Ainsi parle Libération :
« Affaire Michel Zecler : Didier Lallement accorde un soutien financier aux policiers mis en examen
Les quatre policiers mis en examen dans l’affaire Michel Zecler peuvent compter sur le soutien financier de leur administration. Si la condamnation des faits qui leur sont reprochés est ferme sur les plateaux de télévision, la situation est différente en coulisses.
Le 26 novembre, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, annonçait vouloir demander la «révocation» des agents du commissariat du XVIIe arrondissement de Paris mis en cause dans le tabassage du producteur de musique noir.
Dans le même temps, le préfet de police de Paris, Didier Lallement, a octroyé le bénéfice de la protection fonctionnelle aux quatre policiers mis en examen, selon un tract du syndicat Unsa Police, dont les informations ont été confirmées à Libération par le cabinet du ministre de l’Intérieur et la préfecture.
Cette décision assure aux agents une prise en charge de leurs frais de justice par la collectivité publique et symbolise l’expression de la solidarité nationale. »
Qu’on se le dise : il y a en politique le discours et la réalité. Deux choses qui, même s’exprimant sur le même sujet, n’ont aucun point commun.
Le plus souvent cette spécificité est invisible, inodore et sans saveur. Indétectable en quelque sorte.
Mais là, tout le monde savait que Darmanin mentait. D’abord son allure mielleuse qui n’inspire pas confiance. Mais aussi la terreur dont ce gouvernement a besoin pour se maintenir au pouvoir, dont on comprend qu’elle passe par la violence injuste, son acceptation par le gouvernement, et évidemment l’impunité accordée aux exécutants.
Tout le monde se doutait que la « révocation » des flics violents était un effet d’annonce de Dramanin, peu susceptible de se transformer en réalité.
Libération le confirme, pas question de sanctionner les tortionnaires, bien plus leur défense est assurée par nos impôts. L’homme noir tabassé doit s’estimer heureux, il n’ira pas en prison pour outrage.
Mais il est « Wanted » dans tous les commissariats, malheur à lui au moindre faux pas. Qu’il mesure bien que le temps joue pour les flics, série longue durée, pas pour lui. Être en règle en tout et de façon illimitée, sacré défi qui l’attend.
Tous les français comprennent cela. Il y a ceux qui ne l’acceptent pas, qui sont révoltés. Puis, ceux qui l’acceptent, s’en accommodent, ne se sentent pas concernés. Enfin ceux qui, en plein déni, font mine de ne pas le voir, nient cette réalité ou la trouvent conforme à l’idée qu’ils se font de la bonne marche du pays.
La violence fiscale fonctionne exactement comme la violence policière.
Elle est sous-jacente à la terreur fiscale dont le gouvernement a besoin pour rentrer l’impôt, largement excessif. Elle n’est pas franchement visible, la plupart du temps c’est le violenté qui est condamné, affublé préalablement du qualificatif de « fraudeur fiscal » qui correspond à celui de racaille, délinquant, agitateur. Autant de mots qui vous transforment en « présumé coupable ».
Les agents fiscaux violents se cachent, refusent d’être filmés. Si vous les dénoncez, l’Etat leur paie avocats de prestige et Tribunaux à l’écoute bienveillante. Pendant que vous, évidemment « présumé coupable », vous ne trouverez même pas un avocat pour dénoncer la violence fiscale que vous subissez. Vous serez bombardé d’ATD et d’hypothèques sur vos biens jusqu’à vous amener à l’indigence, à l’impossibilité matérielle de vous défendre.
Si vous insistez, les tribunaux ont la botte secrète de l’article 700 et des dommages et intérêts, l’ensemble si couteux qu’il n’est pas question que vous puissiez payer, donc pas d’appel possible puisqu’il est lié à leur paiement. Vous êtes échec et mat, dès la première instance.
Quant à « Libération » et ses confrères, n’espérez pas une ligne sur la violence fiscale, ce serait contraire à leur religion. Même « Médiapart », qui vient pourtant de prendre une baffe fiscale de plus d’un M€, n’accorde pas un mot à la violence fiscale.
Le meurtre fiscal est impuni, c’est pourtant lui qui est à la base de la catastrophe qui nous guette, de notre capitulation en rase campagne face à l’Europe qui capitalise.
Non seulement le meurtre fiscal est impuni, mais les meurtriers fiscaux sont félicités récompensés, honorés.
Alors que toute la dérive économique de notre société est liée au pillage fiscal, dont le contrôle fiscal et ses violences sont la base essentielle, pas à la COVID.
Ce pillage ravit les profiteurs, les déculpabilise, les désinhibe, ils pillent toujours plus, ils pilleront jusqu’au dernier sous – on y est presque – ensuite ils tueront – on y arrive –.
Bien à vous. H. Dumas
Encore une prueve qu’un fonctionnaire est intouchable.
On savait déjà que Darmanin etait un menteur : il a menti à la prostituée à qui il a demandé une prestation sexuelle en échange de l’effacement de son casier judiciaire.
Je pense que pour l’ affaire Zecler,
Ils jouent leur partie pour sauver la face
Face a leur article 24 ‘machin truc’ : bide total au vue de la vive réaction de la population
Et c est heureux !
Qu’ est ce qu’ ils attendent pour y renoncer ?
Qu on vienne les chercher dans
Leur ministère ?
En effet en France les Avocats, les Administrations peuvent mentir et ils ne s’en privent pas contrairement aux USA ou dire la vérité est une obligation et aux USA mentir est condamnable, pas en France pour les privilégiés en particulier!