On cherche vainement les motivations de ceux qui blessent, qui torturent et qui tuent.
Les homosexuels, les femmes, les contribuables, les ouvriers maltraités, les juifs, les arabes, les jeunes déboussolés, les faibles, les originaux et bien d’autres subissent vexations, humiliations, violences verbales voire physiques.
Ceux qui sont à la base de ces violences, ceux qui les analysent, se perdent dans des pseudo-croyances pour les premiers, dans des considérations psychologiques pour les seconds.
Les pseudo-croyances organisent le bien et le mal, la vérité, de telle sorte que celui qui croit n’ait plus à s’interroger lors de chaque situation, qu’il puisse agir sûr de son bon droit, qu’il soit déresponsabilisé, qu’il se sente investi par le groupe de pensée auquel il prétend appartenir. Dans ces délires on peut classer les religions, le communisme, le suprématisme, tous les obscurantismes… tout ce qui affirme sans souci pour la raison, pour la discussion, pour la réflexion, pour la liberté de penser.
Les considérations psychologiques excusent. En règle générale le libre arbitre n’existe pas pour elles, l’être humain n’est qu’une chaine de stimuli qui aboutit à l’acte bon ou mauvais. Tout présent est le fruit du passé.
En ce qui me concerne, comme l’exprime le titre de ce billet, je crois que tout est beaucoup plus simple : ceux qui blessent aiment ça.
Ils aiment faire du mal, dénoncer, détruire, voir souffrir, haïr. Cela de façon sélective. Toute excuse pour eux est bonne à prendre.
Celui-là est raciste, nationaliste, corporatiste, clanique, cet autre est convaincu, embrigadé. Ils pratiquent le prosélytisme, ou encore… ils sont inspecteurs des impôts, de l’URSSAF ou de je ne sais quelle boutique qui se la pète et se prétend indispensable à l’humanité, tout en affichant une absence déroutante de résultat.
J’exclus la violence réflexe, celle qui répond à l’agression, qui rentre dans le cadre de la légitime défense.
Il faut bien arrêter les cons qui font du mal pour rien. C’est le problème.
Malheureusement, tous les violents prétendent défendre quelque chose.
Je ne vois qu’une solution pour y voir plus clair, c’est la logique populaire : « C’est celui qui dit qui l’est ».
Transposé au thème développé je dirais que c’est celui qui commence le premier acte de violence qui a tort. Celui qui prend la responsabilité de passer de la discussion à l’action agressive.
C’est toujours le tortionnaire qui a tort, quelles que soient les raisons dont il se pare. Parce qu’en fait il n’agit pas pour ces raisons mais parce qu’il aime faire mal.
Tout ça pour vous dire que Bercy n’a aucune excuse à mettre en avant pour le mal que cette boutique répand journellement, Bercy est entièrement responsable du carnage qu’elle pratique, y compris éventuellement sur des tricheurs invétérés qui sont si peu nombreux que leur tricherie ne justifie pas la haine colportée par Bercy qui n’agit qu’en raison de son plaisir à faire du mal.
J’affirme donc ici, d’expérience, que Bercy est entièrement tournée vers le mal, la torture, le harcèlement, l’injustice, l’abus de pouvoir, l’escroquerie au jugement, par goût et non par nécessité ou raison.
Bien à vous. H. Dumas
En 1940, le fisc français a confié à des voyous avec des casiers longs comme le bras le soin de piquer les entreprises de Français désignés par le nouveau pouvoir comme juifs, d’éviter que les meilleures parts partent chez les Allemands. 76 000 personnes ont fini à la mort. Le butin ne permit de payer que quelques jours de la gigantesque indemnité de guerre imposée par Pétain au peuple français.
En 2022, rien n’a changé ou si peu : les voyous ont reçu un statut proche celui de fonctionnaires et une brigade armée appelée Sécurité Sociale, URSSAF, MSA et RSI pour faire le sale boulot avec zèle.
Bonne Synthèse Henri. Les fonctionnaires de Bercy sont comme les livres d’une bibliothèque : ce sont les plus hauts placés qui servent le moins.
« Les administrations sans contrôle qui abusent des lois et ne les respectent pas, c’est la dictature de la loi. » La justice, c’est la dictature des magistrats. »
La France coulait lentement comme le Titanic mais la pandémie a ouvert une autre voie d’eau qui accélère le naufrage. Reste à savoir qui va utiliser les chaloupes pour se sauver. L’objectif de nos chères administrations est de commencer par laisser se noyer les petits sans protections, sans pouvoir et de sauver les Puissants (les grosses entreprises, les fonctionnaires). Une immigration qui ne connait pas encore la France et qui rêve d’y venir remplacera ceux qui seront noyés.