Après vingt ans de lutte, tout va y passer.
Avec ce lien : mainlevees HLT partielles LES HAUTS DE COCRAUD vous assistez en direct au meurtre économique d’une entreprise saine, qui n’a jamais triché, qui ne doit rien au fisc, que Bercy crucifie sans scrupule.
C’est un premier acompte de 162 697,48 € que Bercy vole à partir d’un redressement totalement illégal. Il est aussi remarquable de constater que ce prédateur inclut dans ce vol une somme de 12 475 € qui est un impôt impayé et sa majoration dont Bercy porte l’intégrale responsabilité par la paralysie de l’entreprise qu’il a provoquée illégitimement.
Les cigognes tuent les malades, tout le monde pleure et désapprouve, les hommes tuent les bien-portants, tout le monde se marre et applaudit, cherchez l’erreur de la nature vénérée : https://twitter.com/i/status/1514346090199408683.
Les méthodes de Bercy, ce tueur démoniaque
Premier temps, Bercy a caché les raisons de sa venue dans cette entreprise.
A juste titre puisqu’il s’agissait d’une brigade fiscale qui n’avait aucune raison objective de venir de Paris — où elle est exclusive des très grandes fortunes — à Sète vérifier la toute petite entreprise qu’est la SARL Les Hauts de Cocraud, environ 50 000 € de CA annuel. Il s’agissait d’un acte de vendetta inavouable, destiné à réparer l’outrage d’avoir dénoncé des falsifications de Bercy, si évidentes qu’elles ont été, là aussi au bout de vingt ans, sanctionnées par la justice – un jour de grâce exceptionnel, à marquer d’une croix blanche cette sanction…
Donc, premier temps, Bercy cache légalement les motifs de sa venue chez vous, alors qu’ils sont très souvent immoraux, c’est le cas ici.
Puis vient le moment de se défendre des accusations de Bercy.
Dans cette affaire Bercy a prétendu une opposition au contrôle fiscal totalement irréaliste, à partir d’agissements illégaux des contrôleurs reconnus par la CADA. Donc le débat oral et contradictoire a été supprimé, la société n’a pas pu se défendre à ce stade. Le montant du redressement a été automatiquement doublé !!!
En réalité le déséquilibre en défense est constant même sans le stratagème employé ici, particulièrement tordu.
Le contribuable doit d’abord donner ses arguments à Bercy, faute de quoi il n’est pas recevable devant la justice. Ensuite lorsqu’il passe enfin devant les juges, il ne connait pas les arguments qui seront développés par le commissaire du gouvernement qui roule pour Bercy. Il aura déjà été saisi et poursuivi entre temps. Il ne pourra pas demander une expertise judiciaire des faits reprochés.
Il a la tête sur le billot et sa défense est totalement bridée. Il ne dispose ni d’une égalité des armes ni d’un droit réel à une défense libre.
Donc, deuxième temps, une parodie de défense pour l’accusé fiscal.
Puis vient le vol par lui-même.
Là commence le harcèlement, la terreur. D’abord l’information à tous de l’ignominie supposée du contribuable par la publicité faite du faux redressement auprès des banques et des autres acteurs économiques , qui vont le fuir dès cet instant. Donc la mise à l’écart.
Tout alors s’écroule et les naufrageurs de tout poil commencent à tourner autour du contribuable artificiellement affaibli.
Pas de résistance possible contre le troupeau de hyènes.
C’est le troisième temps : la mise à mort.
Comment tout cela est-il possible ?
Très simplement, par la menace. C’est très Poutinien. Sauf que ça marche. Il n’est aucun acte de courage qui s’oppose à ces menaces.
La possibilité de perquisition comptable sans motif expose tout le monde. La maitrise de la justice au service du fisc, l’inégalité des moyens, élimine les plus téméraires.
La propagande d’une redistribution des produits du vol séduit l’opinion publique.
La cupidité des naufrageurs et la terreur isolent le contribuable, l’affaiblissent avant sa mise à mort.
Tout cela ressemble à une corrida, à une danse rituelle macabre où les intervenants sont achetés ou menacés pour s’assurer de leur participation sans faiblesse.
Résumé :
A partir d’un petit contrôleur aigri, dont Bercy flatte le vice, qui va jouir de son méfait en redressant, en surimposant, la plupart du temps un innocent, tout va être fait pour que l’agression devienne irréversible.
Les services de Bercy, contre vents et marées, vont soutenir mordicus n’importe quelle argumentation, même la plus invraisemblable, la plus fausse, du petit contrôleur redresseur.
Les juges ne s’en mêleront pas, ils ne feront que semblant.
Aux agents du recouvrement on fera croire que s’ils ne recouvrent pas — des sommes dont ils pourraient douter — ils devront les payer à Bercy de leurs deniers personnels. Foutaise, mais ça marche…
La machine à broyer l’économie, à tuer les entrepreneurs, à mentir à la foule, à dissimuler les dérives dépensières des hommes de l’Etat, à montrer du doigt des boucs-émissaires, à les sacrifier, est en route. Elle tourne à fond, elle ne s’arrêtera que lorsque la ruine de tous sera totale.
Bien à vous. H. Dumas
J’ai bien compris qu’on ne vous laisse pas d’autre défense que celle de dénoncer.
Donnez-moi une bonne raison de ne pas lire vos billets dans le détails ? de mon coté, je n’en vois pas.
A moins que vous ne les réserviez exclusivement au grand âge 😉
Donc si je comprends bien 2,5 millions d’ € pour 3 sociétés chapeautées par une holding, comme source de financement à trouver et à quelle échéance pressentez-vous la cessation de paiement ?
L’âge n’a rien à voir, l’expérience et la connaissance un peu.
Le défaut de paiement ne veut pas dire fatalement ruine totale, mais trésorerie indisponible.
Sans aide familiale il y a longtemps que ce serait le cas de mon entreprise.
Donc se retrouver entre les mains des liquidateurs, dont l’indélicatesse n’est pas une légende, du fait d’une trésorerie paralysée par les services fiscaux, pour l’exigence d’une dette inexistante, est un meurtre économique prémédité, qui vise uniquement l’installation de la terreur fiscale.
Si je me rappelle vos derniers articles sur votre affaire, l’administration fiscale vous refusait la vente amiable de vos biens.
Visiblement, le fisc a revu sa position, résultat j’imagine d’une longue et âpre négociation.
ils sont désintéressés à hauteur d’environ 63% de la valeur de vente, est ce à dire qu’ils ont décidé dans la grande mansuétude qu’on leur connait de vous laisser à vous et Madame les 37% restant ?
Je l’espère pour vous et je suis d’accord c’est cher payé pour avoir osé contesté leur abus d’autorité.
Hélas pas du tout.
Le fisc ne prend pas la totalité des ventes car la copropriété est prioritaire.
Le fisc, qui refuse toute discution, on ne discute pas pour eux avec la vérité, prendra la totalité des sommes des ventes à venir.
Impossibilité donc d’alimenter la trésorerie de l’entreprise, donc accumulation des dettes.
Je n’avais pas perçu que mes explications étaient complexes au point d’´aboutir à en retenir l’inverse de la réalité.
La bureaucratie en général et Bercy en particulier complexifient volontairement des situations simples pour noyer leurs prédations.
Bien à vous. H. Dumas
M. DUMAS,
Vos explications sont toujours très claires.
C’est juste qu’en prenant connaissance des mains levée partielle du fisc, je me suis demandée pourquoi au regard de la somme totale qu’il vous réclame indument
(je veux bien vous croire, moi) BERCY ne s’accaparait pas directement l’intégralité du fruit de la vente.
Effectivement, le syndic est prioritaire.
il doit bien exister une porte de sortie à ce carnage.
J’imagine que vous n’attendez pas de vos lecteurs qu’ils assistent béat, sans rien faire
Un euro million participatif, peut être ?
Je plaisante : j’imagine au vue de votre parcours de vie que ce ne doit pas être votre truc.. solution de rêveur, facile, sans garantie de résultat
il reste combien à donner aux mendiants de BERCY déjà ?
combien de maisons déjà vendues, combien restent dans la SCI et ? 50 000 € de revenus locatifs/an , c’est cela ?
Le fait que vous preniez la peine de lire les billets dans leurs détails, y compris les pièces jointes, m’honore.
La prétendue dette, en fait le vol, approche les 2,5 M€
Le fisc ne laissant aucune vente disponible avant extinction totale de la fausse dette force mes sociétés à tout vendre, il est probable que la cessation de paiement aura lieu avant le temps matériel de ces ventes, ce sera alors la misère sans aucune raison.
La violence et l’iniquité de cette situation sont extrêmes, n’ont aucune excuse, hors la terreur voulue et nécessaire au délire fiscal.
J’ai bien compris qu’on ne vous laisse pas d’autre défense que celle de dénoncer.
Donnez-moi une bonne raison de ne pas lire vos billets dans le détails ? de mon coté, je n’en vois pas.
A moins que vous ne les réserviez exclusivement au grand âge 😉
Donc si je comprends bien 2,5 millions d’ € pour 3 sociétés chapeautées par une holding, comme source de financement à trouver et à quelle échéance pressentez-vous la cessation de paiement ?
– Goebbels un SS NAZI disait = »Si l’on répète un mensonge plusieurs fois, cela devient la vérité. ».
La Nazification des esprits est en route sur le chemin de la vie démocratique depuis des décennies en EU et en particulier dans l’Administration française.