Il y a déjà fort longtemps que les « bienfaisants », qui se font appeler actuellement la gauche, nous ont mis sous la coupe réglée de leurs croyances et ont perdu de vue notre constitution dont les bases, éditées en 1789, ont protégé, éduqué et enrichi des millions de Français depuis cette date.
Pas plus cette constitution prônant la liberté — et la propriété privée sa traduction matérielle — que les lois qui en découlent ne sont en odeur de sainteté chez les « bienfaisants ».
Ils sont au-dessus de ça. Ils sont au service de leurs croyances quel qu’en soit le prix, ils sont prêts à vous piller pour les faire vivre. Car, sachez-le, ils ne pratiquent pas la « bienfaisance » avec leur argent ou avec leur patrimoine, mais avec celui des autres qu’ils récupèrent par le biais du pillage fiscal.
Ils prétendent que leur croyance étant universelle est au-dessus des lois.
C’est ainsi qu’il suffit que vous soyez déclaré « fraudeur fiscal » pour que la foule et les magistrats des tribunaux d’une même voix vous condamnent, même et surtout si vous ne devez rien aux services fiscaux, aux fermiers généraux.
La vie est très dure face à cette croyance, face aux « bienfaiteurs » qui vous tuent par grandeur d’âme.
En même temps, tout le monde comprend qu’un jour, une nuit, les caisses seront vides. Distribuer ne participe pas à leur renflouement.
Vous vous dites : quand il n’y aura plus d’argent ils cesseront de nous persécuter, de tout nous prendre, ils nous laisseront travailler, ne serait-ce que pour pouvoir ensuite nous plumer…. Eh bien non.
Observez l’actualité.
La souffrance engendrée par le pillage commence à faire réellement des dégâts.
Hélas, s’en apercevant, une partie de la population en fait porter la responsabilité non sur les « bienfaisants » mais sur une partie de ceux qui profitent de leur « bienfaits ». Plus précisément sur les étrangers. Elle légifère pour diminuer les « bienfaits » donnés aux étrangers.
Ce n’est ni malin, ni performant, puisque les étrangers ne sont qu’un petit bout du problème, qui est beaucoup plus vaste. Mais c’est ainsi. Là n’est pas le craquèlement du vernis.
Il est ici : de nombreux départements déclarent qu’ils n’appliqueront pas la loi réductrice des « bienfaits » qu’ils distribuent à longueur de journées avec l’argent et donc le travail ou le capital des autres.
Nous y sommes, nous découvrons que notre démocratie n’existe pas, que la nation est intégralement entre les mains des « bienveillants », qui se la pètent à mort.
Ils détiennent tous les pouvoirs.
Quand vous vous demandez pourquoi la justice vous donne systématiquement tort lorsque l’on vous dépossède illégalement de vos biens, de vos gains, de votre travail, vous avez enfin la réponse.
Les « bienfaisants » se foutent complètement de la loi, de la constitution. Ils sont une secte au-dessus de tout, de la liberté, de la propriété privée, du travail, du mérite, du droit, ils sont des « bienfaisants ». Il faut vous le mettre dans la tête.
Ils avancent masqués, ils peuvent s’appeler gauche ou droite, qu’importe, ils peuvent donner à Pierre, à Paul ou à Jacques qu’importe aussi, l’essentiel est qu’ils pillent pour donner. C’est à cela qu’ils croient.
Donc, sachez-le, si aujourd’hui les départements sont prêts à ne pas appliquer la loi ce n’est pas un évènement. Juste on vous le dit, vous l’apprenez, peut-être…
Mais il y a belle lurette que les « bienfaisants » pillent ce pays, la conscience tranquille, sans aucun respect pour la loi. Ils sont présents et croyants à tous les niveaux, ils se soutiennent, ils vous pillent.
Libre à vous de croire à leur fadaises, de croire que vous retirez un bénéfice à la distribution par eux de votre salaire, de vos biens… qui vous manquent peut-être à vous ou à vos enfants.
Vous faites peut-être partie des ravis qui exultent quand leur voisin, qu’ils pensent plus riche qu’eux, se fait tout piquer par les « bienveillants » ? Alors il va vous falloir encore attendre un peu pour comprendre le piège…
Ne vous inquiétez pas, ça va venir.
Si vous faites partie de ceux qui savent, qui ont compris, vous partagez sans doute mon désespoir en constatant que si les responsables des départements peuvent publiquement soutenir un tel mépris de la démocratie et de la loi, la probabilité que nous sortions autrement que par la violence de la faillite qui nous attend est nulle.
Bien à vous. H. Dumas