LE « HOME JACKING » DE BERNARD TAPIE. UN PARMI DES CENTAINES CHAQUE SEMAINE DANS NOTRE BEAU PAYS…

 

 

RETOUR SUR TERRE POUR LES BOBOS ;

Affaire Tapie : quand l’immigration enrichit brutalement les élites.
Plongée dans la vraie vie…

Sous un feu roulant de critiques pour avoir fait le lien entre immigration et délinquance après la violente agression du couple Tapie, le président de l’Institut Apollon persiste et signe : il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.

Jean Messiha revient sur les leçons de l’agression sauvage et odieuse du couple Tapie dans leur demeure du Moulin-de-Breuil à Combs-la-Ville (Seine-et-Marne). Photo © STEPHANE DE SAKUTIN / AFP

Ces derniers jours, Bernard Tapie a beaucoup fait parler de lui. Pas pour une ténébreuse embrouille financière dans laquelle serait mêlée l’homme d’affaires, gravement malade aujourd’hui.
Il s’agit bien sûr de l’agression sauvage et odieuse dont son épouse et lui-même ont été victimes dans leur magnifique demeure du Moulin-de-Breuil à Combs-la-Ville il y a quelques jours.

Me basant sur des révélations de Valeurs actuelles reposant sur des sources policières, au demeurant jamais démenties par les Tapie eux-mêmes, j’ai indiqué que cet homme qui avait tant œuvré pour l’immigration et tant dénoncé les « amalgames » entre immigrations, venait d’en vivre la cruelle expérience.

Si on peut mettre en lumière un immigré africain parce qu’immigré africain pour un beau geste, alors pourquoi diable ne pas mettre un coup de projecteur sur les innombrables actes de délinquance et de criminalité d’autres africains ?

Un déluge d’insultes et de critiques m’est tombé dessus. Y compris de journalistes, enfin si on peut les appeler ainsi, comme Jean-Michel Apathie. J’ai subi un assaut en règle sur le plateau de « Touche Pas à Mon Poste » lundi 5 avril, Stéphane Tapie, fils de Bernard, m’invitant à rester chez moi et à fermer ma gueule. Et afin de clore le débat sur le lien immigration et délinquance, il cite le comportement exemplaire de Lassana Bathily lors de la prise d’otage meurtrière de l’Hyper Cacher en 2015, bien que le récit héroïque de ce migrant clandestin malien a été remis en cause par les otages eux-mêmes. Mais à supposer que Lassana Bathily ait été un véritable héros, si on peut mettre en lumière un immigré africain parce qu’immigré africain pour un beau geste, alors pourquoi diable ne pas mettre un coup de projecteur sur les innombrables actes de délinquance et de criminalité d’autres africains ?

Plus généralement, les origines et la couleur de peau sont très régulièrement au cœur des indignations de la bien-pensance. Adama Traoré, Michel Zecler, Georges Floyd et plus anciennement les jeunes Ziad et Bounia… Autant de drames où il était question de Noirs, de Maghrébins, etc. L’immigration victimaire fait ainsi l’objet de toutes les attentions du système médiatico-politique, tandis que pour l’immigration tortionnaire le mot d’ordre pourrait être celui utilisé récemment par Audrey Pulvar : « Blancs, taisez-vous ! ».

Pire, un seul geste positif d’un immigré est immédiatement récupéré et instrumentalisé sans aucune décence par médias et politiques, donnant lieu souvent à la création d’une légende et… à une naturalisation dans la foulée ! Mais des centaines de milliers d’actes criminels ou délictuels émanant de l’immigration, là une omerta épaisse se met en place et gare à celui qui évente quoi que ce soit dessus ! Avec sa remarquable honnêteté intellectuelle et son approche profondément démocratique du débat d’idées, Cyril Hanouna m’a permis de venir me défendre le lendemain face à la meute habituelle de mes détracteurs.

Pour les antiracistes autoproclamés, donner le profil racial de leurs agresseurs est un crime de lèse-majesté.

Mais revenons-en au début de cette polémique. De qui donc les policiers tiennent-ils que les agresseurs sont trois Noirs et un Maghrébin ? Eh bien du couple Tapie lui-même. Ô mais pour les antiracistes autoproclamés, donner le profil racial de leurs agresseurs est un crime de lèse-majesté. Il fallait dire « des jeunes ». Fort bien. Mais de quel type ? « Et bien du type jeune, c’est tout messieurs les flics ». Soit. Tapie aurait donc du présenter cette description aux policiers. Une description déracisée. C’eût été une belle posture antiraciste de sa part. Mais ça n’est précisément pas ce qu’il a dit. Du coup la famille Tapie et les médias me font grief d’avoir repris à mon compte la description des Tapie eux-mêmes !

Mais plus encore, ce qui m’a complètement abasourdi ce sont les révélations d’André Bercoff, animateur de Sud Radio sur son entretien avec Bernard Tapie, dont il est l’ami de longue date, après les faits. L’homme très choqué, et on le comprend, lui avouait son désarroi : « Je leur ai dit que j’avais toujours été de leur côté », a dit Tapie à ses agresseurs dans l’espoir de les ramener à la raison. À cela, il n’a reçu pour toute réponse qu’un « va te faire enculer » méprisant, ses agresseurs continuant à cogner de plus belle, surtout sur son épouse.

Avoir été de leur côté aurait dû donc constituer une immunité aux yeux de Tapie. Eh bien non, cher Monsieur. Vous devriez faire un peu d’histoire. Les envahisseurs n’épargnent jamais très longtemps les naïfs ou les traîtres qui leur ont ouvert la porte.

Vous pensiez sans doute, comme toute la grande bourgeoisie française immigrationniste, que la populace blanche et immigrée assimilée était bonne pour le « vivre-ensemble » de masse, mais que votre fortune vous en épargnerait les affres et les dangers ? Pas de chance. Les murs de votre domaine ne les ont pas arrêtés. Et ils n’épargneront personne. Non personne.

On me reproche d’avoir relaté cette affaire en ces termes ? Je m’en fous. Au nom de quoi devrais-je donc taire le réel ?

Cela fait maintenant des années que le fait d’être blanc vous relit à l’esclavage, au colonialisme, au racisme et on vous dit que vous devez encaisser tête baissée parce que c’est la réalité de l’Histoire. Très bien. Eh bien la réalité d’aujourd’hui, c’est aussi que l’immigration arabo-afro-musulmane est considérablement sur-représentée dans la délinquance, la criminalité, le fanatisme religieux et je ne parle même pas du terrorisme. Alors maintenant, c’est réel contre réel, il n’est plus question de prendre des coups sans les rendre. Je suis un bon chrétien sauf sur un point : je ne tends pas l’autre joue. Je tends le poing. Politiquement bien sûr.

Je m’entête à parler du réel parce que le dissimuler nous empêche de régler les problèmes qui accablent notre pays. Depuis des années, nous vivons une immigration de peuplement arabo-afro-musulmane. Et on nous serine à longueur d’années que cela se passe très bien, qu’un vivre-ensemble serein et pacifique se met en place et mieux, que l’on s’enrichit de cette lente submersion. Eh bien, il est plus que temps de dire CE QU’IL FAUT.

Non, cela ne se passe si bien que ça. Non ce n’est pas si pacifique que ça. Et non, franchement, ce processus est très loin de nous enrichir. Parler ainsi nous entrainerai, paraît-il, vers la guerre civile.

C’est tout le contraire. C’est en arrêtant cet assaut pendant qu’il en est encore temps – et il ne nous en reste que très peu – que l’on pourra empêcher la guerre civile. Mais le camp de l’anti-France ne veut pas de cette résistance, car il veut que dans 20 ou 30 ans le peuple français n’ait plus d’autre choix que de se soumettre ou de se barrer parce que le nombre sera contre lui.

Je vais terminer par cette histoire de « stigmatisation » dont on nous rebat les oreilles. Avez-vous remarqué que chaque fois que des gitans sont impliqués dans une affaire délictuelle ou criminelle ou de troubles à l’ordre public, les médias n’hésitent pas une seconde à désigner les auteurs comme des « gens du voyage » ? Là personne ne se scandalise de ce qui contribue à stigmatiser une population qui l’est déjà pas mal. Par contre, c’est un invraisemblable tollé si les mots « immigration », « maghrébins » ou « africains » sont prononcés. Pourquoi ? C’est très simple. Les Gitans sont des Blancs qui, en plus, ne vivent pas comme les autres Blancs. Alors les pointer du doigt, ça passe crème. Mais les Arabes et les Noirs, eux, sont sanctuarisés, presque déifiés.

Toute cette hypocrisie, c’est finie. Terminée. La gauche et la bien-pensance ont décidé depuis quelques années de mettre la race au cœur du débat politique, pour en désigner une, la race blanche, comme la mauvaise race coupable de tout et les autres comme victimes de tout. Le temps de la vérité est venu. On va tout mettre sur la table et les Français vont lentement sortir de la torpeur des sédatifs de la doxa pseudo-progressiste et anti-française. Nous sommes chez nous et nous allons nous battre pour rester ce que nous sommes là où nous sommes. C’est-à-dire rester et vivre Français en France.

Affaire Tapie : quand l’immigration enrichit brutalement les élites

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