Se connaître
Chaque jour je suis sidéré de l’incompréhension dont fait l’objet la place de l’économie dans notre société, de la confusion qu’il y a entre la monnaie consommation et la monnaie capital.
Contrairement à ce que je vois ou à ce que j’entends, je ne pense pas que ce problème soit de l’ordre du collectif.
Je pense qu’à partir du moment où chacun a situé sa position par rapport à l’économie s’installe automatiquement le respect que nous devons tous aux choix des autres et aux contraintes qui en découlent.
Je m’adresse aux jeunes citoyens de notre nation, quelles que soient leurs positions sociales ou leurs origines.
La question que chacun doit se poser est la suivante :
- Ai-je le sentiment de vouloir être un acteur économique, quelle que soit l’activité qui m’attire ?
La réponse est très simple :
- L’économie consiste à apporter une valeur ajoutée aux échanges nécessaires entre les hommes. Une prétention d’économie qui ne poursuit pas ce but est une escroquerie, un pillage.
Donc, si vous avez le sentiment d’être capable d’apporter une valeur ajoutée à travers l’activité qui vous attire, vous êtes un acteur économique en puissance.
Mon conseil : Essayez.
Dans le cas contraire, ne vous sous-estimez pas, votre activité sera un simple travail, parfaitement respectable, mais sans influence décisionnelle sur l’économie.
La différence essentielle se percevra dans la définition et l’usage des revenus de votre activité.
Si vous êtes un acteur économique les revenus tirés de votre activité ne sont pas de l’argent consommation mais du capital, dont le partage idéal est : un tiers à la collectivité sans laquelle rien n’est possible, un tiers devant rester au capital économique dont vous êtes un des responsables et enfin un tiers en argent consommation dont vous pouvez disposer.
Si vous décidez de ne pas prendre le risque économique, si vous n’êtes pas sûr de pouvoir générer une valeur ajoutée, si vous souhaitez simplement assumer correctement votre travail en toute responsabilité, les revenus de ce travail sont de la monnaie consommation dont le montant et l’usage sont à votre seule discrétion. Ceci évidemment dans le cadre d’échanges sincères et incontournables en ce qui concerne le montant de ces revenus.
Certains trouveront mon explication simpliste.
Il me semble que rien n’est jamais trop simplifié, la complication n’étant spectaculaire qu’en horlogerie où, même là, elle est impuissante à compliquer le temps dont la simplicité est inexorable.
Connaître le présent
A la question : Le présent est-il une conséquence du passé ou du futur ?
Chat GPT répond :
C’est une question fascinante ! Le présent, en tant qu’instant “maintenant”, peut en effet être vu comme influencé à la fois par le passé et, d’une certaine manière, par le futur. Voici quelques perspectives pour y répondre :
- Le présent comme conséquence du passé : Dans la plupart des conceptions courantes, le présent est perçu comme le résultat direct du passé. Chaque événement, chaque choix, chaque action passée façonne et détermine la situation présente. C’est l’idée de causalité : le passé “cause” le présent, et le présent est alors la dernière étape en date de cette chaîne causale. Selon cette vision, le présent est donc une sorte de “résultat” du passé.
- Le futur influence-t-il le présent ? : Certaines philosophies et théories scientifiques considèrent que le futur peut influencer, ou du moins donner une direction au présent. C’est le cas de la “téléologie”, où on imagine que certains événements dans le présent sont influencés par une finalité ou une orientation vers un futur souhaité ou anticipé. Par exemple, nos actions au présent sont souvent motivées par des objectifs futurs : on agit en fonction de ce qu’on souhaite voir se produire. Cependant, cela n’implique pas un effet causal direct du futur, mais plutôt une influence mentale ou intentionnelle de notre part.
- Une perspective du “présent éternel” : Certains philosophes et physiciens voient le présent comme la seule réalité véritable. Dans ce cas, ni le passé ni le futur ne le causent vraiment : le présent est un “instant éternel” qui existe indépendamment du passé et du futur. Par exemple, dans certaines interprétations de la physique quantique ou de la philosophie orientale (comme le bouddhisme), seul le “maintenant” existe réellement ; le passé est un souvenir et le futur une anticipation. Cela donne une vision où le présent est auto-suffisant et ne dépend d’aucune autre temporalité.
- Le point de vue de la relativité : En physique, la relativité d’Einstein complique un peu les choses en suggérant que le passé, le présent et le futur sont relatifs en fonction de l’observateur. Dans l’espace-temps, tous les événements (passés, présents, futurs) coexistent, mais leur perception varie selon la position et la vitesse de chaque observateur. Le “présent” ne serait alors pas uniquement une conséquence du passé, ni une anticipation du futur, mais dépendrait du cadre de référence de l’observateur.
En résumé : Dans notre perception humaine, le présent est davantage perçu comme une conséquence du passé, car tout ce que nous vivons semble en découler directement. Mais il est aussi influencé, dans une certaine mesure, par nos anticipations et projections vers le futur. Cela dit, en dehors de la causalité linéaire, certaines approches philosophiques et scientifiques voient le présent comme une réalité indépendante, où passé et futur n’ont qu’une influence relative, subjective, ou même inexistante.
Quel faux-cul ce Chat GPT, pas le genre à se mouiller…
Ce que je pense :
Le présent est le fruit exclusif du futur. Du passé ne subsiste que le capital intellectuel et matériel permettant au futur de créer le présent.
La preuve en est rapportée par le fait que lorsque notre futur diminue et finit par disparaitre nous mourrons, la vie nous quitte, notre présent s’éteint.
Donc la compréhension du présent se trouve dans le futur. Elle n’est accessible qu’aux intuitifs, et encore…
Sacré bouleversement !!!
Bien à vous. H. Dumas
Le pillage à grande échelle se met en place. Sous le meilleur prétexte, le trafic de drogue.
https://www.bvoltaire.fr/narcotrafic-les-mesures-chocs-que-ces-deux-senateurs-proposent-a-retailleau/