Tous les articles par Henri Dumas

A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

La croyance, fille du mal-être, peut-elle transformer la démocratie en religion ?

On peut légitimement se poser la question.

Notamment lorsque les musulmans, plus ou moins extrémistes, affirment que la démocratie n’est pas compatible avec leur religion puisqu’elle donne le pouvoir aux hommes alors qu’il ne serait que du ressort de leur Dieu.

Mais aussi lorsque John Kerry, quand même le responsable de la diplomatie américaine — la plus puissante démocratie du monde — déclare : “Israël peut être un Etat Juif ou démocratique, mais pas les deux”.

Il met alors sur le même plan la religion juive et la démocratie.

Ce faisant il sous-entend un conflit potentiel – jusqu’à l’incompatibilité —  entre la croyance religieuse et la démocratie. Je dois avouer que cela m’interpelle.

Dans ma petite tête de français ordinaire, la démocratie n’a pas à entrer en conflit avec quelque croyance que ce soit, son unique fonction étant de gérer les biens et les actions qui ne peuvent être que collectifs laissant à chaque individu qui la compose la liberté de gérer ses propres problèmes personnels, en ce compris ses croyances. Il faut croire que je me trompais.

Revenons un instant sur la notion de croyance.

Croire c’est accepter irrationnellement, sans avoir au préalable démontré la réalité de ce à quoi l’on croit. Personnellement, la chose ne me parait pas raisonnable.

Je suis cependant bien obliger d’admettre que la faiblesse de l’homme — qui peut surgir en chacun de nous a tout moment — n’a comme bouclier exclusif que la croyance ou le déni, qui sont les deux ressources – très semblables — face à une situation d’échec de la rationalité, de l’intelligence.

Dans le même temps, la croyance est aussi le moteur de l’humanité qui n’avance que parce qu’elle croit — contre toute raison objective au regard de l’univers — à son destin.

On comprend que la croyance est la force la plus puissante à laquelle l’homme est confronté. Mais que vient-elle faire dans la démocratie : “Rendons à César…”

Parce que la démocratie : — rappelez-moi à l’ordre si je rêve — c’est bien la gestion des biens matériels de la collectivité. Qu’est-il de plus pragmatique, de plus terre à terre, que la gestion du bien commun ?

Toute croyance qui s’insinuerait dans cette activité ne serait-elle pas déplacée, synonyme de graves risques de dérives ? N’avons-nous pas déjà commis ce type d’erreur au cours des siècles passés ? Ne sommes-nous pas vaccinés à ce sujet ?

Il faut croire que non.

Pour qu’il y ait conflit potentiel entre la démocratie et la religion il faut évidemment que l’une empiète sur l’autre.

En ce qui concerne les musulmans c’est net, affiché. Ils ne rendent des comptes qu’à Dieu, avec lequel ils ne sont pas en prise directe mais informés de ses directives par ceux qui ont souscrit à l’abonnement divin : les Imams. Ils ne jugent pas utile de donner le pouvoir pour la gestion de leur communauté à des personnes choisies par eux et répudiables cycliquement. Enfin bref, ils ne sont pas démocrates, les choses sont claires.

Mais les juifs, ils vivent dans une démocratie.

Il faut donc que cette démocratie, pour devenir suspecte aux yeux d’une autre, ait dérivé ou que ce soit celle qui la juge – ici les USA – qui elle-même dérive.

Les démocraties sont-elles devenues dépendantes de croyances ?

Ceci expliquerait cela. En effet des croyances s’immisçant dans une démocratie auraient tendance à entrer en conflit avec les croyances socles des religions.

Et là… bingo.

La réponse est oui. Les démocraties ne sont plus de simples organisations collectives gérant au mieux biens et actions communs, elles intègrent de multiples croyances.

D’abord elles se croient supérieures, cela est déjà un problème en soi.

Mais aussi elles sont, pour la plus grande part, égalitaristes, prosélytiques, totalitaires, écologiques, etc… ne se contentant plus de gérer le seul bien commun mais l’intégralité de la vie de leurs composants.

De ce fait, elles entrent inévitablement en conflit avec les structures religieuses qui sont, elles aussi, tout ça à la fois.

Alors que nous avions deux systèmes distincts, l’un religieux gérant l’intégralité de la vie des individus, l’autre démocratique ne gérant que les obligations collectives laissant à chacun le soin de gérer sa vie personnelle, nous nous retrouvons avec le même type de système pour tout le monde prétendant prendre en charge intégralement chaque individualité. Les conflits sont inévitables.

Pourquoi les conflits sont inévitables ? Sont-ils des conflits religieux, de croyances ?

Pas du tout. Ce sont exclusivement des conflits de pouvoir.

Restons lucides. Refusons la croyance révélée qui n’est jamais prouvée, et pour cause. Constatons que tout cela n’est que l’écran de fumée qui permet aux initiés de posséder le pouvoir, évidemment au détriment des autres, ceux-là même qu’ils prétendent sauver grâce à leur interface prétendue avec la révélation.

Mais même lucides, il nous reste quand même un problème. C’est que chacun de nous s’est fait voler son pouvoir personnel sur sa vie.

La démocratie nous a trahi.

Ceux que nous avons élus pour s’occuper de nos biens communs ont fini par déborder largement du cadre prévu pour étendre leur pouvoir sur nous.

Ils ont envahi notre vie.

Pour arriver à leur but ils ont dû nous instiller des croyances qui, aujourd’hui, sont dans la tête de chacun de nous aussi fortement gravées que celles qui avaient été introduites précédemment par les religieux.

Ces croyances leur donnent un pouvoir absolu sur nous, nous rendent dépendant d’eux. Nos individualités ne sont plus respectées.

Et eux, à qui nous n’avions confié que la gestion de nos biens communs, profitent du pouvoir qu’ils se sont octroyés par le mensonge, en répandant de fausses croyances, pour entrer en conflit de pouvoir avec leurs alter égo.

La phrase de John Kerry n’a pas de sens, ne sait-il pas qu’il n’y a plus de démocratie sur cette terre ?

Les politiques du monde entier en ont eu raison.

Les croyances mènent ce monde, religieuses ou politiques, juives, musulmanes, égalitaristes, écologiques, etc…

Il n’y a plus de place pour la démocratie, pour la liberté d’être et de penser individuellement, avec seulement la gestion des biens communs confiée à des élus modestes, bénévoles et discrets.

L’avenir sera effectivement conflictuel, fait de guerres entre les égo des puissants. Guerres supportées par les pauvres crédules que nous sommes devenus, qui ont pensé trouver un refuge à leur mal-être dans la croyance.

Je hais la croyance.

Bonne année quand même. H. Dumas

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Scandaleuses Banques Populaires. (Vidéo)

Bonjour,

Bien cordialement. H. Dumas

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Sortir de la cage (vidéo)

Bonjour,

Meilleurs vœux pour 2017.

Cordialement. H. Dumas

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Joyeux Noël 2016 (vidéo)

Bonjour,

Bonnes fêtes malgré tout. H. Dumas

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Le début de la révolte (vidéo)

Bonjour,

Que les premiers visiteurs de cette vidéo veuillent bien me pardonner les difficultés de mise en oeuvre que j’ai rencontrées. La qualité finale n’est pas au top. Je m’efforcerai d’être meilleur à l’avenir.

Lorsque vous aurez pris connaissance de cette vidéo, si vous décidez d’agir, voici le lien pour la lettre à adresser au Directeur Général des Finances Publiques : LE LIEN

Bien cordialement. H. Dumas

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Jugement de Jérôme CAHUZAC : analyse (vidéo)

Bonjour,

Le lien pour accéder au jugement : LIEN

Bien cordialement. H. Dumas

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Les terroristes qui sont au pouvoir nous prennent en otage.

A terrorisme, Wikipedia dit ceci: “Le terrorisme est l’usage de la violence envers des innocents à des fins politiques…”

Je ne sais pas vous, mais en ce qui me concerne j’affirme mon innocence. Je n’ai jamais volé mon voisin, je ne lui ai jamais imposé ma volonté contre son gré, je me suis efforcé de participer aux actions collectives portées à ma connaissance dans lesquelles mes compétences pouvaient être utiles, je n’ai jamais menti, ni dissimulé — ce blog en est la preuve –, je n’ai jamais profité indûment de la collectivité, j’ai assumé mes vieux parents et mes jeunes enfants. Enfin quoi, j’ai vécu innocemment.

Et pourtant, je suis violenté par les terroristes qui sont au pouvoir, qui au nom d’une idéologie extrémiste qu’ils appellent l’égalitarisme, le socialisme, me harcèlent et me prennent en otage.

L’information donnée sur ce blog par notre ami Philos est un crime contre l’humanité.

Je résume la situation

Des terroristes se sont emparés du pouvoir. Au nom d’une idéologie absurde ils ont totalement et durablement transformé mon pays en un champ de ruine économique. Au moment de rendre des comptes à leurs créanciers ils me prennent en otage m’interdisant de sortir de leur territoire avec mes possessions.

Ils m’ont d’abord contesté l’argent que j’ai gagné honnêtement en me prélevant un sur-impôt illégal à l’aide de leurs brigades noires bercyennes et de leur justice inique et perverse, depuis ils tentent de me le voler en saisissant tous mes biens.

Aujourd’hui, ils vont au bout du bout, ils m’interdisent — comme à tous les autres otages que nous sommes — de mettre ailleurs l’argent que j’ai gagné, sur lequel ils ont déjà prélevé l’impôt de la terreur. Ils prennent mes biens en otage pour faire face à leurs créanciers.

Y a-t-il une grande différence entre ma vie et mes biens ? Si tel est le cas, pourquoi prétendent-ils que eux et les leurs ne peuvent pas vivre de l’air du temps, sans rien ? Pourquoi moi le devrais-je ou le pourrais-je ?

Ils justifient leur terrorisme par la nécessité de posséssion pour chacun d’eux, sans que pour autant mon pillage intégral, aboutissant à ma dépossession totale, ne leur pose problème.

Ils prétendent ainsi avoir un droit à disposer de mes biens, qu’ils prennent en otage. La prise d’otage est la méthode d’action traditionnelle du terrorisme, c’est à cela entre autre que l’on reconnaît le terroriste.

Nous pouvons donc affirmer que nous sommes gouvernés par des terroristes preneurs d’otage. Il est peu probable que le Tribunal International de La Haye ait un jour à les juger, tout comme il est peu probable qu’un pays ami vienne nous libérer.

Nous seuls devront vaincre les terroristes et leurs affidés si nous voulons retrouver la liberté de circuler pour nos biens et nos personnes.

C’est grave. Bien cordialement. H. Dumas

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L’Etat jacobin (vidéo)

Bonjour,

Bien cordialement. H. Dumas et E. Bolling

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Macron : direct case cohabitation.

Coqueluche d’un pays irrationnel, Macron est sans avenir.

Pour autant ses chances d’être élu sont réelles. N’est-il pas le seul candidat pour qui la gauche — majoritaire en ce pays notamment à droite — peut voter massivement pour faire croire à une volonté de changement alors qu’elle souhaite avant tout l’immobilisme et la jouissance des acquis à tout prix ?

N’hésitons pas, prenons l’hypothèse de Macron — libéral d’opérette, chantre d’un idéal collectif composé de la somme des lâchetés individuelles — élu.

Nous sommes sous la cinquième république, régime dans lequel le Président n’a pas le pouvoir qui appartient au parlement..

Donc, après son élection, Macron devra mobiliser une armée de fidèles — macroneux, macronistes ? — appelons les tout simplement “maquerons”. Cette armée de maquerons devra avoir la majorité au parlement, sans quoi Macron sera le Président des éoliennes.

Or, ramenée à l’échelon local, il est peu probable qu’une élection législative s’affranchisse du clientélisme savamment cultivé par la masse de nos députés professionnels de la politique, qui plus est chouchoutée par les feuilles de choux régionales.

Donc Macron, élu de gauche, va se retrouver avec une chambre au mieux composée d’une droite frustrée, au pire d’une gauche revancharde entièrement entre les mains de ses anciens amis qu’il viendra d’humilier.

Sans parti et sans réseau on ne voit pas très bien comment il pourrait, en six mois, générer une majorité de maquerons éligibles.

Nous voilà donc partis pour une nouvelle situation politique inédite. Un Président de La République, fraîchement élu, placé immédiatement dans la désopilante situation dite de cohabitation.

Il pourra nommer Hollande ou Sarkozy comme premier ministre s’il a le sens de l’humour, puis batifoler avec sa copine pendant cinq ans dans les jardins de l’Elysée pour occuper son temps libre.

Pauvre France à qui le mensonge et l’hypocrisie de son personnel politique et journalistique fait prendre les vessies pour des lanternes. Elle n’est pas sortie de l’auberge tant elle aime ces mensonges.

Bien cordialement. H Dumas

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Torture en Chine néolibérale (vidéo)

Bonjour,

Bien cordialement. H. Dumas

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Complément d’enquête du 8/12/2016, critique vidéo

Bonjour,

Bien cordialement. H. Dumas

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La vache Cahuzac…

Il a ramassé gros le Cahuzac.

Voyons, voyons, il a 600.000 € sur un compte en Suisse. On ne nous a pas dit si c’était du black ou si simplement il avait placé là-bas ses économies après avoir payé l’impôt. D’ailleurs, on ne nous a même pas dit s’il payait des impôts et combien.

Avec tous ces journalistes, enquêteurs de l’extrême qui retrouveraient une chiure de mouche sous une merde d’éléphant, on n’est pas foutu de connaître le chiffre d’affaires de sa fameuse clinique. Ni les bénéfices qu’elle faisait, ni les contrôles fiscaux qu’elle a eus immanquablement. Pourquoi n’en aurait-elle pas eus, hein ?

Finalement on ne sait presque rien, bizarre.

Dans un livre récent l’auteur fait état des prix pratiqués dans la clinique des Cahuzac (les deux époux et 2 salariés, ce n’est pas Carrefour ou Auchan), il se croit obligé de parler en francs : 18.000frs pour une opération. Vous imaginez tout ce que les Cahuzac ont pu envoyer en Suisse avec ça. Quand même, 18.000 frs ça fait 3.000 €, enfin un peu moins 2.744 €… En fait, l’auteur ne dit rien de précis, alors qu’avec un tout petit peu de travail il aurait facilement dégoté la partie déclarée de la clinique, chiffre d’affaires, frais, emprunts, bénéfices, personnel, etc…

A partir de là il eut été facile de reconstituer la réalité. Or, on n’apprend rien de tout cela, juste qu’il payait son employée de maison au black, comme le jardiner de mon inspectrice des impôts, une formule courante en quelque sorte.

Pas comme moi qui déclare la mienne et suis infoutu de payer les charges, tellement elles sont astronomiques. Même que ça va mal finir, pour moi évidemment, mais aussi pour elle malheureusement.

Revenons à Cahuzac lui-même.

Je ne veux pas sous-estimer la force de travail des époux Cahuzac, leur peu de besoin de sommeil, leur vie passée exclusivement à travailler au bloc sans aucune vie sociale, tout à leur chiffre d’affaires et aux biftons qu’ils transportaient en Suisse tels l’oncle Picsou. Mais bon, quand même, je trouve que ça cloche quelque part.

Des honoraires de consultant pour des grands labos ? Ça, je comprendrais mieux.

Mais attention, pour percevoir ce genre de commissions il faut être quelqu’un d’important et surtout de protégé. Parce que vous avez la bande des habitués qui veille au grain. Il faut être du sérail. Sinon c’est la dénonciation immédiate et la DNVSF qui arrive au galop.

En fait, je me dis que le Cahuzac et sa copine n’ont pas le profil du financier international qui peut remplir les coffres suisses et “faire perdre gros au fisc français”. Non, décidément cette affaire n’est pas claire. Trois ans, quand même, c’est le prix d’un crime.

Passons à autre chose sans aucun rapport.

Imaginons que, romancier à succès, il me soit commandé un livre dont l’intrigue devrait être politique et financière. Evidemment, il s’agit maintenant d’une fiction sans aucun rapport avec la première partie de ce billet.

J’imaginerais ceci.

Rastignac, c’est mon héros, serait un ambitieux, sa complice aussi. Ils auraient persuadé un parti politique et ses responsables que, s’ils les laissaient faire, ils étaient capables de ramener du black en grande quantité. Eventuellement, pour des campagnes électorales. Le tout sans rien devoir aux potentats africains, c’est-à-dire sans chasser dans les prairies des concurrents.

Aussitôt dit aussitôt fait, adoubé par le parti Rastignac va à la pêche au pognon chez les donneurs habituels. Bingo. En plus ces donneurs sont internationaux, il n’a même pas besoin d’envoyer le fric récupéré en Suisse, il y est déjà.

Rastignac c’est un solide, il est aussi gonflé. Se sachant couvert il n’hésite jamais, pour rien. Il devient M. Caisse Noire du parti — les plus proches l’appellent C.N. —  qui lui a accordé sa confiance, méritée (enfin vu par eux et par lui).

Plus le fric afflue, plus il monte dans le parti. Faut dire qu’il est indispensable et remarquablement organisé, en plus clair dans les comptes noirs.

C’est une fusée. Mais une fusée qui a besoin de carburant. Son carburant c’est la notoriété, la première place sur la photo.

Il se croit tellement protégé qu’il en rajoute. Et que je te parle de transparence, lui le roi de l’opacité. Et que je te parle de partage du capital, lui qui le centralise. C’est un peu le pompier pyromane ou le pédophile animateur de camps de jeunesse.

Le secret est total et le parti qu’il sert colle tellement à l’idéologie dominante qu’il se croit vraiment en sécurité.

Mais voilà, il ne manque pas de petits malins pour comprendre la combine. Certes, l’ambiance générale est contre ceux qui comprennent, qui voudraient le faire savoir.

Informé, bien sûr, Rastignac ne s’inquiète pas trop, ses amis et protecteurs non plus. Ne sont-ils pas, par essence, au dessus de tout soupçon d’affairisme ou de tricherie ?

Mais, arrivé au sommet, Rastignac n’est pas courtois avec sa copine. Du coup, elle décide de foutre la merde, elle le balance.

Vous voyez la tension. Pas mal mon bouquin, hein ?

Bon, l’affaire part en vrille, elle finit par sortir dans un canard qui subit un contrôle fiscal, elle prend de l’ampleur, plus personne ne sait comment l’arrêter.

Alors, on promet à Rastignac qu’il n’a qu’à la fermer et qu’on va s’arranger pour que la justice passe sans trop de dégâts pour lui. Alors, il la ferme.

Mais, pas de pot, ses protecteurs s’écroulent avant la fin du match. Y prend des années de prison dans les dents.

Alors là il voit rouge. Il va tout balancer.

Encore pas de pot, juste avant qu’il balance, un camion dont les freins ont malencontreusement lâché l’écrase, sur les clous, lui et le journaliste à qui il avait promis l’exclusivité de sa vie et la vérité sur tout.

Moralité : N’interviewez jamais un délinquant fiscal sur les clous, c’est dangereux.

Bien cordialement. H. Dumas

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Etat policier à demeure

Prétextant notre sécurité le pouvoir nous espionne.

En URSS les dirigeants passaient d’abord par le KGB, chez nous les premiers ministres font leurs gammes au ministère de l’intérieur.

L’immense liberté que nous apporte le web déstabilise les hommes politiques.

Ils tiraient leur pouvoir de la maîtrise de l’information, elle leur échappe, c’est la panique à bord. Leur réflexe est l’espionnage. Les rôles sont inversés, ce sont eux qui cherchent à savoir ce que nous pensons, ce que nous décidons ou allons décider. C’est l’exact contraire du passé.

Je me rappelle bien de Mai 68, surtout de la période qui l’a précédé.

La barbouzerie et La flicaillerie servaient De Gaulle, pour lui cela était naturel, dans l’ordre des choses. Il n’en faisait pas lui même un mauvais usage.

À cette époque, Mitterrand s’insurgeait contre cette situation avec intelligence et un sens aigu de la liberté de penser, du respect de l’autre.

Tout ça pour ça.

Pour arriver aujourd’hui, conforté par ceux qui se réclament de Mitterrand, à une nouvelle emprise d’un Etat policier, exactement ce qu’il dénonçait, ce pourquoi il agissait, se battait.

Mais il y a une différence de taille.

Les barbouzes de De Gaulle étaient tous d’anciens résistants, officiels dans la police, officieux au SAC. Ils avaient tous fait la guerre contre le socialisme qui se faisait alors appeler le “national-socialisme”.  Ils avaient lutté et risqué leur vie pour être des hommes libres.

Le socialisme égalitariste, dans sa version aboutie, s’appelait alors “le communisme”. C’était leur ennemi.

Quelque part, objectivement, l’Etat policier de De Gaulle défendait la liberté individuelle, c’était un peu schizophrène, mais bon, c’était supportable.

Il en est tout autrement aujourd’hui, la situation est complètement inversée.

La police est socialiste, au service des socialistes égalitaristes. Elle traque les pensées et les actes individualistes. La police et les barbouzes sont plus proches du KGB que des effectifs gaullistes.

Étroitement lié aux Services Fiscaux le système répressif n’enferme plus, ne torture plus, il ruine au prétexte de l’égalitarisme, en réalité uniquement au profit du pouvoir politique, de la nomenclature.

Les dégâts sont redoutables individuellement et collectivement.

Mais les choses sont irréversibles, le futur sera pire, le pouvoir des Etats ne supporte pas la liberté individuelle, elle est son contraire absolu.

Face à l’espace de liberté procuré par le web, le pouvoir politique ne peut qu’instaurer une oppression de force au moins égale, plus probablement supérieure. Ce sera terrible.

Le pire étant que la majorité souhaite qu’il en soit ainsi tant la liberté lui fait peur.

Nous touchons là au problème de la liberté, elle inspire une peur panique à la majorité des humains.

Il est vrai que dans sa dimension la plus totale la liberté s’appelle La mort. Ceci expliquant cela.

Bien cordialement. H. Dumas

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Est-il possible que “Valls devienne” Président de la République

Valls devienne, Valls de Vienne

Trois p’tits tours sur le parquet.

Manuel : trinquons à la tienne

Avant que tu fasses tes paquets.

 

Les alizés d’l’Elysée

Gonflent le voile et la burqa.

Pas facile à négocier

Même en chantant des “y’a ka”

 

La guerre nous désespère

Pleine de sang et de gravats

Elle flotte dans l’air

Elle est si prés, écoute la.

 

Saurais-tu l’éradiquer ?

Menton tendu et verbe haut

Ou au contraire l’amplifier

Comme François et ses sabots.

 

Entre deux cris pense à l’amour

Mets de l’eau dans ton vin.

Si tu veux passer un tour

Avale un peu de ton venin

 

Je ne suis pas de tes amis

J’ai pas d’conseil à te donner

Mais c’est souvent sur le tapis

Que s’écrasent les excités.

 

Ca se fait pas de bousculer,

De pousser les gens dans le dos.

Les premiers seront les derniers,

Dans l’urne aussi ça le vaut.

 

J’étais aisé, tu m’as ruiné

J’étais heureux moi et les miens

T’as pourri mes dernières années

Je te souhaite le même destin.

 

Tu te sens pas concerné,

Tu veux passer pour bienfaiteur.

Mais tu n’es qu’un de ces benêts

Dont l’orgueil est le seul moteur.

 

Vous prêchez l’égalité,

Pour les autres mais pas pour vous.

Pour cela vous nous pillez

Mais dans l’urne on vous le fout.

 

Oui dans l’urne on vous le fout,

Et sur le web on vous le fout.

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Brèves de comptoir : mélancolie latine – bravo Reichman et les libérés

Mélancolie latine

Ainsi donc l’Italie anticipant sur la rigueur a voté négativement au référendum, pourtant porté par son gouvernement de gauche.

Les États n’existent que pour un seul motif : le pillage. Soit pour en protéger leurs ressortissants, soit pour piller avec eux les voisins.

Le socialisme à cette particularité de fabriquer en son sein ses propres pillards qui tôt ou tard auto-pillent l’Etat qui les a nourris.

Les peuples européens qui se sont vautrés dans la dépense publique démagogique socialiste s’apprêtent à se donner des dirigeants “nationaux-socialistes” — populistes — qui en premier lieu ignoreront la dette publique pour ensuite cramer le capital privé.

Ce faisant ils vont immédiatement porter un coup fatal à la confiance nécessaire à l’économie, donc à la monnaie qui en est le symbole.

Les possédants — ou économes —  sont particulièrement exposés. D’une part dans l’immobilier parce que les loyers ne peuvent qu’être bloqués dès qu’ils deviendront trop lourds pour les locataires touchés par la crise, d’autre part dans leurs économies à la banque, liquides ou placées, parce que les capitaux seront laminés par les dévaluations à venir.

Une seule solution : la fuite.

Bravo à Claude Reichman et aux libérés.

La Cour d’Appel de Toulouse — lien de l’arrêt — bute sur la QPC des libérés et renie l’URSSAF.

Reichman et ses amis perdent cette bataille mais ils s’ouvrent une voie royale qui va leur faire gagner la guerre.

L’arrêt de la Cour d’Appel de Toulouse ne peut objectivement pas être confirmé par La Cour de Cassation, ou alors l’affaire se retrouvera en Cour Européenne, et c’est là… que la bête immonde se mord la queue.

Bravo, courage et bonne chance. Claude Reichman est presque au terme des vingt ans de sa lutte, pendant que nous n’en sommes qu’au début. Espérons que nous serons aussi bons que lui.

Bien cordialement. H. Dumas

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L’emballage incitatif

Sur les paquets de cigarettes les pouvoirs publics ont eu la sagesse de faire porter en lettres noires épaisses sur fond blanc la mention “FUMER TUE”.

Le recul du tabagisme est réel. C’est une bonne chose.

Je propose que sur tous les emballages fiscaux, lettres, envois d’imprimés, sur tous les supports de communication de Bercy, sur toutes les publications fiscales sur le net, en début de toute loi fiscale, etc… soit mis en évidence, avec la même signalétique que pour le tabac, lettres épaisses noires sur fond blanc, la mention : “L’IMPÔT TUE”.

Le parallèle entre le tabac et l’impôt n’est pas anodin.

Chacun sait que fumer favorise le cancer des poumons, comme chacun sait que l’impôt favorise l’appauvrissement, souvent jusqu’à la pauvreté total et même la mort pour ceux qui sont lourdement imposés ou redressés.

Le différentiel avancé entre cigarette et impôt pour les tenants de l’impôt à outrance tient au fait que l’impôt aurait une utilité collective, la cigarette non.

Regardons les choses dans le détail pour la cigarette.

Les fumeurs invétérés qui se font leurs deux paquets par jour, seuls dans un coin, sont rarissimes. Ceux-là sont face aux conséquences de leur acte, rien ne peut les leur faire oublier. Pour les oublier ils se regroupent.

C’est ainsi que les fumeurs enrobent leur dérive nuisible dans un partage collectif que l’on peut constater aujourd’hui sur le pas de la porte des restaurants, des bars, des entreprises, en fait de tous les lieux publics.

Les choses ont toujours été ainsi. Par le passé, lorsque fumer était un acte libre, un lieu public d’importance baignait dans un nuage de fumée, tant et si bien que même les non-fumeurs présents en ce lieu étaient exposés à la maladie mortelle des fumeurs.

Donc, face au tabagisme, non seulement le regroupement collectif n’est pas protecteur pour le fumeur, mais bien au contraire il lui est extrêmement nuisible puisqu’il donne une fausse impression de partage qui déculpabilise et qui, cerise sur le gâteau, nuit au voisinage immédiat.

La vision collective du tabac démultiplie ses dégâts.

Regardons maintenant ce qu’il en est pour l’impôt.

De tout temps ceux qui étaient susceptibles de créer des richesses se sont sentis en partie responsables de ceux qui n’en n’étaient pas capables. Dans la mesure de leur possibilité ils étaient charitables, cette dimension de l’homme étant universelle.

La charité n’avait pas lieu à s’appliquer envers ceux qui se précipitaient volontairement, par leur prodigalité, dans la misère.

L’équilibre précaire entre riches et pauvres peut être maîtrisé à l’échelon individuel où, comme pour le tabac, chacun est en face de ses responsabilités. Le riche face aux causes de sa richesse et à son devoir de charité, le pauvre face à sa responsabilité éventuelle de dépenses incontrôlées.

En effet la dépense inconsidérée ou l’emprunt démesuré, premières causes de la pauvreté dans un pays riche comme la France, est parfaitement visible au niveau individuel.

Aucun individu, aucune famille, en difficulté de trésorerie n’imaginerait en sortir en engageant de nouvelles dépenses, en multipliant les emprunts.

Alors qu’au niveau du groupe nombreux sont ceux qui pensent qu’une période de difficulté économique pourrait se régler en augmentant immédiatement et largement les dépenses, couvertes évidemment par l’impôt.

Les économistes intellectuels appellent cela la relance par la demande (Keynésianisme).

Les dépensiers font mine de croire, comme les fumeurs, que leurs égarements économiques mortifères seraient solutionnés s’ils devenaient collectifs.

C’est con. Mais ce n’est pas que con, c’est aussi dévastateur pour les autres.

Comme le fumeur ne nuit qu’à sa santé quand il est seul mais à la santé de tous lorsqu’il est en groupe, le prodigue ne nuit qu’à son porte-monnaiequand il est seul mais à ceux de tous quand il agit en groupe.

L’impôt est le combustible du prodigue comme le tabac est le combustible du fumeur. La guérison passe par l’éradication raisonnée du tabac et de l’impôt. Car, tout comme le tabac tue, l’impôt tue.

Bien cordialement. H. Dumas

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Un rescapé sur dix : le génocide (vidéo)

Bonjour,

Bien cordialement. H. Dumas et E. Bolling

 

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LE TROU DU C.U.L.

Il semblerait que je sois pressenti comme Ministre du gouvernement Hollande (celui d’après les élections présidentielles).

C’est un peu tard, mais je ne vais pas cracher sur un maroquin.

En fait tout part de l’idée lumineuse de François Hollande  “le Capital Universel Légal” qui va rendre nécessaire le Ministère de l’Organisation Nationale du Capital Universel Légal : le MONCUL.

Etre le Ministre du MONCUL est objectivement à ma portée.

Nous n’avons pas encore toutes les informations mais nous pouvons envisager quelques présupposés.

Ce capital universel légal, qui sera attribué à chaque français, ne peut pas être inférieur à 50.000 €, s’il veut être ce qui est annoncé : un droit d’accès pour tous à un équivalent héritage d’Etat.

Il est probable que son remboursement se fera sur vingt ans.

Nous disons donc 800.000 naissances par an à 50.000€, soit 40 Milliards d’Euros de CUL par an.

On peut imaginer, en ayant la foi chevillée au corps, que 50% des bénéficiaires géreront leur capital en bon père de famille et le restitueront intégralement, intérêts compris au taux du marché.

On peut aussi imaginer que 10 % auront les qualités nécessaires pour le faire fructifier abondamment, tant mieux pour eux. N’est-ce pas le but de l’opération ?

Reste 40% qui vont le perdre plus ou moins rapidement, soit une perte annuelle de 16 Milliards d’Euros.

Cette perte devra être absorbée. Par qui ?

C’est ici qu’en tant que Ministre j’interviens.

Pas question pour le ministre que je serai que tous les français se partagent cette perte, qu’elle soit incluse dans le budget global géré par Bercy. Elle doit être incluse dans le CUL.

Si nous la mettons exclusivement à la charge des 10 % que le CUL va enrichir, suivant en cela la religion socialiste, nous avons donc 4M€ à éponger sur vingt ans soit 200.000.000 € par an. Ce qui nous fait pour 80.000 personnes la somme de 2.500 € par an (sans les intérêts).

Ces 2.500 € représentent un supplément de 5% à rajouter aux intérêts naturels du CUL.

Dans l’état actuel de l’économie c’est beaucoup et cela peut objectivement gêner l’ascension des 10 % de gagnants, ce qui serait désolant.

C’est pourquoi je soumettrai au parlement que la casse soit prise en charge aussi par les 50% bons pères de famille.

Dans ces conditions ils seront 60% à se partager le sinistre annoncé. Ce qui le ramènera à 33.333€ par tête de pipe sur 20 ans, soit 1.666€ par an donc seulement 3,33% à rajouter aux intérêts légaux.

Evidemment ces calculs sont approximatifs, ils demanderont à être affinés en situation tant au niveau des intérêts cumulés que de la réalité du sinistre qui pourrait, avec le temps, augmenter significativement.

D’ores et déjà certaines contraintes doivent être prises en compte.

Le droit du sol

Chaque enfant né en France est français, il aura donc droit au CUL dès sa naissance, quelle que soit la nationalité de ses parents.

Mais attention, rapidement la France pourrait être mondialement réputée pour le CUL, et de nombreuses femmes enceintes pourraient tenter de venir accoucher en France afin que leur enfant touche le CUL.

C’est pourquoi les douanes feront uriner toutes les femmes entrant sur le territoire et pratiqueront le test de grossesse. Celles qui seront enceintes seront interdites de territoire et refoulées.

Le CUL obligatoire

Nous l’avons vu, le CUL est un acte socialiste, une réelle avancée socialiste, c’est même la quintessence du socialisme, son absolu.

De ce fait il ne peut pas se comparer à un prêt individuel, classique, et les frais qu’il occasionne sont une avancée socialiste significative.

Nous devrons donc anticiper sur les esprits libéraux qui refuseraient le CUL au prétexte qu’il serait possible, pour ceux qui le désireraient, de contracter un prêt sur le marché à des conditions plus avantageuses (un peu comme pour la SECU).

Ceux-là n’ont aucune pensée pour ceux qui n’ont pas besoin de prêt mais à qui les socialistes vont, grâce au CUL, en procurer quand même un. Ceux-là sont des libéraux qu’il faut éradiquer.

Donc nous légiféreront, à l’aide de l’article 49-3 s’il le faut, pour rendre le CUL obligatoire.

Le socialisme et Hollande.

Si vous me permettez un mauvais jeu de mot, c’est le cul (par DSK) qui a permis à Hollande d’arriver au pouvoir, c’est le CUL qui marquera pour l’histoire son passage au pouvoir.

Le CUL est un dispositif qui inclut toute la logique du socialisme. Il s’agit en effet d’agir pour le compte des autres dans une démarche purement intellectuelle, dont les conséquences matérielles ne seront pas mises à la charge des instigateurs mais des bénéficiaires, à qui le principe devra être imposé tant il inclut plus de contraintes que de bénéfices.

En réalité

Hollande a une vision irréaliste de l’héritage. Il n’en voit que l’aspect matériel apparent. Celui qui hérite est peut-être légèrement avantagé, s’il est compétent. Mais il aurait évidemment réussi sa vie sans hériter, grâce à sa compétence.

S’il est incompétent, il bouffera son héritage. La culpabilité morale et sociale que cela induira pour lui est largement supérieure aux avantages immédiats de l’héritage dont est jaloux M. Hollande.

Bien cordialement. H. Dumas

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Monsieur FILLON : juste un peu de justice…. ce doit être possible.

Bonjour,

Monsieur Fillon est l’élu de la primaire, félicitations à lui.

Ne perdant pas une minute, je lui adresse la lettre ci-dessous, par mail ce soir et par courrier demain.

lettre-m-fillon-p1

lettre-m-fillon-p2

Evidemment, s’il entend notre souffrance, s’il comprend l’injustice juridique dont nous sommes les victimes, je vous en informerai aussitôt.

Bien cordialement. H. Dumas

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Jean BOUHEBEN, cercle Frédéric BASTIAT, weekend de la liberté Septembre 2016 (vidéo)

Bonjour,

Cette vidéo est la dernière du cycle des vidéos réalisées lors du Weekend de la liberté 2016. Cette manifestation est organisée, à Dax, tous les ans en Septembre, par le Cercle Frédéric.

Vous constaterez qu’à la fin de la vidéo mon micro tombe en panne, ce ne sera pas le pire incident.

Je dois ici présenter mes excuses à M. Nicolas LECAUSSIN, Directeur du Développement de l’IREF, dont le micro est resté en panne tout au long de son interview, que je ne peux donc pas diffuser (on n’y entend que moi, ce qui n’est pas le sujet).

Je dois aussi présenter mes excuses à M. Damien THEILLIER, Fondateur de l’Institut Coppet, dont l’interview s’est effacé par mégarde.

Il en est de même pour celui de M. Jean-Paul GOUREVITCH, consultant international spécialiste des migrations.

Enfin, c’est à vous aussi, fidèles lecteurs ou spectateurs des vidéos, que je présente mes excuses de ne pas avoir eu les compétences nécessaires comme cameraman et preneur de son pour vous livrer un ouvrage parfait. Le cœur y était mais pas la compétence. Je m’engage à faire des progrès, j’y travaille.

J’espère quand même vous avoir donné une furieuse envie d’être présent l’année prochaine à Dax pour le weekend de la liberté de 2017.

Le Cercle Frédéric Bastiat, dont mon ami Patrick de Casanove assure la présidence, est un lieu de convivialité et de réflexion qui mérite le détour.

Bien cordialement. H. Dumas

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Où l’égalitarisme passe, l’herbe ne repousse pas.

Je vais vous raconter l’histoire vraie vécue par un adolescent de 14 ans.

L’action se passe dans une préfecture proprette de la France bien pensante, puisque socialiste.

Un de lycées de cette cité est la fierté de la municipalité. Récent, il sent bon les effluves contemporaines faites d’herbe et de goudron mélangés. Evidemment, il est confié aux bons soins d’équipes pédagogiques dans la ligne — un peu du ministère et beaucoup des syndicats —

N’est-ce pas là que sont portées les valeurs de la république, transmises à nos jeunes espoirs à l’aide d’un bourrage de crâne égalitariste sans égal dans le monde libre ? Si fait mes bons amis et je le prouve.

Notre jeune homme rencontre pour la première fois l’espagnol qu’il a choisi en deuxième langue. Il se trouve que ce choix le comble, espagnol et Espagne le séduisent, il collectionne les bonnes notes, s’il y avait un classement il serait premier.

L’équipe pédagogique — on ne dit plus les profs — décide d’organiser un voyage en Espagne. Ils adorent ces sorties payées par les parents d’élèves qui les éloignent une petite semaine — gratos —  de la cour de l’école dans laquelle ils ont vécu et vivront toute leur vie.

Quatre-vingts élèves sont susceptibles de pouvoir participer à ce voyage, en fait le nombre de parents qui ont mis la main à la poche à cet effet.

Mais il y a un hic. Un bus c’est 50 places, pas 80. Voilà un problème mathématique plus complexe que les baignoires et robinets traditionnels.

Je vous donne la solution, sans que vous ayez besoin de retourner votre ordinateur puisque je l’écris à l’endroit, sans attendre que vous donniez votre langue au chat.

Ne regrettez rien, vous ne l’auriez pas trouvée.

Solution :

Pour ramener le nombre de bénéficiaires de 80 à 50, l’équipe pédagogique a procédé à un tirage au sort…. notre jeune adolescent, peu chanceux, n’a pas été retenu.

Il ne sera pas du voyage scolaire en Espagne, alors qu’il est le meilleur élève de la classe d’espagnol.

“Pas grave”, il n’est pas au lycée que pour apprendre l’espagnol, il doit aussi y apprendre la vie, la morale.

Mais au fait, qu’a-t-il appris dans cette aventure ?

Et bien que travailler ne sert à rien. Que les récompenses ne sont pas liées aux efforts que l’on fait mais au hasard — un peu aussi aux combines — dont l’ordonnateur dans notre société est l’administration égalitariste.

Peut-être aura-t-il un peu de difficulté à saisir la force philosophique de la pensée égalitariste, mais gageons qu’il sera consolé par le cancre à qui le hasard aura permis ce voyage pédagogique et qui le lui racontera.

Il est possible que la narration qu’il entendra soit plus proche des virées nocturnes que des musées qu’il aurait peut-être souhaité visiter, mais n’est-ce pas tout le sel de la vie que d’avoir à vivre le contraire de ce que l’on imagine, de ce pourquoi on a travaillé ?

Quand je pense que moi, tout bêtement, face à un tel problème j’aurais donné les places en fonction des classements… Oui mais, d’une part il n’y a plus de classement — valeur réactionnaire de la droite obtuse — d’autre part quoi de plus naturellement égal qu’un tirage au sort ?

Je peux aussi me tromper, ce que je prends pour un voyage pédagogique n’est peut-être qu’une escapade de fétards ? Tout s’expliquerait alors.

En réalité, les jeunes adolescents d’aujourd’hui sont gentils, ou bien formatés, pour accepter de telles injustices. Pour ma part, mis dans cette situation, je ferais immédiatement un procès à l’équipe pédagogique. Evidemment, je le perdrais et je serais lourdement condamné pour rébellion et atteinte à l’honneur de représentants de l’Etat dans l’exercice de leur fonction. Je serais, pour faire bonne mesure, viré une semaine du lycée et définitivement de la classe d’espagnol.

C’est injuste l’égalitarisme, pour y adhérer il faut avoir la foi, être un croyant aveugle. 

Bien cordialement. H. Dumas

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LA TRANSPARENCE

La transparence est aux rapports sociaux ce que la pornographie est à l’amour, c’est à dire une excitation, voire une obsession, sans lendemain, l’écume de vagues beaucoup plus profondes.

Ainsi notre Président normal qui veut la transparence n’est qu’un pornographe politique, rien de plus, pas grand chose donc.

L’hypothèse qu’il nous vend serait que la transparence contraindrait la délinquance, plus particulièrement en politique la corruption et le conflit d’intérêt.

Hélas, la transparence n’est qu’une des facettes de l’apparence.

Or l’honnêteté n’est certainement pas assimilable à l’apparence, tout au contraire.

Peu de pulsions humaines sont aussi profondes que l’honnêteté. Il s’agit d’un sentiment universel que tout homme ressent en lui, qu’il est obligé de servir ou de trahir sans cesse, à chaque instant de sa vie.

L’honnêteté est un concept universel, générant un débat strictement personnel qui se situe bien au-delà des règles sociales que peuvent se donner les groupes humains.

En cela l’honnêteté est viscéralement libérale puisque strictement personnelle.

En effet, quand l’apparence sociale, les codes visibles, prétendent mesurer ou garantir l’honnêteté l’échec est garanti. L’apparence ainsi imposée – qui tend à l’hégémonie — dissimule inévitablement la perception et la compréhension de l’honnêteté, qui alors se réfugient dans les profondeurs morales de chacun.

C’est une des raisons essentielles qui entraîne l’échec des sociétés collectivistes ou égalitaristes qui ne sont qu’apparences. Comment pourraient-elles être autre chose ?

Lorsque l’apparence tient lieu de morale, l’honnêteté ne peut que fuir, se réfugier dans l’âme profonde de chacun, laissant la crapulerie s’afficher, intimement liée aux conventions d’apparence soi-disant destinées à la combattre.

Bien plus, il n’est pas rare que l’apparence stigmatise l’honnêteté au point de la faire paraître ridicule. C’est par exemple le cas dans une société égalitariste ou le fumiste se gausse des biens du méritant, voire les lui conteste.

Tout cela n’est pas nouveau. La majeure partie de la littérature mondiale traite du conflit intime et perpétuel que l’honnêteté déclenche à tout instant au fond de nous, des conséquences de sa trahison ou de son respect, notamment dans le temps.

Et oui, nous ne pouvons que le constater, notre Président normal n’est qu’apparence.

D’ailleurs, un groupe de comédiens, dense et spécialisé dans l’apparence, qui en vit et bien, vole en ce moment à son secours, c’est significatif.

Nous pourrions aussi évoquer la compassion, autre dimension universelle, personnelle et profonde, de l’être humain.

Ici aussi chacun de nous est journellement sollicité par cette émotion, doit la gérer, y répondre en son âme et conscience. Elle non plus ne peut pas s’accommoder de l’apparence qu’elle fuit instinctivement.

Là encore notre Président normal engloutit notre émotion. Par la transparence, l’exhibition, il oblige notre compassion à se retirer au fond de chacun de nous.

Chef d’orchestre d’une société d’apparence qui se veut parfaite, Hollande fait face — dans tous les domaines — à toutes les conséquences de l’épanouissement de la médiocrité qui se développe naturellement sur le terreau des apparences, pendant que la morale se voit obligée conséquemment de refluer au fond de chacun de nous.

C’est tout ce qui restera de cet homme. Un règne d’apparences favorisant toutes les crapuleries, obligeant la morale à s’immerger profondément en chacun de nous au risque de disparaître de notre collectif.

Bien cordialement. H. Dumas

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Sondage, l’échec libératoire

En ce mois de Novembre 2016 sondeurs et journalistes politiques ont ramassé deux claques d’enfer.

Je ne sais pas pour vous, mais pour moi se fut une délivrance, une bouffée d’oxygène.

Je ne veux pas parler du résultat politique lui-même, mais exclusivement de l’échec prévisionnel des instituts de sondages et de la presse spécialisée petits caniches  ou perroquets des premiers.

Ce n’est pas que le résultat politique m’indiffère, mais je ne perçois pas vraiment l’ombre du début d’un commencement sincère de la volonté de mettre en place une société de liberté individuelle accompagnée d’un Etat limité à son strict minimum.

Une société où chacun de nous serait respecté en tant qu’individu, où son patrimoine personnel et collectif serait en sécurité protégé par des forces puissantes et indépendantes, par une justice libre réellement respectueuse de la liberté individuelle et de l’équité, où nous serions débarrassés de la contrainte d’un Etat pillard.

Une société où chacun serait responsable de sa vie et récompensé en fonction de ses compétences, de ses résultats et des risques assumés.

Une société qui ne confondrait pas assistance aux plus démunis et compassion avec l’égalitarisme dévastateur de tout espoir ou raison de vivre.

Bref, une vraie société libérale en lieu et place de l’organisation collectiviste dans laquelle nous vivons, que d’aucuns appellent, sans doute ironiquement, “néolibérale”.

Revenons à ce qui me réjouit, me soulage, l’échec prévisionnel ridicule et définitif des instituts de sondage et son corollaire la sortie de route de la presse qui ne sait voir que par eux.

Il s’agit en réalité d’une victoire essentielle de la liberté individuelle sur le dogme collectiviste.

Le secret personnel indispensable à chacun de nous, nos intimités d’hommes, sont journellement foulés aux pieds par la gente collectiviste.

Plus de secret bancaire, plus de secret de santé, plus de secret familial, plus de secret sexuel, plus de secret intellectuel, nous devons vivre en vitrine, constamment exposés à la critique des autres, à notre propre autocritique obligatoire..

Plus de romantisme, de secret d’alcôve, de discrétion patrimoniale, de fierté des plus humbles, l’humeur est à la dénonciation, au devoir d’alerte, à la collaboration au service de la collectivisation, de l’égalitarisme obsessionnel.

Face à cette invasion de nos âmes il nous reste un seul lieu d’intimité : l’isoloir.

Même ici la machine collectiviste a souhaité nous priver du secret en prétendant nous dire le résultat avant même que nous ayons voté.

Elle vient d’essuyer deux formidables échecs.

Ainsi donc, malgré la terrible armada de la transparence, malgré la “nudification” obligatoire qui accompagne tous les collectivismes, les citoyens sollicités ont su protéger leur intimité, préserver le secret de leur vote jusqu’à l’isoloir.

C’est une grande victoire.

Le mystère qui accompagne la vie, qui lui est indispensable, est protégé, au moins ici. Réjouissons-nous car sans lui il n’y aurait plus de démocratie.

Bien cordialement. H. Dumas

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MARTINO, haine et terreur fiscales + servilité et incompétence des magistrats = un Joyeux Noël 2016.

Mon premier cadeau de Noël 2016, concocté par les services Fiscaux, Martino en tête, m’est arrivé ce matin en lettre recommandée avec accusé de réception. Il devrait y en avoir un autre sous peu à l’initiative de Garcia et Guigleur.

Ce premier cadeau est un ATD de 1 238 363, 46 €. Oui, vous avez bien lu : un million deux cent trente huit mille trois cent soixante trois Euros et quarante six centimes.

reconstitution-atd-du-14-11-2016

Sur cette somme je dois effectivement 287 € + 144 € = 431 € de CFE.

Le reste est une escroquerie en bande organisée, une concussion avérée, un meurtre économique, un assassinat délibéré.

En effet 430 711, 58 € sont une TVA récupérable que tous les autres copropriétaires de l’ensemble hôtelier concerné ont récupéré, sauf moi !!!

Les magistrats ont signé jugements et arrêts affirmant cette différence, en l’acceptant sans aucun motif autre que le fait du prince, représenté ici par Bercy et les magistrats.

Puis 807 220, 88 € sont liés aux exploits de Martino.

Martino venu d’on ne sait où, pour un motif inconnu, m’ayant privé du débat oral et contradictoire en décrétant une opposition à contrôle fiscal mensongère.

Martino qui a fini, deux ans après le contrôle, par notifier des sommes qui ont été déclarées non dues par le Rapporteur Public de la Cour d’Appel Administrative de Marseille, et pour le maintient desquelles le Rapporteur Public de la Cour Administrative d’Appel de Bordeaux a du mentir éhontément.

Alors que peut-on faire lorsque l’on doit 431€ à l’Etat qui vous en demande indument 1 237 932,46 ?

Se faire sauter le caisson ? Au contraire, faire sauter Bercy ?

Non, rien de tout cela n’est utile. Il n’y a strictement rien à faire. Pas plus que lorsque l’on se paie un cancer foudroyant.

L’injustice, même énorme, est la base de l’humanité, les hommes en ont soif, ils en redemandent, nombreux sont ceux qui sont ravis de ma situation, ils sont largement majoritaires.

Le seul acte digne et possible est de témoigner, c’est pour cela que j’ai créé ce blog, car, in fine, les hommes sont tous comptables des injustices qu’ils ont perpétrées ou accepté que l’on perpètre en leur nom.

Le témoignage est insupportable à Bercy et aux magistrats. Ils n’ont de cesse d’essayer d’entraver ce blog, par des amendes impossibles à payer, par des suppressions d’articles, par toutes sortes de condamnations, et cerise sur le gâteau le Sénat s’est emparé de la question pour tenter de neutraliser la vérité issue des blogs en règle générale et de celui-ci en particulier : http://sosconso.blog.lemonde.fr/2016/11/09/diffamation-dun-inspecteur-des-impots-sur-un-blog-quelle-prescription/

Bien cordialement. H. Dumas

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A la place du Président de La République (vidéo)

Bonjour,

Bien cordialement. H. Dumas et E. Bolling

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