Il est des personnages étranges, tel ce magnat américain, grand maître de l’Intelligence artificielle qui déclarait récemment après avoir affirmé que nous n’étions pas des êtres primitifs recroquevillés sur eux-mêmes : « Nous sommes le prédateur suprême ! »
Face à l’écologisme bébête ou tyrannique, il n’y aurait, selon lui, pas d’autre place dans ce monde que celle des prédateurs dont l’homme serait le prédateur suprême.
L’observation du monde, malgré les idées toutes faites que le bienpensance cherche à imposer, nous enseigne pourtant bien autre chose que cette vision manichéenne.
Le monde est certes un monde de prédation, mais il est tout autant un monde de protection. Le règne animal démontre que pas une race ne s’attaque à une autre sans garantir ses arrières. La prudence est reine de l’attaque.
On a même le sentiment, sinon la conviction, que chaque créature est conçue pour se défendre avant de l’être pour attaquer. Et l’homme en cela n’est pas différent du reste du règne animal. Le prétendre « prédateur suprême » comme pour lui donner licence de tout se permettre y compris de se nuire à lui-même aboutit à l’extravagance de l’autodestruction au nom de la liberté et du progrès.
La « tech », et spécialement l’IA est un outil, sans doute utile, mais aussi dangereux sinon plus que les machines-outils des usines dont chaque utilisateur doit se protéger pour éviter les blessures. Les atteintes à l’esprit sont aussi meurtrières que les atteintes au corps.
Le nier est une forme de prétention ou de crétinisme, lui-même, suprême.
On ne sait s’il faut se lamenter ou se réjouir d’entendre de telles opinions qui prêchent le jusqu’auboutisme au mépris de toute prudence.
D’un côté elles alertent sur les dangers que certains sont prêts à faire courir à l’humanité au nom de leur folie et de l’autre nous dévoile par leurs caricatures le ridicule de leurs ambitions.
L’argument de la prédation sans retenue, l’argument de la peur de l’autre, est celui que reprend l’écologisme pour nous affliger de sa vision catastrophiste de l’évolution. Il fait peu de cas de nos capacités à nous protéger.
C’est un peu comme si on affirmait que nous n’aurions le choix qu’entre, d’un côté les prédateurs Mélenchoniens et de l’autre, les hystériques de Rousseau ou les neuneus de Jadot.
Heureusement, il y en a d’autres !
whaouuuu vous avez stimulé ma médiocrité de base !!
(manger , lire, écouter et reproduire) pas les absurdités bien sur que l on nous sert sur bfm ou a l assemblée par un pivert perchée qui s adresse a une borne ! !!
cependant un léger stimuli de mon organisme cellulaires de base répond en effectuant des actions spécifiques.
–> Les systèmes d’intelligence artificielle sont également conçus pour répondre aux entrées (données) en prenant des décisions ou en effectuant des actions en fonction de ces entrées.
bref j évolue en organisme unicellulaires prédateurs, cherchant à capturer des nutriments ou d’autres cellules pour leur propre survie …genre aller au resto du coeur après avoir touché mon rsa suite au redressement du SIE en évitant de passer devant la synagogue (sait ton jamais) . Dans l’intelligence artificielle, les algorithmes de prédiction et d’optimisation peuvent être utilisés pour atteindre des objectifs spécifiques, comme maximiser les performances d’un modèle ou d’un système genre âpres un redressement fiscal , acheter un corde et se pendre !
donc manicheenement en appâtant zen sue (lard de la bière ) ma chimie de base , très simple sont simples, capables de détecter des signaux environnementaux pour répondre aux stimuli et –> retour maison
De manière similaire, les systèmes d’intelligence artificielle, comme les réseaux de neurones, sont conçus pour détecter des signaux (données d’entrée) et y répondre.
maitre et maux « adaptation et apprentissage » Les organismes unicellulaires peuvent s’adapter à leur environnement et évoluer pour survivre. De même, l’intelligence artificielle est souvent dotée de capacités d’apprentissage pour s’adapter à des données en constante évolution et améliorer ses performances.
pas comme les partis des verts et de la France islamique
ces partis évoluent et optimisent au fil du temps pour devenir plus adaptés à leur environnement immigration et climat . De même, les algorithmes d’intelligence artificielle peuvent évoluer ou être optimisés pour s’adapter à des besoins spécifiques, en utilisant des techniques telles que l’apprentissage automatique ou l’optimisation d’algorithmes.
mais dans les 2 cas sans un bon logiciel..on n a que des bugs a la sortie
En résumé, bien que les organismes cellulaires de base et l’intelligence artificielle soient très différents en termes de nature, il existe des similitudes conceptuelles en ce qui concerne la détection de signaux, l’adaptation, la réponse aux stimuli, la complexité émergente, l’évolution et la communication. Ces similitudes peuvent servir de base à des analogies ou à des inspirations dans le développement de l’intelligence artificielle, en particulier dans le domaine de la robotique autonome, de l’optimisation d’algorithmes et de la prise de décisions basée sur des stimuli.
donc l’homme , la femme ou le non genré reste le prédateur suprême. Un cretin ( surtout de gauche) reste médiocre et ce n’ est pas un ordinateur qui changera la donne et ce n’est pas en leur remémorant sans cesse que cela améliorera la chose …pourtant ?.
Warren buffet disait
Quand des gens intelligents expliquent leurs idées à un orang-outang, cela améliore la qualité de leur prise de décision.
une lueur d’espoir 🙂
Le problème de notre société aujourd’hui, c’ est que les gens ne veulent pas être utiles mais importants et L’Homme est surtout la seule créature qui a la possibilité de travestir la vérité par un mensonge.
« Si le seul outil que nous avons est un marteau, chaque problème doit ressembler à un clou »,
« Le langage politique est destiné à rendre vraisemblables les mensonges, respectables les meurtres et à donner l’apparence de la solidité, à ce qui n’est que du vent. » George Orwell
La dictature et la Démocratie par COLUCHE en France= http://injustice.blog.free.fr/public/La_Dictature_la_democratie.jpg