Les écolos m’agacent. Modérément, pas plus que ce qu’ils sont. Mais ils m’agacent.
Leur côté fils de riches qui crachent dans la soupe me gêne terriblement.
Je n’aime pas les fils de riches qui, incapables de poursuivre l’effort ou de rependre le flambeau, prétendent que la richesse est inutile, que le capital n’a pas de raison d’être, qui se croient en osmose avec les déshérités, prêts à partager la misère, mais en 4X4 au Soudan ou ailleurs, pas en bourricot ou à pied.
Je suis issu d’un monde de pauvreté, que je n’ai pas personnellement connu mais dont la marque sur notre famille est encore significative.
Tous les miens sont issus du plateau des mille vaches où il n’a jamais fait bon vivre, tout particulièrement jusqu’au milieu du vingtième siècle.
Ils se sont enfuis, marqués pour toujours par la misère et la dureté de la vie en ces lieux, conscients que sur cette planète il y a largement pire sans que cela leur apporta la moindre consolation.
Ils sont allés chercher le confort, le chaud quand il fait froid, le froid quand il fait chaud, l’apaisement par le capital amassé, la sécurité à la place de l’insécurité, le bien manger et le bien dormir qui, accompagnés de soins de qualité, porte la vie à 85 ans au lieu de 45 ou 50 ans.
Ils ont su me faire comprendre la valeur de tout cela, le respect dû à la société capable de la donner, la nécessité de la gagner personnellement, l’indécence de la voler aux autres.
C’est sans doute pour ça que je n’aime pas les écolos, ces enfants nés de l’hyper- richesse de l’occident. Comme les fils de riches ils disparaîtront dans le même temps que notre richesse, notre capital, qu’ils détruisent volontairement.
C’est en cela que, bien que peu nombreux, ils sont mortifères.
La suffisance tient lieu de preuves scientifiques à leurs croyances de marabouts. Leur négation de la récompense de l’effort et du respect de la réussite séduit les losers. Ils nous entraînent tous dans leur retour aux sources qui ne peut finir que par un retour à la misère.
Ouf, me voilà soulagé, place aux détails idiots
Le retour à la terre
Vers 1900 et quelque, une de mes arrière grand’mère et mon arrière grand’père étaient les deux instituteurs de l’école d’Alleyrat. Ce village du plateau des mille vaches comptait alors 500 habitants. Elle s’occupait des enfants du village, cherchant à repérer les plus vifs pour les sortir de là. Lui était en surnombre, il n’eut jamais d’autre activité que la chasse, c’était un instituteur chassant.
Aujourd’hui Alleyrat c’est 69 habitants. Est-ce un drame ?
Probablement pas vu par les 400 habitants qui se seraient bien passés d’y être en 1900, qui ont mis un siècle en s’en extraire, dont ma famille fait partie.
Sans doute que si pour les citadins écolos qui rêvent de vivre à Alleyrat et qui, empêtrés dans leurs croyances, sont incapables d’avoir l’intelligence de comprendre qu’Alleyrat ne peut pas plus les faire vivre aujourd’hui qu’en 1900.
Les centres villes
Cet après midi, lors d’un de mes voyages au long cours bimensuel entre Sète et La Rochelle, je me suis arrêté à Moissac.
J’ai pensé à Philippe, oui, notre Philippe à tous, celui qui veut revivifier les centres villes.
Dès la « sortie Moissac » de l’autoroute, on est accueilli par une zone commerciale moderne, dont le centre nerveux parait être un Leclerc. Cette zone est rationnelle, probablement pratique, propre, bien fournie en enseignes. Étonnamment même pour une si petite ville. Sans doute draine-t-elle le voisinage. Bravo pour Moissac.
Puis arrive le centre ville. C’est là que Google Maps m’entrainait, vers le n° 1 des restaurants TripAdvisor. Absolument délicieux, je vous le conseille, avec un menu complet à 15€. Le rêve.
Quant au centre ville commercial, en dehors d’un morceau de rue de 100 m, le reste n’est que ruines et désolations. Mais, d’un autre côté, des rues de 2m de large, des immeubles menaçant de s’effondrer, une ambiance sinistre, ce n’est pas bon pour le commerce.
On sent bien qu’à une époque ce centre ville a été animé, riche peut-être, si l’on en juge par les édifices religieux ou de pouvoir qui subsistent dans la cité.
Ceux qui avaient alors le pouvoir et le capital ont dû avoir une crise existentialiste type « écolo ». Ils se sont probablement assis sur leurs lauriers, gonflés de prétention, passionnés pour l’inutile, attachés à leur gloire.
Ils ont desséché sur place, les rejets ont poussé plus loin, dans la zone commerciale de l’entrée. Heureusement, la mort aurait pu être totale.
Croyez vous qu’ils se sentent responsables de leur sort ?
Qu’ils ont conscience qu’en travaillant, en laissant la vie remanier constamment leur cité, son urbanisme, ils auraient certainement gardé charme et pouvoir économique ?
Bien sûr que non. Ils croient que c’est de la faute à la malchance, alors que ce sont eux et leurs élites qui ont failli. Ils appellent Philippe à la rescousse, qui fait semblant d’arriver.
Ils ont très probablement snobé les grandes surfaces, les projetant au loin au lieu de garder avec elle un lien salvateur de proximité. Ils ont fait comme tous les notables de France, je le sais, j’y étais, je me battais contre eux.
Alors que s’ils avaient accepté l’idée de mutation, de progrès, et qu’ils aient intégré, au plus près, les zones modernes de distribution, ils auraient été dans le sens de l’histoire et leur centre ville ne serait pas dans cet état.
Le lien de proximité aurait favorisé l’échange au lieu du chacun pour soi qu’ils ont voulu. Ils ont perdu.
Il faut bien que l’industrie distribue ce qu’elle fabrique, que le plus grand nombre ait accès au confort de la modernité, ceux qui entravent cet absolu s’exposent à la ruine.
Car si tous, unanimement, répètent à l’infini qu’il faut redonner vie aux centres villes, aucun n’y vont faire leurs courses. C’est tout le charme des sondages et des plans qui les suivent.
Conclusions
Il est dur d’évoquer les détails objectivement, sans déraper vers la polémique.
Par exemple : le plastic dans les océans, les éoliennes, les gaz d’échappement, l’énergie fossile, les centres ville, les gares désaffectées, les déserts médicaux, les routes impraticables à plus de 80 km/h et les rues des villes à plus de 30 km/h, le féminisme, l’homoparentalité, le hachich, les bavures fliqueuses ou médicales, la peste, la grippe et son vaccin, le choléra, etc…
Pourtant, vous en conviendrez, par rapport à l’univers ce ne sont que des détails, quand bien même ils mettraient en jeu le confort de l’être humain, qui a le tort de se prendre pour plus que ce qu’il est : l’ultime détail.
Donc, nous y reviendrons…. Peut-être…. Mais ce n’est pas sûr…. On verra, bof.
Cordialement. H. Dumas
Un bon moyen d’évaluer son honnêteté est d’observer ce que j’appelle la « triade de l’intégrité », fondée sur trois principes essentiels : -Défendre ses convictions coûte que coûte. Quand vous êtes certain d’avoir raison restez sur votre position et n’en démordez pas. -Reconnaître toujours les autres à leur juste valeur. Ne craignez pas ceux qui ont de meilleures idées que les vôtre ou qui pourraient être plus intelligents que vous. -Être honnête envers soi-même et accepter sa propre personnalité.
Quand on manque de valeurs essentielles, on a tendance à dépendre de facteurs extérieurs, l’apparence ou le statut social, pour se rassurer. On agira pour l’apparence, mais pas pour le développement de ses qualités personnelles. Alors, soyons nous même ! Ne cherchons pas à masquer les côtés négatifs de notre personnalité. Affrontons plutôt la réalité et, face aux épreuves, agissons en adulte. Le respect de soi et une conscience claire : voilà les composantes essentielles de l’intégrité. Ce sont aussi des qualités indispensables si l’on veut améliorer ses relations avec autrui. Une vie de principes, qui ne succombe pas aux sirènes d’une moralité facile, remporte toujours la partie.
mais si .. tous les bobos parisiens font leur courses » enfin leur bonnes » asiat ou africaines quand elles ont finis des ramener leur marmaille de l’école et promener le chien ont encore le temps daller leur acheter leur pitances .
quand a eux, il fréquentent » la journée » Hausmann , la maison du chocolat , fauchon, laduree ou herme puis en sortant du bureau a 19ou 20h car ca fait bien de rester un peu au bureau en faisant croire aux employés subalternes et a la famille que l’on travaille tard le soir.
puis…arases par une journée a glander , dans des salles de rédaction ou de plateaux TV, ou un brainstorming sur la façon de distribuer les dividendes, stock options et primes de résultat , ils rentrent en taxis uber dans l’ouest parisien ou en velib chinois faire les quelques km qui les emmènent dans microcosmes montreuillois afin de se préparer pour sortir en soirée privée après avoir fait un bisous aux marmots en leur disant « »Charles henry .. Gontran, Charles Emanuel , pierre Philippe avez vous fait vos devoir ! « »
je sais , je suis cliché mais le microcosme parigot et tellement cliche, so french -CHIE que c’est est a se pisser dessus !
heureusement pour eux , l’alpe du huez approche a grand pas et ils vont sécher les Seychelles , les Maldives ou Marrakech cette année, il faut aller faire ses CON- doléances a john john entre 2 cocktails « un bref arrêt mérité après 45 mn de vol et arrivée a st jean) .. vite , très vite avant que les fans , beauf de la 1ere heure , la plèvres des sous quartiers et France profondes viennent leur pourrir l’ambiance en arrivant par boat people des Antilles français .
mais puerto rico et les barbares leur tendent les bras a quelques encablures avec un petit peu de bol-auree d’un séjour en yacht bien mérité !!