Chapitre 1
Le risque est une notion de plus en plus mal envisagée par bon nombre d’entre nous où tout devient assuré ou prémunis selon l’esprit du principe de précaution. Ainsi, une action qui était plus ou moins simple d’application devient compliquée en temps et trébuchantes pour s’en affranchir.
Vous avez par exemple dans le cadre d’une entreprise minuscule avec des salariés, la nécessité de produire un fascicule au sobriquet « Document Unique », qui relate tous les potentiels de risques pour les subalternes et les préconisations à conduire à brève échéance afin d’y remédier. Le chef d’entreprise est écarté dudit document peut-être pour lui laisser les coudées franches avec son risque personnel, mais cela n’empêche pas de remarquer le manque de considération pour les locomotives, corroboré par un code du travail à sens unique. Les locomotives de la SNCF sont mieux traitées …
Ok, pas de problème avec cela, l’intégrité physique des soldats doit être préservée autant que ce peut et ce serait être un bien mauvais général d’envisager le contraire.
Mais ce qui devient dangereux, c’est quand le coût en temps et trébuchantes rogne sur notre compétitivité, à l’intérieur vis-à-vis de majors intra-muros qui sont structurés pour un ailleurs fiscal adoubé, et à l’extérieur vis-à-vis d’autres prédateurs qui n’ont en aucun cas nos mêmes précautions pour sauver la planète ou protéger le labeur et la sécurité de quiconque chez eux comme chez nous.
Une réponse politique de Macron et sa clique par rapport à cela ? Rien, vide sidéral sinon que ceux ailleurs ou d’ailleurs doivent s’adapter à nos canons, tandis que nous devons nous y faire en attendant, en se cognant de plus en plus entre nous, devenant de plus en plus enragés entre ceux qui sombrent dans l’assistanat et ceux qui croulent avec leur activité pour s’y contraindre …
Chapitre 2
La prise de risque, c’est aussi pour chacun d’entre nous, épargner les aléas de notre futur ou celui de nos proches.
Les mamelles de notre Etat sacro-saint, pourvues du fruit de notre travail nous le garantissent sur leurs fausses factures imposées sans la moindre mise en concurrence vis-à-vis de ce qui pourrait nous plaire ou nous servir, telle une cantine obligatoire plutôt que des menus à la carte.
La prise de risque en terme d’épargne, pour nos cruches de journalistes, c’est faire allégeance aux placements préférés des français dixit les livrets A et consorts ou autres assurances-vie, dévoyées pour ces dernières avec l’Antigone socialiste, les lois Sapin I & II qui pourraient permettre de taper dans les caisses au moment venu.
Pour ce qui est de la vraie prise de risque en matière de placement ou de spéculation, Bercy la néglige mais n’oublie pas de se servir au cas où son rendement deviendrait lucratif, renforcé dans son pouvoir de persécution et de perception avec l’échange automatique des informations entre administrations étrangères concernant les activités de ressortissants français par des comptes bancaires ouverts hors de l’hexagone. En guettant, comme je l’ai déjà écrit ici, la règlementation du processus de fiscaliser tout détenteur du passeport français pour ses activités rémunératrices expatriées.
Emmanuel Bolling évoque dans son dernier billet « 1984 » d’Orwell. Nous y sommes presque avec un nœud coulant qui se resserre selon la méthode des amérindiens : Le lacet de cuir humidifié serré autour du cou qui sèche tranquillement.
Chapitre 3
La vraie prise de risque aujourd’hui en France, c’est défier Bercy, pour qui refuse son totalitarisme arbitraire. Ceux qui seraient tentés de l’affronter par omission, renonciation ou fraude caractérisée seront « D4, coulés ».
Pourtant, à vouloir tout régler pour tout prendre, Bercy laisse des failles de par ses niches fiscales. Des niches qui ne sont que leur compréhension de ne pas toucher aux fondations de leurs édifices, au risque de voir ses murs s’effondrer. Par exemple sortir des canons d’une niche peut ne pas la remettre en cause, mais permettre de payer un redressement fiscal qui sera bien inférieur à une plus-value dégagée sur le marché. Inutile d’avoir recours aux transfuges de la maison, comme peut-être Madame Clarrisse Sand ou sûrement Monsieur Francis Le Poisat, pour le traduire.
Mais il y a aussi l’entreprise initiale des Gilets Jaunes du 17 novembre dernier. Ceux-ci se sont levés contre leur mise en esclavage fiscale, mais ils n’ont pas vraiment compris la cible. Sans doute aussi comme le dit, Dominique Philos dans son dernier spot, Ils n’ont rien contextualisé sur les sources de leur calvaire et leurs solutions.
Et pourtant, ce serait si facile pour eux et les légions derrière eux, éduqués de ce qui se passe et de ce qui pourrait être autrement, de foncer sur la prise de Bercy, qui n’est qu’une citadelle de quelques crotales. Pas forcément physiquement, comme les Black Blocks, mais plus subtilement avec une massification du non-consentement à l’impôt indu et chronophage.
Conclusion
Rien n’est facile et le remplacer par de l’illusoire est au mieux de la contrefaçon, au pire de l’euthanasie pro-active. Refuser l’une et l’autre est rester en vie, pour outrepasser de telles oukases qui n’ont à terme aucune chance de survie.
Bien à vous.
La bastille BERCY + ENA (ou futur ISF) à prendre et détruire
Je me souviens d’une copie au bac philo d’il y a longtemps, l’élève avec mis en titre : le risque c’est ça !
et il avait laissé tout le reste en blanc.
Le correcteur (assurément humain) lui avait mis un 20/20 et ses collègues contrôleurs avaient laissé passer.
Bonjour sur la prise de risque le pb l environnement constitue d esçrocs
Alors quel que soit le travail Ou l investissement que vous faites si vous avez à faire à dessus esçrocs fisc tribunal de commerce investisseurs Qui vous bernent
Votre prise de risques est de plus en plus risquée c est ca le pb l environnement
Ne respecte pas les lois et de çe fait La malhonnetete étant partout se risquer
Devient difficile voire meme impossible. Les banques vous laissent vous engager
Ét ensuite vous attendent au tournant si je puis dire et vous détruisent. Combien
D esçrocs dans les banques? Combien d esçrocs au rsi ét à La mas Qui
Entraînent les agriculteurs au suicidenquand un pays devient mafieux comme
Le dit mr armenante commentbprendre des risques on vous fait miroiter des
Placements mirifiques et vous perdez tout?! Une fois m a suffi avec cette
Bande d esçrocs du tribunal de commerce de creteil ét à Grenoble Ou une
Juge consulaire est agent immobilier alirs qu elle n a pas le droit et bien
Elle ne respecte pas la loi macron 2015 promulguée en 2017 sur la résidence
Principale alirs cet homme se retrouve avec sa maison vendue car mme sivera
Veut cette maison pour son agence immobilière?! Mais comme La justiçe
Ne fait pas don travail il est de plus en plus difficile de se risquer c est le
Cas de dire mais comme macron ne fait rien pour faciliter cette prise de risques
Il ne nous reste plus qu à rester chez soi et abandonner tout projets ambition
Etc. A bientot