( Le grand bon en avant, 1958 à 1961, 36 millions de morts, La révolution culturelle, 1966 à 1976, 20 millions de morts).
Le principe est simple, une bande d’allumés se propose de fabriquer un homme strictement collectif, au comportement normalisé répondant à des besoins prédéfinis dont l’objectif est prétendu si génial que le bonheur serait au bout pour tous.
Las, l’homme restant ce qu’il est dans ses extrêmes diversités, notamment son sens de l’intérêt personnel, le système échoue gravement.
Pour sauver leur peau, faisant ainsi la preuve qu’ils sont aussi mus par leur intérêt personnel, les organisateurs du fiasco lancent une gigantesque opération de punition visant ceux qui auraient profité du premier délire ou qui n’auraient pas joué le jeu.
Bilan global pour la Chine, un peu plus de cinquante millions de morts.
Sans espérer atteindre de tels chiffres notre pays est bien parti et peut viser un résultat honorable dans la course à la connerie collectiviste sous excuse du bonheur égalitariste.
Depuis cinquante ans nos différents dirigeants, au service d’une bureau-technocratie totalitaire, ont laminé la personnalité des français au profit d’un idéal grégaire supposé leur apporter bonheur et égalité.
Le résultat, prévisible, est hélas irresponsabilité et déchéance. C’est à dire la résultante des intérêts personnels et de l’idiotie du système collectiviste.
Le refus du constat de l’échec par les associés organisateurs de ce qui aurait pu être appelé « Le grand bon en avant français » les amène aujourd’hui à lancer « La révolution culturelle ».
C’est ainsi que les deux extrêmes de notre système, Mélenchon et Le Pen, exigent la création d’une commission parlementaire, qui va être adoptée n’en doutons pas, pour rechercher — et donc châtier — ceux qui profitent de l’inflation.
Les fascistes de gauche et de droite, dont le rêve et l’activisme consistent à embrigader les français dans une dévotion unique envers leurs chefs éclairés sensés leur apporter bonheur et égalité collective, engagent de fait la « révolution culturelle ».
Au lieu de poser la bonne question : pourquoi l’inflation ?
Qui n’aurait pas manquer d’apporter la preuve qu’ils en étaient les seuls responsables, par leur démagogie qui a entraîné la disparition du capital nécessaire à toute économie et donc apporté l’inflation compagne de la pauvreté.
Ils tentent de sauver leur peau en posant le principe qui tue : « ne pas se remettre en question, plutôt dénoncer le voisin et lui faire payer nos propres errements ». C’est un principe qui a fait ses preuves, qui marche à tous les coups.
Oui, mais les morts ?
Chacun étant naturellement assez con pour penser que le mort sera l’autre, pas de problème.
Nous entrons démocratiquement dans le fascisme pur et dur. Tout pour et par les hommes de l’Etat, servitude et esclavagisme pour les autres. Délation et arbitraire pour tous.
Ça va être très dur.
Bien à vous. H. Dumas
Bonjour ,
Le vrai problème est pour tous ceux qui nous gouvernent ( droite et gauche confondues) de céder aux « assistés » sauf défilés jaunes et rouges » et blocages de ronds points .
Il distribuent donc ce qu’il n’ont pas et créent sans cesse des déficits ( MACRON champion a en 2 ans augmenté la dette publique de 600 milliards soit 100 % à 120 % ( je rappelle SARKOSY en 2007 c’était 70 % )
Les « travailleurs » ( j’entends par là ceux qui prennent des initiatives entrepreneuriales sont donc appelés à sans cesse cracher au bassinet .
Le contrôle fiscale n’est que la résultante de ces pressions budgétaires
Le plus grave c’est que si seulement l’accroissement des dépenses était financé par des prélèvements légalement établit , ce ne serait pas important
Par contrôle l’administration chargée du contrôle fiscal a « inventé » un principe : l’IMPÔT FICTION. pour accroitre les pseudos ressources de l’ETAT .
Ainsi en moyenne 15 milliards sont comptabilisés dans les recettes budgétaires suite à rappels fiscaux , mais seulement 50 % en moyenne sont réellement recouvrés.
Cela veut dire que tous les ans 8 Milliards de recettes budgétaires sont « fictivement inventées » et passent en « non valeur » soit n 10 ans 80 milliards .
C’est simple , si les rappels ne sont pas payés c’est qu’ils sont inventés car les débiteurs payent ou ne peuvent pas payer car cela va au delà de leurs moyens donc du réalisme .
En effet l’impôt même pénalités comprises ne peut pas être supérieur aux revenus et encore moins au patrimoine accumulé par les débiteurs prétendus
CONCLUSION :
Le fisc est passé maître en impôt fiction
Exemple simple : Ils reconstituent le CA des resto à partir de la « méthode des vins » ( proportion liquides consommés dans une note) et doublent allègrement le CA
Cela signifierait que les recettes espèces d’un resto sont en moyenne de 50 % à minima en espèces
La réalité tout le monde payent par carte bleu les notes de resto sauf statistiquement 10 % ( source INSEE )
= RAPPEL FICTIFS et MIRACLES FICAUX
L’état à créé cette machine infernale en lui donnant les outils juridiques de faire l’insensé et le juge administratif acquiesce devant les pages de tableaux chiffrés farfelus des vérificateurs
En 20 ans invention de recettes budgétaires passées en pertes et profits , pas moins de 160 milliards et on parle de fraude fiscale ? Oui , c’est le fisc qui fraude !!! avec la complicité des juges fiers et stupides
En 1940, Petain et son copain de la CGT René Belin ont créé le juif pour expliquer les malheurs de la France.. En 2022, Poutine et les Russes ont remplacé le Juif Blum.
La différence entre ? Les Russes ne se laisseront pas génocider.
En effet ce n’est pas le problème qui est important mais la recherche de la meilleure solution est là ceux qui dirigent la France par délégation choisissent la solution du bouc-émissaire qui les disculpe.