En 2005, fatigué des difficultés que rencontraient mon entreprise, j’ai, sur le principe du jeu de l’Oie, adapté sur celui-ci, le Jeu de l’Entrepreneur.
Véritable parcours du combattant, il montre les pièges, souvent mortels que l’entrepreneur doit constamment vaincre. Il est plus que jamais d’actualité!
« Vaincre ou mourir » tel est la formule qui doit guider l’Entrepreneur.
Beaucoup, s’ils sont encore vivant financièrement, choisiront la case 70.
Je n’ai pas eu cette chance.
Pour saisir tout le « parfum » d’un tel parcours, vous pouvez agrandir le jeu en cliquant dessus. Je vous ai sélectionné quelques cases mais chacune d’elles est un vrai bonheur pour l’Entrepreneur. Bonne chance. Que le meilleur gagne…
1 : Vous avez un projet !
2 : Vous constituez votre société.
3 : Vous trouvez des locaux.
4 : Vous cherchez un financement…
5 : Vous essayez de recruter du personnel
6 : Une banque vous accorde un petit prêt
[…]
9 : Vous décrochez un gros contrat
13 : Votre trésorerie se tend
15 : Vous devez payer les charges : TVA , URSSAF ect…
21 : Tout licenciement même justifié : prud’homme.
25 : Vous êtes dans le rouge à la banque.
26 : Mise en demeure de l’URSSAF.
45: Contrôle URSSAF.
51 : Descente de l’inspection du travail.
52 : Vous hypothéquez vos biens.
56 : Contrôle fiscal.
61 : Le tribunal de commerce vous met sous « enquête ».
65 : La brigade financière vous convoque.
67 : Vous liquidez votre entreprise.
70 : Vous vous expatriez
Emmanuel Bolling
RAPPEL : MOBILISONS NOUS. SIGNEZ LA PÉTITION. (Colonne à droite)
Emmanuel, j’aimerais savoir les motifs de redressement de votre entreprise, si ce n’était pas de la dissimulation de recettes.
Cher Ami,
Le motif du redressement était principalement (à 90%) basé sur une dissimulation de recettes.
Je ne ferai pas de commentaire sur les « preuves » avancées, cela serait trop long.
Sachez seulement que le fisc m’a mis en correctionnel sous ce même motif.
Sachez que le Tribunal Correctionnel m’a relaxé de ce chef d’accusation en diminuant automatiquement mon redressement de 90%.
Le fisc n’a pas fait appel de ce jugement. Il est donc devenu définitif.
Sachez encore que cela n’a aucunement arrêté le fisc qui a continué à me réclamer leur montant initial et qu’à force de fortes contraintes diverses il a fini par me ruiner.
D’où mon combat pour faire respecter le « non bis in idem »…
Un conseil pour la 70 ? :)))
Pour la case 70, il n’y a que l’embarras du choix…
génial ..
il faudrait demande une subvention pour qu’a l’école cela soit enseigné dés le + jeune Age .. « les ricains ont cela dans leur gène »
comme quoi les vérifications d’ inspecteurs robots font que les emplois déduits créent autrement de la valeur ..ailleurs bien sur , différemment bien sur mais du chaos née l’Alya, Alyah, Aliyah…bienvenu en terre sainte, liberté d’entreprendre, de disposer de son argent et béni des contrôles des suppôts de Bercy !!
a tel aviv plage , ils sont le soleil + les milliards de la taxe Carbonne ,
en France nous avons la pollution et els milliards de taxe
🙂