Les hommes de l’Etat ont acheté la France.
Les électeurs ont avalé toutes les couleuvres que Bercy et la fonction publique leur ont présentées. Ils ont vendu leur liberté, leur responsabilité, aux plus menteurs, aux plus cyniques, aux plus corrompus. Il n’y avait aucune porte de sortie.
Et maintenant ? Que vont-ils faire ces élus et leurs électeurs ?
C’est très simple, ils vont se piller entre eux, puisqu’ils ne souhaitent et ne savent faire que ça…
Ils ont fait le plein de la moissonneuse fiscale, ce matin Bercy pète le feu, le doigt sur le démarreur. Demain les marchés vont exiger que la guillotine fiscale donne à plein. Tout est prêt. Bonjour la misère, totale et irréversible.
Vous dire que je suis déçu ? Même pas. Incrédule ? Oui, c’est certain.
Incrédule et stupéfait, mais pouvait-il en être autrement ? Non.
Oui mais, disent certains, la France est un grand pays elle a survécu à des catastrophes d’une autre ampleur, et de citer : Sedan, Verdun, la débâcle, etc…
Dire cela est aussi une escroquerie, les victimes de ces catastrophes, elles, n’ont pas survécu. On les oublie ? Elles passent en pertes et profits ? Ce n’est pas sérieux…
Non ce matin la France se réveille comme elle est : con.
De grandes souffrances nous attendent. Plus tard leurs auteurs seront absous et leurs victimes oubliées, comme d’habitude.
Le café de ce matin est amer. Bien à vous. H. Dumas
« J’ai toujours été élu par une majorité de cons ».
Cet aphorisme d’un grand philosophe de Montpellier est plus que jamais d’actualité.
Dans quelques mois, les locataires du château vous feront regretter Macron, Borne et Attal.
Pas si amer que ça. La France est nostalgique du communisme mais elle ne le supportera pas et puis laissons faire le Mozart de la politique on risque de ne pas être surpris