Le 14 décembre prochain les Grands Electeurs de chaque Etat doivent officiellement désigner le 46è président des USA.
La Campaign Trump s’active pour déposer des recours devant les juridictions des Swing States pour invalider le résultat de leurs élections respectives du 5 novembre dernier. Choux blanc jusqu’à présent : toutes ces tentatives sont systématiquement déboutées, faute de preuves suffisamment étayées pour modifier significativement le sens de ladite élection. Vrai, faux ? En tout cas cela implique des investigations sérieuses qui peuvent durer bien après le 20 janvier 2021, jour de l’intronisation du prochain locataire de la Maison Blanche.
Au début de cette semaine, lundi dernier à sept jours de la réunion des Grands Electeurs, une plainte émanant du gouverneur du Texas, G.W. Abott, est déposée auprès de la Cours Suprême Fédérale – SCOTUS – Supreme Court Of The United States, pour modification des règles de droit d’un processus électoral en regard du Covid-19 en contradiction avec les règles établies par la Chambre des Représentants d’Etat local, c’est-à-dire relevant de celle-ci qui a autorité pour faire les lois. Il ne s’agit donc plus de fraudes relevant du délictuel, mais du respect des règles de Droit Constitutionnel. Cette plainte vise les Etats de Géorgie, du Michigan, de Pennsylvanie et du Wisconsin …
Il faut savoir aussi que G.W. Abott est sous enquête du FBI, mais ce n’est pas le propos.
Evidemment, plusieurs Etats républicains s’engouffrent dans la brèche au motif que la population d’un Etat votant Trump est lésée par le résultat général donnant Biden selon de telles circonstances.
Evidemment, aucun Etat de gouvernance Démocrate ne va se tirer une balle dans le pied pour y souscrire.
Je me pose alors une seule question : Est-ce qu’un Etat peut poursuivre un autre Etat dans son irrespect des lois édictées par sa chambre législative locale, plus celles plus formelles du cadre fédéral au-dessus au sein des USA ? Je pense que oui.
La plainte est apparemment reçue par la SCOTUS qui va devoir trancher rapidement, bien plus que pour les investigations de fraudes aux bulletins de votes. Nous attendons la suite …
Sur les conséquences d’une éventuelle invalidation de ces changements de règles « inopinés », cela dépendra du nombre d’Etats déboutés : 0,1,2,3,4 ? Probablement mi- chèvre, mi- choux, mais en deçà de trois, cela devrait entériner l’affaire Biden.
Il restera encore la loi martiale invoquée par ingérence étrangère dans les élections US, mais c’est un flip-flop qui en principe dépassera largement le cadre du 20 janvier 2021. Peut-être aussi la démission de Trump avant l’investiture pour Pence afin de nettoyer ce qu’il faut ! Bref, conjectures …
Pour finir, je trouve que ce qui se passe aux US actuellement est d’une grande vitalité de la Démocratie, vérolée peut-être, mais avons-nous des leçons à leur donner ?
Chez-nous tout est plié d’avance, dans une soviétisation ambiante.
Bien à vous !
Oh non !
J ‘espère que ‘Bandit le chien qui mord va être contraint par la force de retourner à la niche et qu’ il vont garder l’autre quand bien même il aurait du bide, ce qui
Est encore incertain d après ses médecins.