Opinion, intérêts et services publics
Il y a des pays qui fonctionnent plutôt bien, donc il ne faut pas désespérer de la civilisation, mais il faut bien reconnaître que, parmi les pays pas encore complètement sous dictature, le France est l’un de ceux qui fonctionnent le plus mal. Malgré la charge fiscale la plus importante au monde, l’éducation nationale est dans les dernières au classement PISA, la justice est 37 ème sur 43 au classement CEPEJ, la santé 24 ème après avoir été première il y a un demi-siècle. J’ai honte de mon pays. Les raisons ont été mille fois évoquées, en particulier sur ce site. Le pouvoir a été volé par des gens qui seraient incapables de faire tourner une épicerie.
La relation entre le public et la gouvernance souffre de dysfonctionnements graves. L’intérêt commun n’est pas perçu. La gouvernance (masquée) estime que l’intérêt général profite de la réduction des intérêts particuliers. Ce qui pourrait être vrai si la limitation des éventuels abus n’allait pas jusqu’à l’anéantissement des possibilités d’exercer un métier quelconque dans des conditions acceptables. Ce qui pourrait aussi être vrai si la corruption ne gavait pas la haute administration qui laisse faire les abus par intéressement. Beaucoup d’entreprises, commerciales ou industrielles, submergées par la complexité administrative et la lourdeur fiscale, sont moribondes. Ajouter à cela le coup de massue des mesures soit disant contre le Covid, les matières premières confisquées par la Chine, l’inflation qui se pointe, eh bien, on sait depuis longtemps que l’on va dans le mur, mais on accélère.
La déraison a repoussé le choc par un endettement toujours plus grand, ce qui n’a pas supprimé le mur qui s’approche toujours inexorablement. Plus on attend, plus les mesures pour retrouver une situation saine devront être radicales, le traitement de cheval, la purge intégrale de toute la constipation institutionnelle, de toutes les folles réglementations en tout genre souvent obsolètes, qui momifient le pays, de toutes les injustices sociales et tous les privilèges que s’accordent les hauts fonctionnaires et leur cour.
C’est déjà dit. Il n’y a plus d’esprit de « service public » chez une partie des fonctionnaires, qui sont souvent démotivés d’être considérés comme des pions insignifiants par leur hiérarchie, car là aussi leurs opinions, leurs expériences d’actifs, sont pris de très haut par les « responsables ». Les anecdotes ne manquent pas, en particulier sur les méthodes d’enseignement à l’éducation nationale, ou bien sur l’incapacité d’organisation de l’hôpital public. Chez d’autres fonctionnaires, plus particulièrement les services fiscaux ou purement administratifs, « l’autre monde », celui de l’économie libre, les indépendants, les commerçants, les libéraux, c’est l’ennemi, ceux qu’il faut faire « chier ». Même si on ne sait pas pourquoi, eux le savent ! Ce n’est pas un conflit d’intérêt, c’est viscéral. Ils ont été dressés comme ça. Martyriser le citoyen, à tord ou à raison, peu importe. C’est leur intérêt à eux, puisqu’ils touchent des primes sur leurs escroqueries. Après, au cas où le citoyen serait honnête, les scrupules sont rangés dans le tiroir du bas avec la poussière.
Donc on est en guerre civile. D’un coté l’énarchie, les média-main-stream, la justice, la police, l’armée. De l’autre, les entrepreneurs, les libéraux, les indépendants, les artisans, les agriculteurs, ceux qui bossent. Au milieu, l’opinion publique diversifiée, désinformée, paradoxale, versatile et hésitante.
Tiens, l’armée se rebelle ? La police aussi ? Pas là pour taper sur des pompiers qui eux aussi en ont marre ! La justice veut son indépendance ! Pourquoi d’ailleurs, ils ne l’auraient pas déjà, théoriquement ? C’est pas clair, pour réinventer la loi ? Les média commencent à se rendre compte que plus personne ne les écoute. Les énarques vont-ils se retrouver tout seuls comme des cons. Ils le sont déjà, mais tout le monde va le savoir. La partie est en cours, peut-être bientôt l’échec et mat.
Les juges sont effectivement indépendants puisqu’ils ne rendent plus de comptes aux victimes auxquelles ils ne rendent plus la justice.
« Chez d’autres fonctionnaires, plus particulièrement les services fiscaux ou purement administratifs, « l’autre monde », celui de l’économie libre, les indépendants, les commerçants, les libéraux, c’est l’ennemi, ceux qu’il faut faire « chier ». Même si on ne sait pas pourquoi, eux le savent ! »
Vous posez ici la question complexe de la soumission à l’autorité, légitime ou pas.
Tant que la caste tient les rênes et que les petites mains obéissent, le système fonctionne.
Car, dans l’administration, comme dans toute organisation très hiérarchisée, il y a les maitres et les agents exécutants.
Tant que ces derniers, dûment motivés (on leur a bien expliqué que les indépendants, les entrepreneurs ne sont que des fraudeurs et des voleurs et qu’eux-mêmes sont des justiciers de l’Etat), continuent à exercer la prédation pour le compte des maitres, tout va bien …
Ce type d’organisation a connu son apogée avec l’Etat nazi.
Plein de petits fonctionnaires se sont rendus complices du système (notamment concernant le martyr juif) sans vraiment en avoir conscience et fiers du devoir accompli ….
« Il y a deux histoires en France sur la justice et NAPOLEON (qui a réduit le pouvoir du peuple après la révolution de 1789, même s’il fût un très grand Général, Le Général De Gaulle par contre a désiré donner + de pouvoir au peuple et il l’a prouvé), l’une que l’on enseigne dans les médias et qui ment, l’autre que l’on tait parce qu’elle recèle l’inavouable ». Certains ne veulent pas lire et entendre la vérité par ce qu’ils ne veulent pas que leurs illusions se détruisent. Pour les mensonges il faut de la mémoire pour la vérité il faut du « COURAGE » !
« La justice en FRANCE pour votre curiosité un peu d’histoire mais pas seulement » cliquez pour lire la suite : https://developpement-mental-semantique.com/rappel-historique-de-la-justice-en-france/
RAPPEL de mon combat = Comme disait Mr Nelson MANDELA que j’ai rencontré : »Je ne perds jamais. Soit je gagne , soit j’apprends » et j’ai beaucoup appris.
O EPIMENON NIKA « CELUI QUI PERSISTE VAINCRA ! »
« Je vous invite donc à Lire ci-dessous, un résumé de 25 ans de combat judiciaire maj »
Cliquez sur le lien : https://www.temoignagefiscal.com/o-epimenon-nika-celui-qui-persiste-vaincra/
LA FRANCE EST DEVENUE UNE DÉMOCRATIE DE FAIBLE INTENSITÉ, cliquez pour lire la suite= https://developpement-mental-semantique.com/la-france-est-devenue-une-democratie-de-faible-intensite/
La réalité de la justice en France pour les amis et connivences = Mr Alexandre Benmakhlouf, était un ancien conseiller de Mr J. Chirac , Avocat Général de la cour de Cassation , il est intervenu afin d’annuler une condamnation de Guy MARIANI en 1996 (Guy Mariani que j’ai fait condamné en 2011 à 7 ans de prison ferme non sans mal), et sur ce lien la Demande d’aide de Guy MARIANI à M. BENMAKLOUF en juin 1996 . Document que j’ai trouvé dans les pièces du juge de l’instruction , l’article 40 aurait dû être activé : Cliquez ici pour lire la suite = http://injustice.blog.free.fr/public/Courrier_de_Guy_MARIANI__A_son_Avocat_Mtre_CAVALLINI.pdf
Pour développer une économie et donc son entreprise il faut une justice à la hauteur, mais La Justice Française est classée 37ème sur 43 pays européens par le CEPEJ commission Européenne?! Mais rien ne progresse en France ? Pourtant : Mon EXPERTISE à La Demande du Président de La République à l’INHESJ août 2007, pourquoi il y a de moins en moins de TPE-PME en France, la justice en question= Expertise INHESJ 2007 de Richard ARMENANTE = cliquez: http://injustice.blog.free.fr/public/Expertise_economie_securite_TPE_PME_de_Richard_ARMENANTE_INHESJ_Aout_2007.pdf
Stéphanie Gibaud s’interroge= la justice française assassine t’elle les lanceurs d’alerte ?
Les dysfonctionnements de la justice française Richard ARMENANTE témoigne sur le second volet, cliquez pour lire la suite: https://www.panodyssey.com/en/article/politics/comment-la-justice-francaise-assassine-t-elle-les-lanceurs-d-alerte-deuxieme-partie-2nhp347f2k9n
Bravo pour ce que vous avez fait et merci pour ce que vous dites.