Au début, ce ne fut qu’un murmure, quelques voix isolées, ici ou là, que personne n’entendait. Puis ça a pris plus d’ampleur. Aujourd’hui, on n’est plus très loin du vacarme. Oui, les injections, pour obligatoires qu’elles soient dans les faits (en France, du moins), non seulement ne protègent personne de quoi que ce soit, non seulement sont contre-productives, mais en outre, se révèlent pour beaucoup un véritable poison, capable d’entraîner les blessures les plus graves, et même la mort. Éteignez les voix corrompues, le « consensus scientifique », tant revendiqué par l’ennemi, est clairement unanime, il faut cesser immédiatement les programmes d’injections mortifères et toutes les relégations sociales.
C’en est au point que dans une majorité de pays, les dirigeants, aveuglés par l’évidence, se rendent à l’évidence, et que, pour éviter un rejet définitif de leurs esclaves administrés, abrogent tout ou au moins partie, de leurs mesures liberticides.
Reste une minorité malheureuse : les pays dans lesquels le poids de l’état est si lourd que leurs peuples n’ont plus que le choix d’obéir et/ou de mourir. La France, non pas « par exemple », mais désormais, comme meilleur exemple.
Pourquoi nos dirigeants s’obstinent-ils en dépit de l’évidence ?
D’aucuns défendent que la population non injectée constituera le groupe témoin de la nocivité des injections, groupe témoin qu’il faut donc absolument supprimer.
D’autres, plus imaginatifs encore, susurrent que les produits injectés pourraient contenir des ingrédients secrets aux propriétés les plus inattendues.
À mon avis, c’est beaucoup plus simple que cela.
Je le radote depuis deux ans : j’ai d’emblée douté du discours officiel, parce que j’y ai reconnu la « patte » des psychologues de « l’économie comportementale ».
Aujourd’hui, c’est officiel, oui, ce que nous subissons depuis deux ans est dicté par le cabinet américain McKinsey. Le cabinet McKinsey est LE cabinet-conseil en marketing des psychologues de l’économie comportementale. Et qui sont ses principaux clients ? Les laboratoires pharmaceutiques ! Que notre ministère ait choisi ces gens-là pour le conseiller, et que ceux-ci aient accepté cette mission est seulement indéfendable. `
Le cabinet McKinsey n’est pas autre chose qu’un cabinet de manipulation des opinions publiques. À partir d’informations, vraies ou fausses, peu importe, appelées « nudges », on conduit les peuples à accepter, ou même à choisir volontairement, les volontés dirigeantes.
Et c’est ici que tout dérape, tôt ou tard. Le nudge ne trompe pas seulement ceux pour lesquels il est construit. Il trompe plus encore ses créateurs. La pratique et l’usage des nudges donnent à ces derniers un sentiment de toute-puissance, d’invincibilité absolue.
Les théoriciens de McKinsey savent manipuler. Mais ils ne savent pas écouter. Mieux, ils sont incapables d’entendre. La sourde impatience qui gronde au sein des populations, ils n’imaginent même pas qu’elle puisse exister. Et voilà pourquoi, Madame, nos dirigeants s’obstinent. Le bruit des défilés, le grondement des camions ? Qu’importe ? Un autre nudge et tout rentrera dans l’ordre.
Peut-être. Peut-être pas.
Linton Bay, 8 février 2022
https://fr.irefeurope.org/actions-et-manifestations/actions-aupres-des-decideurs/article/lillegalite-des-remunerations-des-sages/
Un jour on demanda à Gorbatchev depuis quand l’agriculture soviétique ne fonctionnait plus. Il repondit « mais depuis 1917 ». L’idéologie avant la réalité.
La croyance nie le réel.
Effectivement la rumeur enfle.
Si cela tourne au fiasco mortel, des têtes vont tomber.
Mais, ce n’est peut-être qu’une rumeur…
Pas facile de faire le tri tant les informations nous manquent, alors que nous n’en avons jamais eues autant.
Quel paradoxe !!!