qui précède ?

C’est le problème Le Pen, c’est le problème de toute pensée politique qui souhaiterait convaincre les Français. C’est stupide et injuste.

C’est le fromage et le monopole pour les partis en place, c’est cette situation qui génère une armée d’hommes politiques sans intérêt, sans idée, juste intrigants.

Comment expliquer que les magistrats fassent, dans le cadre de l’affaire du RN, comme s’ils ne savaient pas tout cela.

Nous voilà arrivés à la consanguinité intellectuelle de nos élites.

Du fait que la sélection mise en place est unique, les élites ont tous le même angle de vision de la société, qui est la connaissance par l’enseignement.

Or l’enseignement, lorsqu’il n’a comme initiateur que la sélection scolaire, fabrique des scolaires uniquement. Ils se regroupent entre eux dès le plus jeune âge à l’école, ils ne vont plus se quitter, même quand ils se crêpent le chignon.

Leur éveil à la vie est consanguin.

L’élite, comme pour les arts, chanson, cinéma, etc…, devrait être diverse, multiculturelle, c’est une nécessité absolue.

Or la justice est à ce sujet particulièrement figée. Tous les magistrats sont formés à la même école, ils raisonnent et pensent tous pareils. Je les rencontre un peu partout en France, les têtes changent à l’extérieur, mais l’intérieur est partout identique.

Donc, Marine Le Pen n’a rien compris. C’est grave pour elle…

Les magistrats sont sincères, ils ne la visent pas particulièrement. Lobotomisés par leur école, ils ont été limités dans leur capacité à voir au-delà de l’instant présent, à aider à la création d’une réflexion qui devrait normalement générer une jurisprudence, essentielle à une démocratie, que nous n’avons pas.

Ils ne sont pas capables d’analyser la sottise du financement des partis politiques et la relativité de la combine employée par le RN pour financer son aventure politique.

Entre nous, que l’argent dévolu à la politique y reste, comme dans le cas des fonds européens utilisés par le RN, où est le scandale ailleurs que dans la pesanteur lourdingue des prétoires ?

Mais, comme je ne pense pas que Marine Le Pen ait comme ambition de casser la consanguinité élitique, mais de s’y fondre, je ne verserai pas une larme pour elle. Je les garde pour nous, qui allons devoir assumer la ruine et peut-être la guerre où nous mène la fadeur morale de la consanguinité intellectuelle de nos élites.

Bien à vous. H. Dumas

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Audience du 7/11/2024 : les escrocs qui nous gouvernent iront-ils jusqu’au Goulag ?

Le 7 novembre, à 13h30, j’étais devant la 7ème chambre de La Cour d’appel de Paris, où je me levais au coup de sonnette, comme il se doit.

Puis, quatre heures plus tard, après qu’une seule et probablement terrible histoire de Suédoise au lycée français de Stockholm, difficile à saisir pour les non-initiés, ait accaparé les magistrats, j’ai été appelé à la barre, il était 17h30.

Levé à six heures et parti aussitôt de Marseille, où j’étais en réunion de travail la veille, je n’avais pas déjeuné pour être présent à l’heure de la convocation : 13h30.

Par ce lien : LIEN, les conclusions que j’ai tentées de défendre.

Objectivement les magistrats — enfin la magistrate rapporteuse de mon dossier — m’ont écouté. Ont-ils entendu et compris la situation qui les implique comme nous tous ?

Objectivement je ne le pense pas. Ils n’habitent pas sur la même planète que nous.

Ils ne sont pas libres. Le fait de ne pas avoir à répondre de la responsabilité de ses jugements ne rend pas libre, pas plus pour eux que pour chacun de nous.

Ils sont hermétiques à la réalité, au moins dans leurs fonctions. En fait dans l’incapacité structurelle et humaine de juger.

Comment pourraient-ils donner acte que nous sommes dirigés par des escrocs ?

Comment appeler ceux qui puisent dans le portefeuille commun pour, à minima, financer des structures reconnues officiellement comme inutiles ?

Comment appeler ceux qui détournent les fonds public pour les diriger vers des investissements dont ils attendent exclusivement un retour électoral, indifféremment de toute utilité reconnue.

Prenons un exemple.

Crise annoncée dans la construction.

Explication officielle : le taux des intérêts, la guerre ailleurs, Trump, évidemment le néo-libéralisme et M. Arnaud…. etc…

La réalité : le secteur est entièrement vérolé par une économie extractive. Du premier m² de foncier, au dernier m² occupé, toute la chaine est entre les mains de l’administration et des élus, qui se prétendent une élite initiée.

Par ce biais ils arrivent à l’exploit suprême de reproduire partout Sarcelles — sa densité et sa monotonie – dont l’horreur a pourtant justifié leur prise de pouvoir…

C’est aussi triste que c’était prévisible.

Il n’y a rien à attendre de ceux qui possèdent le pouvoir, aux ordres desquels est notre « justice ».

Alors, quand le procureur s’est levé et a froidement recommandé aux magistrats contre moi une condamnation de prison,  je n’ai pas été surpris. J’ai été anéanti…sidéré…

Voilà un être intelligent, au pouvoir illimité, qui réinvente le GOULAG..

La prison pour délit d’opinion, l’inquisition, la terreur, la violence aveugle, l’inhumanité, la haine de l’opposition, de la démocratie.

Car, de quoi s’agit-il ?

Le Maire et son chef Fournel aujourd’hui chef de Barnier, paniquent à l’occasion de l’assassinat d’un inspecteur des impôts.

On les comprend, ils ont peur, à juste raison, de l’injustice et de la terreur fiscale qu’ils mettent en œuvre au service des escrocs qui nous gouvernent. C’est 30 à 50% d’impôts en trop, par rapport aux besoins réels, qu’ils éditent et recouvrent, pour notre plus grand malheur.

Alors, lorsque je demande que ce drame de Bullecourt fasse l’objet d’une enquête, que nous connaissions la vérité des hommes et des chiffres — ce qui est la moindre des choses — Le Maire et son chef Fournel donnent l’ordre — oui : donnent l’ordre — à la justice de considérer que ma demande correspond à un délit « d’apologie publique de crime ».

Il va falloir beaucoup de courage et d’abnégation intellectuels aux magistrats pour faire dire cette horreur à mes écrits, qui sont critiques mais n’appellent jamais à la violence.

Finalement, ils y arrivent facilement. Ils vont me mettre en taule une journée et envisagent beaucoup plus, sans état d’âme…

Il n’est plus temps d’avoir confiance en eux, d’espérer être un jour remis dans ses droits, il est temps d’avoir peur d’eux, avec toutes les désespérances que cela implique…

Ce qu’a dit le procureur le 7/11/2024 est dit. Quoiqu’il arrive ce sera une tâche sur notre justice.

Comment pourrait-elle se remettre d’une telle trahison par rapport à la vérité, d’une telle soumission aux hommes de l’Etat escrocs ?

Comment peut-on imaginer que la justice puisse être rendue par un « machin » dont les enquêtes sont exclusivement dépendantes d’un parquet dont on constate son total asservissement aux HE escrocs ?

Tout ça pour ça… Où sont passées mes lumières ? N’y a-t-il plus que des pantoufles ?

Bien à vous. H. Dumas

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Se connaitre et connaître le présent

Se connaître

Chaque jour je suis sidéré de l’incompréhension dont fait l’objet la place de l’économie dans notre société, de la confusion qu’il y a entre la monnaie consommation et la monnaie capital.

Contrairement à ce que je vois ou à ce que j’entends, je ne pense pas que ce problème soit de l’ordre du collectif.

Je pense qu’à partir du moment où chacun a situé sa position par rapport à l’économie s’installe automatiquement le respect que nous devons tous aux choix des autres et aux contraintes qui en découlent.

Je m’adresse aux jeunes citoyens de notre nation, quelles que soient leurs positions sociales ou leurs origines.

La question que chacun doit se poser est la suivante :

  • Ai-je le sentiment de vouloir être un acteur économique, quelle que soit l’activité qui m’attire ?

La réponse est très simple :

  • L’économie consiste à apporter une valeur ajoutée aux échanges nécessaires entre les hommes. Une prétention d’économie qui ne poursuit pas ce but est une escroquerie, un pillage.

Donc, si vous avez le sentiment d’être capable d’apporter une valeur ajoutée à travers l’activité qui vous attire, vous êtes un acteur économique en puissance.

Mon conseil : Essayez.

Dans le cas contraire, ne vous sous-estimez pas, votre activité sera un simple travail, parfaitement respectable, mais sans influence décisionnelle sur l’économie.

La différence essentielle se percevra dans la définition et l’usage des revenus de votre activité.

Si vous êtes un acteur économique les revenus tirés de votre activité ne sont pas de l’argent consommation mais du capital, dont le partage idéal est : un tiers à la collectivité sans laquelle rien n’est possible, un tiers devant rester au capital économique dont vous êtes un des responsables et enfin un tiers en argent consommation dont vous pouvez disposer.

Si vous décidez de ne pas prendre le risque économique, si vous n’êtes pas sûr de pouvoir générer une valeur ajoutée, si vous souhaitez simplement assumer correctement votre travail en toute responsabilité, les revenus de ce travail sont de la monnaie consommation dont le montant et l’usage sont à votre seule discrétion. Ceci évidemment dans le cadre d’échanges sincères et incontournables en ce qui concerne le montant de ces revenus.

Certains trouveront mon explication simpliste.

Il me semble que rien n’est jamais trop simplifié, la complication n’étant spectaculaire qu’en horlogerie où, même là, elle est impuissante à compliquer le temps dont la simplicité est inexorable.

Connaître le présent

A la question : Le présent est-il une conséquence du passé ou du futur ?

Chat GPT répond :

C’est une question fascinante ! Le présent, en tant qu’instant “maintenant”, peut en effet être vu comme influencé à la fois par le passé et, d’une certaine manière, par le futur. Voici quelques perspectives pour y répondre :

 

  1. Le présent comme conséquence du passé : Dans la plupart des conceptions courantes, le présent est perçu comme le résultat direct du passé. Chaque événement, chaque choix, chaque action passée façonne et détermine la situation présente. C’est l’idée de causalité : le passé “cause” le présent, et le présent est alors la dernière étape en date de cette chaîne causale. Selon cette vision, le présent est donc une sorte de “résultat” du passé.
  2. Le futur influence-t-il le présent ? : Certaines philosophies et théories scientifiques considèrent que le futur peut influencer, ou du moins donner une direction au présent. C’est le cas de la “téléologie”, où on imagine que certains événements dans le présent sont influencés par une finalité ou une orientation vers un futur souhaité ou anticipé. Par exemple, nos actions au présent sont souvent motivées par des objectifs futurs : on agit en fonction de ce qu’on souhaite voir se produire. Cependant, cela n’implique pas un effet causal direct du futur, mais plutôt une influence mentale ou intentionnelle de notre part.
  3. Une perspective du “présent éternel” : Certains philosophes et physiciens voient le présent comme la seule réalité véritable. Dans ce cas, ni le passé ni le futur ne le causent vraiment : le présent est un “instant éternel” qui existe indépendamment du passé et du futur. Par exemple, dans certaines interprétations de la physique quantique ou de la philosophie orientale (comme le bouddhisme), seul le “maintenant” existe réellement ; le passé est un souvenir et le futur une anticipation. Cela donne une vision où le présent est auto-suffisant et ne dépend d’aucune autre temporalité.
  4. Le point de vue de la relativité : En physique, la relativité d’Einstein complique un peu les choses en suggérant que le passé, le présent et le futur sont relatifs en fonction de l’observateur. Dans l’espace-temps, tous les événements (passés, présents, futurs) coexistent, mais leur perception varie selon la position et la vitesse de chaque observateur. Le “présent” ne serait alors pas uniquement une conséquence du passé, ni une anticipation du futur, mais dépendrait du cadre de référence de l’observateur.

En résumé : Dans notre perception humaine, le présent est davantage perçu comme une conséquence du passé, car tout ce que nous vivons semble en découler directement. Mais il est aussi influencé, dans une certaine mesure, par nos anticipations et projections vers le futur. Cela dit, en dehors de la causalité linéaire, certaines approches philosophiques et scientifiques voient le présent comme une réalité indépendante, où passé et futur n’ont qu’une influence relative, subjective, ou même inexistante.

Quel faux-cul ce Chat GPT, pas le genre à se mouiller…

Ce que je pense :

Le présent est le fruit exclusif du futur. Du passé ne subsiste que le capital intellectuel et matériel permettant au futur de créer le présent.

La preuve en est rapportée par le fait que lorsque notre futur diminue et finit par disparaitre nous mourrons, la vie nous quitte, notre présent s’éteint.

Donc la compréhension du présent se trouve dans le futur. Elle n’est accessible qu’aux intuitifs, et encore…

Sacré bouleversement !!!

Bien à vous. H. Dumas

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Aujourd’hui n’est pas une bonne journée

Y a un truc qui ne va pas.

A quoi a servi l’intégrité que j’ai assumée et qui m’a couté très cher tout au long de ma vie professionnelle.

A quoi ont servi mes engagements auprès de la collectivité, mes bénévolats, mes dons d’actions et de compétences.

A quoi a servi le respect de ma parole, de mes engagements, souvent si difficiles à assumer.

A quoi a servi ma tolérance, mon acceptation et mon respect pour les idées des autres, y compris les plus farfelues.

A quoi a servi ma confiance dans la justice, dans la réciprocité, dans l’empathie, dans mon pays.

A quoi ont servi mes luttes pour résister, pour tenir, pour ne pas abandonner, en espérant toujours que demain sera meilleur, que l’amélioration est le destin des hommes.

A quoi à servi ma quête de vérité pour chaque chose, pour chaque situation, pour chaque personne.

Alors que je ne vois que mensonge, égoïsme sordide, pillage généralisé, indifférence à la réalité, à la vérité. Hommage à l’escroquerie, à l’hypocrisie, au cynisme. Vénération de la jalousie, de la délation, de la lâcheté. Triomphe du toc, du bidon, du superficiel, de la rumeur malsaine, du glauque.

Un exemple ? Mais il y en a des milliers, voire des millions.

Alors un de plus ou un de moins, qu’importe.

Regardez plutôt cette vidéo :

Sympa non ? Tous issus de la même école, liés sans doute par la même passion…

Contrairement à ce qu’ils nous imposent — l’interdiction de filmer les débats des tribunaux, ce qui pourtant serait si utile à la société — eux ne crachent pas sur un petit tour de piste en images…

On a tous en tête les images tirées de notre imagination sur La Cour au château de Versailles… Depuis le progrès nous permet de visionner en direct ces grandes occasions où se réunissent les élites de notre société. C’est mieux, non ?

Puisqu’on parle de La Cour de cassation, une anecdote

Je viens de recevoir ce document : LIEN

C’est la fin programmée du pillage par les Services Fiscaux d’un gros morceau du jardin de ma maison à Sète.

La Cour de cassation ne regardera même pas le dossier.

Pourtant la dette fiscale qui permet ce pillage est à 80 % inexistante, issue d’un traquenard voulu, couvert par les Tribunaux administratifs en parfaite conscience. Tous les magistrats qui ont eu à s’occuper de cette affaire le savent, mais ils sont éduqués pour faire comme si la terreur fiscale n’existait pas.

Pourtant le magistrat qui a procédé à la vente forcée de ce terrain sait tout cela, il sait aussi qu’on ne peut pas vendre un terrain aux enchères, qu’un terrain ne vaut que par ce que l’on peut en faire, que donc avant toute vente on doit établir un dossier de faisabilité. Il sait, et La Cour de cassation aussi que la vente aux enchères doit rechercher le juste prix, ne doit pas être une opportunité donnée aux naufrageurs.

Qui plus est, la saisie qui a permis la vente de ce terrain est nulle, les Services Fiscaux n’ayant pas réalisé la publicité légale dans les temps impartis, mais le magistrat qui a procédé à la vente a dénié la loi. Finalement il a bien fait.

Ce magistrat, bateleur-vendeur, a fait pire, il a fait un faux en prétendant que lors de la vente il n’y avait pas eu de contestation de ma part, ce qui n’était pas le cas. La Cour d’appel l’a couvert.

Alors oui, aujourd’hui n’est pas une bonne journée. C’est la journée des lettres de cachet fiscales.

Embêtant pour le moral d’Henri Dumas ? Oui, sans nul doute.

Mais c’est surtout embêtant pour l’avenir de notre pays. Il y a des centaines de milliers d’Henri Dumas dont personne ne parle aux pinces-fesses des hommes de l’Etat, mais dont on parle dans nos campagnes, où de féroces soldats du fisc viennent jusque dans nos bas violer nos économies, les fruits de notre travail, aux…

Bien à vous. H. Dumas

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Respectons l’économie

Des amis chers, de toute une vie, m’ont offert « La reine du labyrinthe » le livre de Camille Pascal.

Comment vous dire : il faut absolument le lire.

L’auteur prétend que tous les faits relatés sont vérifiés et vrais. S’agissant d’une sommité dans son activité d’historien, je prends acte de cette affirmation.

Dans ces conditions la similitude entre la période de l’intrigue — vingt ans tournant au tour de la révolution de 1789 — et aujourd’hui est stupéfiante. Bien sûr la narration est actuelle, l’analyse aussi, donc l’objectivité est relative. Mais quand même…

L’histoire, qui implique le sommet de l’Etat, est imbriquée dans l’époque. Elle a trois moteurs, le pouvoir, l’ambition et la consommation.

A aucun moment l’économie, pourtant sous-jacente, n’est prise en compte, n’est visible ou est le souci apparent des acteurs, tous responsables politiques de la nation.

L’économie qui pourtant est l’espace créatif et l’organisation de la VA, la valeur ajoutée.

Il est affligeant que cette définition ait été phagocytée par le fisc, qui décidemment pervertit tout ce qu’il touche, et que la valeur ajoutée se résume à la TVA dans l’esprit du plus grand nombre.

En réalité, la population pourrait respecter l’économie, si elle se nommait ce qu’elle est, c’est-à-dire la RVA, soit « la Récompense sur la Valeur Ajoutée ». Car alors son image s’imposerait au lieu que seule sa déviance « la consommation » retient l’attention de ceux qui ignorent tout de l’économie.

L’économie ne peut pas avoir d’autre moteur ou justificatif que la RVA.

Or, si l’économie ne peut pas faire à elle seule une nation, loin de là, elle ne peut pas non plus être négligée ou pervertie sans de gros dégâts.

Lisez ce livre, vous comprendrez aujourd’hui, les hommes de l’Etat et leurs délires. Vous ne serez pas surpris par la révolution qui arrive avec son cortège de haine et de mort.

Bien à vous. H. Dumas

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Tristesse d’un weekend pluvieux

C’est le moment de se pencher sur le malheur des autres, qui permet de relativiser le sien.

Je vous propose de la lecture, une bonne heure, voire plus : le LIEN, les pièces s’ouvrent en cliquant dessus.

Alors, vous avez lu ? Quelle désespérance, non ?

Mais quand même, une découverte.

Si j’avais apprécié, il y a deux ans, le travail des actuels prix Nobel d’économie je n’avais pas pour autant fait la liaison avec la fiscalité, tout particulièrement avec la terreur fiscale.

C’est aujourd’hui que je comprends que la terreur fiscale n’a pas pour seul but de faciliter le pillage fiscal en rassurant les créanciers, mais plutôt l’étroite surveillance et la régulation par la force des bourgeons économiques libres, pour préserver l’économie extractive mise en place par nos élites.

Retenez bien le concept : l’économie inclusive d’un pays est ouverte par sa constitution à tous, l’économie extractive est exclusivement entre les mains de l’élite dirigeante, des hommes de l’Etat.

La première amène à la richesse et au progrès, la seconde à la récession et à la misère.

Bien à vous. H. Dumas

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C’est lunaire…

Interrogé sur cette expression tendance, Chat GPT nous dit : « L’expression « c’est lunaire » est souvent utilisée de manière familière pour décrire une situation ou un comportement qui semble totalement bizarre, décalé, surréaliste, ou même incompréhensible. Elle suggère quelque chose d’irréel, comme si cela venait d’un autre monde, souvent avec une connotation d’étonnement ou de perplexité. »

C’est exactement la situation de notre assemblée nationale étudiant le budget, n’est-il pas ?

Car enfin, où peut-on voir les voleurs faisant officiellement condamner à leur profit les volés ? En dehors de nos tribunaux et de notre Assemblée Nationale ?

Objectivement, quel tribunal, en dehors de la justice et du pouvoir français, peut se payer un tel gag ?

Fournel, le chef des quarante voleurs, connait la formule magique pour abonder la grotte fiscale, ce n’est pas « Sésame ouvre-toi », mais « contribuable aboule ton fric ».

Après avoir pillé la France, Fournel s’auto nomme premier ministre en se dissimulant adroitement derrière un bouquet de « Barnier », fleurs des Alpes un peu défraichies.

Et tout le monde avale la pilule.

Bien plus, une joyeuse bande de « cocktaileurs », dans leur night- club face à la Place de la Concorde, se prennent pour Kassim et participent aux festivités des mille et une nuits.

Une imitation de Morgiane essaie de nous persuader de son intégrité et de sa ruse, mais comme Alibaba, elle veut juste profiter du pillage en compagnie de sa famille…

Doit-on faire le dos rond ? Faire semblant de croire que tout va bien ? Où du moins que des gens sérieux s’efforceraient de trouver une solution, alors que le pillage au contraire s’intensifie.

Doit-on sacrifier notre liberté, notre vie, celle de nos enfants ?

Faire semblant de croire que notre ruche de petits insectes, que l’on appelle humanité, met en danger la planète par sa seule présence ? Alors qu’il s’agit simplement de dissimuler notre médiocrité, notre insignifiance, par une énormité de conséquences invérifiées journellement, qui n’ont pour but que de nous donner une importance que nous n’avons pas. Tout ça pour nous piller…

C’est effectivement… « lunaire ».

Et pourtant, qui ouvre les yeux pour constater la réalité, pas pour remplacer le pillage actuel par un autre : La presse ? Les réseaux sociaux ? Les instances supérieures ? La population ? Les démocrates ? Pas que je sache…

Le pire est que notre situation ne parait pas isolée, que le 21ème siècle semble effectivement se préparer à être le siècle du pillage. Celui qui n’est pas né escroc, violent, sans scrupule, menteur, va probablement souffrir et disparaître sans laisser de trace, comme c’est mon cas et celui de nombreux lecteurs de ce blog… que bien peu lisent…

Est-il un endroit épargné sur cette terre. On parle de ceux qui sont allés ailleurs, en Chine, en Russie, aux Etats-Unis… ? Partout ils ont trouvé la même situation, liée à la même croyance : le droit au pillage pour les despotes du pouvoir, pour les hommes de l’Etat —quelle que soit sa forme — et leurs affidés.

Est-ce donc la condition humaine ?

Le progrès, la capitalisation qui le permet, ont-ils été une exception ? L’obscurantisme doit-il être irrémédiablement la règle ? Sommes-nous les futures îles de Pâques ?

La réussite génère tant de haine qu’elle ne peut perdurer ? En gros c’est le constat global.

Bienvenue donc aux barbares, aux grossiers personnages, aux pillards, aux geignards, aux faux-culs, aux lâches, aux escrocs, aux fainéants, aux irresponsables, aux serviles, aux délateurs… le monde leur appartient…

Devenir plus escroc que les escrocs est probablement accessible, voire les dépasser dans leur vice, mais pour quel résultat ? Une accélération du chaos ?

Aucun intérêt. Il ne reste donc qu’à attendre. La patience est la qualité essentielle aujourd’hui. Ce n’est pas mon fort…

Bien à vous. H. Dumas

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La solidarité fiscale

Michel a publié, sous l’onglet Témoignage, le texte ci-dessous :

« Je vous partage un poste traitant de la Solidarité Fiscale en France, c’est très complexe de faire évoluer l’injustice et la violence fiscale mais c’est possible. Grace à une association de victimes nous avons obtenu un dispositif gracieux permettant d’épargner des vies innocentes c’est encore insuffisant mais c’est un premier pas.

Solidarité Fiscale en France : Une Loi Indirectement Discriminante et Inconstitutionnelle ‍⚖️ ⚖

En France, le principe de solidarité fiscale entre époux, bien qu’instauré pour le recouvrement des dettes fiscales, cache une injustice profonde touchant principalement les femmes. La loi actuelle oblige un(e) ex-conjoint(e) à payer les dettes fiscales de l’autre après une séparation, ce qui constitue une discrimination indirecte. Les chiffres montrent que cette disposition affecte disproportionnellement les femmes, rendant cette loi inconstitutionnelle.

Une Discrimination Cachée

Des associations, telles que « Femmes divorcées victimes de la solidarité fiscale », tirent la sonnette d’alarme : 92 % des victimes sont des femmes. Cette loi pèse de manière inéquitable sur les femmes divorcées, souvent contraintes de payer des dettes fiscales sur des revenus qu’elles n’ont jamais perçus. Cela perpétue une précarité économique pour celles déjà fragilisées par une séparation.

Une Loi Inconstitutionnelle

Comme en Suisse, les juristes soulignent l’inconstitutionnalité de cette loi. La Constitution française garantit l’égalité, or cette solidarité fiscale constitue une discrimination de genre déguisée. Si 92 % des victimes sont des femmes, comment défendre son impartialité ?
Les articles de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (article 1) imposent à l’État de garantir cette égalité. Nous devons exiger la fin de cette loi discriminante.

Solliciter les Acteurs de la Réforme

Les représentants de l’administration fiscale, les législateurs, et tous les acteurs politiques doivent prendre ce problème au sérieux. Nous devons appeler à l’abrogation immédiate de la solidarité fiscale. Cela concerne la protection de milliers de femmes et le respect des principes fondamentaux de notre Constitution.
Il est impératif de prévoir des compensations financières pour les victimes injustement contraintes de payer des dettes fiscales qu’elles n’ont jamais contractées.

Mobilisons-nous pour la Justice et l’Égalité ‍⚖️

La solidarité fiscale, telle qu’elle est appliquée aujourd’hui, est une atteinte aux droits des femmes. Ce n’est pas seulement une question d’injustice économique, mais aussi une violation des principes constitutionnels. En dénonçant cette discrimination, nous pouvons espérer une réforme urgente de la loi.
Ensemble, faisons de la solidarité fiscale une injustice du passé et luttons pour une législation plus juste, qui respecte enfin l’égalité entre tous les citoyens. »

Oui, cette cause est essentielle. Mais pourquoi en faire une cause genrée, toute personne victime, femme ou homme, d’un fraudeur fiscal auquel elle est liée sans être responsable de la fraude se retrouve injustement poursuivie par le fisc.

On appelle cela la solidarité. C’est important.
En fait il s’agit de l’expression de la terreur fiscale qui évite au fisc d’avoir à définir les responsabilités, de cogner, de piller, tant pis pour les innocents massacrés.

Bonne chance dans ce combat. Mais n’oubliez pas que si vous gagnez vous organisez la plus fameuse évasion fiscale possible, si la victime est complice. C’est la hantise et la parano du fisc. Qui, en réponse, détruit aveuglément.
Bien à vous.

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Le prix Nobel d’économie

Est-il possible que les jurys du prix Nobel lisent notre blog ???🤣🤣🤣… Depuis au moins deux ans…

Le 29 Septembre 2022 nous publiions ceci :

LE LIVRE REVELATION

Toute la complexité apparente de l’économie ne tient qu’à l’organisation constitutionnelle du groupe. Le reste est naturel…

C’est ce que démontrent les auteurs de « Prospérité, puissance et pauvreté ».

Accompagné de cette vidéo :

Et… Deux ans plus tard, les auteurs reçoivent le prix Nobel de l’économie…

Finalement nous ne sommes peut-être pas aussi cons que les hommes de l’Etat et leurs magistrats veulent le faire croire…

Bien à vous. H. Dumas

 

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Admettons

Admettons que la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, notamment ses articles 2 et 11, ne soit pas une farce, un amuse ballot, un hochet pour bébé immature, une escroquerie mise en avant dans notre constitution pout nous tromper, une vue de l’esprit.

Dans ces conditions, rien que ces deux articles nous permettraient de nous exprimer. Ils fermeraient le caquet de ces petits juges — roquets de luxe pour dictateurs en puissance, qui les lâchent sur nous dès que nous nous les contrarions dans nos dires ou nos écrits –.

Les dits articles :

Article 2 – Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression.

Article 11 – La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.

Qui ne tente rien n’a rien, au diable les roquets, donnons notre opinion, affirmons que ce n’est pas un abus… on verra bien…

Les faits :

Une bande organisée nous a volé notre capital. Agissant par la ruse en nous faisant croire qu’il s’agissait de solidarité, d’égalité, par la force en installant la terreur fiscale.

Cette bande malfaisante, non seulement nous laisse démunis mais prétend réparer les dégâts qu’elle a fait en nous volant davantage !!!

Il n’y a plus d’enfermements physiques sur caprice du pouvoir. La bastille, forteresse symbolique de ces enfermements a été rasée dès après sa prise par la population, à partir du 14 Juillet 1789, par l’entrepreneur Pierre-François Palloy.

Restent les enfermements économiques et moraux, parfaitement semblables dans l’échelle des souffrances de notre époque. Bercy est le lieu symbolique et pratique de ces maltraitances. Bercy sera rasé.

Ne s’agissant pas de souffrances physiques, Bercy ne sera pas rasé physiquement comme La Bastille. C’est son système qui doit disparaitre, et ses locaux qui doivent être voués à autre chose. A la culture économique pour tous, par exemple.

Proposition d’éradication de Bercy.

D’abord il faut réparer la ruse de Sarkozy, un garçon parfaitement totalitaire, un faux libéral.

Avant lui les Services Fiscaux avaient deux organisations : La DGI qui calculait et collectait l’impôt, la DGCP qui gérait la collecte.

En 2008, pour plus d’efficacité, Sarko ne fit qu’un service : la DGFIP, qui fait tout.

C’est comme la guillotine, beaucoup plus rationnel, plus expéditif.

Trop de dépenses ? Pas de problème, c’est la même boutique qui pressure le Français… Le producteur fiscal devient le consommateur fiscal. C’est magique.

Résultat, boum, dans le mur…

Alors que deux services s’imposent.

Le premier effectivement pour l’encaissement. Il ne doit pas être anonyme. Il doit aller à la rencontre de chaque français, être attentif à leurs difficultés ou à leurs réussites. L’impôt doit être consenti et juste, il ne peut pas être anonyme, sans rapport avec la réalité de chacun. Ceux qui ne veulent pas payer l’impôt sont minoritaires, ce n’est que la violence de la terreur fiscale qui dresse la majorité contre l’impôt.

Une caisse locale doit être mise en œuvre à cet effet dans chaque agglomération, son responsable doit être élu par la population, démocratiquement.

Ce ne sera pas un surcoût, c’est la condition essentielle pour avoir un impôt démocratique et juste, adapté à la richesse de la nation.

Le deuxième pour la gestion des dépenses à partir des encaissements du premier. Ce service ne doit en aucun cas dépendre de ses utilisateurs. Il ne peut donc être géré ni par les élus, ni par l’administration.

Il est le gardien du capital national. Il doit rendre des comptes transparents et clairs.

Ses opérateurs ne sont dépendants de personnes, le directeur et ses cadres principaux sont élus.

Adieu Bercy. Je ne doute pas un seul instant que la France va s’équiper de cette structure fiscale. Que ce que je vis depuis vingt ans de la part de Bercy et des juges serviles et maltraitants sans vergogne, ne pourra ainsi plus jamais arriver.

C’est possible, le calme et la tranquillité fiscale ? Mais oui Madame, je vous jure…

Bien à vous. H. Dumas

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Madame Le Pen, ce n’est pas la peine…

Madame Le Pen, ce n’est pas la peine… ils vont vous tuer, comme ils disent…

Je n’avais pas d’appétence pour le Front National, le Rassemblement National peine à me convaincre d’une différence.

Pour entraîner les foules il faut un objectif qu’on leur apporte ou qu’elles se choisissent.

Pour moi il n’y en a que deux acceptables : la raison ou la passion. Ils sont rarement majoritaires. Ils sont antagonistes mais définitivement liés . La passion est mon moteur, mais elle très difficile à maîtriser. La raison tend à l’éteindre. Sa liberté fait peur.

Votre père avait choisi l’aigreur. Ce n’était pas une bonne idée. Elle vous a chaluté une faune globalement égoïste et plutôt méchante avec laquelle il est difficile d’entraîner une foule efficace et bâtisseuse.

Vous paraissez différente, notamment votre position devant les magistrats aujourd’hui est cohérente, qui consiste à dire que l’Europe n’est pas qu’administrative, qu’elle est aussi et avant tout politique, que donc les fonds mis à votre disposition par elle peuvent être utilisés pour partie dans le fonctionnement de votre organisation politique.

Mais ce n’est pas audible dans notre société corrompue, par rapport à laquelle je ne connais pas votre degrés de liberté ou de dépendance.

Vous êtes face à des gens qui, pris la main dans le pot de confiture, ont décidé, pour sauver leur peau à l’époque, de faire comme si le financement des idées politiques devait dépendre exclusivement des résultats, excluant de fait tout financement de novation politique. Un non-sens grave, qui génère une hypocrisie dévastatrice.

Comment espérez-vous qu’ils puissent accepter l’idée de votre nécessité de trouver un biais pour financer, selon les contraintes qu’ils ont perversement mis en place, votre projet politique ?

Aucune chance.

Il vont vous sortir leur couplet habituel : « Nous ne sommes pas là pour faire de la politique, mais pour appliquer la loi »… Total mensonge.

Ils vont vous condamner et le parti de la raison, majoritaire évidemment, ne versera pas une larme sur votre cas.

Si vous êtes intègre, la route à venir va être longue. Ceux que je connais de vos soutiens sont plutôt dans l’urgence sans scrupule. Je ne leur vois pas de passion digne, leur moteur est toujours l’aigreur.

Si vous êtes intègre, le jeu en vaut la chandelle. Dans le cas contraire tout cela est insignifiant.

À ce stade de votre procès vous apparaissez plutôt grandi, attendons la suite.

Respectueusement.

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