Nous ne sommes plus que des manants vissés à la glèbe !
La vertu privée sert souvent de couverture à des vices cachés. Le scandale de l’abbé Pierre en est un bon exemple. Même si son analyse mériterait d’être plus sérieuse. Car le saint homme en était quand même un quand il cherchait à donner un toit aux pauvres. En revanche dans la vie publique il n’y a pratiquement jamais la moindre ambiguïté : le vice se dissimule toujours sous la vertu. C’est dire qu’aucune décision politique ne peut être acceptée sans un examen approfondi et impartial, et si possible pénétrant car le vice public sait parfaitement se cacher.
Nous vivons actuellement la destruction en direct de l’industrie automobile. Les véhicules à moteur thermique seront bannis de l’espace public dans dix ans afin de sauver la planète de la pollution par le carbone. Les Chinois se préparent à inonder le monde de véhicules électriques et les constructeurs européens n’ont plus que leurs mouchoirs pour assécher leurs larmes. Le drame, c’est que les Européens sont à l’origine de cette décision. La Commission, tout empreinte de sa vertueuse autorité pour le bien de la planète, a fait preuve de rapidité et d’esprit de décision. C’est pour le bien, donc on le fait et on le fait tout de suite !
En vérité, derrière le bien que les nouveaux maîtres de l’Europe veulent à leur continent, se dissimulent de vilains instincts, alimentés par de vilains souvenirs. Le véhicule électrique limitera drastiquement la circulation parce qu’il ne lui est pas adaptée. Peu importe puisque c’est pour la planète qu’on ne roulera plus. Mais l’essentiel n’est pas la santé de la planète. C’est l’impossibilité de rouler. Donc l’interdiction faite aux Européens de quitter leur lieu de résidence. Exactement comme il était interdit aux manants de quitter leur tenure. La voilà, l’explication : pour les nouveaux seigneurs, le peuple n’est plus fait que de manants attachés à la glèbe. Et pour parvenir à cette situation délicieuse pour eux, ils sont prêts à détruire l’économie de l’Europe et la vie de millions de travailleurs.
Pour accomplir une telle folie, il faut un désir profond et de puissants instincts. Asservir son prochain est le ressort le plus profond de l’humanité. Ceux des humains qui y renoncent le font par conscience de leur faiblesse et non par générosité. Le champ reste ouvert aux vrais compétiteurs, qui parfois sont d’authentiques monstres, même si beaucoup entrent dans l’histoire en grands conquérants. Nous touchons dans cette affaire aux limites extrêmes de la condition humaine. Si en ce 21e siècle de très haute technologie et de communication totale on en est arrivé à ne réagir qu’à des instincts primaires, c’est que nous devons faire très attention à ce que nous faisons et non hurler d’enthousiasme à la vue de nos prouesses techniques et scientifiques.
Nous avons besoin de vrais penseurs et non d’amuseurs de foules. Malheureusement la communication de masse, à laquelle nous sommes condamnés, ne se nourrit pas d’hommes de réflexion. D’autant que ces derniers sont parfois maladroits dans l’expression de leurs découvertes. Mais que peut un homme qui passe sa vie à réfléchir et à écrire face à l’animateur d’une émission de télévision qui lui dit que ses idées sont très intéressantes mais qu’il dispose de deux minutes pour conclure ? Evidemment on peut toujours renvoyer à ses livres ou en montrer la couverture à la caméra, mais cela ne fera pas progresser la réflexion de l’humanité.
Il ne reste à l’homme qu’à miser sur la lente réflexion des masses, qui finit souvent par déboucher sur des grands progrès moraux. Mais que de temps il faut pour tout cela, que de peines pour les êtres épris de justice, que de souffrances infligées aux innocents ! Etre un serf au Moyen Âge était-ce vraiment bien pire que d’être un Français de ce siècle condamné à écouter d’interminables stupidités sur les antennes et à ne plus quitter sa rue ? Acceptons-nous mieux la souffrance et la mort qu’il y a dix siècles ? Aimons-nous mieux notre prochain qu’au temps des guerres de religion. Et échappons-nous mieux aux querelles et aux divisions que ceux qui s’écharpaient – et s’écharpent encore – pour la succession du Prophète ou pour celle du roi de France ?
Un peu plus de vertu chez ceux qui nous gouvernent ferait du bien à tout le monde. Nous nous faisons du mal à mépriser nos dirigeants, qui d’ailleurs ne méritent pas mieux. L’exemple, qu’on le veuille ou non, reste un puissant facteur de progrès. Quand on considère l’exemple que peut donner un Macron à la tête de l’Etat, lui qui n’a pas été militaire ni père, on se dit que tout peut arriver. Et d’ailleurs tout arrive. Je ne vois plus qu’un remède : crier stop et passer à autre chose. A tous égards.
Claude Reichman
Contemporain du funeste Concile Vatican II au moyen duquel l’Eglise de Rome s’est auto-détruite, ce « faux saint Vincent de Paul », dénommé : « abbé Pierre », ne fut, au bout du compte, que l’un des nombreux représentants de cette « pseudo-démocratie chrétienne » (entièrement matérialiste par la doctrine et véritablement « coupée du Ciel »), dont un prêtre apostat, Félicité de La Mennais, s’affirma au XIXe siècle comme l’authentique chef de file et constitua chronologiquement la première (et très maléfique) incarnation.
comme dis l adage … c’est quand la mer se retire que l on voie qui est a poil
remmenber « Tomorrow Never Dies »
un reseau GPS ,la corée …les Angliches .. des élections ‘russes » et un dictateur des médias mégalos –> le tout servi dans une mer d huile
on refais le story board
avec en sandwiche une tranche harris et une autre zellpinksky
sous dictat de netanyahoo
les bières sont palestiniennes et libanaises
agrémenté d’une garniture onusien
le navire est remplacé par une nuée de leopard sous réseau starlink
ca vous rapelle pas un scénario prévu sur vos écran pour 2025?
TOUTE RESSSEMBLANCE A UNE SITUATION PASSEE OU A VENIR NE SERAIT QUE PUREMENT FORTUITE