Que peut la démocratie quand les pillards sont majoritaires ?
Quand ils accusent les tensions liées au pillage de « décivilisation ».
Quand ils veulent un ordre fort, voire aveugle, pour que la jeunesse, déjà pillée par les dettes générées pour leur confort, se taise et travaille en silence pour payer la facture.
Ce sont ceux-là mêmes qui collent une dette sur le dos de leurs enfants qui paraissent scandalisés par le travail de ces mêmes enfants dans les pays pauvres, qu’ils vont nous amener à rejoindre.
Ils sèment la misère et ils réclament l’ordre. Est-il plus con ?
Ils reproduisent, à la virgule près, les affres de l’Allemagne de 1933.
C’est incroyable de bêtise.
Et pourtant, que de suffisance, que de prétention, chez ces pillards qui se drapent dans leur dignité, qui se cachent derrière quelques largesses ciblées pour dissimuler leur forfaiture.
Gagner eux-mêmes ce qu’ils dépensent ou accumulent ? Ils ne l’envisagent pas.
Ils veulent un État fort qui pille pour eux et leur redistribue le montant du pillage selon des règles qu’ils maîtrisent seuls. Ils appellent cela le « socialisme ». Ils veulent faire croire qu’il s’agirait d’une charité mieux organisée au lieu du simple pillage qu’ils pratiquent sous ce couvert.
Tout cela est à vomir.
En ce qui concerne les pillés qui continuent, on se demande bien pourquoi, à travailler, à capitaliser, à faire marcher l’économie, leurs jours, voire leurs heures, sont comptés.
Soit ils vont perdre tout, soit ils fuient, soit ils se suicident socialement ou même physiquement. Ils n’ont aucune autre alternative.
Il faut avoir fait face à la prétention des magistrats, qui sont l’arme absolue des pillards, pour constater que non seulement ils ne comprennent rien, mais surtout qu’ils ne veulent rien comprendre.
Vous pouvez avoir eu une vie économiquement exemplaire, ils vous transformeront en délinquant récidiviste de la fraude fiscale dans un premier temps, alors qu’ils ne comprennent rien à votre comptabilité et réfutent toute possibilité d’explication, qu’ils trouvent normal que le doute profite aux pillards, qu’ils n’ont aucun respect pour votre travail et votre entreprise, bien au contraire ils vous haïssent, cela se voit dans leurs yeux.
Dans un deuxième temps, si vous résistez, ils vous transforment en diffamateur, par petites touches. Au terme d’une dizaine de condamnations injustifiées de mille balles, vous devenez mathématiquement un dangereux récidiviste, dont le cerveau est probablement dérangé, qu’il va falloir éloigner de la bonne société des pillards. Quoi de mieux pour cela que la ruine totale par pillage labellisé « justice » ?
En définitive, la démocratie comme le reste nait, prospère, puis meurt. Vit le cycle normal de toutes les vies.
Nous assistons à la fin de la notre, pas de chance.
Les enfants d’aujourd’hui auront à fabriquer la leur s’ils ne veulent pas se retrouver simplement esclaves de plus forts qu’eux.
Qu’ils n’oublient pas que pour pouvoir être « civilisé » il faut d’abord être riche. L’éducation ne pousse pas sur la misère.
Il n’y a pas de démocratie sans civilisation, il n’y a que la jungle.
Bien à vous. H. Dumas
Encore un bon article. Et j’observe que tu poses un début de comparaison au Nazisme. C’est une clé de compréhension : en fait le Nazisme n’a pu exister que par ceux qui l’ont financé et ils sont beaucoup plus puissants financièrement aujourd’hui. Et ce qui manque à ta défense ce sont les accusations !
Il s’agit de crimes. Tout ce que tu décris comme situations perverses actuelles, tue! Et en grand nombre. Là il ne s’agit plus de détournements de fonds, mais des conséquences en nombre de citoyens condamnés à une mort lente, mais provoquées. Donc des crimes organisés.