Il faut le lire pour le croire. Extraits de déclarations d’Olivier Faure parues dans la presse, donc vraies :
“la 251e fortune française manque de patriotisme”…
“Ce n’est pas 12 millions de plus. Ou alors cela veut dire qu’il ne paye pas du tout d’impôt et donc qu’il a tellement optimisé que c’est un scandale absolu“…
“la 251e fortune française fait preuve d’un “manque de patriotisme” en expliquant “qu’il ne peut pas payer et qu’il s’expatriera si on lui demande quoi que ce soit“…
“C’est quand même dingue d’avoir des gens qui sont aussi riches et qui disent « Je ne peux pas payer» …
“on ne veut pas le spolier, on veut simplement qu’il s’enrichisse un peu moins vite et faire en sorte que l’argent qu’il ne paye pas aujourd’hui, d’autres n’aient pas à le payer”…
On devrait tous ensemble se dire « Qu’est-ce que je peux faire pour servir mon pays et qu’est-ce que je peux faire pour ceux qui n’ont rien ? »
Voilà donc les déclarations de M. Olivier Faure, patron du parti socialiste, rapportées par M. Paul Louis, dans BFM Business du 31/10/2025.
Aucune différence entre M. Faure et M. Mélenchon.
Le socialisme n’est pas un type d’organisation de société. Il n’existe pas de type d’organisation de société qui puisse négliger et ignorer l’économie et son substrat : le capital.
Pour ses meneurs le socialisme est une escroquerie à la misère, au malheur ; pour ses groupies une croyance obtuse et non discutable. Le socialisme prétend être au-dessus de l’économie en proposant que chacun dispose selon ses besoins – ou ses envies – et non en fonction de son mérite.
La vie du socialisme se déroule inexorablement de la façon suivante :
- Refus total des réalités économiques
- Parasitage d’une société riche, qui s’est avant souciée d’économie et a capitalisé
- Dans un premier temps exigences diverses et économiquement irresponsables, mais acceptées puisque prises sur une société riche.
- Puis assèchement du capital de la société support
- Alors vient le temps de la délation
- Puis celui du pillage
- Enfin celui du meurtre pour dissimuler le pillage.
In fine…engloutissement et disparition de la société socialiste.
Hélas, tout autre cheminement du socialisme génère encore plus de violence, voire la guerre civile, quel que soit le nom qu’on lui donne.
Qui peut expliquer à M. Faure et à ses potes qu’il n’existe pas de fortune improductive, de capital dormant.
Il existe un capital, constitué de ce qui est accumulé et transmis par les générations qui nous ont précédés. En tout, et bien sûr aussi en économie. Sans ce capital rien n’existe.
Lorsque ce capital est actif, en réalité il prend des risques, il s’expose, assez souvent il perd et disparait. Il doit donc constamment être équilibré par un capital qui ne s’expose pas. C’est cette sécurité que ces socialistes abrutis convoitent pour leur simple plaisir, même si perversement ce plaisir se résume à porter haut et fort les habits avantageux du donateur sans avoir fait l’effort d’acquérir avant de donner.
Que penseraient-ils ces socialistes de jeter les ouvrages de la Grande Bibliothèque que personne ne consulte, ramenant la culture aux seuls romans de gare qui s’échangent intensément ? C’est absurde.
Les dires de M. Faure sont confondants. Il demande à un acteur important de l’économie de se poser la question de ce qu’il peut faire pour son pays.
Je rêve. On est au bout du bout. Il fait quoi M. Faure pour son pays, en dehors de son activité de père Noël avec l’argent qu’il pique aux autres ?
On aimerait bien avoir ses explications à ce sujet.
Pour conclure avec cet humour “Faurien”, au 18ème degré, il a quand même l’avantage de nous éclairer sur la réalité du socialisme dans tous ses spectres, y compris les plus apparemment doux…
Bien à vous. H. Dumas
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En plein dans le mille.