Délire social chiffré.
84 millions de personnes réputées vivantes dans le système social français, pour 67 millions d’habitants en France d’après l’INSEE ! Il y a donc 17 millions de zombies à la sécurité sociale.
Il y a 48 Millions de français de plus de 16 ans ayant droit à une carte vitale mais il y a 58 millions de cartes Vitale en circulation en 2004, 10 millions de trop, en régression à 5,2 M en 2019, 8,75% des cartes actives, 17,5 Mds € au prorata;
5 millions de fantômes perçoivent des prestations sociales !
dont 3,1 millions de centenaires ! Alors que l’INSEE en dénombre 21000 ! Trois porteurs de cartes Vitales actives sont nés en 1892 ! Record battu.
12 392 865 personnes nées à l’étranger disposent d’un droit « ouvert » à recevoir au moins une prestation sociale au 1er juin 2019; alors que pour l’INSEE nous avons seulement 8,2 millions de personnes nées à l’étrangers qui vivent en France ! 10,6 M touchent des prestations maladie, donc 2,4 M de « fantômes »;
Parmi ces 12,4 M de personnes, 43% touchent des allocations familiales-logement-handicap ou RSA, c’est à dire 5,3 M , pour 12,7 M d’allocataires en tout, c’est-à-dire que 42% des allocataires de la branche famille sont nés à l’étranger !
33% de personnes nées à l’étranger ont un droit ouvert pour les prestations de retraite, soit 4,3 M, dont 1,1 M résident à l’étranger, dont 3 M devraient être sur le territoire français, donc 37% de leur population mais 24% du total des retraités, alors qu’ils ne représentent que 12,2 % de la population ! 400 000 retraites sont versées à des zombies.
> 1,4 millions de personnes nées à l’étranger ont des droits ouverts à l’assurance maladie alors qu’elles ne sont pas censées exister sur le territoire français;
0,1% pour les organismes sociaux, ou 10% (selon la DNLF), à 33% (selon la police de l’air et des frontières) des numéros de sécurité sociale des personnes nées à l’étranger avaient été obtenus par la production de faux documents, soit 7 millions de personnes, dont 4 millions perçoivent des prestations, ;
15% d’arrêts de travail frauduleux, soit un coût d’environ 2,5 milliards € par an sur 17 Mds en tout, 7 pour le secteur privé et 10 pour le secteur public (quand même quatre fois moindre) !
8% de fraude sur les allocations familiales, environ 8 Mds ; et les islamistes savent y participer. Un cinquième des djihadistes français identifiés continuait à percevoir les aides sociales alors qu’ils étaient en train de mener des combats répugnants à l’étranger ! La sécurité sociale est complice du terrorisme ! Il y a un malaise.
Taux de fausses déclarations de ressources de 49,81% en 2009 lors d’un contrôle sur les bénéficiaires de l’AME (Aide médicale d’état) ;
Fraudes aux cotisations sociales entre 20 et 25 Mds €;
Fraude aux CPAM # 14 Mds €.
83% des français considèrent que les prélèvements obligatoires sont trop élevés en France;
Fraude à la TVA # 10 Mds € ;
Travail au noir # 17 Mds ;
Taux de fraudes (fausses feuilles de paye) dans le cadre des retraites anticipées pour carrières longues : 50% !
Fraude sociale totale d’environ 50 Mds € . Et le délire continue toujours.
Chapitre intéressant : le Subutex, substitut à l’héroïne utilisé pour les cures de désintoxication, fait l’objet d’un trafic incroyable. Les immigrés clandestins titulaires de l’AME (Aide médicale d’État) peuvent l’obtenir gratuitement en tiers payant et sans carte vitale, et faire la tournée des pharmacies avec des ordonnances bidonnées, départ d’un réseau de trafiquants revendant le comprimé obtenu au frais du cotisant régulier entre 100 et 400 € dans différents pays européens. Même l’ONU a accusé la France d’être la plaque tournante du trafic de ce produit qui est considéré comme un stupéfiant dans de nombreux pays. Quand on pense que le ministère de la santé a réussi à interdire en France l’hydroxychloroquine en deux jours, et que le trafic de Subutex dure depuis des années, on peut se demander si les responsables de la sécu n’en sont pas aussi bénéficiaires !
Le livre de Charles Prats contient énormément d’informations et montre la difficulté à extrapoler des chiffres globaux de la fraude à partir d’enquêtes partielles, mais il permet de cerner l’évolution sur presque 20 ans et de conclure que la fraude ne diminue pas et qu’elle est probablement bien plus élevée que ce que l’on arrive mathématiquement à déterminer aujourd’hui.
Pour temporiser vis-à-vis de ces problèmes, les responsables de la sécu proposent des « évaluations », histoire de ne pas régler les problèmes pourtant évidents depuis des années. Leur opposition à la mise en place de systèmes sécurisant le bon fonctionnement de la sécu est très révélatrice. Tout autant que leur déclaration de ne pas vouloir pénaliser les « pauvres ». Il est facile d’être généreux avec l’argent des autres. Il est fou de penser que l’économie du pays peut supporter plus longtemps et plus fortement cette « générosité » sans bornes.
Un autre point incroyable est l’incapacité de la sécu à connaître les prestations par assuré, une loi de 2007 jamais respectée, ni leurs âges, ou du moins de refuser de donner la plupart des informations de leur base de données, même anonimisées. Ils considèrent toute mise en cause de leur gestion comme une agression contre « l’humanité », et leurs réactions épidermiques ne font que révéler leur refus de toute analyse approfondie de leur activité. À la sécurité sociale, on ne veut pas parler de fraude, mais d’ »anomalies » ! Ils n’ont pas l’esprit tranquille, et on les comprend, mais c’est pour cela qu’il ne faut plus les laisser faire. N’oublions pas la phrase de Marie-Sol Touraine à son départ du ministère : « j’ai réussi à sauver la sécurité sociale ». Autrement dit : tout peut s’écrouler autour du moment que la sécurité sociale continue. Je reste ahuri de constater que des gens puissent penser que si l’économie s’effondre, la sécurité sociale pourrait persister sous la même forme.
Bonjour,
Etant sous le feu du Carsat, je vous garanti que frauder avec de fausses feuilles de salaires est impossible. Par contre, des ententes entre copain me semble une bonne piste… car dans mon cas :
handicapé ++ depuis trente ans, carrière longue malgré tout, carrière hachée et pour cause, je totalise quand même 162 trimestres cotisés dans la vraie vie, à moins de 60 ans.
Le minimum de trimestres requis lorsque l’on est Rqth pour demander un peu de solidarité ( mon fric en réalité…) et donc la retraite anticipée à taux plein, selon la circulaire tombé du tiroir x98zrtg-lmpoyt$_3333-tulasdanslecul, est de 88 trimestres.
Sauf que la miraculeuse circulaire me fait également sauter pas moins de 52 trimestres sur 162 et au final, seul 110 trimestres sont retenus, ouf !
Le mystère des trimestres spoliés reste une énigme :
1/ j’ai tous mes bulletins de salaire
2/ y sont inscrit les montant des cotisations mais pas l’adresse du raketteur-cotis’
Et,
lorsque je demande au carsat le pourquoi du comment, celui ci me répond qu’il n’a pas les coordonnées ( très drôle, vraiment, les nuls en tout) de/des organismes sangsues et que le seule solution est de « contacter » (sans doute avec un détective privé) les dits organismes des prélèvements égarés vieux …..de trente-cinq ans et que le jontil carsat est incapable de me donner une quelconque adresse » où est mon fric ? « .
Conclusion 1 : s’enlever les doigts du ulc’ histoire de ne pas être une charge sociale à vie (comme eux) et donner un sens professionnel à sa vie est très très mal vu avec un badge handicap réel (+70%, accident TT, tiers responsable, etc).
Conclusion 2 : comment se faire rembourser mes 52 trimestres de cotisations ?
Conclusion 3 : qui a récupéré mes 52 trimestres spoliés ? euh non, mauvaise question..
Conclusion 4 : Je propose une nouvelle loi…:
Que l’on puisse se faire rembourser toutes cotisations sociales ………………………..
Je ne fais que rapporter les propos ou constatations de Charles Prats concernant les retraites de carrières longues, anomalies probablement liées au démarrage de l’application de la loi, avec des feuilles de paye qui devaient dater des années 60.
Ceci dit, il n’étonnera personne que dans le système il y ait deux poids et deux mesures.
la sécu passe plus de temps à masquer ses dysfonctionnements qu’à essayer de les résoudre. Notre comptable passe un temps invraisemblable à essayer de mettre à jour les données de nos employés, mais pas qu’eux.
Je compatis complètement à votre misère, mais hélas je n’ai pas de solutions. Je crois que tous les citoyens vont perdre beaucoup dans l’implosion du système.
Si les zombies touchent du pognon, ils doivent aussi recevoir une carte d’électeur. Tiberi faisait bien voter les morts à Paris.
C’est bien de le dénoncer. Pour moi, le bilan est clair, le système n’est pas réformable.
Le communisme n’est pas un système economique, seul le marché en est un. Dès lors, il ne peut pas fonctionner. Donc poubelle.
Et les preuves s’accumulent de son refus viscéral de se réformer. Au delà de la possibilité, il y a la volonté de ne pas le faire, et évidemment, cela n’a rien à voir avec l’intérêt général. On finira bien par savoir quels sont les vrais bénéficiaires de cette gabegie.
Personne ne voudra remettre en cause son pouvoir fondé sur la distribution de pognon gratuit et la dépendance à ce pognon.
Confucius avait raison : La vraie faute est celle qu’on ne corrige pas.
La sécu présente un bilan psychiatrique lourd. Paranoïaque à l’encaissement et schizophrène à la dépense.
La survie est compromise.