Temoignagefiscal était au congrès des libérés de la sécu (vidéo)

Bonjour,

Invité par Claude Reichman, j’ai représenté Témoignagefiscal au 2ème congrés des libérés de la sécu à Paris le 15 Octobre.

Je vous joins la vidéo de mon intervention, pour laquelle vous voudrez bien accepter mes excuses pour la qualité déficiente du son. Pris en caméra seule il s’est avéré trop faible et son augmentation au montage n’est pas une réussite.

Cordialement. H. Dumas

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A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

4 réflexions sur « Temoignagefiscal était au congrès des libérés de la sécu (vidéo) »

  1. messieurs ..entendez
    https://www.youtube.com/watch?v=BUsjEw-1Eik

    quelle rime choisirez pour le spectacle continue – essaieriez vous de vous élever et regarder d’un autre angle ?

    dans quelle direction choisirez vous de regardez (la lune) pointée du doigt par les politiques de tout poils avec le majeur ?
    non .. vous décidez par vous même et rappelez vous celui qui copie un lion
    –> devient un singe , au debut ca amuse la galerie mais a la fin on s’en lasse

    décidez plutôt par vous même , dirais a la façon sen Tzu
    gagner ou perdre une guerre ne se fait pas par hasard, ni par l’intervention des dieux ou des esprits. C’est une question de méthode et de stratégie. De bons principes stratégiques (préparation, travail, bonne connaissance du terrain et des forces en présence) conduisent à la victoire, il est donc important de les étudier.
    passez du statut de rats de laboratoire a LABOURS and TINS

    bien canaillement , votre dévoué serviteur !!

  2. Merci pour votre vidéo et intervention , votre Franchise ne consiste pas à écrire ce que vous pensez mais à penser ce que vous écrivez , bravo! .
    Une remarque sur ce que nous vivons dans ce pays La France = Les impôts en France n’ont servi principalement qu’à acheter les consciences et financer les mauvaises actions… Le langage politique français n’a été destiné qu’à rendre vraisemblables les mensonges, respectables les meurtres et à donner l’apparence de la solidité, à ce qui n’était que du vent. L’injustice est devenue un métier de gouvernance d’état.
    Donc Il est inutile de compter sur un gouvernement de plus français , nous ne devons compter que sur notre propre détermination. Aidons-nous, en nous soutenant les uns les autres, fortifions ceux qui, parmi nous, sont faibles, unissons-nous, organisons-nous et nous gagnerons. Le capital est du travail accumulé ; Seulement en France , ce sont les uns qui travaillent et les autres qui accumulent .

  3. mais je vous CROAAA , oh chef de file de croyants
     » ni dieu , ni maitre  »
    c’est vrai qu’a force de se faire METRE , j’ai depuis remonté d’un cran ma ceinture et mis les talons a la place de l’estomac .
    CONSTAT
    –> l’ union des politiques & medias et bobos fait la force a force et moi petit
    JEDI mon oignon baigne en plein dans la soupe .

    j’agrémente le potage des potaches de Bercy et sur les 1200 millions qui chaque années est distribué a tous vents , j’aimerais que ce ne soit pas la moitié qui parte en fumée sans contrôle de qui que ce soit ( hormis peut être la cour des compte s) mais dont les bottins annuels ne font que caler les pieds des bureaux ministériels !

    j’en ai marre de me faire peler l’oignon au titre de la solidarité !!

    cela dit s’il faut des z’ HEROS , des kamikazes fiscaux pour fondre sur le paquebot de Bercy afin que la croisière ne s’amuse +..

    Ô Capitaine ! mon Capitaine ! fini notre effrayant voyage,
    Le bateau a tous écueils franchis, le prix que nous quêtions est gagné,
    Proche est le port, j’entends les cloches, tout le monde qui exulte,
    En suivant des yeux la ferme carène, l’audacieux et farouche navire ;
    Mais ô cœur ! cœur ! cœur !
    Oh ! les gouttes rouges qui lentement tombent
    Sur le pont où gît mon Capitaine,
    Étendu mort et glacé.

    Ô Capitaine ! mon Capitaine ! lève-toi et entends les clo­ches ;
    Lève-toi — c’est pour toi le drapeau hissé — pour toi le clai­ron vibrant,
    Pour toi bouquets et couronnes enrubannés — pour toi les rives noires de monde,
    Toi qu’appelle leur masse mouvante aux faces ardentes tournées vers toi ;
    Tiens, Capitaine ! père chéri !
    Je passe mon bras sous ta tête !
    C’est quelque rêve que sur le pont,
    Tu es étendu mort et glacé.

    Mon Capitaine ne répond pas, pâles et immobiles sont ses lèvres,
    Mon père ne sent pas mon bras, il n’a ni pulsation ni vouloir,
    Le bateau sain et sauf est à l’ancre, sa traversée conclue et finie,
    De l’effrayant voyage le bateau rentre vainqueur, but gagné ;
    Ô rives, Exultez, et sonnez, ô cloches !
    Mais moi d’un pas accablé,
    Je foule le pont où gît mon Capitaine,
    Étendu mort et glacé.

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