L’inspecteur Martino ne se contente pas de détruire totalement une entreprise par l’intermédiaire d’un redressement indu, il veut aussi la peau du dirigeant.
Ils sont comme ça ces gens, ils personnalisent leurs tortures.
Il refuse de voir sa destruction massive exposée, il exige le droit d’agir secrètement, sans compte à rendre à l’opinion publique, il veut que ses patrons le couvrent, intégralement. Il exige aussi que la justice approuve ses agissements.
Exposer les faits réels, prouvés, sur la place publique est pour lui diffamatoire. Le droit à l’information, la liberté de s’exprimer, de dire son opinion, il appelle ça de la diffamation.
Il serait sans doute mal venu de comparer mes propos sur ce sujet sensible des contrôle fiscaux avec la liberté de parole qui est laissée à d’autres groupes sociaux, dont il n’est pas certain qu’ils apportent à notre société ce que je lui ai apporté comme entrepreneur en 50 ans de bons et loyaux services.
Peu importe, j’assume le risque en publiant la citation de M. Martino.
Accédez à la vraie pensée d’un contrôleur fiscal en lisant sa énième citation directe : link
C’est pas mal non ?
Bien cordialement. H. Dumas