Vous pensiez avoir touché le fond, vous vous trompez !
Ce, à quoi nous assistons aujourd’hui, c’est à la déliquescence d’un système administratif énorme, pachydermique et horriblement couteux qui a fait la preuve de sa totale incapacité.
-Incapacité à prévoir les mesures de protection de la population alors que nous savons que la forte concentration urbaine est un facteur évident de propagation des maladies,
-Incapacité à réagir aux avertissements de l’OMS puis aux évènements en se réfugiant dans le mensonge et le déni (les masques ne servent à rien, puis nous avons tous les stocks qu’il faut … sic M Véran)
Et aujourd’hui, on nous explique qu’il nous faut nous débrouiller seuls face à l’épidémie et fabriquer nos propres masques ; en gros se lancer dans le système D.
Or, il ne faut quand même pas oublier que le système étatique de santé français est l’un des plus couteux de la planète !
Dans ces conditions, il y a lieu de se demander comment un tel résultat est possible.
En fait, nous sommes face à un système à la soviétique qui contrôle tout et tout le monde mais qui finalement n’est bon à rien. La meilleure preuve, le système soviétique s’est écroulé sur lui-même, tout seul, parce qu’il était incapable de produire autre chose que des fonctionnaires surveillant la population et des armes !
Au-delà de ce constat, il faut tordre le bras à un mensonge qui se répand dans la population selon lequel, s’il y a des problèmes, c’est que l’hôpital manquerait de moyens.
Or, il faut aussi savoir que malgré l’importance des cotisations sociales collectées, l’essentiel de l’inefficacité du système étatique de santé tient au fait qu’environ 35% du personnel employé n’a aucun lien avec la santé et que ce personnel se perd complaisamment dans des normes et des procédures inutiles dont l’effet premier est de compliquer le fonctionnement de l’hopital !
Autrement dit, vos cotisations servent à payer les salaires de gens qui n’ont rien à faire dans un système de santé ou si vous préférez que 35% de vos cotisations servent à payer les salaires de gens improductifs, de parasites qui n’ont été mis là que pour lisser des statistiques du chômage désastreuses !
Vous pensiez avoir touché le fond ?
Vous vous trompez, car ce qui se passe aujourd’hui pour la santé se reproduira ensuite pour la retraite, car elle présente une caractéristique identique : c’est un système totalement étatisé et obligatoire, qu’on ne peut pas contourner et qui est pourtant mal géré.
Fatalement, aux mêmes causes, les mêmes effets, c’est à dire que ce qui se passera dans le futur, c’est qu’après vous avoir extorqué, pendant 40 années, des cotisations de retraite, on vous expliquera ensuite que de retraite, il n’y en aura pas !
Vous devrez vous débrouiller seuls !
La France est le pays du système D, pas par manque de moyens mais par incurie d’un système administratif inefficace et dispendieux !
La France est le pays du système D non pas comme débrouille mais comme désastre !
Néanmoins, on me dit que les français aiment leur administration !
Comprenne qui pourra …
Bien cordialement à tous !
Méditation =
Une réflexion sur le passé mais pas si passé que cela =
les jours de Pâques; L’effigie de Jésus resté sur la croix se tait de sa résurrection !
Marc 4:19 … mais en qui les soucis du siècle, la séduction des richesses et l’invasion des autres convoitises, étouffent la parole, et la rendent infructueuse.
2 Corinthiens 12:20 … je crains qu’il n’arrive que quand je viendrai, je ne vous trouve point tels que je voudrais, et que je sois trouvé de vous tel que vous ne voudriez pas, et qu’il n’y ait en quelque sorte [parmi vous] des querelles, des envies, des colères, des débats, des médisances, des murmures, des enflures d’orgueil, des désordres et des séditions.
Luc 11:46 … Et Jésus répondit: Malheur à vous aussi, docteurs de la loi! parce que vous chargez les hommes de fardeaux difficiles à porter, et que vous ne touchez pas vous-mêmes de l’un de vos doigts. Malheur à vous, docteurs de la loi! parce que vous avez enlevé la clef de la science; vous n’êtes pas entrés vous-mêmes, et vous avez empêché d’entrer ceux qui le voulaient.
Luc 15:10 … De même, je vous le dis, il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se repent.
Je vais sans doute vous paraître particulièrement acerbe et même provocateur mais moi ce virus je le trouve quand même assez inespéré.
Nous assistons en effet à la fin de la domination des soixante-huitards, car il faut bien admettre que ceux qui ont le plus peur de cette maladie hormis les jeunes malades chroniques tels que les diabétiques ou asthmatiques sont les septuagénaires.
Cette génération qui n’a pas connu la 2ème guerre mondiale parce que pas encore née, ni les affres de la guerre d’Algérie parce que trop jeune, qui a bénéficié de la croissance économique, du plein emploi, du progrès technologique, qui n’a pas eu à supporter de lourdes charges sociales pour payer les retraites de leurs ascendants, qui a eu le culot de se plaindre en 1968 (pour quelles raisons d’ailleurs ?) qui a pu bénéficier de l’inflation dans les années 70 pour se constituer un patrimoine immobilier à crédit (et qu’ils veulent revendre au prix fort maintenant d’ailleurs), qui n’ a jamais connu les difficultés du chômage pour s’être calfeutrée dans l’administration, qui n’a rien trouver de mieux à faire que de voter Mitterrand en 1981 et surtout qui a bloqué l’avenir des générations suivantes dont leurs propres enfants.
En disant cela je ne vise évidemment pas Monsieur Dumas qui est né en 1944 et que j’estime particulièrement pour son courage et sa détermination, je ne vise pas non plus tous les gens entreprenants du secteur privé du même âge mais tout ce troupeau de fichus gauchistes, fumeurs de joints aux idées délétères, du fonctionnaire de catégorie C à l’énarque, qui parce que nés à la bonne époque ont eu toutes les facilités et se plaignent encore et toujours.
Ils paniquent à l’idée de mourir mais ils tenaient absolument il y a quelques mois à euthanasier Vincent Lambert. Ils ont peur d’une grippe baptisée COVID 19 qui serait un peu plus contagieuse que d’ordinaire (20000 morts en France à ce jour au lieu de 10000 à 15000) mais qui en fait est surtout surmédiatisée.
Il faut bloquer tout le pays pour leurs vieux os, tant pis pour l’économie, tant pis si les actifs du secteur privé se retrouvent dans la misère, leur précieuse petite peau d’abord. Et on nous assène pour nous faire peur les décès sur les ondes, par exemple le chanteur Christophe décédé du COVID 19, (je ne voudrais pas être méchant mais il me semble que sa santé était chancelante depuis longtemps, son décès n’est donc pas une grande surprise, paix à son âme).
20000 morts presque tous vieux ou très vieux c’est quand même loin d’être une hécatombe, c’est un peu plus que le nombre de morts annuel sur les routes dans les années 70 (on n’a pas arrêté l’industrie automobile pour autant), c’est à comparer avec les 9000 morts annuelles par suicide, les 30000 morts par accident domestique, c’est aussi à comparer aux près de 230000 avortements par an (soit un tiers des naissances annuelles potentielles qui disparaissent dans l’incinérateur), mais cela il ne faut surtout pas le dire au risque de passer pour un dégénéré de catho extrémiste de droite…
On bloque tout le pays, on bloque la planète entière, mais c’est la fin d’un règne, d’une époque,d’une idéologie, c’est inéluctable, il était temps.
Vous avez raison.
On a connu les 30 glorieuses, où vraiment il suffisait de traverser la rue pour trouver du boulot et surtout on a connu la liberté avant l’arrivée du « Bien commun »qui a tout tué avec la montée en puissance des parasites/fonctionnaires/tortionnaires qui ont tué l’envie d’entreprendre.
La liberté s’est arrêtée avec la mort de Pompidou et l’arrivée des énarques
au pouvoir…
qu’ils envisagent
Les hommes politiques sont obnubilés par la question de réussir à résoudre les problèmes du quotidien même les plus véniels, la seule et unique réponse qu’ils envisage lorsqu’un cadre administratif leur présente son rapport pour solutionner ces questions consistant à augmenter le nombre de fonctionnaires à atteler à la tâche, c’est de dire : mais bien sûr, je vous l’ai toujours dit.