Bonjour,
Je vous propose tout simplement de partager ce que j’ai reçu et ce que j’ai produit dans le cadre de la procédure lancée pour dénoncer la terreur fiscale.
J’ai répondu ceci :
A MONSIEUR LE PRÉSIDENT ET MESSIEURS LES MEMBRES
DU TRIBUNAL ADMINISTRATIF DE MONTPELLIER
DOSSIER N° : 1904578-2
Demande de médiation sous réserves
POUR :
Monsieur et Madame Henri DUMAS, actionnaires exclusifs de la SCI Mirabeau dont le siège social est à Sète 61 Quai de Bosc, domiciliés 634 Chemin de La Mogeire à 34200 SETE
Demandeurs
CONTRE : Le Trésor Public,
Monsieur Le Directeur,
Direction Régionale des Finances Publiques du Languedoc Roussillon et de l’Hérault,
Centre Administratif Chaptal, 34953 Montpellier Cedex 2.
Réponse à l’accusé de réception de la requête du 28/08/2019.
Monsieur Le Greffier en Chef, dans son accusé de réception de la requête déposée, dit ceci :
« Je vous informe également que, même après l’introduction d’un recours devant le juge administratif, vous pouvez vous entendre avec la partie adverse pour recourir à une médiation. Vous pouvez demander à la juridiction de l’organiser ».
Une tentative de médiation ne se refuse pas.
J’ignore si la phrase citée est une simple formule administrative, que je rencontre pour la première fois, qui viserait la mise en forme systématique de la réforme pour l’amélioration de la justice, ou s’il s’agit d’un louable effort de résolution des problèmes posés par la présente instance.
Quoiqu’il en soit, je crois utile de rappeler le fond de cette instance.
Il s’agit d’acter la terreur fiscale et les dégâts qu’elle engendre : directement pour des centaines de milliers de français, indirectement pour tout le pays.
L’instance a donc deux volets indissociables, l’un traitant des conséquences de la terreur fiscale sur ma vie personnelle et celle de ma famille, l’autre plus général traitant des mêmes conséquences pour tous les français.
Le premier trouve sa source dans mes propres redressements, le second dans le fonctionnement général du contrôle fiscal.
En ce qui concerne le premier une médiation devra prendre en compte la globalité de ma situation fiscale, depuis ses origines jusqu’à ma mort économique programmée et en cours.
En ce qui concerne le second, une médiation devra prendre en compte le fait qu’il trouve principalement sa source dans l’exception, type lettre de cachet, qui fait qu’en matière fiscale l’enquêteur émet lui-même la sanction, contrairement à toute organisation pénale où l’enquêteur s’arrête à la porte du juge seul habilité à prononcer la sanction lors d’une audience publique où l’accusé se défend librement.
La particularité de cette instance, à la fois personnelle et publique, rend la médiation inévitablement publique.
Dans ces conditions, le choix d’un interlocuteur pour représenter le fisc, notamment de ses pouvoirs de décision, sera probablement compliqué.
Sous toutes ses réserves, que le tribunal ne pourra peut-être pas régler, conformément à la proposition qui m’est faite, je vous demande M. Le Président de bien vouloir organiser une médiation si vous la croyez possible.
Sète le 07/09/2019
SOUS TOUTES RÉSERVES
Le gérant
Henri DUMAS
Nous verrons bien la suite et la sincérité éventuelle de tout cela.
Bonjour M. Henri Dumas,
Je viens de prendre connaissance de la réponse qui vous a été donnée dans le cadre de la procédure que vous avez lancé pour dénoncer la terreur fiscale dont vous faite l’objet ainsi que bon nombre de français.
Sachez que je suis de tout cœur avec vous.
N’y a t-il pas moyen de joindre à votre requête une pétition pour mettre plus de chances de votre et/ou de notre coté ?
En tout cas, je me porte volontaire pour participer à la médiation publique, si réponse favorable il y a, à votre demande …. la terreur serait elle en train de changer de camp tout d’un coup ?
Les actions collectives ont je le crois plus de poids dans toute procédure judiciaire.
Je trouve consternant mais non moins étonnant le fait que l’on vous recommande d’informer le tribunal de tout changement éventuel d’adresse vous concernant.
Ou veulent-ils que vous vous rendiez puisqu’ils vous ont ruiné…?
Sachez que l’administration fiscale dans le 35 a décrété récemment que je n’habitais plus à mon adresse !!!
J’ai du me rendre le 02/09 dernier au SIP de ma localité pour réfuter ces allégations.
J’espère sincèrement que votre et/ ou notre procédure contre la terreur fiscale et / ou ‘le grand n’importe quoi’ aboutira.
Maréva BERNY