La Grève, celle de s’extirper de la Junte

Résister quand on est sûr d’être laminé n’a aucun sens, sauf pour avoir peut-être l’épitaphe du courage estampillée sur sa pierre tombale, plus tard pourquoi pas … Ne comptez pas sur la Légion d’honneur, elle est devenue aussi conne que ceux qui la distribuent …

La junte, une de ses définitions dans le Larousse est la suivante : « Autrefois, dans les pays ibériques, conseil politique ou administratif, régulier ou révolutionnaire. »

Nous retiendrons pour ce qui nous concerne sise France, le conseil politique et administratif régulier. Le désespoir de Mr Dumas dans sa dernière vidéo sur ce blog me semble tout à fait à propos dans le registre. Inutile de résister, laissons le paquebot France couler, et tenter de s’en sauver en anticipation du naufrage annoncé.

Notre paquebot France a heurté l’iceberg avec le confinement de son économie déjà chancelante sur bien de ses structures opérationnelles, le reste est à suivre … Le Carpathia sous le drapeau Allemand viendra ou pas malgré les SOS lancés par notre chef de passerelle, Mr Macron.

D’autres navires plus loin sous les étendards danois, hollandais ou autrichiens sont aussi appelés à notre rescousse et vont peut-être se dérouter vers nous ou pas.

Pendant ce temps, dans les cales de notre navire vacillant, nous avons les rouges vifs de la CGT ou moins vifs tel que cet imbécile de Berger, qui semble avoir pignon sur cale à la tête de la CFDT, ou encore les lobbies des écolos encartés, pour finir d’anéantir toute entreprise de sauvetage : En clair, saboter les moteurs et ouvrir plus grand les brèches.

Soit ! Puisque les passagers de notre junte définie plus avant, déguisée en démocratie, semblent y adhérer, qu’ils coulent avec elle. Leur désespoir viendra quand leur navire va prendre de la gîte vers les abysses. Les lumières des subventions, des allocations, des pensions s’éteignant les unes après les autres. Le navire coule …

J’ai l’impression de vivre un été 1936, celui des congés payés – la libération par le dé-confinement, dans la plus totale insouciance, alors que des périls cognent à ma porte.

Comme l’a conseillé, Mr Dumas, il m’est temps de quitter le bateau, si je le peux. Non par manque de courage pour résister, mais par un plus grand pour quitter mes racines par lesquelles j’ai grandi.

Chef d’entreprise en plus-value sur la passerelle de notre vaisseau France, je me prépare depuis quelque mois à l’abandonner.

Je l’ai déjà écrit dans un précédent billet : Essai d’entreprise indépendante, autonome, c’est-à-dire sans aucun salarié et surtout français avec son Larousse du Droit du travail sous le bras, parfaitement exportable, avant de répliquer la fille ailleurs loin des coursives de Bercy, de l’Urssaf et de leurs consorts aussi médiocres, qui ne sont pas à autre chose que la négation de notre évolution pour le meilleur, celle de Dame Nature, en ne faisant pas confiance aux marchés, aux vrais prix pour pousser ainsi leur pions vers leur camp de concentration à ciel ouvert pour leurs seuls profits. La Junte …

Si vous voulez vous défouler, vous écouterez « La Junte » de l’album « Marche ou crève » du groupe Trust, en lisant entre les lignes, objectivement, même en vous posant en opposant contre Bernie Bonvoisin, le poseur de ces mêmes lignes, qui se plante en partie, mais qui découvre quelques observations propres à notre Junte à courre de notre chasse.

Bien à vous

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Une réflexion sur « La Grève, celle de s’extirper de la Junte »

  1. En France pour les mensonges nos politiques ont seulement besoin de la mémoire mais pour la vérité ils n’ont pas de « couilles » !
    En résumer pour les mensonges il faut de la mémoire pour la vérité il faut des « couilles » !
    Merci Henri et quelques uns que nous sommes pour dire la vérité pour sauver ce qui reste du navire France, mais beaucoup trop ne veulent pas lire et entendre cette vérité que nous écrivons et disons par ce qu’ils ne veulent pas que leurs illusions se détruisent. Alors la France comme le Titanic coule lentement vers les bas fonds.

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