Admettons

Admettons que la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, notamment ses articles 2 et 11, ne soit pas une farce, un amuse ballot, un hochet pour bébé immature, une escroquerie mise en avant dans notre constitution pout nous tromper, une vue de l’esprit.

Dans ces conditions, rien que ces deux articles nous permettraient de nous exprimer. Ils fermeraient le caquet de ces petits juges — roquets de luxe pour dictateurs en puissance, qui les lâchent sur nous dès que nous nous les contrarions dans nos dires ou nos écrits –.

Les dits articles :

Article 2 – Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression.

Article 11 – La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.

Qui ne tente rien n’a rien, au diable les roquets, donnons notre opinion, affirmons que ce n’est pas un abus… on verra bien…

Les faits :

Une bande organisée nous a volé notre capital. Agissant par la ruse en nous faisant croire qu’il s’agissait de solidarité, d’égalité, par la force en installant la terreur fiscale.

Cette bande malfaisante, non seulement nous laisse démunis mais prétend réparer les dégâts qu’elle a fait en nous volant davantage !!!

Il n’y a plus d’enfermements physiques sur caprice du pouvoir. La bastille, forteresse symbolique de ces enfermements a été rasée dès après sa prise par la population, à partir du 14 Juillet 1789, par l’entrepreneur Pierre-François Palloy.

Restent les enfermements économiques et moraux, parfaitement semblables dans l’échelle des souffrances de notre époque. Bercy est le lieu symbolique et pratique de ces maltraitances. Bercy sera rasé.

Ne s’agissant pas de souffrances physiques, Bercy ne sera pas rasé physiquement comme La Bastille. C’est son système qui doit disparaitre, et ses locaux qui doivent être voués à autre chose. A la culture économique pour tous, par exemple.

Proposition d’éradication de Bercy.

D’abord il faut réparer la ruse de Sarkozy, un garçon parfaitement totalitaire, un faux libéral.

Avant lui les Services Fiscaux avaient deux organisations : La DGI qui calculait et collectait l’impôt, la DGCP qui gérait la collecte.

En 2008, pour plus d’efficacité, Sarko ne fit qu’un service : la DGFIP, qui fait tout.

C’est comme la guillotine, beaucoup plus rationnel, plus expéditif.

Trop de dépenses ? Pas de problème, c’est la même boutique qui pressure le Français… Le producteur fiscal devient le consommateur fiscal. C’est magique.

Résultat, boum, dans le mur…

Alors que deux services s’imposent.

Le premier effectivement pour l’encaissement. Il ne doit pas être anonyme. Il doit aller à la rencontre de chaque français, être attentif à leurs difficultés ou à leurs réussites. L’impôt doit être consenti et juste, il ne peut pas être anonyme, sans rapport avec la réalité de chacun. Ceux qui ne veulent pas payer l’impôt sont minoritaires, ce n’est que la violence de la terreur fiscale qui dresse la majorité contre l’impôt.

Une caisse locale doit être mise en œuvre à cet effet dans chaque agglomération, son responsable doit être élu par la population, démocratiquement.

Ce ne sera pas un surcoût, c’est la condition essentielle pour avoir un impôt démocratique et juste, adapté à la richesse de la nation.

Le deuxième pour la gestion des dépenses à partir des encaissements du premier. Ce service ne doit en aucun cas dépendre de ses utilisateurs. Il ne peut donc être géré ni par les élus, ni par l’administration.

Il est le gardien du capital national. Il doit rendre des comptes transparents et clairs.

Ses opérateurs ne sont dépendants de personnes, le directeur et ses cadres principaux sont élus.

Adieu Bercy. Je ne doute pas un seul instant que la France va s’équiper de cette structure fiscale. Que ce que je vis depuis vingt ans de la part de Bercy et des juges serviles et maltraitants sans vergogne, ne pourra ainsi plus jamais arriver.

C’est possible, le calme et la tranquillité fiscale ? Mais oui Madame, je vous jure…

Bien à vous. H. Dumas

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A propos Henri Dumas

Je suis né le 2 Août 1944. Autant dire que je ne suis pas un gamin, je ne suis porteur d'aucun conseil, d'aucune directive, votre vie vous appartient je ne me risquerai pas à en franchir le seuil. Par contre, à ceux qui pensent que l'expérience des ainés, donc leur vision de la vie et de son déroulement, peut être un apport, je garantis que ce qu'ils peuvent lire de ma plume est sincère, désintéressé, et porté par une expérience multiple à tous les niveaux de notre société. Amicalement à vous. H. Dumas

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