Bonjour à tous,
« Pour anesthésier un patient, nous utilisons trois sortes de produits : les hypnotiques, qui donnent une perte de conscience, les morphiniques, qui sont de très puissants antidouleurs, et enfin les curares, qui n’ont aucun effet sur la conscience, mais bloque la transmission de l’information entre les nerfs et les muscles, de sorte que le patient est paralysé. Les curares ne sont pas toujours nécessaires, cela dépend des interventions, alors que les hypnotiques et les morphiniques sont toujours utilisés. »
Pour anesthésier un contribuable, Bercy utilise trois sortes de produits :
– Les hypnotiques qui imposent des règles et des taxes qui s’imposent comme pour un lapin pris dans les phares d’un véhicule qui trace sa route ;
– Les morphiniques qui nous récitent que déshabiller Pierre au profit de Paul, c’est la voie lactée pour la survie et la pérennité de notre société ;
– Les curares, via les envoyés de Bercy et de l’URSAFF, sont les « Gestapos » afin d’empêcher de nuire, ou de réduire à néant.
Pour anesthésier le quidam devant sa fenêtre virtuelle, les canaux de télévision et de radio « Main Stream » utilisent trois sortes de produits :
– Les hypnotiques par la distraction – du pain, des jeux, de l’émotion ;
– Les morphiniques : Des débats de sociétés configurés avec les templiers de la Matrice ;
– Les curares : Empêcher toute intelligence contre la doxa ;
Pour anesthésier l’information « Underground » :
– Les hypnotiques : Ce qui sort des « Main Stream » est « Fake News » ;
– Les morphiniques : Le Dark Net n’est que perversion ;
– Les curares : Les « Vigilantes » en service commandé qui tracent ;
Pour anesthésier la révolte d’un peuple qui gronde :
– Les hypnotiques : les « Gilets jaunes » sont pour partie des casseurs ;
– Les morphiniques : Un grand débat cadré selon des « enjeux essentiels de société », dixit les anesthésiants ;
– Les curares : Réprimer et ficher tous les déviants, peu ou prou.
Je n’ai aucune illusion de l’issue du mouvement des « Gilets Jaunes », pour la simple et unique raison qu’ils n’ont pas encore faim. Mais ça vient …
Bien à vous.
Cher Henri vous avez oublié des journalistes . Quand le doigt des gilets jaunes montre la lune , le journaliste dit qu’il faut regarder le doigt.
Un rappel Décembre 1986 Jean-Michel Aphatie dans une manifestation non déclarée, Avec les années qui passent et le porte-monnaie qui grossi, le discours change…= cliquez pour écouter la suite : https://www.youtube.com/watch?v=ouQ52c5W45w
Pour une fois, ça n’est pas Henri mais Robert.